lundi 28 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui il pleut. Je sais pas trop ce que je vais manger pour souper. Le téléphone a sonné deux où trois fois pendant que je faisait la sieste, y’a eu des coups de feu au Capitole à Washington. J’ai fait réchauffé des fèves au lard. Semble qu’ils ont arrêté le tireur qui a blessé un policier. Je suis fatigué mais fatigué de ces attentats de ces tirs meurtrier. Sur la chaîne télé de nouvelles on entend que ça. Je pense à la chanson Imagine de John Lennon, une grande chanson mais Lennon a été assassiné, il était peut être un rêveur mais il méritais pas ça  https://www.youtube.com/watch?v=yRhq-yO1KN8 . Je sais pas, la paix pour tout le monde c’est une vision d’adolescent? Je crois que je m’en demande pas mal avec un post par jour, mais j’y arrive. On est sauvé le lundi saint? Parfois je me sens menacé comme si c’était interdit d’écrire comme je le fait. Meurtre partout, en Californie le salaire minimum monte à quinze dollars de l’heure, c’est quand même difficile de rester honnête. Je sais pas pourquoi je pense aux snowbirds à la retraite, je parlerai pas de mon revenus j’essais de me sortir de la misère et de l’autre bord on veux m’y renvoyer. Quand le salaire minimum augmente je crois que les biens et services augmentent aussi. Aux États à New-York c’est pas des pauvres bougres qui vivaient au Dakota, l’édifice. Des coups de feu encore les journalistes parlent d’un acte isolé. Les enfants pakistanais ont été tué dans les manèges un terroriste s’est fait sauter, belle saloperie des enfants c’est innocent. Toujours sombre dehors, je veux pas inventer des émotions que je ne vie pas. Je suis pas triste mais las comme dans lassé, lassé d’entendre les discours de mort… La télé diffuse les nouvelles en boucle, j’imagine que les journalistes sont en congés pas de manchettes, pas de scoop. Montréal c’est pas New-York, je pense que Central Park seras vert avant le parc Lafontaine. J’ai hate qu’il fasse beau pour aller prendre un café dehors avec l’ami. Petit reportage pascal sur les vélos. Mon état intérieur change pas tant que ça de jour en jour, c’est souvent la même poutine. Les joggers passent dans le goulag occidental. Je l’ai un peu oublié mon goulag, mon exil, ici j’ai fait mien l’endroit où j’habite . Je vous l’ai dis souvent, aujourd’hui c’était congé pour plusieurs, je me souviens d’avoir visité le parlement à Ottawa, j’avais laissé mon canif, qui pour moi est pas une arme, à la réception en bas, j’ai pas eu de problème. Je l’ai plus ce canif on me l’a brisé, c’était un cadeau de l’ami européen. Lentement je me dirige vers la fin de ce post, si vous en avez assez dite le moi. Quand je termine de vous rédiger ça je suis toujours heureux. Quelques mots encore qui ont chassé le mal, la solitude. Voilà!!! Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

dimanche 27 mars 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Vous allez vous dire, le malade reviens sur son blog après nous avoir visité. Mais oui, j’étais heureux de voir toute la famille sauf les snowbirds qui sont au sud. C’est une fin d’après-midi superbe et je remercie le lecteur de Mascouche qui m’a ramené à la maison. J’étais ému quand Antoine est venu lire sa B.D. près de moi. Y’avait de la maman et de la future maman là… Ça fait de  bonnes mères, bonnemère!!! La télé est sur un jeu télévisé français… J’y arriverai pas ce soir, ai acheté un litre de lait… C’est dimanche de Pâques, Il est ressuscité on y crois où on y crois pas, la douleur reste là, j’essaye de la transcender, mais non je ne boirai pas le calice… Je sais plus comment écrire je suis tout mêlé, je vais y aller dans le délire allez ouste!!! Je sais pas non plus comment me comporter avec cette machine ordiné, la destination y’en a pas je roule sur d’anciens voyages au long du fleuve… J’ai pas envie de vous raconter les actualités, ils ont quand même fait le portrait d’une cellule terroriste