Bonsoir! Bonjour! Je suis heureux d’avoir la climatisation c’est
beaucoup moins lourd. Je pense encore à partir, Le Louvre vide ça fait rêver.
Pour le moment je ne programme que les sorties essentielles, je préfère ça à l’infection…
Je pense à mes pairs, ceux qui sont itinérants et qui veulent aller aux
toilettes, j’espère qu’il y a des restaurants qui leurs ouvrent la porte… C’est
pas si simple que ça vivre dehors pendant la covid-19 et la canicule… Ai dormis
un peu, me prépare un café c’est la nuit de mardi à mercredi. Je pense aux écritures sur les rochers le
long de la Saint-Maurice, « Jean-Pierre
love Louise »… C’était à l’époque où nous allions au Lac Saint-Jean avec les parents au retour on
aurais bien aimé que le patriarche arrête chez Caillette à Maskinongé pour
acheter du fromage en grain souvent on en avait acheté avant du cheddar de la
fromagerie Perron, Maskinongé c’était toujours la Mauricie. J’étais trop jeune
pour me rappeler le Louiseville de la famille Ferron… Je pense aux voitures à
comment s’est développé le marché de l’automobile le dictat qui voulais que
chacun est la sienne cet amour pour les machines… Je sais pas comment vous
décrire ce besoin viscéral d’une auto,
il est un peu tard bien que l’économie tourne encore autour de ça…. Souvenir
encore de comment on avait été enchanté de notre séjour au camping de La Tuque
comment c’était magnifique que du bonheur… On aimais ça on aurais aimé y
séjourner tous les week-ends c’était un terrain organisé… Mon lecteur
technicien de la Rolls-Royce et moi on couchait pas dans la tente roulotte mais
bien dans une petite tente, le soir la matriarche essayait de nous faire peur
en nous berçant avec des histoires d’ours, je me souviens plus si on pouvait
pêcher… Je crois qu’il y avait un lac artificiel et de la truite ensemencée… Entre
La Tuque et Chambord on aimais pas beaucoup la route c’était surtout le désert
de la forêt, des épinettes ont préférais beaucoup les petits hameaux… Les
maisons sur le papier noir on trouvait que ça faisait dur avec notre regard d’enfant
qui comprenais pas que ça pouvait être des chalets… Le patriarche aimait l’aventure
nous faire faire des voyages pareils… Parfois on arrêtais au Lac Bouchette…. Je
crois que je vous ai déjà raconté ça, ça m’a marqué, je me répète… Je me
souviens plus combien ça prenais de temps mais parfois on arrêtais pas. Je garde
toujours le souvenir du zoo de Saint-Félicien des ouananiches qui remontent la
rivière… Y’avait aussi Val-Jalbert, la chute… Quand on arrivais au lac j’aimais
bien la vue qu’on en avait… Je vous parle pas des bleuets j’aimais pas en cueuillir,
on faisait le tour de la parentée des vieux oncles sur des fermes à
Sainte-Jeanne d’Arc et le rang de gravelle poussiéreuse. Voilà je termine là-dessus comme toujours en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! C’est la conclusion, à la prochaine je
l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard