mercredi 19 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous reviens avec un deuxième rapidement. Je suis très heureux j’ai reçu la confirmation d’une rencontre à l’institut. Je pense à ce café servis avec le marc, je crois que c’est oriental. Je suis pas mal réveillé pour cette heure ci, je « travaille » aussi sur un texte pour les humeurs culturelles, la fréquentation du blog est pas uniforme. Je crois que celui-ci je vais le commandité. Au fond je vous dis toujours la même chose « Je veux d’ l’amour » -Robert Charlebois https://www.youtube.com/watch?v=qo42tT4WPJE  Je   prends mon temps pour vous écrire y’a rien qui presse je pense aux aimables profs de cégep qui ont dit que j’avais une voie, pour une fois j’ai écouté et ça donne ceci ce que je vous écris, ma prose que j’aimerais poétique… Quand au zen je pense au jardin japonais du jardin botanique, la  maison avec une cour intérieure remplis de sable et les moustiquaires… Le Japon c’est loin du goulag occidental. J’essais de respirer par le nez en pensant à Bouddha , y’a des points communs mais au Japon c’est le Shintoïsme une pratique imprégné de respect… Dans le goulag occidental sur la rue Ontario y’a un monastère bouddhique vietnamien, je le fréquente pas mais je suis toujours étonné de voir ses couleurs. Dans ma tête ça saute d’un mot à l’autre rien de suivis pas de phrase juste du bruit parasitaire comme une radio de la belle époque qui cherchait à syntoniser une station. J’écris mais je sais pas ce que je veux, un texte finis et léché où une manière de texte brut qui nomme mon état intérieur étrangement je pense à la messe du vendredi saint de mon enfance que je trouvais longue, j’arrivais pas à comprendre le sacré… Je vous écris sur Pâques et on s’en va vers Noël quoi qu’il est un peu tôt pour en parler… Préparé vos costumes d’halloween, je pense au film culte Rocky Horror picture show mais moi comme film culte je préférais Phantom of the Paradise https://www.youtube.com/watch?v=2n5qVJEg3qA  un film de Brian DePalma ça déjà quarante deux ans! C’est un peu pour ça que je dors pas, j’ai peur de mourir dans mon sommeil et me semble que j’ai pas le temps de tout faire ce que je veux faire. Devant l’écran je suis très calme je croyais pas que ça m’arriverais un jour est-ce que je peux appeler ça de la sérénité? Je crois pas, je suis toujours trop agité. Je vous entends me dire « Farme ta yeule! » Pourtant j’ai besoin d’écrire comme d’autre ont besoin du respir. Vous avez remarqué que je donne pas dans de grands textes épiques. J’arrive à la fin de ce blog quelques mots encore, j’aimerais que ce soit plus que du bonbon comme disait la publicité. Je me souviens de ces jeunes filles qui étaient toutes fières de me dire qu’elles avaient travaillé dans une boîte de pub ça m’impressionnais pas. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!!

