Bonsoir! Bonjour! Je digère les hot-dogs... Il est
vingt trois heure vingt me prépare un café.Hier le praticien ressource à la
retraite de l'hôpital Maisonneuve Rosemont est passé comme toujours ce fut un
plaisir bien qu'on ais toujours l'air un peu idiot devant un homme qui connais
tant de choses. Une anecdote attend pas l'autre. C'est la nuit dans le goulag
occidental,le climatiseur est à pleine capacité.La Grèce semble une destination
très prisée pour plusieur lecteurs, ça va remonter leurs économies. Je pense aux
voyages que j'ai fait seul c'est un peu le bonjour chez vous de la fameuse série
télévisée. Mon oreiller est toute trempée ai dormis quatre heure.C"est
l'économie de la Grèce qui va remonter pas celle des voyageurs, je crois que
vous aviez compris.J'aimerais beaucoup vous dire comment je me sent. J'espère un
nouveau départ, aller me promener sur des terres étrangères. C'est étonnant
comment j'arrive à noircir l'écran de propos lénifiant. J'ai besoin de quelques
choses de solide comme de cogner sur les politiciens, de parler de la peur des
migrants qu'on confond avec des terroristes quoi que l'état islamique a déclaré
avoir fait entré quatre milles de leurs partisans.On vie dans une belle ère de
terreur et de sang. Tout est bon pour faire peur. Je refuse, je refuse de vivre
dans la terreur, j'ai assez de cette anxiété de cette peur maladive. J'entend
pas rester confiner chez moi... Là je pense à la folie américaine des armes à
feu, tout les jours y'a quelqu'un qui meurt par balles et ils font rien
remettent jamais le bien fondé de la possession d'une arme. Sur un autre plan
y'a Kobo, les libraires du vingt et unième siècle qui sont très agressif, les
courriels attendent pas l'autre... Je voudrais bien m'indigner j'en ai pas la
force ni la tribune, ce que je trouve difficile c'est cette américaine qui
refuse les couples gai avec un discours sur la volonté de Dieu, une passionara
de preacher, "God is with us!" c'est plus fou que moi. Je comprend pas pourquoi
on laisse pas les gens vivre en paix chez eux sans bâdrer personne. Comme on dis
dans les fraternités "Vivre et laissez vivre" il est toujours tôt la nuit,
parfois j'ai peur que le Klu Klux Klan m'embarque et me brûle mais je crois
qu'au goulag occidental on est plus tolérant. Bon! C'est comme je vous le disait
au début, lénifiant, j'arrive pas a mettre du beurre sur le pain. Le nom de la
série c'est Le Prisonnier. Je suis le numéro de ma carte débit on peux me tracer
partout. Je ne peux m'enfuir. "Bonjour chez vous!" Merci d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
Bernard
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