démantelée… J’étais quand même heureux de ma visite à Deux-Montagnes, j’y suis allé en train tout s’est bien passé, on m’a contrôlé presqu’une fois arrivé. Je crois que pour plusieurs d’entre vous c’est congé demain plus je vieillis plus j’aime rencontré la fratrie même si j’ai des difficultés de communication parfois je pense à la bière pas pour en boire mais pour indiquer à la matriarche où sont les meilleures brasseries artisanales mais c’est plus de son âge et du mien aussi… Ai bu quelques Pepsi, le soir tombe lentement, ce soir je suis chez moi comme toujours… Je connais rien dans les gigs la machine roule bien, c’est pas si grave quand je fais quelque chose je me demande si c’est grave et bien souvent presque tout le temps c’est non. Voilà de la philosophie de bottine… C’est toujours de mon vécu qu’il s’agit, de mon senti … Je pense souvent à mes jeux d’enfant à comment ça me manque, pas de maturité, j’essais d’être raisonnable, à cinquante neuf ans on ne joue plus, c’étais quand même amusant de jouer au ballon avec les petits gars, ils sont dans leurs meilleur moment et ils le savent pas, mais c’est ça l’enfance. Ai mis les pantalons de pyjama en flanelette que la matriarche m’a offert c’est confortable… J’ai peur, j’ai très peur que vous me jugiez parce que j’écris ça. Je suis très conscient que je ferai pas un best-sellers avec mes états d’âme mais comme toujours j’apprécie votre lecture. La nuit est tombé et me reste plus qu’a crever, crever au bout de ces mots sans scrupules, ces mots arrachés à une journée de réjouissance, ces mots qui ne sont que ça des mots qui n’atteindront pas les insensibles et encore faut-il que je le sois moi sensible. J’arrête mon malaise pour ce soir en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

samedi 26 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Parfois sur facebook je croise des gens à qui je veux plus avoir affaire même si c’est par ami interposé, je raye donc ces amis. À là télé on nous passe en boucle une étude sur les ours noir, j’ai pas grand-chose a faire avec ça…Aujourd’hui j’ai écouté Here come the sun de l’album Abbey Road des Beatles. Je vous place une photo d’Abbey Road il y a deux ans. La neige a fondue il fait très beau et j’ai une pensée pour le petit garçon qu’on a retrouvé mort, une prière pour les parents. Je vous raconte tout sur ce blog… Ce matin je me suis levé avec le tournis, je crois que c’est parce que j’ai trop mangé de beurre fondu. C’est pas trop agité dans ma tête j’ai coupé le café, j’entends les voisins tousser et éternuer. Quand je vous écris je m’ennuis pas, je fouille dans mon âme pour vous dire ce qu’elle ressent c’est pas mal… La voisine comme toujours passe sur la passerelle, je trouve qu’elle envahie mon  intimité… Sortis de nulle part le mot bière y’a longtemps que je ne bois plus et ça me manque pas de la bonne eau fraîche voilà ce qui me désaltère. Hé oui! Je suis allé à Londres y’a quelques temps, la relève de la garde ça me fait de beaux souvenirs. Présentement je me cherche une destination peut être Barcelone où Madrid où Rome, je sais pas c’est pas décidé je vie un jour à la fois. À travers la fenêtre le soleil me réchauffe, j’ai l’illustration de l’album deux de Led Zeppelin dans la tête, c’est rock’n’roll. J’ai longtemps vécu une vie rock avec la grosse musique sale pourtant pour certains j’étais granola, bein voyons! Les rockers sont souvent apparentés aux criminels certains vivent de petit trafic, disons que j’étais plus Beatles que Rolling Stone. Souvent certains sont restés accrochés à Janis Joplin, Jim Morrisson, Jimi Hendrix tous morts par overdose. Je comprend l’admiration pour la musique mais pas pour la dope, des créatifs qui décèdent c’est toujours désolant. Y’a des gens qui parlent comme si ils avaient soixante ans ils en ont que quarante. Je pense à Hollywood en Californie, c’est une destination mais j’ai peur d’allé là seul, les mauvais motels j’ai connus ça y’a longtemps à Montréal dans ma paranoïa, l’oreille collée sur les murs. La peur au ventre. Tout ça avec le temps s’est calmé, j’ai mon appartement que je ne veux plus quitter. Mes complexes aussi ont l’air de s’en aller. Demain c’est Pâques, la résurrection c’est un peu ça qui m’est arrivé en arrêtant de consommer je suis ressuscité, j’ai eu droit à une autre vie avec la foi celle-là et j’essais d’y croire. Je prie un peu même si c’est pas à la mode. Dieu est de tout temps. J’arrive sur la fin je vous souhaite une joyeuse Pâques et beaucoup de chocolat. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Samedi matin à peine réveillé. Je sais pas si je vous l’ai écris j’ai retrouvé mes passeports, les deux vieux annulés et celui maintenant en vigueur, cinq heure seize matin, je pense à ceux qui me lisent en Europe j’ai toujours de bons souvenirs de Paris, de Besançon aussi. Ici on est toujours en hiver même si officiellement c’est le printemps. Samedi de Pâques, je pense à ma sœur disparue. J’en connais qui demain vont faire des orgies de chocolat. J’ai lu les chroniques voyages du journal électronique, rien de vraiment intéressant… Les lecteurs snowbirds sont toujours dans le sud des U.S.A. j’aime bien leurs photos. J’écoute ce que ça dis je pense à gastro et c’est bien entérite, j’en souffre pas mais je crois que les enfants l’ont eu. J’ai hate de voir le reportage que le journal électronique a fait sur moi, je crois qu’il va paraitre fin avril. Ce matin je m’estime un peu plus, c’est fluctuant cette chose là, je sais pas pourquoi je pense au Trocadéro, ces jours ci y’a surement beaucoup de soldats. La dernière fois à Paris j’ai oublié de donner un pourboire aux femmes de chambre. La commis à la réception terminait toujours ses phrases par un s’il vous plait qui n’avait pas de sens. Je crois que je vous l’ai déjà écris… Je vais vous placer une photo de la tour Eiffel vue du Trocadéro vous ferez vos recherches vous-mêmes. Ce matin je sais pas pourquoi j’ai le tournis, je perd l’équilibre, y’a quand même rien comme un jambon beurre à Paris. J’écoute ce que dis mon monde intérieur, vous savez que je me répète, je manque d’imagination et j’ai pas envie de vous faire un autre rapport des actualités. Demain je suis invité chez mes lecteurs de Deux-Montagnes, je les remercie ici j’ai hate de les voir… Ce qui me reviens ce matin c’est le fait d’être pauvre. Je suis loin du goulag occidental avec toute ces pensées inutiles, dans moi c’est vide mais c’est pas le vide de la sérénité c’est le vide de l’anxiété… La neige de la rue a fondue, je me torture pour trouver quoi vous écrire. Je pense à la « valeur » de ces écrits, pas grands choses rien pour échanger contre des cigarettes chez les mohawks. Je suis heureux d’avoir cessé de fumer. Je sais pas pourquoi y’a ce dicton qui se présente « Tout viens à point à qui sait attendre ». Attendre je pense que c’est à ça que j’ai consacré ma vie, attendre à l’urgence de l’hôpital entre autre, maintenant c’est terminé j’attends pour trouver les mots de mon expression fondamentale. Remarquez que j’aime toujours attendre à l’aéroport quelqu’un me disait que ça faisait du sens. Ça aussi attendre après le sens, dans ma folie furieuse, y’en avait pas toujours. Quelques mots encore et je termine, c’est faible ce matin mais je vous remercie quand même d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 25 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je sais pas si vous êtes comme moi mais parfois on apprend des mauvaises nouvelles un peu tard. Dans ce cas ci ça me dis que je compte pas pour grand-chose dans l’organisation… J’hésite a écrire là-dessus je veux blesser personne mais… J’ai envie de vous écrire ce que l’argent me fait, le cash surtout, je vous l’écris là parce que mon écriture a aucune valeur, c’est pas un document légal, le cash ça me permet de payer ma passe d’autobus, de ne pas fréquenter les banques alimentaire, de