vendredi 29 janvier 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vous écris du matin. On a changé mon modem et j’attend  la livraison d’une imprimante. J’ai écouté Jimmy Page expliquer la création de Stairway to heaven la célèbre pièce de Led Zeppelin. Je l’ai beaucoup aimé cette chanson, j’étais jeune j’étais fou. Je faisais le hippies dans le parc des canards. Le facteur a sonné pour me dire qu’il allait repasser avec mon gros colis.  Je demande à Dieu que tout fonctionne… Le gars de Bell voulait que je supprime les paramètres de ma tablette, je l’ai pas fait le mot de passe étais bon, le Ipad étais sur le mode avion voilà pourquoi ça fonctionnais pas. Dehors y’a une petite neige, c’est pas très intérieur ce matin, je pense à mon allocation qui se termine… Étrangement je me sent coupable d’utiliser le service de livraison. Reçu l’imprimante mais j’arrive pas à la connecter à l’ordi. Le technicien chauffeur d’autobus dois me téléphoner en fin d’après-midi. Fait bouillir des pommes de terre et prépare des légumes. Terminé le dîner, je me dis tout viens à point à qui sait attendre. Je suis anxieux ça fait partie de mon senti je me dis que ça marcheras pas… J’accumule les boîtes de carton, hier on m’a dis que je me présentais trop tôt à mes rendez-vous moi je me dis mieux vaut tôt que tard. Je sais pas, je sais pas, je sais pas ou je m’en vais avec ça… Parfois je me demande ce que ça ferais si j’arrêtais d’écrire et de lire, pas grand-chose je crois juste un  peu plus malheureux. Bon! Le câble est pas bon, j’attend celui que j’ai commandé… Ça retarde certain travaux que je devais faire… Je vais attendre qu’on livre le nouveau câble… C’est rien de très poétique aujourd’hui… Tout ça pour dire que j’ai pas de patience, un autre câble, une autre prise et ça fonctionne on appelle ça du hardware je crois… Mon chauffeur d’autobus technicien c’est le Guy Lafleur de l’informatique, monsieur Lafleur a sa statue au Centre Bell de Montréal c’est une œuvre de Marc-André Jacques Fortier un artiste autodidacte né à Montréal en 1961. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 28 janvier 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je suis assez fatigué, épuisé même, réunion ce matin, je me suis levé tôt les insomniaques ça se lève jamais tard. Cet après-midi je suis content d’être chez moi. Ce matin j’étais au coin de DesOrmeaux et Hochelaga ça me rappelait le take a walk on the wild side de Lou Reed. C’est l’est de Montréal, la folie dans ses diverses manifestation… J’écoute ce qui me passe par la tête, le quartier gay est gentrifié c’est moins sauvage que c’étais.  Ce soir je mange de la pizza, c’est une fin de mois béesse. Je vous parlerai pas de ma paye, les travailleurs parlent pas de ça entre eux c’est chacun pour soi. C’est mon budget pas le vôtre, dehors ça cherche des seringues d’autre du crack, ils ont réussis a mettre la main sur de l’argent en fin de mois c’est une performance. Y’en a qui ont loadé leurs cartes de crédit, deux trois jours engourdis et le troisième jour la réalité qui te frappe dans le front. Moi je fait le choix de pas consommer mes problèmes semblent moins insurmontables. Lentement les gens rentrent à la maison la journée est terminée certains se demandent pourquoi ils prennent pas le bord de l’itinérance… La réalité grise, la déprime hivernale comment s’en sortir? On s’évade à la taverne en jouant l’important ça finis quand y’a plus d’argent, ça a pas de bon sens.  Je suis quand même content d’avoir fait faire un ménage chez moi… Tout ça les sorties après le travail c’était à l’époque de ma jeunesse d’autre ont pris la place et la roue tourne dans les brasseries. La bière fait parfois des dommages co-latéraux comme de coucher dehors, on arrive pas à s’en sortir même avec la meilleure volonté du monde… Parfois c’est ce qu’on est devenus d’autre fois c’est ce qu’on deviendras, c’est difficile l’espoir, le courage d’être que soi. J’ai partis le four avoir a mangé c’est important parfois je me dis que ma condition est beaucoup mieux que dans un camp de concentration, au goulag occidental y’a toujours a manger. La photo c’est une œuvre de juin 2011 dans ce qu’on appelle maintenant le parc Amherst. C’est de la firme Paprika une forêt de tubes rouges surmontés par une citation du Manifeste du village de Guy Corriveau L’œuvre est de Louis Gagnon directeur création et co-fondateur de la firme Paprika, ils ont essayé d’occuper le maximum d’espace et les tubes rappellent les dédales des jardins anglais c’est un nouveau courant dans le monde graphique, l’anamorphique, l’extrait du texte c’ est  Il y aura une place pour chacune des libertés que vous voudrez bien vous accorder. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

