Bonsoir! Bonjour! À quoi bon écrire? Je lis
présentement un recueuil de nouvelles qui à l'origine sont parues dans le
magazine New-Yorker y'a quarante ans, le livre a été publié en deux milles
quatorze. Ça me fait dire de pas perdre espoir... Aujourd'hui il pleut sur le
goulag occidental. J'ai regardé la télévision j'aime bien quand on vois des
avions ou des vues de vols d'avions. Je devrais peut être essayer de publier un
texte dans ces magazines qu'on trouve dans les vols internationaux. Au jourd'hui
aux actualités ils parlaient d'une usine de Trieste qui indiquais la relance
économique et industrielle de l'Italie, bravo! Trieste c'est si beau la mer et
la montagne, je me reprend la mer et les collines et le cheval bleu symbole de
la libération des fous. Croyez pas que je m'analyse pas pourtant ça donne rien.
Je suis trop idiot pour induire des changements. Je pense aux gens qui fument et
qui boivent de l'alcool à comment ils vont préférer rester chez eux, moi de
toute façon j'étais trop dingue pour me faire des amis dans les bars. J'étais
incapable de jouer au bonhomme pendu, je faisait dur. Y'avait un jeu
électronique au bout du bar je m'en lassait c'étais pas long, je pense aux staff
de ce bar à comment plusieur y ont laissé leurs santé. Je pense a vous écrire
sur l'homosexualité un thême encore aussi tabou que la maladie mentale. Je vous
écrirai pas longtemps là dessus je suis pas gay mais j'ai des amis qui le sont.
Je pense souvent à eux... C'est le genre de choses qui colle à la peau dès qu'on
les mentionne, on vous assimile rapidement enfin c'est pas très grave y'a un age
ou ça touche moins. Cette semaine les jeunes étaient assis devant le bureau de
la sécurité du revenu, je crois qu'ils attendaient un chèque pour comme toujours
à la fin du mois se payer un peu de bon temps mais pour aussitôt retomber dans
l'indigence. Je sais je vous ai déjà écrit là dessus. Je peux pas vous décrire
la vie d'un mendiant je le suis pas et je sais très bien que c'est pas comme ça
qu'on paye le loyer Tiens! Demain j'irai m'acheter du fromage pour en même temps
remplir l'armoire et le frigo.Je reviens sur les bars j'y avais des amis mais
pas nécessairement ceux que je voulais, j'étais bête a manger du foin. À cette
époque la solitude étais pesante, la maladie aussi. Je passait des nuits dehors
et rentrait qu'au petit matin trop souffrant pour me faire un chez moi qui a du
sens. Bon! Je termine ça en vous écrivant que je me suis charcuté le visage en
me rasant. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine
j'espère!!!
Bernard
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