manger ce que je veux quand je veux, de m’acheter des livres, de m’habiller décemment et c’est pas avec ma rente d’invalidité que je pourrais faire ça… Je paye aussi mes comptes. J’arrête ça là, aussitôt qu’on veux améliorer notre sort, on nous coupe c’est pour ça que j’écrivais me diriger vers l’itinérance. En santé mentale parfois ont fait l’éloge de la différence, oui tu peux être différent mais pas financièrement, faut que tu reste dans le moule des programmes et des groupes communautaires c’est vendredi saint et je dirais comme ils disaient avant « Hors de l’église point de salut » pourtant mes valeurs sont pas si différentes des vôtres, et l’argent c’est pas une valeur humaine selon moi, on a jamais vu personne s’enrichir à l’aide sociale, à la sécurité du revenu, on survis, on quête on se fait donner de l’argent quand il est question d’implication on est pas prêt a dire tout travail mérite salaire et un bon je dirais. Au fond je sais rien de tout ça je suis tout mêlé, là je pense à quelqu’un que j’aimais bien qui a quitté son poste… Vendredi saint, je me rappelle une époque où les tavernes, les bars et la société des alcools étaient fermé, on se promenait en voiture en attendant que ça ouvre, de beaux grand bums. Dans ma vie j’ai rien trouvé pour me valoriser sauf ce que je fait maintenant et ça c’est encore moins cher qu’une hospitalisation, qu’une consultation pourtant ils comptent que dans un sens, ça coute combien un itinérant? Je sais toutes bonnes choses a une fin mais prenez votre temps, je suis pas pressé d’aller dormir à la Maison du Père. Étrangement j’ai la prière du Je vous salut Marie en tête… Je salut aussi l’amie avec qui j’ai voyagé elle se reconnaitras si elle me lis. Aujourd’hui c’est une autre journée où j’y suis allé mollo sur le café, mon délire est pas pareil. Les choses restent rarement comme elles sont, y’a des changements qui sont pas bons, aujourd’hui je vous dirais que j’ai pas envie de me battre juste prendre ça une journée à la fois en attendant de débouler dans les classes sociales, plus bas que moi à part itinérant je sais pas ce qu’on deviens. Je ne fais qu’évoquer les choses je ne les nommes pas quelques un vont comprendre. J’arrête ici en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 24 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’arrive d’une répétition du cabaret poétique… Je peux pas tout vous raconter mais je suis sortis déçu. Presque soixante ans et en être encore à gribouiller… Je doute, je doute de tout ça, de ce que je fait là… Reçu du courrier pour des changements de consultations médicales, vaut mieux s’en passer… Demain c’est vendredi saint et maintenant on est en pleine tempête de neige. Je cherche vers quoi me diriger, le monde industriel plusieurs en ont fait leur choux gras. Je crois que je file grand train vers l’itinérance. La neige, la neige et je n’ai plus de mots en ais-je jamais eu? Je plaçais mes espoirs dans l’écriture semble que ça seras pas ça, j’ai de la difficulté a me résigner encore une fois pour la serpillière… Si j’avais du talent je vous écrirais la plus belle prose jamais lu, pourtant je travaille pour vous écrire ça… La nuit s’en viens et mes espoirs s’en vont, je crois que si mes proches reniaient mon écriture ça me donnerais plus d’inspiration, encore le syndrome du poète maudit évidemment que je peux pas pondre un chef d’œuvre à tout les coups en ais je jamais pondu un? Ai sortis une pizza du congélateur, çe seras mon souper… Finalement si je réussis pas a vous écrire mon sentis c’est que je suis un sans cœur. Aujourd’hui j’ai bu moins de café, je suis moins angoissé. J’oublierai jamais la psychose y’a jamais une écriture qui mérite l’inspiration psychotique. La télé est sur les actualités… Je suis un pauvre con c’est ma thématique l’histoire d’un cave d’un con. Je suis pourtant pareil comme mes collègues du cabaret. Je vous dis quand même merci de me suivre jusque là, j’ai