mercredi 27 janvier 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Encore l’insomnie, pourtant j’ai dormis de huit heures à minuit. C’est quand même pas mal la nuit, c’est tranquille, hier soir j’avais les larmes aux yeux… J’écoute mon corps comme disait la thérapeute, il gueule pas trop, ça fait partie du sentis. Je m’entends respirer par le nez, j’ai l’après un rêve de Fauré dans la tête et des tounes de l’excellent Gordon Lightfoot, un bijou canadien. Le goulag occidental dors, cette nuit même si c’est très narcissique, j’aime bien mon odeur, ça m’aide à vivre, étrangement en vieillissant j’ai plus conscience de vivre au Canada. J’ai perdus l’espoir que le Québec devienne un pays, maintenant j’aimerais savoir ça m’avancerais à quoi l’indépendance, je suis vire capot. Je reviens comme toujours à mon senti, mon ventre gargouille pendant que ma tête cherche quoi vous écrire. Ça sille dans mes oreilles, c’est pas très important ce que j’écris des petites chroniques à la va comme je te pousse… C’est difficile d’écrire ce qui me passe dans la tête ça semble être sans intérêt… J’aime bien Étienne Boulay comme porte parole de On cause pour la cause, en voilà un qui a des couilles, qui est allé chercher de l’aide, c’est ça la force. Parfois je me demande ce qu’aurais été ma vie si je m’étais pas battu avec toutes ces maladies, tout ces tracas… Aujourd’hui je suis quand même heureux d’être comme je suis. J’essais de pas faire de scénario pour la journée c’est jamais bon. Je crois que c’est l’anxiété qui fait faire ça… Je pense au disque vulgaire du poète Claude Péloquin ça avait tout pour plaire à l’adolescent que j’étais maintenant je préfère même si on en entend plus parler le MC KCmnlop… Ta gueule vie ta vie… Je regarde l’heure en pensant à combien de temps ça prend pour les vols d’avions. Faut se présenter trois heure d’avance à l’aéroport la journée est bouffée, j’ai donc hate de reprendre l’avion… Je pense à la réunion de ce matin, je vais essayer de trouver des réponses aux questions. Je termine en vous présentant cette magnifique sculpture bleu turquoise de Patrick Bérubé, ça s’intitule nos bergers c’est en résine et aluminium on pouvait la voir sur la rue Sainte-Catherine l’été 2015. Je vous laisse comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui c’est la journée On cause pour la cause de Bell. Moi je veux pas vraiment dire qu’il suffit d’en parler et que tout va bien allé, la maladie mentale, la schizophrénie c’est pas juste un problème d’expression, de communication c’est une partie mais c’est pas le tout, la psychose c’est complexe, ce qui me viens à l’esprit c’est l’anxiété fois cent. La peur aussi… Comment éteindre les démons une fois par mois avec une bouteille de vin. Vivre avec cent cinquante dollars par mois pour après se résigner a demandé un papier de maladie au psy ou c’est inscrit schizophrénie. On reviens jamais vraiment de cet autre grand mal, vous me lisez ici ça contribue à mon rétablissement. Je croyais que les camions freinaient dans ce hurlement mécanique à cause de moi. J’essais de me souvenir de ce monde d’hallucination, de nuits d’ivresse ou j’ai faillis perdre la vie.  