lundi 18 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je me suis calmé, pense encore aux voyages, ce seras pas pour tout de suite. Je vais plutôt regarder des émissions qui traitent de voyages. Ça va peut-être me donner des idées pour une prochaine destination. Je sais pas pourquoi je pense à la Prada de Milan, un magasin de mode que je confonds avec la Pravda, mais j’irais bien à Saint Pétersbourg visiter L’Ermitage un jour. Mon goulag occidental mérite une mention dans cette Pravda, le journal de ce qui était le parti je crois. J’ai pas envie de me lancer dans un procès des média, avec les réseau sociaux, ici en tout cas tout le monde peut faire paraitre ce qu’il pense. C’est vrai que ça prend une certaine notoriété, une salle de rédaction crédible, mon pauvre petit blog sera démantelé en moins de deux. Mais j’écris pas des nouvelles, j’essais de donner des réflexions, une espèce de pensée des valeurs, j’écrirai pas démocratique aujourd’hui tous les régimes se réclament de la démocratie. Après avoir perdu ma jeunesse à essayer de survivre dans de petit boulot et en prêchant aux prolétaires j’écris… Ça toujours été l’argent qui mène, au plus fort la poche comme on dit. Ouais! Au fond c’est de la philosophie de bas de gamme, j’ai pas eu le temps de pensé, j’y vais désarticulé comme un vieux fossile dans la terre glaise. Ce matin je me suis rendu à la réunion de mon groupe, c’était riche en propos  échangé sur la souffrance, ça ne se mesure pas, pour un elle est très grande avec des causes banales pour l’autre elle est petite avec des causes qui tueraient le plus coriace des mortels. Quand j’écris comme ça je vous fait part de ce que j’appelle mon senti à l’approche de l’autre. Ce senti je dois en être très conscient, je veux pas le laisser m’emporter à la dérive, garder le cap comme on dis. Je sais pas si y’a plusieurs années j’ai bien fait de me faire soigner le choix entre l’hôpital et le monastère s’est pas imposé, les agents m’ont menés à l’hôpital, c’était pas une crise spirituelle mais bien la schizophrénie, la folie moderne. J’ai maintenant de la difficulté, je voudrais écrire de toute beauté mais ce qui raisonne c’est mal aimé. Ça donne quoi d’écrire tout ça, incapable de rédiger un conte, une fable avec toujours le désir de faire « moderne ». La journée est presque terminée, lentement on prend du vieux et on écrit comme un damné acharné… Dans les journaux y’a des artistes que j’ai croisé, probablement que leurs écritures est mieux que la mienne, que ce qu’ils font en vaux plus la peine. Mais j’abandonnerai pas, je suis trop avancé… Voilà! J’ai presque terminé pour ce soir, quelques mots encore… Je sais pas si je suis arrivé à vous toucher sinon revenez un jour peut-être je vous atteindrai! Merci d’avoir lu jusque-là!!! J’en ai finis pour tout de suite. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis revenu au beau fixe. Ai mangé du fromage et des biscuits salés, j’ai mal au ventre. Aujourd’hui c’est la réunion de notre groupe de pairs-aidants. Je vous écris de la nuit du goulag occidental. Je regarde sur la carte statistique des consultations du blog plusieurs sont en Italie, on veut peut-être ma peau, je sais ça sonne idiot mais qu’est-ce qu’un paranoïaque peux penser d’autre… Tout ça c’est des clichés… Aujourd’hui j’ai envie de placer une photo de mon cru de la basilique Sagrada Familia à Barcelone, la ville de Gaudi l’architecte. Si je suis chanceux je vais pouvoir la voir terminée. Lundi, une autre semaine qui commence, je vous donne tout ce que j’ai… Pas grand-chose à vrai dire. J’ai commandé deux recueils de bandes dessinée ils sont dans la poste. Je vous écris encore de mes insomnies… Ça m’étonne que pendant les attentats de Barcelone j’ai pas eu plus peur, si vous voulez plus de détail vous pouvez, je le répète, lire Schizophrénique à Barcelone et à Madrid en dix parties sur ce blog. Insomniaques voilà je m’y fait… Je cherche l’extraordinaire incapable que je suis de l’inventé. Dehors une voiture avec le pot d’échappement brisé mène tout un boucan, le conducteur se croit dans une formule un quand ce n’est qu’une bagnole bruyante… Je suis content lentement je me réveille… Reste plus que les habitués dans les différents bars si je comprends bien à trois