vendredi 13 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai rêvé que j’étais dans la forêt c’est surement à cause de la télé. J’y ai vu le berger avec ses moutons et son chien… Pour une fois que je dormais bien je me suis réveillé pour vous écrire comme en ce moment… J’ai pas été choisi pour participer à des ateliers sur l’immobilier à l’hôpital Maisonneuve Rosemont, je vous dirais que ça fait mon affaire. J’avais peur de pas arriver à tout faire, Colloque de l’association québécoise de réadaptation psychosociale, la formation du centre d’apprentissage santé et rétablissement et quelques ateliers qui vont peut-être se présenter… Ça m’enlève un poids… Félicitation à mes deux collègues… Nuit de vendredi à samedi on va se coucher tard sans trop savoir pourquoi… Mais oui c’est le week-end que je vie plus comme avant  du bistro, au bar au blindpig… J’avais pas tellement soif mais je voulais pas rester seul boire accompagné même si ça voulait dire me tuer… Je vais essayer de vous amener ailleurs que dans mes histoires d’alcoolique… Je sais pas si je vais pouvoir m’entendre dans cette entrevue radio que j’ai donné hier… C’est pour la matinale en semaine… Je vois que vous avez aimé que je place sur ma photo le bandeau contre le suicide… Ce matin je vais sortir chercher les médicaments et j’ai toujours l’obsession du comic book Marvel… Je pense à ma notion d’art dépassée, j’ai même pas le bonheur d’être Kitch… Je sais pas comment ont fait pour écrire de façon vintage? Faudrait que j’emprunte le ton d’une lettre officielle au Cardinal… Je pense aux humilié à ceux qui plient l’échine font le gros dos, la nuit quand je suis à mon bureau la fenêtre est à ma gauche et j’entends les passants discuter… Un type en manque gueule dans le parc. Parfois je crois qu’on préfère vous laisser brûler que de demander de l’aide spirituelle, j’hésite souvent moi-même à ouvrir la porte, j’avoue la foi c’est fort… Quand même je suis pas de ceux qui font du prosélytisme, je vous laisse chercher… On en vient souvent là après une longue vie de désespoir… J’ai fait une pause musicale deux styles bien différent, Neil Young et Stevie Ray Vaughan, j’espère que vous me quitterez pas après cette mention, ce sont deux génies dans leur genre, y’a un grand vent… Je veux mettre des mots sur mon senti, j’aurai écris pour ce soir c’est pas encore finis… C’est une finale vide, bientôt les plages seront fermés, je me tord le cœur pour vous donner à lire… Je me saignerai pas… Je vais essayer de filer ça jusqu’à la fin sans trop m’écouter parfois ça ressemble à du délire je le mentionne souvent. C’est pas tout du sentiment ni de la romance, j’en suis presque à la chute qui est toujours pareilles mais que je vais essayer d’écrire comme une conclusion raisonnable, raisonner le délire final j’y arriverai pas. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Vendredi, ce matin j’ai donné une entrevue de quelques secondes pour Radio-Canada. Je crois que c’étais bien, j’accompagnais un chercheur du centre Fernand Séguin, les résultats de sa recherche sont publié dans une importante revue Américaine. Le reportage c’est pour l’émission matinale Masbourian… Aujourd’hui c’est un très beau temps, en le quittant le chercheur à dis qu’on allait probablement se croiser, j’aime bien participer à des recherches… Des reportages aussi, la matriarche est partie à la pèche, je crois que c’est la dernière fin de semaine d’ouverture…. J’ai cherché j’y comprend rien… J’y vais encore avec mon senti, le propos c’est comme souvent mon monde intérieur, souvenir d’un ami maintenant décédé qui priait le petit Jésus… Pour lui ça fonctionnait… Je cherche quoi vous dire, j’ai deux blessures à la main droite une coupure et une brûlure, ça guéris lentement… Les jardins de l’institut universitaire de santé mentale sont très beau quand c’est vert… Quand on arrive par la rue Hochelaga… C’est le week-end, y’a des dames qui le vendredi ont des congés de maternités, c’est bien pour les enfants… Les voyageurs de Gatineau sont à L’Isle-sur-la-Sorgue beaucoup de roues à aubes, ça fait rêver, j’ai beaucoup aimé la narration… J’irai en Provence moi aussi un jour… Je reviens chez moi j’écoute mon monde intérieur… Parfois c’est juste la fatigue qui parle, ce matin pour Radio-Canada je me suis présenté comme personne en rétablissement… Je crois qu’il y a des gens doués pour le bonheur, le mien est toujours difficile pourtant je me rétablis et je peux dire que je suis heureux… Parfois je devrais regarder ce que j’ai plutôt que ce que j’ai pas… Je pense à mes acquis… Parfois je suis à court de mots, je sais pas comment dire… J’ai souvenir de la chanson c’est la vie d’Emerson, Lake and Palmer c’est très français malgré tout… Dehors y’a une belle lumière, plusieurs vont aller trainer sur les terrasses pour une des dernières fois… Ce matin j’ai aussi raconté ma phobie des policiers si on peut dire ça comme ça… Le chercheur semblait d’accord avec ce que je racontais sur la maladie… J’ai hâte d’entendre ce que ça va donner au montage, je sais même pas si je vais pouvoir l’écouter c’est tôt le matin, en tout cas ça va me faire une autre présence médiatique positive, je parle pas de maladie mentale pour les mauvaises raisons… Y’a des choses dont je n’ose pas parler de peur qu’elles se déglinguent ce qui entrainerais une grosse dépense pour la réparation… Voilà! Je reste toujours pauvre malgré tout mais la bonne chose c’est que je ne bois plus ça coupe les frais et je mange mieux… J’ai presque terminer encore une fois j’aurai rêvé avec cette écriture… J’essaye une chute différente, une conclusion ouverte sur ce qui s’en viens, c’est pas facile, j’improvise toujours sans savoir… Je crois que je vous l’ai déjà écrit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

jeudi 12 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai une entrevue ce matin avec une journaliste de Radio-Canada. Je vais lui parler de la maladie, je sais pas si je suis la bonne personne… Je pense à l’ami pair-aidant certifié quel courage de faire ce travail. J’ai un peu dormis, je veux pas décevoir mes lecteurs… Je croyais que le Sélection du Reader’s Digest n’existait plus, mais non! Y’a une version papier et une version électronique auquel on peut s’abonner, chez le patriarche c’était une lecture obligatoire ça et le National Geographic c’est là que je m’aperçois du privilège d’avoir tant de lecture diverse… J’ai pas manqué de grand-chose dans cette famille-là, c’est juste mon caractère… Je déteste mettre ma façon de me comporter sur le dos de la maladie, aujourd’hui je veux agir de façon responsable, n’empêche cette grande douleur a fait que j’ai cherché des soins avec raison… Après l’entrevue ce matin je vais aller chez Archambault, je veux acheter une bande dessinée de super-héros Marvel pour me rappeler mon enfance… Je vais peut-être changer d’idée et plutôt regarder le film des Avengers à la télé… Toute ces bandes dessinée, toute ces comics strip c’est un retour en arrière, j’en ai pas manqué dans ma jeunesse mais j’en veux plus comme un enfant gâté… J’entends un avion qui passe… Bientôt la saison de la chasse et j’ai toujours la Bête Lumineuse de Pierre Perrault dans la tête, je penses à l’érudit Stéphane-Albert Boulais qui attends son orignal en compagnie de chasseurs insensibles selon moi… La chasse et la poésie c’est de la mythologie, la bête se présenteras attendue pendant des jours… Je sais pas si on peut écrire qu’on va l’abattre la chasse est plus noble que ça, l’orignal est pas un prédateur on veut son panache avant sa viande… On attend la rencontre on va essayer de le toucher au cœur… Y’a pas longtemps j’ai vue aux actualités qu’il y a une surpopulation d’orignal en Gaspésie, je sais pas si c’est vrai… Dans le bois on entend claquer les armes à feu on espère qu’ils ont atteint la cible, on tire pas pour blesser mais pour tuer… La chasse c’est aussi un rituel, le sang de la bête sauvage, de l’animal altier qui domine la forêt… Y’a déjà eu des chasseurs irresponsables qui se saoulaient pour traquer l’animal, l’orignal exige plus que ça… Je sais pas pourquoi je vous écris tant sur la chasse.  Chaque québécois  à un rapport avec la forêt… C’est pas tout de l’abattre faut l’emporter et le dépecer proprement… Y’a des chasseurs plus nobles? Plus audacieux? Qui chassent à l’arc, on dois approcher l’animal, il risque de charger, on l’entends dans ce qui reste de feuillage… Y’a des chasseurs qui vont chercher leurs panaches chaque année. Ils le ramènent pas toujours… Parfois ils effraient plus qu’ils ne callent. Voilà ce que l’automne évoque pour moi. C’est la chute  et encore je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’essaye de composer une finale ce seras ça. Merci d’avoir lu jusque-là!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Hier en faisant réchauffer des macaronis je me suis brûlé la paume de la main, c’est pas beau… Y’a longtemps qu’un accident pareil m’était arrivé… Demain matin je donne une entrevue au centre de recherche de l’institut… J’ai fait la sieste j’essaye de vous écrire avec un peu de nouveauté. Mes lecteurs lectrices de Gatineau ont quitté Lyon pour la Provence semble que c’est une belle balade en voiture… Je prendrai l’autobus pour me rendre au centre de recherche c’est plus court, je me prépare un café, parfois comme dans mon enfance chez le patriarche y’a une odeur de raisin qui fermente dans l’eau et la levure, ça faisait du mauvais vin… Je dis bonne retraite au directeur des communications du Centre intégré universitaire de santé et services sociaux de l’est de l’île de Montréal… J’ai de la difficulté à me trouver un propos cohérent, je me dis souvent quand on ris de moi c’est que j’ai raison… J’essais d’avancer dans cette brousse que sont les mots épars dans ma tête… Le clavier comme une machette coupe dans le plus gras des plantations. Mais oui y’a longtemps déjà on a semé des mots mais j’atteins jamais la canopée. Je sais pas si vous allez apprécier cette métaphore… C’est l’après-midi on est jeudi, le coordonnateur du centre d’apprentissage santé et rétablissement a répondu à mes questions… J’en profite pour vous écrire je trouve toujours le temps… Je pense au psychiatre, je crois plus en avoir besoin, la maladie a cessé d’évoluer j’espère que l’embellis va durer… Je pense à ma lectrice en grève à l’Université du Québec à Montréal, ces moment-là sont jamais facile je suis de tout cœur avec eux… Le seul syndicat dont j’ai fait partis c’est la Fédération des travailleurs du Québec, mais pas assez longtemps pour en tirer des bénéfices… Aujourd’hui il fait frais c’est bien, y’a quelques locataires qui cuvent leurs vin moi je m’abstiens… J’ai cessé de penser au départ, j’attends que l’amie agent de voyage me revienne là-dessus… N’empêche j’aime toujours les aéroports et les avions… Ce qui me passe par la tête c’est de l’autodénigrement vous avez pas besoin de lire ça j’ai pas besoin de l’écrire… La super maman se cherche une collègue je crois, une travailleuse de garderie pour choyer les enfants… Tout à coups j’ai une émotion, le cœur gros, je sais pas pourquoi, je pense aux petits gars à Camille et à Blanche, de beaux enfants… J’aime ça être assis un moment et vous écrire… Mon senti est muet, j’essais de trouver l’émotion que vous apprécieriez, cette semaine j’ai rencontré l’adjointe à la direction santé mentale et dépendance c’était bien… Pour améliorer notre revenus je crois qu’il faut monter jusqu’au ministre… On y arriveras pas il a d’autre chats à fouetter. Aujourd’hui je termine comme ça. C’est la chute, j’y suis arrivé, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Abandonnez pas quelques mots encore. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Merci bien!!!

Bernard

mercredi 11 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai des chants grégoriens qui me passent dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=EmORbVcjjGc c’est beau ça me calme , puisque c’est là, puisque ça s’impose venons en la à la spiritualité. J’espère toujours grandir un peu… Je prie avec des prières de mon crû… L’importance du pardon celui accordé comme celui donné aux autres… La nuit… Certaine nuit je vie une solitude monastique, comment vous écrire l’appel à la méditation autrement que par ce babillage informatique…  C’est toujours une question de foi… J’ose pas écrire sur ma puissance supérieure, l’ami me parlait de la difficulté de croire en santé mentale. Ils me tiennent toujours « prisonnier » de leurs système… J’ai pas à avoir peur Dieu est à mes côtés pourtant la paranoïa est dans ma définition de la peur, un grand manque de confiance… Hier j’ai appris que des équipes traitantes psychiatre inclus faisait des évaluations à domicile… Je suis pas attaché, je suis en liberté, j’ai mon passeport, j’ai toujours peur de manquer de médicaments de décompenser et de me faire battre par la police… Je remercie l’amie de Brossard pour son gentil commentaire… Voilà une courte version du vidéo où je suis présent https://www.youtube.com/watch?v=8gTFefGuTgY je reviendrai plus tard avec une plus longue… Hier j’ai rencontré quelqu’un qui s’en va au Cambodge elle veut que sa fille adoptive connaisse sa terre natale… J’arrive pas à continuer avec un propos sensé… Hier j’ai gonflé des ballons, demain j’ai une entrevue, ce jeudi seras je crois tout tranquille… Voilà une autre vidéo où  je participe https://lefil.ciusssestmtl.net/des-patients-au-coeur-de-la-reflexion/  Y’a une erreur dans mon nom, j’ai demandé de la corriger, le comité c’est sur la construction d’un nouvel hôpital… Je pense à mon lecteur technicien à la Rolls-Royce il m’a souhaité du succès dans mes projets ça été bien entendue, merci! Cette nuit je me suis calmé, j’essais de continuer la rédaction de mon senti… Je pense au pain que la matriarche faisait, on pouvait se faire griller de si bonnes toasts… J’ai mangé un gâteau, je pense à la misère à comment c’est acceptable pour certains comment je vends mon expérience… Souvenir d’il y a pas si longtemps où on prenait la parole devant le personnel de l’hôpital, la direction à changé on ne les vois plus aussi souvent… Le personnel est revenu dans sa routine, ils aiment pas beaucoup se faire brasser… Hier j’ai échangé quelques mots avec un patient qui croyais que j’étais hospitalisé j’ai pas trop su quoi lui répondre. Il m’a tendu la perche en me demandant si je venais voir mon frère, j’en ai aucun qui fréquente cet endroit… Moi j’habite pas l’installation santé mentale du Centre-Intégré-Universitaire-de-la-santé-et- des-services-sociaux-de-l’est-de-l’île-de-Montréal, c’est un peu long pour terminer. C’est presque terminé, les cisterciens chantent encore on va vous écrire une chute qui seras pas piqué des vers… Faut pas que je m’avance trop c’est pas très sérieux. Voilà la terminale je vous remercie encore d’avoir lu jusque-là!!! Je vous abandonne pour cette nuit, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard




Au présent


Bonjour! Bonsoir! Les bonnes femmes se payent ma gueule, je parle souvent d’argent de dédommagement et elles rient… Je fais mon possible, gros naïf ces entrevues, ces présentations, ces comités c’est tout ce que j’ai trouvé pour m’occuper… J’ai constaté que si l’agent de programmation arrêtais, nous aussi nous arrêterions… C’est pas une belle phrase… Je sais que mon blog est archaïque que depuis longtemps ont fait des capsules vidéo, au début j’en ai fait quelques une vous pouvez aller voir, quand même l’écriture je crois pas que ce soit passé de mode… Aujourd’hui j’ai passé mes commentaires en public sur le dédommagement et les bibliothèques vivantes, les livres ouvert… Un ami a apprécié que je réponde à sa question sur la spiritualité, je lui ai répondu que j’étais incapable de vivre sans… Plus j’avance dans l’institut plus je constate que c’est un beau fouillis… Gros changement au supermarché c’est terminer pour les sacs de plastiques… Je crois que c’est une bonne chose la nature ne va s’en porter que mieux… Moi je veux de mal  à personne, peut-être que je blesse des gens sans m’en rendre compte, pardonnez-moi!  Parfois je pense abandonner tout ça cette histoire de patient partenaire… Le malheur c’est que je ne peux rentrer dans mes terres j’en ai pas… Je suis pas très très sociables… Aujourd’hui mon senti me dis de me cacher… Je peux pas vraiment dire qu’on me prend pour un fou je le suis fou… Ce midi y’avait quand même pas mal de monde à la présentation…Elles rient comme si elles n’avaient jamais souffert… J’élaborerai pas là-dessus… Je me calme. Je crois que celle qui a le discours le plus barjo à raison, on nous laisse pas vivre notre différence c’est la persécution… Mon discours sur le café et le gâteau que je peux pas me payer commence à être vieux… Va falloir que je renouvelle mon histoire je sais pas sous quel angle attaquer… Je sais pour les intervenants l’idéal c’est que je prenne ma médication, que je prépare mon lunch le soir avant d’aller dormir pour me réveiller le matin et partir au boulot et revenir à dix-sept heure, tout ça cinq jours par semaine sans poser trop de questions… Je suis pas capable, je suis plus capable, j’ai envie de pleurer… Je me suis vendu à l’écriture à tort où à raison je termine celui-là avant d’abandonner… Quand même je vais y réfléchir… Ce matin y’avait des odeurs de cigarettes, de tabac si je m’étais écouté j’en aurais fumer une mais c’est comme toute les autres substances c’est la première qu’il faut pas prendre… Bon je vais me calmer avec mes idioties, je pelleterai  pas avant l’hiver… Voilà! Payez vous ma gueule si vous voulez. C’est quand même le meilleur texte écris par Bernard Saulnier aujourd’hui. C’est la chute avec un petit changement il est pas très apparent. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’arrête pour le moment mais si y’a une prochaine j’espère vous voir!!!

Bernard

mardi 10 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai passé la soirée couché beaucoup apprécié le commentaire d’une lectrice. Ce midi c’est le lancement d’une vidéo auquel j’ai participé… Je devrais avoir plus de détail pour une entrevue vendredi…Je pense  à cette jeune fille qui souffre de schizophrénie dont la super maman m’a parlé. Je lui souhaite bien du courage pour passés au travers de ces années de plomb… Ce que j’ai trouvé difficile c’est de recommencer à zéro après chaque psychose… et aussi avoir l’affect déglingué qui s’acoquine avec les mauvaises personnes… En fait c’étais des gars que j’avais fréquenté pendant des années, je les ai abandonné pour le mieux. Semble que la jeune fille se promenait nue dehors, j’ai souvent eu cette idée mais je l’ai pas fait je voulais  pas me faire embarquer pour indécence même si en réalité c’est un appel à l’aide… La nudité et le sentiment de puer voilà deux symptômes…  Y’a longtemps plutôt que de vous écrire j’aurais signaler le neuf un un avec une grande tension après avoir discuté avec la téléphoniste ils auraient envoyé l’ambulance pour l’hôpital … Et on m’aurais installer sur une civière devant le poste afin que je ne pose pas de gestes malheureux… J’essais de me souvenir comment c’était y’avait foule chez moi deux ambulanciers et deux policiers dont une policière qui mettaient ses gants, je crois qu’elle s’attendait à ce qu’il y ais du grabuge… Bientôt les nuits seront froides  y’en a qui vont chercher un abri pour un peu de chaleur, maintenant il est un peu tôt… J’ai dans le nez une odeur de bière et de sueur comment pouvais-je croire que c’était possible de draguer les jeunes filles avec cette odeur là…À la brasserie ça sent les œufs pourris… Dernièrement je racontais à la matriarche comment j’étais heureux d’avoir mon passeport elle m’a répondus qu’il y avait pas de criminels dans son milieu, chez ses enfants… J’ai vraiment pas beaucoup d’imagination c’est toujours un récit mal fagoté… Je me souviens je sortais la nuit comme si rien n’étais, on me disait que c’était dangereux mais j’en faisais pas de cas… Le night-life c’est juste bon pour développer un hang-over le lendemain… J’avais deux où trois endroits de prédilection dont une brasserie qui a passé au feu y’a longtemps… Parfois je terminais la soirée fauché et je marchais longtemps de ces bars du plateau à chez moi, je dormais debout. Tout ça c’est toujours l’histoire d’un poivrot…. Voilà je vais essayer de terminer en rafale pour ensuite aller au lit dormir et être prêt pour demain midi… Cette nuit il pleut ça me rappelle la bruine de San Francisco. Je termine bientôt avant minuit, je suis toujours content d’être seul chez moi et de vous écrire… Ce soir la paranoïa était pas trop présente… Pas de grandes angoisse… Voilà c’est la chute, j’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je cherche toujours à écrire un mot de la fin décent. À la prochaine j’espère!!!

Bernard