Bernard

mardi 18 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je sais pas trop quoi vous écrire, mais oui! Il fait chaud, j’ai ouvert la fenêtre et j’essais de vous écrire sur mon senti, il pleut à boire debout, aux actualités j’ai vu l’avion où voyagent les journalistes qui couvrent Donald Trump, deux avions pour un idiot c’est beaucoup. Aujourd’hui y’avait rien dans le courrier… Maintenant j’ai toujours la tête vide, j’aime toujours autant voir les avions et encore plus les prendre. Quand je voyage c’est toujours en classe économique, je me souviens de ce départ de Washington à Toronto, je me suis trompé de siège et je comprenais pas que le gars voulait sa place côté allée, on s’est un peu engueulé, lui en anglais moi en français, j’étais vraiment assis à sa place, je lui ai donné… Je crois que je vous l’ai déjà écris ailleurs. Lentement ça se rafraichis. Dans le goulag occidental c’est l’endroit idéal pour entendre des moteurs d’autobus et de camions ronronner. Je pue, je prend une douche… Ça y est je sors de la douche parfumé au Burberry Brit Rythm ça sent bon… J’aime beaucoup le parfum beaucoup plus que les pissoires de tavernes où les vestiaires de gymnases, à la télé ce sont nos bras meurtris qui portent le flambeau, je m’éloigne de mon senti, l’hymne national américain et ensuite le canadien. Je me demande pourquoi ça été si long pour vivre comme je vie là. J’imagine que ça prenais le temps, le senti, le sentiment ça pas sa place dans le hockey. Je pense au patriarche qui disait une business ça a pas de cœur. Pourtant je pense au magasin de meubles que le patriarche avait avec un associé, ça avait pas marché moi j’y ai travaillé un peu mais j’étais pas payé peut être que si j’y avais mis un peu de cœur… Je pense que le patriarche s’était fait avoir par l’associé… Je pouvais pas acheté d’amplificateur de système de son, la matriarche voulait pas c’était trop bruyant… Je vous ai jamais raconté quand dans une poussée de folie j’avais détruit ma guitare et ma télé miniature, j’avais mal je souffrais… Je souffre encore mais c’est plus discret. La pluie a cessé, le store est ouvert y’a moins de circulation. Je cherche, j’écoute ce que ça me dis… Ce soir la paranoïa me laisse tranquille, l’angoisse aussi pourtant je suis pas guéris, je me rétablis. Soixante ans, j’ai rien vue, times fly, je pense à nos grands poètes qui sont maintenant vieux et sages. Je reviens au « Comme à radio » de Lucien Francoeur https://www.youtube.com/watch?v=fYIFt7UyP4U moi j’aime ça la radio mais je l’écoute beaucoup moins je préfère le web où je trouve tout ce que je veux. J’aimerais ça terminer avec de l’émotion ce soir et oublier ces nuits noires. Bon! Je vous lâche avec ça, c’est terminé, c’est finis. Je sais c’est pas de la grande littérature. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 17 octobre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai passé une belle et bonne journée. Un petit mot pour ma lectrice puéricultrice de Cantley en Outaouais, je vais bientôt avoir une autre bande dessinée pour l’ami Antoine. Je finis mes lectures et je lui poste… J’ai l’humeur plus légère, je pense que c’est parce que je fais ce que j’ai à faire. J’ai quand même de gros défauts je juge et pourtant ce serait normal que je donne une chance à mon prochain… Y’a toujours l’écriture comme une sorte d’échappatoire mais s’évader du goulag occidental c’est impossible faut dire que depuis le temps j’y suis bien. Y’a tellement de travaux les rues sont embouteillées, embouteillées! C’est un bon mot pour les automobilistes qui ont soif et qui vont peut-être s’arrêter au bistro en attendant que ça passe. Je pense à Tiger Nain qui conduisait fatigué, repose toi! Je veux te voir bien en vie et j’irai peut-être manger ton jambon et ton smoked meat maintenant que tu travaille dans une institution de Terrebonne. Ce matin je me suis levé avec un mal de tête ça s’est vite passé… C’est pas égal ce que j’écris j’ai toujours les avions en tête, je me demande ce seras quand mon prochain départ, je pense pas que j’irai seul sur la plage ça me prendrais de la compagnie en plus j’ai vu hier qu’il y avait des requins blanc sur la plage à Cape Cod. Avion, plage voilà des images… Lentement les piétons passent on en voie plus jouer avec leurs chiens dans le parc…Allez! J’y vais! Je vous écris ça d’une traite au son de la circulation en regardant les cyclistes rouler à contre-sens, ce matin j’ai rencontré un psycho-sociologue à qui j’avais donné un texte mais qui l’avait trouvé trop répétitif. Je pense qu’en général on aime bien les beaux petits textes à consonances mielleuses, qui nous fait « grandir ». Je prendrai pas cette voie là… Ça roule! Ça roule! Je pense au motel sur la rue Jarry ça me tentait pas d’habiter là quoi que maintenant je suis entre la rue Sainte-Catherine et Notre-Dame du traffic y’en a et ça jamme. Ce soir y’a un parfum de soupe, j’ai tout mangé la mienne. Toujours souvenir des soupers en famille, le patriarche arrivait parfois un peu tard nous on avait mangé me souviens plus où était ma sœur, disons que j’étais trop occupé à agacer. Je vais juste vous mentionner que la voisine se promène sur la passerelle moi je trouve qu’elle sait pas vivre, la passerelle c’est pour les urgences. Ouais! Pour l’instant j’ai de la difficulté avec ce texte, vous allez dire c’est toujours comme ça, t’est vraiment mémère!!! Moi ma tribune c’est ça, le blog toujours, le blog sur le goulag occidental bien que ça fasse pas beaucoup de sens… Je vais arrêter de chercher et écrire comme toujours avec un questionnement. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! À bientôt!!! À la prochaine j’espère!!! Demain même heure même poste.