heure plusieurs vont quitter pour les machines à poker du Casino. Je savais pas que c’était ouvert toute la nuit. J’ai vérifié, c’est indiqué ouvert jour et nuit. Je sais pas ce que ça donne d’aller se briser la vie là-dedans, le jeux, la dope, l’alcool on en a une belle ville, ville de tous les vices, on décore tout ça et on se fait des accroire de grandes villes, pendant que nos itinérants profitent de ces douces nuits et cherchent un endroit où passé l’automne et l’hiver… Les amis avaient inventé un mensonge avec le compte de téléphone, ils étaient à bout je crois qu’ils sont tous les deux décédés, y’en a un de ceux-là qui étais sous trithérapie, n’empêche je crois qu’il était aussi dépressif et suicidaire. Si jamais t’est vivant et que tu lis ceci fait moi signe. J’ y arrive encore cette nuit à vous écrire. Quinze minutes et on ferme, on a plus l’odeur du tabac qui brûle, parfois j’ai envie d’en griller une mais je passe mon tour… J’ai pas hâte de voir les buveurs cet hiver à l’extérieur des bars pour griller une cigarette, ça coupe tout le plaisir, une bière, un fort et une cigarette dehors ça coupe tout le plaisir… Moi avec tout ce que j’ai fait, tous les endroits où je suis passé je me compte heureux d’être que schizophrène, c’est idiot de dire ça mais les autres maladies étaient là. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

dimanche 17 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je suis épuisé. J’ai refusé l’invitation de quelques connaissances comme ami sur facebook… Je me sent comme en enfer. Je veux pas retourner en arrière… Je sais pas quoi vous écrire en ce dimanche après-midi peut-être vous demander de faire une petite prière pour moi. Je pense que j’étais trop en paix fallait que je sois dérangé. Mais oui! J’ai peur, en connaissez-vous beaucoup des paranoïaques  qui ont pas peur… L’angoisse, l’anxiété, la peur… de ceux qui me veulent du mal. Je sais pas pourquoi je pense à ceux qui me jugent, ils ont le droit, c’est pas de mes affaires. J’ai juste envie d’écrire lâchez-moé! J’ai hâte à demain matin, j’ai une réunion du groupe, mon blog seras pas fort. Y’a des contacts qui me paralysent, je disais à l’ami que je devais pas tenir les autres responsables de ce que je suis, tout est de mon ressort, de ma responsabilité… J’ai changé ma vie et je tiens à ce qu’elle change encore pour le mieux, c’est paradoxal ce que j’écris là. Je sais pas, je sais vraiment pas quoi vous écrire, je veux pas nommer personne… Je suis pas placé pour aider. Je sais pas si il se rappelle, j’avais dit que je voulais me suicider, il m’avait renvoyé en me disant de le faire, après ça j’ai longtemps chercher de l’aide, c’est vieux tout ça presque quarante ans je suis toujours vivant et compte bien le rester. Rien de très positif par une belle journée pareille, je me vois à la noirceur dans un sous-sol, un bachelor, l’angoisse qui m’attaque et le soleil est triste, c’est rare… Je me le pose comme défi de vous écrire cet après-midi. J’en entends quelques un me prêter des intentions d’écrivain. Ils ont raison,  je désire ce que veut un écrivain…Toujours en tête ces transports à Barcelone et à Madrid, vous croyez peut-être que je vais me saouler à l’étranger mais non, je serais jamais revenus en un morceau. J’en veux plus de chum de brosse, je préfère aider ceux qui veulent arrêter. Voilà où j’en suis cet après-midi. Je me prépare à souper, le four chauffe… Je crois pas avoir insulter personne avec ce que je viens d’écrire, ça commence à faire longtemps que j’écris. J’y trouve un certain sens mais est-ce bien nécessaire… Je prends mon temps c’est difficile d’écrire pour le sous-prolétariat faut y croire. J’entends des cloches qui sonnent. J’espère que je suis protéger, je dis une prière. Je suis toujours content de savoir que vous lisez, que vous commenter. Encore une fois c’est la répétition, tout ça parce-que je sais pas comment terminer. J’essais d’imaginer pendant que je place le souper au four. Voilà! J’y arrive, même au plus mal. Je deviens à chaque mot, quoi? Un scribe… J’espère quand même que ça vous a plu ce que j’ai écris aujourd’hui. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine et à plus tard j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!! Voilà pour tout.
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dimanche matin, à court d’inspiration je sors de la douche, pense aux poètes Acquelin, Desbiens, y’a longtemps que j’ai pas lu de poésie. Hier j’écoutais une interview avec Grand Corps Malade, du slam… J’ai pas ce rythme là… C’est encore la nuit, hier j’ai cru entendre un coup de feu… Parfois j’oublie ce privilège de pouvoir faire ma toilette comme je veux, on associe souvent la poésie au gros dégueulasse qui pue la bière et la sueur assis au bout du bar… Quand je buvais on aimait pas mon langage du bas fond, on aurait préféré que je boive sur la main du bas de la ville. Je me rappelle ce gars qui voulait que je lui écrive un poème j’en étais totalement incapable, la bière m’inspirait pas… Cette nuit je me dénigre pas, je fais ce que je peux avec ce que j’ai… Non! Non! Y’a pas d’enseigne au néon qui flashe près de ma fenêtre… J’ai déjà dormis dans une chambre d’hôtel qu’on démolissait le lendemain, on aurait pu me trouver mort ensevelis sous les ruines… J’étais moi-même une ruine. Je pense au propriétaire du bistro, qui aimais bien les histoires de bas-fond mais qui gagnais très bien sa vie. Je crois après plus de vingt ans que je lui dois encore soixante-dix dollars, c’est pas une fortune il a du passer ça dans les profits et pertes. C’est là qu’on voit que je suis revenue, j’en suis à mes thèmes de prédilection… Tout cet isolement, cet esseulement, je partais toujours à la fin de la nuit, seul, vers ce qui me servait de logement. J’ai jamais trouvé l’âme sœur. J’avance en âge et je commence à m’intéresser au monde, à voyager… Je couche dans des hôtels trois étoiles ce qui est pas si mal… Quand j’ai quitté le Puerta Toledo à Madrid le commis à la réception m’a donné une bonne poignée de main, c’étais bien… Je dois l’admettre je suis un vieux solitaire. Je suis pas un aventurier je vais dans des endroits touristiques, quand même j’étais à Barcelone tout près de la Rambla pendant l’attentat… Je sais plus trop quoi vous raconter, j’aimais bien les longues promenades en Espagne, le café sur la calle Isabel à la terrasse… Au Québec, à Montréal les gens essayent de vivre à l’européenne mais faut avoir les moyens c’est pas donné les primeurs du marché, encore… Je pense au Marché Jean-Talon, je préfère le super-marché Métro de mon quartier, sous le pont. Tout à coup j’ai faim, je vais terminer de vous rédiger ça avant de manger… Je me suis parfumé j’aime bien ça, je raconterais où j’étais et ce que je faisais y’a trente ans vous ne me croiriez pas, y’a une énorme différence avec aujourd’hui. Je vous écris et c’est comme si y’avait quelqu’un qui me regardait par-dessus l’épaule. Ça y est presque pour cette nuit, quelques mots encore. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 16 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je viens de regarder l’émission des Racines et des Ailes sur youtube en haute définition c’est magnifique on y illustrait L’Isère de l’amont à l’aval. Ça me donne le désir de découvrir encore… Ce matin j’ai pris un café et un muffin dans le parc avec le sympathique ami. Je pense aussi aux sorties que je faisais y’a déjà longtemps avec la copine, je pense entre autre aux longues marches à Saint-André-de-Kamouraska c’était très agréable. Ça me manque c’est sorties là… La nature, l’espace a pas l’histoire de la France, mais il y a des choses à voir. Mes derniers voyages étaient très urbains, ça aussi c’est amusant pour les friands d’art et d’architecture. Le berceau de l’art nouveau et de l’art moderne c’est pas rien… Je pense que c’est plus simple de voyager en couple avec une présence féminine, malheureusement je suis un vieux célibataire mais j’ai pas rayé les prochains voyages les prochaines sorties. Je trouve extraordinaire la façon de tourner, de