Je vous écris de mon tranquille après-midi d’hiver, il fait soleil mais froid. Je reviens à mon sentis l’angoisse est maintenant moins présente, faut pas voir l’écriture comme un anxiolytique, j’y prend quand même plaisir. Je cherche quoi vous dire, les poètes attendent des heures pour un mot plusieurs endorment la voix à coup de bières. Je crois pas que je réussirais à la faire taire avec l’alcool, c’est l’expérience qui parle. Oui l’expression est urgente mais les résultats sont loin. Dans ma folie y’avait quelque chose de l’ordre de l’affect pourquoi j’entretenais ces mauvaises amitiés? Je parlais à coups de jurons, maintenant des souvenirs montent en moi, elle avait raison de croire que j’étais un fou perdus, le personnel d’un bar, d’un bistro est pas là pour discuter mais servir. Je me vois pas victime vous me jugerez quand vous aurez marché dans mes bottines, voilà encore un cliché… Une réunion a été déplacée, je crois que c’est un comité qui est… Je pense que l’expérience du cabaret poétique va parler. Je puais ai pris une douche et mis un peu d’eau de toilette. J’ai pensé au chanteur Renaud qui se rétablis, bravo! Je comprend un peu l’enfer dans lequel il est passé. La photo c’est la murale de céramique de Laurent Gascon en hommage à la chanteuse Marjolaine Morin, ça s’intitule J’lâche pas C’est une façade de 150 pieds carrés sur l’édifice de la Boîte à Musique sur Ontario entre Fullum et Parthenais ça a nécessité  250 heures de travail et ça été inauguré le 6 septembre 2012, à l’inauguration on a dis qu’on voulais faire la leçon aux graffiteurs pour dire qu’il y a d’autre façon de s’exprimé. Je suis pas d’accord je trouve que les deux peuvent cohabiter en 2012 un budget de $179,000.00 était accordé à la création de fresques à Montréal. Voilà c’est tout pour maintenant, je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

 

Bernard

mardi 26 janvier 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je me demande ce que ça donne écrire. Ça meuble la solitude, étrangement je prends mes médicaments et ça me réveille, une autre défaite du Canadien ce soir. J’aimerais ça vous montrer que je suis un être sensible, hypersensible même parfois ça me fait mal… Ai  finis de lire la série des Robots d’Asimov, assez étonnant… Je regarde l’écran, je vois des taches jaune c’est ma vision. Je veux toujours la poésie mais j’y arrive pas, la slush est moche, c’est le goulag occidental l’hiver ça rien à voir avec la jungle de Calais ici c’est tout confort on en est pas à la survie, on peut avoir des états d’âme. Ça reviens souvent à ça, faut savoir aussi que le désoeuvrement ça tue. Je veux que ça bouge sur mon blog le 27 février c’est la journée on cause pour la cause, 5 cents pour un tweet un texto un appel interurbain qui vont directement à la cause de Bell. Lentement j’ai comme la tête dans la ouate, je veux pas me coucher, les journées sont trop courtes… Je réfléchissais dans le lieu d’aisance, février bientôt, la cause vous l’aviez compris j’espère c’est la santé mentale. Votre humble serviteur en est un de ceux-là schizophrénie paranoide avec de l’anxiété par-dessus ça c’est un beau combo… On arrive dans la vrai nuit, minuit, à une époque je finissais de travailler à cette heure-là, j’aimais pas ça,  parfois les jours de paye j’arrêtais au bar, je me saoulais et je rentrais pas le lendemain. Je vous le raconte je l’assume la job étais assez plate… L’ordinateur est très silencieux, je baille… Je suis inquiet je perds des lecteurs c’est pas grave combien d’écrivain ont écrit dans le vide. J’espère quand même que ça fait son chemin mes écritures. Quand je me rétablis de la maladie mentale d’autre bobos physique ceux-là font leur apparition, mal de dos, de genoux et de jambes. J’arrête de chialer je vais continuer à marcher et parfois monter les escaliers du métro à pied, c’est bon pour le cardio. Je pense à toi le prof de design retraité, j’espère que tu me lis encore, peut être auras tu plus de temps en Floride. Ce soir l’œuvre photographié par moi c’est une Libellule de Daniel Vincent Bernard (13/2/1956) elle est de 2010 sur un édifice rue Pontiac face au métro Laurier. Le sculpteur a utilisé des câbles coaxial et de l'uréthane.  J’espère que je radote pas trop, au forum citoyen cette semaine j’ai parlé à beaucoup de monde, je racontais pas mal la même histoire à des gens différents. Ça m’a donné des vertiges et dans ces altitudes je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!