Bernard

dimanche 16 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis tellement cave que je me rappelle pas ce que j’écris. Désolé pour le bôf mes pensées sont avec tous les siens. Ce dimanche c’est vraiment l’automne, il pleut et il fait frette. Je crois que ce printemps je vais me rendre à Prague, ma lectrice secrétaire retraitée de L’Outaouais me dis que c’est une bonne destination, elle est toujours de bon conseil. Je vais revenir avec mon senti. Je me répète, je vais peut-être arrêter tout ça à moins que je demande à la Sainte-Vierge de m’inspirer. À Prague on peux voir la Maison à la Vierge Noire, un édifice cubiste construit au début du vingtième siècle, y’a aussi Le Petit Jésus de Prague, https://www.youtube.com/watch?v=0uBDZDcC6Pw  une prière que d’autre diraient en cachette, mais les prières y’en a jamais assez… Ma foi comment vous écrire à vous que je sais dans les épreuves. Je veux pas faire le faux-prêtre, je me rappelle ma regretté sœur comment elle engueulait les gens du culte, ça lui a pas rendu la vie plus facile… Le ciel se dégage, j’ai pris une pause de la TV, l’ICON c’est un hôtel à Prague, les icônes j’essais de voir si y’a pas un rapport avec Prague, je crois que oui parce que je crois que les habitants sont de foi orthodoxe faut pas mélanger avec la vierge noire de CZETOCHOWA en Pologne. Quand j’ai rien à écrire sur mon senti j’écris des choses pareilles qui n’intéressent personnes. Je sais, qu’aujourd’hui les icônes c’est la bande dessinées. Je me souviens de Vaillant qui véhiculait de bonnes valeurs, c’était y’a plus de cinquante ans. Je pense aux religieuses Vierge Marie la Consolatrice, des orthodoxes grecques à Brownsburg , je suis tout mêlé parfois la prière me démêle, comment? Je sais pas c’est un mystère. Y’a aussi la cathédrale Saint-Guy à voir dans la république Tchèque. Non! Non! Non! Vous avez pas affaire à une vocation tardive ça s’adonne que souvent les arts religieux sont les plus vieux… Pour un autre sujet, les gens mangent le fromage fêta des sœurs, le chocolat des moines et le poulet d’Angèle avec un menu pareil on va vivre vieux, des aliments bénis… Je pense à Mario Tremblay qui parlait du petit Jésus de plâtre pas de Prague… C’est baroque ce que je vous écris ce soir ça respecte aucune délicate façon d’écrire. J’ai la toune de Dire Straits dans la tête Money for nothing https://www.youtube.com/watch?v=iwDDswGsJ60 . Je pense au psychédélique délirant psychotique on est loin du spirituel, moi je suis pas très humble je fais rire personne. Je vais essayer de vous écrire une belle finale sans trop penser juste un premier jet écris à la va comme je te pousse gros jean comme devant. La bêtise la voilà toute unique et seule à dire le non-sens, vous voyez ma paresse à travailler ce blog c’est quand même pas évident. Le bout des doigts me brûle. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 15 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je reviens avec cet espèce de feuilleton qui n’en est pas un. Aujourd’hui j’ai fait des courses et la lessive pour le moment l’eau courante est coupée, pas d’aqueduc… J’ai sommeil, lentement la nuit arrive ils ont interdit les Samsung sept dans les avions, c’est bien. Je vais essayer d’aborder mon senti, l’ami m’a téléphoné et réconforté notre amitié tiens bon.  C’est toujours étonnant cette façon d’imaginer les choses, je pense qu’il y a un peu de schizophrénie là-dedans mais je m’en sers pas comme excuse.  