prendre des images avec les drones, moi j’ai qu’un appareil numérique et je crois que je m’en tire pas mal. Je sais pas pourquoi je suis ému… Je pense aux terrasses de bistro à Barcelone et à Madrid mais je dirais dans toutes les grandes villes que j’ai visité… Ici je les connais trop j’ai pas envie d’aller niaiser là. Souvenirs aussi de psychose sur la côte Nord, c’était difficile. Bon! Je vous écrirais bien là-dessus mais ça se termine toujours en jaquette bleu sur une civière dans un corridor d’hôpital. Depuis ce temps-là j’essaye de vivre bien qu’il y ait un langage que je comprends pas. Parfois on me parle d’une façon irritante, c’est peut-être moi qui communique mal, d’une façon schizophrénique… Bon voilà, je trouve ça triste mon senti qui se défait sur des mots. Je veux pas être une victime, si j’avais fait quelque chose de grave j’aurais pas de passeport… Je suis chez moi, je vous écris en cherchant comme souvent à vous communiquer mon senti,  j’ai tendance à diminuer ça dans les larmes, la douleur, et la peine, pourtant la vie est belle. La souffrance c’est peut-être mon côté Judéo-Chrétien qui demande ça, me disant que je ne peux rien faire dans la joie… Chose certaine ça reste moi j’ai pas à imposer ça à personne… Bon! Il fait très beau, tout le monde s’amuse je devrais moi aussi. Parfois dans l’actualité y’a des drames, je ne peux que prier. C’est toujours la même maudite affaire j’arrive pas à vous faire rire, c’est grave de prendre son écriture si au sérieux que ça. C’est le silence dans ma tête, je suis heureux enfin d’une certaine façon, j’ai tous ce qu’il me faut je veux pas avoir le monde à mes pieds juste un peu d’humilité, ce serait assez pour moé. Bon! Je vous lâche les baskets, je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! J’ai rien à ajouter c’est suffisant. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 15 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est la nuit, des jeunes gueulent dans le parc. Je vous raconte toujours la même chose. J’ai photographié cette fenêtre de la maison Gattlo de Gaudi. Une espèce de baie window’s tout en courbe, ça m’a rappelé l’époque où comme boulot j’aidais à installer de nouvelles fenêtres… J’ai cherché dans le frigo quelque chose que je n’ai pas, somnambulisme! Y’a des bandes de jeunes ignorants, qui jouent au « vrai » et passent devant chez moi. Ils vont tous finir en prison où en centre d’accueil… J’essais de rester éveillé et de pas rester dans les mêmes eaux que d’habitude… Souvenir que parfois on allait livrer des fenêtres à Saint-Félix-de-Valois dans Lanaudière, c’était pas tellement loin. Je crois que les jeunes ont scrappé un autre abri d’autobus… Je suis pas dans les beaux quartiers, en attendant ils s’en vont chahuter dans le centre-ville… Je vais vous illustrer ça avec une photo de Barcelone. Lentement le café me réveille. Je me souviens plus si je vous avais raconté avoir réparé une bibliothèque, j’ai cloué les panneaux arrière sur les tablettes, elle est maintenant beaucoup plus solide cette nuit mon blog ça pourrais s’appeler Monsieur Bricole. Je pense à tous ces gens qui veulent faire du « stand up comic », moi payé pour rire c’est pas mon fort. J’ai pas le sens de cet humour-là! Tant qu’à répéter allons y vous pouvez toujours lire ma chronique de voyage sur ce blog à Schizophrénique à Barcelone et à Madrid c’est en dix parties. À Montréal et à Madrid j’ai eu droit à une fouille sommaire, je crois qu’ils cherchaient de la dope, ça fait plus de vingt ans que j’ai touché à ça… Gaudi on le sait aimait les courbes et détestais les angles droit à Barcelone les coins de rues sont coupés à quarante-cinq degrés. C’est la nuit de vendredi à samedi, je continus à écrire je ne sais faire que ça… C’est pas beaucoup mieux qu’être un comique mais je compte sur mon public pour propager la bonne nouvelle… Vendredi, bientôt c’est la sortie des bars, les jeunes hommes gonflés à la testostérone, vont chercher la castagne, pas question de dire un mot de travers, je me souviens de cet Indien qui me parlais de Calcutta me disait que j’aurais rien vue avant d’avoir vu ça. C’est toujours la même chose je traine ma paranoïa avec moi… J’aurai beau courir à travers le monde ces soins psychiatriques vont toujours coller après moi. Je me souviens juste d’avoir signé des papiers sans les lire au début de la maladie, je crois que c’était une permission pour les envahisseurs du paranoïaque. Je sais pas si je suis ou si je suis suivis. Voilà! Quelques mots encore pour terminer ça, le climatiseur est démarré pour les petits vieux comme moi c’est mieux, la finale est toujours difficile. Je me répète voilà la finale. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Donnez-moi une chance, à la prochaine je ferai mieux j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je recommence, j’ai perdus un document, c’est peut-être pour le mieux, j’y écrivais que je suis misanthrope, que je voulais plus sortir mais je voulais m’isoler pourtant j’aime bien prendre l’avion quoi que c’est là qu’on devrais dormir mais c’est difficile. Y’a ces gens en avant de moi qui avaient acheté une couverture et l’on laissé sur le plancher de l’avion en arrivant. Je vous ai déjà parlé aussi de mon sympathique chauffeur de Madrid qui m’a souhaité bon voyage en partant, c’est un bon moment. Y’a aussi cette jeune québécoise qui travaillait au Centre d’art de la Reine Sofia et qui parlais un français impeccable. Je suis fou je me répète, la vérité c’est que j’aime bien les gens, rien de nouveau sous le soleil. Je croyais me renouveler en partant pour l’Espagne, vous pouvez me lire sur Schizophrénique à Barcelone et à Madrid sur ce blog… De un à dix, je sais pas ce que je ferais si je laissais tomber mon rêve d’être écrivain. Vous semblez pas avoir appréciez le blog précédent… Je crois que je suis un pisse-copie, voilà où j’en viens quand j’ai pas d’inspiration je me dénigre. Y’a Umberto Eco qui dis qu’on est des tarés des imbéciles parce qu’on écris, il veut pas laisser ça à n’importe qui, disons que je relirai pas le nom de la rose… Je vais aller jusqu’au bout de cette mauvaise écriture arrêter de me mentir et continuer à lire pour finir. C’est rien d’historique ce que j’écris cet après-midi, donnez-moi un peu de souplesse, vous aimeriez savoir mon senti, c’est moins que rien, je suis un gars finis, le senti, je le racontais à l’ami, c’est difficile on l’écris et l’atteins un peu quand on a mal, c’est rien de jubilatoire. Je me fouille l’intérieur c’est toujours une histoire d’âme je crois, une parenté entre le sentiment et le senti, comment écrire une plénitude qu’on à pas. Vous me direz fait semblant mais ça me tente pas, je préfère la vérité. Je sais, je sais je suis un pauvre type qui délire et crois écrire quelque chose d’essentiel pour la littérature « moderne » vous voyez comme je suis fou, mais au moins j’évite la sale job de passé les livres au pilon. On se réfugie toujours dans le plus mauvais pour pas avoir l’excuse du mieux, vous voyez c’est comme ça les phrases alambiquées sous prétexte de littérature. Je pense encore à Eco, ça nous ferait un bon dictateur pas trop fort sur la liberté d’expression, lisez mes moutons et tentez pas d’écrire c’est trop long… Un petit verre de vin, quelques pleurs avec les copains et on rentre à la maison pour le match de foot, l’écriture on remet ça à plus tard, je l’écrirai bien un jour le roman du siècle, à ma retraite? Voilà ce que je pense de tout ça. Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je reviendrai pour l’instant je vous souhaite à la prochaine!!!
Bernard