Bernard


 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis à boutte, mon chauffeur d’autobus technicien informatique m’a dis que j’étais dans le champ avec une imprimante que j’ai retourné, ça me prenait un câble USB. Ça me fait de la peine, je préfère toujours m’en tenir a faire ce que je sais faire écrire. Aujourd’hui c’est mauvais temps il pleut. J’essais de me concentrer sur ce que je vous écris. C’est sombre et nuageux, mon duvet est tout mouillé j’ai transpiré, moé je suis toujours le bonnâsse qui a tort. J’ai un pincement à l’estomac, c’est l’angoisse je crois… Les gens veulent toujours que leur ordi opère vite, moi j’essais de faire du contenus, même si le blog ça commence a être vieillot… Je prend mon temps le poète disait, question de prendre tout son temps, oui! Mais il passe vite, l’amour de la vie ça prend… Vous le savez je suis pas un incorrigible optimiste. Je crois que j’écris trop j’ai pas assez d’inspiration, gros niaiseux! Et la l’angoisse fait que je me met a chercher un câble, il est trop tard, je me pendrai pas avec… J’ai tout bousillé ma routine, la voisine fume et tousse, je suis heureux d’avoir arrêté de fumer, cet après-midi j’ai vu mon ami qui parle à ceux qui le suivent, il marche très lentement, il semble s’être calmé, il a une grosse barbe, c’est un personnage du goulag occidental. Je crois que je m’en demande trop. La soirée s’en viens, la douleur à l’estomac est là. J’ai couru dans le goulag, métro, autobus, comme un chien fou. Je crois que je vais hurler… J’arrive pas a écrire ce que je veux vous dire, les lampadaires viennent de s’allumer faute d’être une lumière on profite de celle là. Aujourd’hui la photo a été prise à Boston, c’est le Old State House au 206 Washington st. Ouvert en 1904 les architectes sont Isaiah Rogers, Georges Albert Clough, c’est le siège du gouvernement datant de 1713, c’était le plus imposant bâtiment de Boston, le centre de la ville coloniale. On y a lu la déclaration d’indépendance pour la première fois en public depuis son balcon. En face une plaque commémorative marque le site du massacre de Boston ou cinq bostoniens furent tués par des soldats britannique. Bon c’étais le moment culture, je vais me coucher moins ignorant ce soir. Je remercie tout ceux qui ont lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens plus tôt aujourd’hui, je fais de l’insomnie je crois que vous le saviez déjà.  Je pense à ma journée d’hier à comment les gens étaient gentils. Il  est cinq heure du matin j’ai pris un café. Je sais pas comment les caractères sortent chez vous, j’imagine que c’est o.k. Me suis préparé un autre café. J’écoute ce que ça dis en dedans, y’a pas de tumulte, ce matin je vais magasiner une imprimante, ça vous intéresse pas. Quand je me lève tôt le matin j’ai toujours l’impression de partir en voyage, j’ai un déjà vu comme si j’avais déjà fait tout ça au 911 il dirait que c’est une hallucination. Hier ils m’ont pas dit que le 811 c’est info-santé je l’ai réalisé un peu tard… Ce matin le frigidaire ronronne, plus tard j’irai à la boutique électronique d’à côté pour voir le prix de ce que je veux. J’entends quelqu’un tousser, un fumeur, une fumeuse, les publicités sur le tabac sont maintenant virulente avec raison. Je veux pas vous voir dans votre boîte en bois. J’ai appris hier que dans l’est on vivait neuf ans de moins que dans l’ouest, de Montréal s’entend… Mon écriture c’est un peu un exercice zen je m’assois là et j’écoute. Je lis je relis c’est toujours la nuit à cette heure y’a des gens qui partent travailler Hier j’ai parlé à beaucoup de monde j’avais de la difficulté à me rappeler ce que j’avais dis, quoi à qui? Maintenant je suis vraiment fou… Dehors les voitures passent, je vais pas loin je reste ici. Voilà c’est laconique, je sais les gens ont peur de l’institut. Je compte mes mots comme si c’était la manne. Je veux pas vous étirer ça, la photo c’est l’École de Technologie Supérieure sur la rue Notre-Dame ouest, les architectes concepteurs sont Régis Côté et associés ça été construit en 2002 au centre-ville arrondissement Ville-Marie. J’ai changé ma méthode j’ai perdus mes repères, je sais pas vraiment la longueur de mes blogs comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard