lundi 15 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous illustre ça avec une pièce de Robert Therrien, un sculpteur américain une œuvre exposé au Muséum of Modern Art de San Francisco, un relief dont Therrien encourage plusieurs interprétation et qui est sans nom. Therrien est né en mille neuf cent quarante-sept et sur une note plus personnelle j’ai des Therrien dans ma famille je me demandais si c’était parent? Ce qui est difficile avec les œuvres contemporaines c’est de trouver l’émotion qui s’y rattache pour moi c’est le fameux senti, parfois les œuvres sont tellement statiques on en deviens désemparé jusqu’au désarrois… En ce moment j’ai une pièce de Fauré dans la tête ça compense pour mon senti vide, la peinture est un émail laquée à la cire… Bientôt je devrai me remettre à l’intensité du théâtre, j’ai hâte… Je vous écris dans la nuit de lundi à mardi, comme j’ai pas de « vrai » livre publié je me sent comme un usurpateur, ce serait assez simple pour moi de publier à compte d’auteur mais je crois que ma prose vaux plus que ça… Je dois rester collé à mon émotion à mon senti, jusqu’à temps que ça fasse mal que ça m’entre dans la chair, un stigmate physique… Le rouge de l’œuvre que je vous présente me rappelle le sang. Je sais pas si l’écriture peut être une lame de rasoir… La douleur me fait me sentir plus vivant comme si on jouait avec une calotte de mon crâne arraché et qu’on cisaillait le cerveau j’aurais mal partout sauf là où je me blesse… Ce soir c’est pas de la poésie c’est de la charcuterie, le regretté libraire du Chercheur de Trésor publiais une revue du nom de Steak Haché tout ce qu’il y a de plus underground, de la poésie tartare plus que barbare… Je pense encore aux rues de San Francisco lentement mon voyage se décante… Mardi je passe une entrevue pour devenir formateur du Recovery College, une façon de se rétablir inspiré du royaume unis… Encore ce soir, cette nuit je vous aurai écris mon sentis douloureux… Ce soir j’ai mangé du foie qui n’étais plus très frais c’est pas qu’il était pas bon mais il puait… Dans ces moments-là je me rappelle quand j’avais rien à manger, c’était difficile je pense aussi à ceux qui sont dans la famine qui donnerais cher pour un morceau de viande même pas très frais… Quelques mots encore avant la chute, j’ai fermé le sac de déchet, je fait mon Ti-Mé, les vidanges je les gardes en dedans pour pas me les faire voler… Hier j’ai parlé de l’immense solitude de la maladie, je pouvais pas rester comme ça je serais mort. Voilà je suis dans la nuit de mardi, j’essais de terminer avec quelque chose qui a du bon sens faute d’en avoir. Comme toujours c’est le même épilogue, j’ai plus de mot. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir et À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Rien à dire Notre Dame flambe, ça fait mal de voir l’histoire s’envoler, on à tous un souvenir de la cathédrale parfois on est désolé de pas avoir pris le temps d’y entrer, maintenant on prie mais il est un peu tard, Paris qui fait encore les manchettes pas pour les bonnes raisons. Le patrimoine de l’humanité qui s’envole en fumée, je suis certain qu’on a tous une photo dans sa grandeur… J’ai souvenir d’une visite pendant la semaine des étudiants j’avais pas voulu rester pour la messe c’était y’a longtemps plus de trente ans, comme temps à côté d’elle c’est pas grand-chose. Les français là rebâtiront mais ce seras plus la même chose, les même vieilles pierres et tout ce temps que ça a pris pour la bâtir, on la croyait increvable… Je suis triste ici il pleut, ce matin j’ai discuté stigmatisation avec un collègue… Y’avait une étudiante française je sais pas si c’est à la maitrise où au doctorat en travail social, elle doit être peinée de voir ça de loin encore une fois la France est éprouvée… Un appel téléphonique frauduleux d’un partenaire Desjardins spécialisé dans le patrimoine, je crois pas qu’il téléphonerait d’aussi loin…  J’y vais encore avec mon senti… La semaine passée j’étais à San Francisco, y’a pas eu de tremblement de terre et il faisait beau, au téléphone y’a toujours des crooked qui s’essayent, ils ont rien à perdre… Lundi après-midi, la semaine commence sur des images difficiles, comme si une force supérieure nous avait abandonné, dans ces moments-là on se crois damné… La Vieille gardait depuis longtemps et moi j’arrive pas à vous écrire quelques chose d’émouvant… Vous allez me dire ce ne sont que des pierres mais c’est l’Histoire avec un grand h… C’est vraiment désolant, plus de bénédiction dans la cathédrale. Je crois que les français sont à chaque jour de plus en plus éprouvé. Va falloir les écouter nos cousins français ils vont en avoir les larmes aux yeux même ici c’est triste on aime bien Paris. Je pense à ma nièce designer qui en a mal au cœur… Je vais vous placer une photo de Notre-Dame y’a pas longtemps à mon dernier voyage à Paris. Je veux pas être niais moi aussi ça me fait mal, les choses ne seront plus jamais pareilles… J’essais d’écrire un hommage à ce magnifique édifice qui avait traversé l’histoire. Pardonnez-moi je sais qu’il y a des moments où il vaut mieux se taire, heureusement je crois qu’il n’y a pas de perte de vie… Notre-Dame je crois que c’était l’âme de Paris. L’histoire et l’architecture en prennent un coup… Notre-Dame c’était une résistante… Une grande église pour un grand peuple. Enfin justement je veux pas finir, la cathédrale resteras toujours vivante ses siècles sont une histoire, la France… Voilà! Je termine là-dessus j’espère que j’ai blessé personne. Je vais dire une prière. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Elle vivra encore. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Berna

dimanche 14 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis un peu et me revoilà devant mon écran. Je vous illustre ça avec la Transamerica Pyramid de l’architecte William Pereira sa construction s’est fait de mille neuf-cent soixante-neuf à mille neuf-cent soixante-douze et son ouverture la même année, c’est une architecture de style futuriste et le plus grand bâtiment de San Francisco après le Salesforce Tower sa façade est en quartz il est d’une hauteur de deux cent soixante mètres, cinquante étages, dix-huit ascenseurs et n’est pas ouvert pour la visite. Le coût de construction est de trente-deux millions de dollars. Tout ça c’est loin de mon senti… J’ai de la difficulté à me trouver un autre projet de voyage, l’amie agent de voyage m’a suggéré le sud des Indes, mais je sais pas… Je pense un peu à la Norvège où à un pays d’Europe du nord même si le climat ressemble aux nôtres. Parfois dans mes angoisses c’est comme si il y allait du sort du monde, je me suis préparé un café, je peux pas vous dire comment j’ai tripper à Frisco comment j’ai aimé y marcher le matin tôt quand la ville se réveille… Cette nuit j’écoute ce qui pourrais sortir de mon âme. Il est pas encore minuit, on est pas lundi… Je fouille toujours plus profond dans mon senti, je sais que c’est dangereux mais je fais ça au risque de n’avoir rien à vous écrire pour moi c’est un enjeux.   Ce matin j’ai une réunion pleinière du groupe d’entraide, je suis heureux de recommencer… Je crois qu’on va parler de notre présence au colloque de l’association québécoise de réadaptation psychosociale. C’est à l’automne, le voisin sourd et muet se promène dans les escaliers de l’édifice, je crois qu’il réalise pas qu’il dérange tout le monde… Je vais attendre le printemps prochain pour un nouveau départ… Les portes grincent, et il les cognes, comme souvent une voiture passe avec la musique dans le tapis. J’écoute mais écrire coupe l’inspiration, j’attends pas assez je laisse pas monter ce cri ce mal littéraire, cette douleur scripturale… Voilà, lundi est arrivé, je veux pas que l’écris de mon senti passe pour de la sensiblerie. Tout est dans l’émotion… L’horloge fait son tic-tac, toujours-jamais…Je mange des chips au Ketchup, je crois que quand on sait pas comment qualifier quelqu’un on dis qu’il est poète, mais la poésie est chose si importante, il s’agit de nommer, qu’on ne peut pas être poète par défaut… La psychiatrie produit son lot « d’artistes » je sens ça comme un ghetto… Les œuvres ne mettent pas de beurre sur le pain. Je suis un de ces psychiatrisés là… Je ne consulte plus le psychiatre mais le stigmate est resté. Tout ça sonne comme le retour dans mon quotidien de « fou », je vous aurai dit, vous aurai écrit encore cette nuit. Voilà! C’est comme toujours la difficile chute, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Continuez encore quelques mots pour terminer!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je pense encore à mon voyage, j’aime pas les mauvaises blagues sur les homosexuels… Je suis allé dans le quartier qui a vu naitre les hippies, maintenant ici on les appellerais les granolas. À soixante-deux ans je suis plus un enfant fleur, les valeurs de liberté et de fraternité de la mouvance peace and love je me demande pourquoi ça a pas réussis… Je crois qu’il y a eu des malhonnêtes, je pense à la dope et au tam-tam sur le Mont-Royal qui sont un peu de cette mouvance, de ce courant… Je crois qu’il y a pas grand monde qui sais que les modes de vie alternatif ont pris naissance en Californie, y’a aussi eu de malheureuses sectes les enfants loin de leurs familles savait pas à quoi s’accrocher, y’avait les diggers un autre courant d’entraide… Les cheveux longs, la guitare, la musique c’est passé dans l’histoire, le capital a gagné sur le partage… Pourtant à l’est y’a eu Woodstock, l’apothéose, je sais pas combien de milliers ils étaient dans l’est. J’étais pas du nombre j’étais trop jeune, mais on l’a vue au cinéma et entendu sur disque c’est devenus une industrie… Je réfléchis à tout ça, à la grandeur de San Francisco, je sais pas pourquoi c’est un des voyages que j’ai le plus aimé, la marche dans la ville peut-être, le sentiment de sécurité… Je vais le digérer encore et y aller avec mon senti, cet après-midi ils annoncent de la pluie… Ma rage d’aéroport et d’avions est passées, je sais vraiment pas quoi vous raconter. J’essais de composer… Demain c’est le groupe d’entraide, mardi une entrevue pour devenir formateur et mercredi une conférence sur le rétablissement. Je raconte comment je me rétablis mon abstinence et mes implications dans l’entraide… Y’a toujours ce retour dans les lieux physiques de l’institut on a voulus nous en libérer mais on y reviens toujours faudra être fort pour défaire la stigmatisation… Voilà la spiritualité c’est toujours important, je suis pas toujours bénis et j’essaye pas de profiter de l’angoisse des plus jeunes… J’essais encore de vous décrire mon senti, même si c’était de la poésie ça ferais pas ma fortune… Je pense qu’en Californie les gourous ont longtemps sévit… Voilà que je deviens négatif, j’aimais bien prendre un café dans les différents bistros mais ça prend du temps avant de devenir un habitué… Chez moi y’a du traffic de vélos volés, vingt-cinq dollars et tu pars avec la bicyclette… Le ciel s’est couvert, c’est quand même la fin de l’hiver, je pense que je vais me payer des hot-dogs et une poutine y’a longtemps que j’ai mangé ça… Ce matin il faisait très beau je suis allé au supermarché j’ai fait quelques achats, je mangerai ce qu’il y a, c’est pas une belle chute c’est toujours difficile de trouver les mots pour terminer… C’est toujours le même épilogue, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour la finale!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


samedi 13 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis un peu cette nuit. Je suis toujours content d’apprendre qu’il y a des nouveaux lecteurs qui se rajoutent… Je crois que c’est pas tout le monde qui apprécie les références gay de mon dernier voyage. Je crois que quelques un sont homophobes… J’essais de me brancher sur mon senti, c’est la nuit de samedi à dimanche, j’ai toujours San Francisco en tête…Cette nuit je vous place une photo d’une statue du grand président promoteur des libertés Abraham Lincoln, elle est devant l’hôtel de ville, le civic center de San Francisco, une ville faite de tolérance à la différence. Parfois je vie de l’exclusion, de la stigmatisation mais c’est pas pour des raisons sexuelles c’est plutôt dù à la maladie la schizophrénie… Dans l’autobus de retour de l’aéroport de Montréal, j’ai cédé ma place à un jeune couple qui se demandait d’où je venais, il croyais que je sortais de prison, encore un autre stigma…La différence! Je crois que les gens sont toujours à l’époque de Papa à raison… Les valeurs ont pas tellement changé, c’est délicat je pense au port des objets religieux et de la nouvelle loi. Je suis pas très sensible à ça si y’a une chose je suis mêlé… Dans mon blog précédent j’ai oublié de remercier le personnel de l’hôtel Beresford… Je voulais dire au lecteur qui m’a envoyé une « blague » à connotation sexuelle que j’aime pas ça du tout. Je dirais soyons tolérant entre-nous. Je me gave de souvenirs de voyage, je veux rien oublier pensés à la plus petite seconde de ce voyage comment j’ai aimé marcher dans cette ville. Demain je retourne à la routine, à la réunion du groupe d’entraide… Semble qu’on m’a choisis pour devenir formateur en santé mentale, c’est beau c’est bien… Je crois que je vais pouvoir faire part de mon expérience de la maladie mentale. Depuis que je suis impliquez à l’institut j’arrête pas… De nos jours on se demande où sont et qui sont les vrai fous. Souvenir de cette femme qui se croyais moins folle parce-que on l’avait changé d’hôpital… Y’a rien de comique dans la maladie pourtant on dis qu’en rire est une amorce vers le rétablissement, j’ai lu quelques part qu’on voulait pas impliquer l’autre dans la maladie , à comment souvent l’environnement est malsain, certains veulent qu’on prenne l’entière responsabilité de notre santé mentale…. Je crois que voyager en avion participe à ma santé mentale, peut-être que ça a pas de bon sens mais en l’air y’a rien à faire que de lâcher prise… C’est encore mon amour des avions comment à bord tous les gens sont calmes et à leurs affaire… Voilà c’est presque terminé pour cette nuit, on repartiras je ne sais pour où mais on repartiras… Quelques mots encore, l’épilogue, je vois que quelques un sont insomniaques comme moi… Maintenant j’ai fait le plein de souvenirs, je vais quand même encore rêver de voyage. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Schizophrénique à San Francisco















Bon! J’ai laissé la tablette électronique et je reprends le calepin… En entrant au théâtre j’ai croisé une dame qui m’a dit bonjour et je ne sais quoi… Je lui ai demandé de répéter, elle m’a demandé si ça allait bien…  J’ai cette mauvaise habitude d’être toujours trop à l’avance ou je vais… J’ai besoin de voir les gens vivre. Paranoïa? Je me sent suivis y’a aussi cet argent que j’économise, je sais pas si le gars a dit il fait son smatte il s’habille en slomo, j’ai peur je sais pas comment faire… Je veux pas donner  l’argent, j’ai pas de raison pour ne pas partir… C’était peut- être pas smatte mais smack… Ils vont probablement m’enfermer… J’arrive toujours trop tôt… J’ai pas de téléphone intelligent j’en suis encore au carnet et au stylo… J’ai fait la gaffe d’acheter une bouteille d’eau en plastique. Je passe mon temps à dire que j’aime les aéroports, je crois que je vais être un bon bout de temps sans dire un mot, j’écoute les appels des passagers et les départs des vols. Je suis ici aussi à l’avance. Sur les réseaux sociaux semble que j’ai un cousin qui est à l’aéroport, j’ai peur… J’ose pas écrire… Bon! Le bon vieux stylo  et l’appareil photo… Je vais m’acheter un coke et des chips… Ça y est j’ai mangé mon chips pis mon coke comme dans les années cinquante pour rester dans l’idée du crayon et du papier. Passé seize heure l’embarquement bientôt. J’espère qu’il y auras pas de retard arrivé à destination je vais avoir un de ces jets-lags… Suis dans le A-320. Mon frère en reviendrais pas je suis incapable de me brancher sur le Wi-Fi c’est supposé être simple… Avant de monter à bord l’agent qui vérifie les billets et les passeports m’a dit un léger bonjour madame ! Pourtant ça avait bien débuté, pas trop de problème à la borne d’enregistrement le commis étais agréable et les douanes américaines efficaces… À ma gauche c’est l’allée et à droite deux sièges vides, c’est rare… J’ai visionné le film Bohemian Rhapsody une biographie de Freddy Mercury… Je sais pas pourquoi les gens ont l’air bête avec moi… J’espère qu’à l’arrivée y’auras une navette pour me transporter jusqu’à l’hôtel, j’écoute la radio Stingray dans l’avion… J’écoute… J’aurais aimé ça être chanteur j’ai pas eu la patience d’apprendre le solfège, la musique, d’avoir de l’espace ça me permet d’écrire. Encore trente minutes et on atterris à San Francisco, Eurythmics! Et je pensais avoir perdus mes clés… La télé fonctionnait pas le câble était débranché je l’ai rebranché et ça marche… Maintenant je suis au quai trente-trois j’attends l’embarquement pour Alcatraz, je sais pas si c’est permis de prendre des photos… Je suis dans mon calepin, je garde la tablette pour ce soir.. J’essais de figurer comment retourner à l’hôtel, le tourisme c’est la première industrie de San Francisco… Ferry pour Alcatraz on est loin du public des conférences d’histoire de l’art d’Édouard… Faut voir les pentes vraiment abruptes de Frisco ça en est presque épeurant. À Alcatraz dans la prison j’ai eu de la difficulté avec mes yeux et des vertiges aussi… Y’a beaucoup d’enfants et de monde en vacance c’est le springbreak…



 Suis au coin de Haight et Fillmore je vais jusqu’à Ashbury… Finalement je suis sur le mythique coin Haight and Ashbury, y’a des gangs sur le trottoir, la rue et ses enseignes sont d’un psychédélique suranné. Y’a quelques personnages méditatifs de l’époque, les gens gueulent c’est plus c’est pas la belle époque j’entends « you are a lousy bum » sur Haight y’avait un gars qui écoutais du rock et se roulait un joint de cannabis. Il est tôt le matin, je réalise que je suis encore capable de marcher… Une chose qui manque ce sont des bancs le long des rues… Le gars vendait des puffs de je sais pas trop quoi pout une piastre, je crois que c’était de la résine, le chauffeur d’autobus me prenait pour un cave en me racontant que c’étais la première fois qu’il faisait cette route… Je sais pas si c’est correct ce matin j’ai laissé deux dollars sur le lit pour la femme de chambre, semble que c’est O.K. Mon combat contre la stigmatisation est ici aussi, on m’appelle le chapeau je sais pas si c’est ça mais je suis toujours celui qu’on écoeure…  C’est une belle ville mais y’a quand même des itinérants des gens qui souffrent c’est étrange je mangerais une pizza mais j’hésite à sortir comme si y’avait des gens qui m’attendent. J’ai demandé au concierge de l’hôtel où étais la pizzeria la plus près, il m’a envoyé dans une des familles qui paie pas de mine, Uncle Vito’s, encore une fois je me suis mis les pieds dans les plats j’ai demandé à la serveuse… Encore un siffleux c’est international corner of Powell and Bush là où y’a le câble car. Ça se fait demander au personnel de l’hôtel… Ailleurs je deviens abrutis au point de demander à la serveuse si je pouvais laisser l’argent de l’addition sur la table… « I am lost in Castro » ouais je suis perdus dans Castro j’ai pris le métro, suis coin seizième et Sanchez… Maintenant c’est le SFMoMA j’attends que ça ouvre. J’arrive de Castro le quartier gay j’ai vu quelques murales, ai pris le métro c’est pas mal mais y’avait des incidents… Dans le hall d’entrée du musée une peinture de Julie Mehretu. Un artiste connus simplement du nom de Jess suit dans le musée je prends pas de photo c’est trop émouvant… Je pense à l’ami historien. Je vais prendre la photo du Golden Gates et la partager sur Facebook. Ai fait une photo d’un avion en plomb, si grande sois San Francisco… Je crois que mon beauf aimerais bien le musée… Ils ont reproduis la maison de bois d’un artiste… Beaucoup de têtes blanche, des asiatiques aussi, le consulat des Philippines est pas loin… Ça fait longtemps que j’ai pas marché comme ça, je pense que je vais avoir des ampoules aux pieds. J’ai un peu une idée de3 ce que3 c’est d’être itinérant et de devoir toujours marcher c’est difficile moi j’ai toujours l’hôtel je peux faire des visites culturelles et prendre un café au bistro… J’ai honte j’ai mangé chez McDonald le vrai fouillis américain… Je pense que dix jours c’est trop long j’ai peur la ville est grouillante. Même ici je commence à me sentir suivis presque poursuivis. Je pense aux gars en planche à roulettes qui trainent avec eux une odeur de cannabis en ce moment ça sent la mouffette étrange pour le centre ville… Parfois j’ai l’impression qu’on aime pas les touristes pourtant c’est ce qui fait vivre la ville… Dans Castro sur le trottoir y’a des plaques coulées dans le trottoir pour honorer les homosexuels célèbres… J’ai marché dans le port je me suis rendu avec le câble car, je suis su Golden Gates bridge y’a de la brume il pleut à boire debout ai pris quelques photos je rentre me rapproche du centre. Dans la baie à la plage trois nageurs, je suis arrêté prendre un café dans une crêperie du Fisherman Wharf. Je vais prendre le câble car au coin de Taylor et Bay. Je sais pas pourquoi je m’en fait tant que ça… J’ ai pas besoin d’être stressé je suis en vacance… That’s with goes being a writer… J’aurai vu le pacifique au moins une fois. Les photos sont pas mal. Au fond les gens font leurs affaires sans s’occuper de moi… Y’a toujours cette histoire de stigmates aussi quand j’écris dans un café, je suis pas un maniaque… Les bonnes femmes avec leurs risées loonies and toonies. Ai pris le câble car aller-retour sur Powell. Le personnel crois que je quitte ma chambre aujourd’hui… Je me souviens plus du jour où on est vendredi! Le concierge chante très mal d’une façon baveuse. C’est comme si on avait pas le droit de perdre son temps. Parfois l’hôtel ils aiment pas qu’on traine dans le lobby… Je sais pas pourquoi  dans le câble car les gens ont refusé de s’asseoir à ma droite. Ils sont resté debout, j’oublie toujours de me concentrer sur les personnes aimables parfois on m’appelle big boy… Le gars qui m’a accueillis au musée hier étais sympathique. Voyager seul ça permet de devenir un peu méditatif. Un autre restaurant qui paie pas de mine deux écrans baseball et basket. J’ai commandé un calzone, je m’attend pas à grand-chose, c’est un restaurant du nom de Piraat,c’étais pas donné je comprend pourquoi les prix étaient pas sur le menu… Le cuisinier est sortis de sa cuisine j’avais l’air de le déranger. Finalement j’ai trouvé une station de radio San Francisco avec la musique des hippies des années soixante-dix. Ce soir j’ai le blues le California blues. Elle marchait en chantant avec son Ipad tout ce qu’elle croyait c’est qu’avec une chanson elle s’en sortirait, finis la tournée des refuges… La marche forcée… Je marche sur la dix-septième dans Mission j’ai vu qu’une murale, suis arrêté dans un café, deux personnes agées sont là, des hommes ils croient que j’écris de la bullshit. Je pense que je vais marcher sur Market, je crois qu’on a peur que je fasse du trouble. Je traîne dans les cafés de Frisco, les gens aiment pas voir un gars seul qui écrit. Je suis confus je regarde agir les gens et je comprends pas. Retour sur Union square samedi, la ville est réveillé. Me suis trouvé un banc je m’asseois, pas vu beaucoup de murales… Le soleil se montre… Dix jours à Frisco c’est beaucoup quand on est seul. J’ai marché un peu partout, pris le métro. Je sais pas pourquoi j’ai peur de rentré à l’hôtel, peut-être parce que le concierge est pas sympathique. Je suis dans le lobby de l’hôtel y’a de l’action, j’attend que la femme de ménage fasse le lit. Je suis pas un client très important, je pense déjà à partir. J’ai beaucoup marché. Je sais pas pourquoi j’accroche sur les gens qui rigolent, ai réservé la navette pour mercredi matin tôt… Le concierge gueule une chanson… Pour guy I am, le lobby c’est pas celui de l’hôtel du Faucon Maltais. Je voulais pas rencontrer la femme de chambre mais je lui ai demandé de faire la chambre rapidement, je suis trop troublé pour voyager. Je pense aux hippies à comment ça devais être difficile de partager leurs philosophie, Peace and Love, y’en a toujours eu pour mettre du sable dans l’engrenage… Je m’amuse avec ma tablette met mon blog à jour je crois que j’ai réussis… Je suis au Lori’s Dinner, le décor des années cinquante avec une moto sur le frigo pendant qu’Elvis chante… Ils servent du Pepsi, ma sœur m’encourage je suis pas le solitaire unique de San Francisco. Des grosses waitress comme dans les films de répertoire. J’ai de la misère avec l’argent, je compte pas, je paye l’addition au restaurant sans vraiment regarder si on me donne la monnaie pour le bon montant. Je pense à cet itinérant dans la rue qui criais, de la publicités! De la publicités partout! Je sens que le personnel de l’hôtel veux pas se faire d’amis ils sont pas assez discret. Quartier chaud quartier des danseuses où quartier chinois? C’est le seul endroit où j’ai vu des bancs sur le trottoir, j’attend que le beat Museum ouvre, je crois que c’est à dix heure. Assis devant Penthouse, pas loin y’a une disco où les jeunes s’éclatent, il est tôt le matin. La boîte qui étais ouverte sur Broadway s’appelle Monroe. Y’a des itinérants partout, devant le Beat Museum y’a un gars qui dors couché par terre derrière le grillage, en ce moment je suis assis à une table d’un petit bistro à saveur européenne, Bruyant! Grec, y’a beaucoup de monde et encore un siffleux… Caffé Greco, North Beach. Je suis pas tout seul! Y’a un autre gars qui écris dans le bistro… J’ai visité beaucoup de bistro dans le monde,  je me sent jamais chez moi… Ici, vous commandez au comptoir et on vous emmène  votre commande grâce au numéro qu’on vous a donné… Je suis au Washington Square on y fait du tai-chi, y’a des restaurants pour toutes les nationalités… Un parc avec des bancs c’est rare ici… Suis passé à la librairie de Ferlinghetti, tous ces livres on se demande à quoi ça sert d’écrire, j’ai remarqué que les gens perdaient beaucoup de temps à parler des autres… Frisco tout en collines suis passé dans le très occupé quartier chinois avec les souvenirs de pacotille, le Beat Museum ressemble à un marché aux puces… La librairie s’appelle City Lights et c’est aussi un éditeur… Je me demande à quoi ça sert de trainer ma paranoïa comme ça au bout du monde… Quand on est longtemps dehors et qu’on marche beaucoup on vois beaucoup d’itinérants… Affiché dans la librairie ce mot : « honni soit qui mal y pense «   Je marche en paix pourtant je suis stigmatisé, mes activités font que je suis trop sur le devant de la scène… Les femmes de chambre sont gentilles… Les collines de Frisco m’ont fait suer… Uber semble fort à Frisco, pour eux les américains je suis un rat. Souvenir d’un petit hôtel à Paris avec un bar dans le lobby on pouvais y trainer… C’est difficile tout est en anglais, ce qui me fascine c’est que je réussis pas à trouver… Je suis dans le centre-ville mais c’est comme si tout étais loin… J’ai vu des maisons de chambres miteuses à louer… Tout prêt de Broadway… Je comprends les gars qui marchent la tête entre les deux jambes , on ne leurs à pas fait la part belle avec des commentaires vicieux quand ils marchaient la tête haute, on les traitais de phony… Un jeune, tout propre, assis sur le trottoir regarde les passants, c’est pas un mendiant, je crois qu’il réfléchis à ce qu’il fait ici… Je communique avec ma sœur avec des post de Facebook… En deux mille dix-neuf elle est bien loin la philosophie hippies, parfois dans une voiture on peut entendre une toune des Beatles de l’époque. Avant de partir pour San Francisco je croyais pas être encore capable de marcher tant que ça, trois ou quatre heures de marche dans les rues en pente, j’ai monté à pieds et j’y suis arrivé… Je l’aurai fait ce voyage tant attendu encore deux jours et c’est le retour, j’ai peur d’arriver chez moi et que tout sois saccagé… Chambre d’hôtel je lis Ingrid Bétancourt le récit de sa captivité comme si la Californie étais pas assez exotique… San Francisco c’est probablement le paradis des réparateurs de frein de voitures… Je croyais toujours dans ma folie, qu’on avait pris vingt-cinq sous sur le bureau. Je l’ai retrouvé ça m’a rassuré l’angoisse me quitte pas… Encore au Union Square, ça sent le hashish, je crois qu’un gars fume pas loin… C’est lundi le springbreak est terminé, ne reste plus que deux jours à mon séjour… Starbucks le décor est pas piqué des vers des banquettes en cèdre… Je suis passé sur Maiden Lane la ruelle la plus riche que j’ai jamais vues  Chanel est là et beaucoup d’autre… Je suis sur Kearny street, je me vois pas ici tous les matins…  Je sais pas pourquoi une femme parlait de scum je me suis sentis visés… Y’a longtemps que je vais plus au café à Montréal… Aujourd’hui j’ai pas envie de rien visiter juste laissé passer le temps. Déjà au café j’ai repéré le psychotique de3 service, ça doit être long tout ce discours maladif  à San Francisco. San Francisco par monts et par vaux, j’y étais au bord de l’eau Frisco tout était beau mais moi je pensais au bureau à ceux qui s’en vont au boulot y’avait pas d’art déco juste du blow and flow. La circulation est très dense les gens klaxonnent et s’engueulent, il fait très beau ce matin, je suis allé au comptoir de la banque vérifié mon compte j’ai pas trop dépensé. Y’a des fleurs dans le parc ça sent bon. Y’a des bancs où s’asseoir mais ils sont pas très confortables. Je pense que c’est de l’acier anti-rouille. Y’en a qui visitent en groupe, des étudiants? Je pense à la stigmatisation parfois je la sent des gens venant du cru. Il fait trop beau j’ai pas envie de rentrer à l’hôtel, y’a cette femme qui disait je lirais pas un de ses livres, de toute façon j’ai rien de publier  selon la tradition. Je me sentais victime de stigmatisation, c’est juste que je me suis pas présenté au bon comptoir pour la barrista  elle sert par une petite fenêtre à l’extérieur… J’essaye de pas écouter ce que les gens disent de toute façon je comprends rien et je suis certainement pas le premier à écrire sur et à San Francisco. Je sais pas pourquoi j’essais d’imaginer ce qu’on va dire à mes funérailles c’est macabre… J’ai toujours cette culpabilité parce que je prends des médicaments les américains disent « He is on some drug ». Souvenir de l’ivresse où j’abordais les gens assis à leurs table je les dérangeais je voulais juste discuter et le propriétaire me jetais à la porte… C’est fatigant tout ce que ça me dis c’est que je suis stupide, je pense aux homeless avec des problèmes neurologiques. J’ai pas envie d’aller m’enfermer tout de suite dans ma chambre d’hôtel, disability! Dans une ville comme San Francisco t’a besoin d’avoir de bons mollets pour te promener à bicyclette… Je dois profiter du beau temps, à Montréal c’est du verglas… les hôtels c’est bien mais t’est pas chez vous… Je sais pas si je l’ai déjà écrit mais les garagistes spécialisés dans les freins doivent faire une fortune… Pas trop sale mais le cheveux cottoneux Avril San Francisco Californie on se promène en T-shirt… Je sais pas si c’est à cause du diner où j’ai souper hier mais je pense à la série Happy Days, j’aimerais en regarder encore pour voir si ça a bien vieillis. Je pense à la médisance, au dénigrement des faits qui sont pas souvent représenté dans la maladie mentale, comment quand on se sent jugés sur la rue ça contribue à notre exclusion, c’est peut-être la schizophrénie, la création du délire. Je voulais économiser j’ai pris le taxi jusqu’au quartier chinois, les boutiques sont pas ouvertes le chauffeur semblait pas content… De retour sur un banc de parc à Washington square j’attends… Suis descendus voir les phoques dans la baie on les entends japper de loin, la baie est belle quand il fait beau… De retour à l’hôtel je suis dans le lobby les gens entrent et sortent j’attends que la femme de ménage sois passé, j’ai acheté trois T-shirts pour douze dollars dans le quartier chinois… La chambre est pas faite, ils sont vraiment cheap pas de classe les commis attendent en regardant la télévision… Je pense qu’ils aiment pas avoir des gens dans le lobby. Finalement la femme de chambre est là, j’ai de la misère avec le pourboire je sais pas à qui je le donne… Me revoilà dans la schizophrénie, je reviendrai jamais à cet hôtel. Ouais! La femme de chambre a placé mes médicaments près de la poubelle comme pour me signaler que c’est pas bon… Beau temps!  Pourtant l’angoisse m’agresse dehors les gens gueulent et klaxonnent les buildings font de l’écho… Le séjour achève le wi-fi semble déconnecté… Parfois j’ai envie de faire un beau dégât de sang dans les draps du lit, je pense à l’hôpital c’est pas mieux là qu’ici. Bon! Je suis à l’aéroport de San Francisco, je m’en retourne, ça été très simple l’enregistrement les bagages et la sécurité, la tablette électronique fonctionne mal. Un peu moins de quatre heures en avion avant d’arriver je pensais à ceux qui prenaient des mois et des années  pour traverser le continent. J’ai regardé un film de super-héros Marvel  comme j’essais toujours de le faire en avion, je pense que le film vise le public gay l’écran fonctionne très mal…

Montréal 13/04/2019




vendredi 12 avril 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce matin techniquement j’ai raté mon entrevue, la caméra sur mon PC ne fonctionnait  pas on a pas pu faire l’entrevue heureusement on m’a donné rendez-vous pour une vrai rencontre la semaine prochaine. J’essais de me démêler dans toute les choses que j’ai à faire, pour avril ça devrais être o.k. Je serai plus occupé en mai. La question c’est toujours celle de mon senti, quand je vie des imprévus comme ça c’est souffrant… J’ai de la difficulté à reprendre le beat de retour, mon amie agente de voyage m’a parlé d’une destination pour un prochain voyage, le sud de l’Inde semble que c’est très agréable j’aimerais y aller avec quelqu’un mais comme je disais précédemment je vais prendre le temps d’arriver… J’ai fait la sieste ça m’a calmé un peu, j’ai qu’à me demander si c’est grave, ça l’est pas, j’ai pas à m’en faire… Le week-end arrive, je vais méditer un peu, le début de la semaine prochaine seras très occupé… Avec le voyage j’ai découvert que j’étais encore capable de marcher longtemps. J’essais de me faire un agenda pour rien oublier pas simplement y aller avec mon senti… Le temps seras plus doux. Je vais essayer de vous placer des photos de ma dernière « aventure » et je vais me mettre à la rédaction de mon calepin de notes. Pour le moment ce seras le repos, le week-end de congé comme beaucoup de monde… Je me suis calmé côté folie des avions, je suis pas dans le jet set… Je vais placer une jolie photo d’Alcatraz, quand j’arrive à m’exprimer comme ça par écrit ça va mieux, ça fait moins mal… J’ai remarqué des gens qui ont sortis leurs scooter et d’autre leurs motos, je crois qu’il fait assez beau… J’espère que je vais être capable de récupérer pour la création collective… Ça aussi c’est pas une question de vie ou de mort mais je tiens beaucoup à le faire… Y’a un parfum d’encens dans l’air, y’a beaucoup de gens qui vont commencer le nettoyage de leurs court faire de la place pour les enfants… Je pense au regretté patriarche à qui il manquait des doigts, c’était difficile pour les travaux du jardin… Je prends conscience des petits travaux qu’il nous faisait faire, avec sa main handicapé il devait avoir beaucoup de difficulté… Je comprends ça maintenant à l’époque je comprenais rien… Le printemps, on était tout heureux de sortir les vélos de la cabane, en ce moment j’ai un senti de déjà vu… Une espèce de flash émotif, le soleil semble vouloir percer, fin d’après-midi… Lentement je vous écris, mon senti je m’étais rasé pour l’entrevue à la caméra mais ça a pas marché… Je pense à ce poste de formateur à comment je vais m’arranger pour la rémunération… Voilà! J’ai presque terminé, je vais vous écrire une chute des familles, un épilogue ou j’essais de faire de mon mieux. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère merci!!! Ciao!!!

Bernard