Aujourd’hui j’ai rangé les vêtements dans les tiroirs et dans la penderie. Dans mon senti je pense souvent à la France,  à Besançon et à Paris. J’ai toujours le désir de partir, j’aime bien les publicités de La Guadeloupe à TV5 c’est aussi ça la France. Je crois que nos snowbirds vont bientôt partir, le bôf a travaillé sur sa roulotte parfois je pense à m’acheter un petit camper mais j’ai pas mon permis de conduire et je crois pas avoir les moyens pour l’essence. Je partirai moins longtemps et plus léger, l’avion, l’hôtel un pack-sack pour deux semaine aujourd’hui je lisais dans LaPresse+ que Barcelone était la destination la plus achalandée je crois que je vais laisser tomber et peut-être pensés à Prague pour ce printemps. J’aime voyager voir les choses autrement qu’à la télé, les choses en vrai… Ce soir le goulag occidental est assez tranquille, y’a des voitures au pot d’échappement qui ronronne mon lecteur de Deux-Montagnes aimerais ça… Je   pense toujours aux « amis » du premier voyage à Besançon. Je les ai perdus de vue. Rien n’empêche je crois être plus citoyen même si j’ai encore bien du chemin à faire. Je me rétablis lentement, je crois que je dois penser à donner plus qu’à recevoir… Ça a l’air facile comme ça mais c’est pas simple… Je pense aussi à ma lectrice puéricultrice de l’Outaouais qui a beaucoup de peine suite au départ d’un être cher. Je suis de tout cœur avec elle et j’espère que si elle me lit ça va la distraire un peu, je crois que sa grande famille a besoin d’elle. Moi je suis pas très comique, j’arrive pas  faire des jokes… J’écris toujours sur les harleys qui pétaradent dans le goulag occidental. La nuit est tombée, le samedi c’est le hockey pas loin à la limite du quartier y’a les péripatéticiennes qui pratiquent. Y’a longtemps que j’ai pas parlé d’elles je trouve pas qu’elles sont très intéressantes… Ça fait longtemps que je vie ici, ça s’est gentrifié, y’a des AUDI et des BMW de stationnés. J’ai plus sommeil, je crois que la lumière de l’écran me réveille. J’espère que j’ai toujours mes fidèles lecteurs, lectrices… Je vous écris ceci et après je retourne dans le cahier, je suis toujours à chercher… On entend les sirènes les voitures, une overdose peut-être mais y’a tellement de malaises qui ont besoin de l’ambulance. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard           

vendredi 14 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas certain que je vais arriver à vous écrire quelque chose aujourd’hui. Je suis fatigué, je crois que je m’en vais vers la dépression. J’ai ouvert la boîte de biscuits Ritz, on m’a dit que j’avais le droit de ressentir tout ce que je ressent, trompez-vous pas c’est pas du ressentiment, c’est du senti… Moi qui d’habitude prend tant de plaisir à vous écrire, je pense à ma toxicomanie à comment je ne consomme pas pour aujourd’hui… Je prie, je prie puisqu’il le faut pour éviter les ennuis. Ce soir je cherche à vous dire mon imperfection et comment vivre avec… Je crois que c’est mieux de me tenir loin des gens qui consomment… Parfois y’a des gens qui réalisent pas, qui mettent la charrue en avant des bœufs. Je me suis promis de vous parler de moi. J’ai aucun pouvoir sur mon prochain… L’hiver arrive ça va être difficile de rester dehors… Je  l’entends dire comment il est bien là où il est pour apprendre quelque semaines plus tard qu’il est rendus dans un refuge, c’est exactement ce que je ne veux pas vivre. J’arrête ça là c’est pas de mes affaires je suis incapable d’aider. Dans ma paranoïa  je pense qu’on a mis quelqu’un après moi pour me faire la peau… J’en profite pour saluer ici l’amie danseuse, moi aussi je l’ai pas oublié, un flash tout-à-coup. Ça me tue j’arrive pas à penser à autre chose qu’à eux, comme on dis c’est « vivre et laisser vivre ». Je sais pas quoi faire pour me rétablir un peu plus. Je salut mon lecteur de Deux-Montagnes et sa nouvelle acquisition, un beau station-wagon wood, il est constant il reste dans la même ligne, bravo! Je vous parlerai pas de voitures je connais pas ça. Je suis plus dans l’introspection, c’est comme je vous disais au début je suis dans la déprime ça m’arrive souvent l’automne. Je sais pas si un voyage dans le sud m’aiderait. Je peux pas écrire et faire abstraction de ce qui se passe dans ma vie. Il se passe pas grand-chose vous allez dire mais c’est ça pour le moment un conflit avec les amis. Je me suis éloigné de mon intérieur, de mon senti viscéral et ça rien donné de bon. Difficulté à vivre le moment présent, je me projette dans l’avenir, demain et ça à rien de bon. Je pense à tous ces gens qui ont voyagé et qui me diminuent parce que je voyage maintenant. C’est comme la matriarche dis y’en a qui sont fatigant tellement ils connaissent tout. Bon! Faut pas que je me pense trop smatte… L’humilité c’est ce que je dois rechercher, je vous avoue humblement que c’est difficile, plusieurs des personnes que j’ai essayé d’aider sont encore dans la consommation faut croire que je suis pas un bon exemple pourtant je fait de mon mieux. Je vous laisse, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 13 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi j’ai pas envie de regarder les actualités. Le temps est gris, je crois que j’ai perdu un ami… Je vous écris plus tôt qu’a l’habitude. Je lui ai fait des reproches à l’ami, j’aurais pas dû… Comme toujours j’y vais avec mon senti, les reproches que j’ai fait ils partaient de moi, j’avais pas à faire ça. Enfin c’est fait, toutes mes excuses. C’est trop personnel pour être dans un blog… Pourtant je suis pas sûr que j’ai tort, c’est son ami pas le mien. Le goulag occidental est occupé par des pelles mécaniques… C’est quand même mon choix, j’ai peur de ça… Je suis à boutte , je devrais comprendre qu’écrire c’est pas juste se faire des amis pourtant il me semble que j’ai parlé des « vrais » affaires. Ce soir comme toujours la circulation est dense, je pense à la danseuse aphasique. Je suis un pauvre… Je me dénigrerai pas ça donne rien. J’ai fait une erreur. Cette histoire la ça occupe toute la place et là c’est comme si je jetais de l’huile sur le feu. Je pense que je dois laisser passer le temps. Je suis pas parfait… C’est possible qu’une amitié se termine, je regrette un peu mais c’est comme ça, c’est pas la première fois que des amis sortent de ma vie. J’arrive pas à écrire autre-chose, j’ai beau dire, j’ai beau faire c’est comme ça, au fond l’ami je le comprend pas… Une amitié qui se termine c’est toujours désolant… Je vais attendre il va peut-être me téléphoner, ça me fait mal d’être seul d’y penser. Ce soir je vire à vide c’est que des ennuis… La solitude est très présente… Pourtant j’ai pas inscrit son nom c’est presque de la fiction. Je pense au copain qui avait essayé de faire la livraison dans un dépanneur, il se perdait dans les rues. Me souviens aussi des potagers dans les ruelles de la petite Italie c’était magnifique, en ce moment je crois que c’est la vente des raisins pour le vin. Y’a quand même quelques vignobles autour de Montréal, ça prend des vignes robustes. J’ai de la peine! J’ai de la peine! J’ai de la peine! Quand je raconte mes conneries, le vin je connais pas ça j’en bois pas et je serais incapable de me pencher pour faire les vendanges… Je vais y arriver à vous écrire malgré tout. Dehors sur le trottoir une jeune fille lançait un sac de cannettes vides à son compagnon. C’est toujours comme je pense dans la durée et la persévérance, les gens passent la démarche chambranlante, les chèques de chômage sont sortis on en profite pour… Je vais pas dans mon thème de prédilection. C’est presque la nuit, je vous aurai encore une fois écris. Je ne suis pas une vedette juste un humble « écrivain » à la petite semaine. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je sais pas si vous allez revenir mais à la prochaine j’espère!!!

Bernard