peur, j’ai mal, je suis fou… Non je ne suis pas vieux, je me fait mon cinéma rien d’original… Je pense à mon beauf un vrai créateur lui, moi je suis qu’une tache, ça m’ennuis, ça m’ennuis quoi faire d’autre qu’écrire? Ai mangé la pizza, à la télé ils parlent d’armes à feu rien d’intéressant. Je crois que la neige a cessé. Je sais pas pourquoi je m’intéresse aux trois millions de chômeurs français, on a les nôtres ici. Je vous l’ai écris je suis un pauvre idiot… Si j’avais du sens j’augmenterais mon estime avec l’écriture. Les actualités sont terminées j’ai fermé la télé, le jeudi soir les gens s’amusent dans les bars du centre-ville. J’ai connus ça et ça m’intéresse plus. « Quand je vas être un bon gars pas d’alcool pas de tabac » -Richard Desjardins. Ce texte tire à sa fin, la semaine aussi. Pas foutu de faire une métaphore qui a du sens et on ne demanderas pas pour l’allégorie, je suis qu’un clown finis.  Les lampadaires sont allumés, la nuit est presque tombée, j’écris mes mots à pied, capoté, capoté et vous irez me critiquer à main levée. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 23 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je reviens assez vite ce matin vous pourrez m’entendre dès dix heure sur http://radiocentreville.com/wp/304-2/ . Je pense à mon retour hier soir, ces jeunes noir qui me font peur et qui parlent de chèvre. J’ai tendance à croire que c’est eux qui ont volé mon Ipad mais je les reconnais pas formellement. Je sais que ces gars là sont souvent des pimps, je veux pas me mêler de leurs affaires c’est dangereux. Hier je racontais que mon prochain voyage ce serait peut-être Barcelone, l’Europe quand même, malgré tout. La peur mêlé à la paranoïa ça fait tout un mélange. Je devrais suivre un conseil et dire que je suis un gars prudent… Aujourd’hui je vais travailler des textes pour un Cabaret Poétique qui auras lieu le 2 mai et je vous invite a acheter vos billets pour y assister. La question pour le moment c’est comment je me sent, la nuit on se barricade dans le goulag occidental. Je pense aux condos, aux édifices a vendre dans le quartier y’en a plusieurs… Hier j’étais sur le Plateau je crois que c’est devenus un quartier anglophone, les anglos ont flairé la bonne affaire… Ça vous dis quand même pas comment je me sent, je suis à mon premier café ce matin je vais essayer de tenir ça à un où deux je serai moins anxieux. J’écris pas souvent à la famille aux amis pour leurs dire que je suis content de les avoir, j’en connais qui sont seul et c’est difficile. J’aimerais écrire pour un grand lectorat si vous êtes de ceux là, je suis aussi heureux de vous avoir comme lecteur. Comme souvent je fais pas des très belles phrases, je pense trop à la poésie… A vouloir trop faire beau ça deviens laid, hier je me suis étouffé en mangeant une pomme ça m’a rappelé ce bistro de Paris où il m’est arrivé la même chose en mangeant un excellent steak. Une jeune fille s’est occupé de moi en me demandant si c’étais la première fois que ça m’arrivais, le serveur a amené du pain et de l’eau ça a finis par passé… C’est un peu plus épeurant quand ça vous arrive seul chez vous. Je retournerais bien rêver à Paris,Montmartre , Montparnasse!!! Y’a une chose qui est mal vue par certain c’est le statut de touriste, trompez vous pas c’est pas en deux semaines qu’on va vivre comme l’habitant. Je me souviens de cette fille au Starbucks qui m’appelait Gérard un prénom à ne pas porter chez les jeunes. C’est étonnant comment j’arrive a vous conter mes niaiseries. Cette nuit on annonçait de la neige il en est pas tombé un flocon. Quand on sait plus quoi dire on parle du temps qu’il fait. Je vous place un lien hypertexte pour ceux qui veulent avoir un autre récit de voyage http://www.iusmm.ca/humeursculturelles.html . Veux veux pas je vais y arriver. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! Je salut tout le monde!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard