mercredi 27 mai 2020

Fait


Bonsoir! Bonjour! Je suis sortis du lit. J’ai une suggestion d’émission de télé, la même, par la snowbird de Gatineau et la super maman, des heures de plaisir! C’est toujours la canicule, on a battus un record pour ce temps ci de l’année. Le climatiseur fonctionne à fond… C’est terrible ces démangeaisons que j’ai aux doigts, je vais mettre de la crème, je sais il faut se laver les mains souvent je lâche pas même si ça fait mal… Ce soir j’ai une réunion virtuelle avec mes deux collègues du centre d’apprentissage santé et rétablissement, je sais plus trop où on est rendu ça fait tellement longtemps qu’on est sur pause, j’ai regardé les documents… C’est la nuit de mercredi à jeudi j’attends l’appel téléphonique de la travailleuse sociale ce matin… Quand ils parlent des « vieux » à la télé j’ai de la difficulté à croire qu’à soixante-trois ans il s’agit de moi. J’ai demandé conseil pour m’impliquer dans les soins au Centre hospitalier de soins  de longue durée on m’a dit qu’il valait  mieux que je m’occupe de moi c’est déjà un poids de moins sur le personnel… C’est vrai qu’avec ma faible santé mentale je deviendrais vite épuisé et inutile… Cette nuit je cherche l’inspiration, je pense à tous ces ainées qui souffrent dans la chaleur, c’est tellement chaud plusieurs vont vouloir se défenestré… Encore somnambule je cherchais quelque chose qui n’existe pas… J’arrive pas à me souvenir de ce que c’était… Aujourd’hui je sors pas j’ai déjà fait pas mal d’écart dans ma conduite, suis allés à la caisse populaire quand c’était vraiment pas nécessaire… Ces jours ci c’est un printemps à saveur d’été, y’a déjà du monde dans l’eau froide de la plage… Faut se méfier l’eau est encore haute et le courant est fort… Pendant que tout le monde dors moi j’écris, je pense à ces pays en guerre où c’est impossible de dormir on a peur à sa vie… Pendant-ce temps-là ici, le jour les enfants s’amusent dans les jets d’eau c’est rafraichissant… Le gouvernement mets en place des consignes de dé-confinement un peu sur tout moi je préfère rester confiné… Je sais il l’a dit le grand écrivain, personne va lire ça un journal du confinement mais quand même pourquoi pas l’écrire ne serait-ce que pour moi, c’est narcissique mais quelle écriture ne l’est pas… Je pense aux programmes du gouvernement fédéral je suis éligible à aucun, les pauvres restent toujours pauvre… Mais j’ai connus pire, je suis toujours étonné d’être encore vivant… Je trouve plus quoi vous écrire j’approche de la chute la conclusion, la fusée est pas partis, les policiers de Minneapolis ont tué un noir semble que le gars était correct… Je vous écrirai pas un essais là-dessus… Cette nuit chez moi comme souvent ça sent la bouffe. C’est pas mauvais… Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas vous y êtes arrivé jusqu’ici, c’est terminé!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard




mardi 26 mai 2020

Archaïque


Bonsoir! Bonjour! Je viens de me détendre en écoutant une émission voyage sur la région des Pouilles en Italie, c’est le talon de la botte Italienne. Encore du rêve peut-être une destination pour après la pandémie de la Covid-19… Je rêve toujours de partir… L’Italie c’est un beau pays je suis déjà allé au nord à Milan et à Trieste, ça m’a marqué je vous en parle souvent… Malheureusement on ne peut plus partir, j’ai le parfum des cafés italiens dans le nez… Ce soir c’est une canicule hâtive, y’a longtemps que ça été si beau si tôt… Souvenir du train qui me berçait entre Milan et Trieste… Partir en voyage c’est une chose mais en ce moment j’ai peur de sortir et d’être infecté. Je reste chez moi c’est pas si mal il fait frais… Je me souviens de ce restaurant où on avait mangé de la cochonnaille surement inspiré de la Slovénie où de la Croatie à la frontière, c’était très bon et les services étaient généreux… C’était une belle tendance de la santé mentale ces voyages… J’en ai fait plusieurs grâce à la direction, la Covid-19 prend toute la place on ne parle plus de pleine citoyenneté on est en mode survie… Je reste confiné, je sors rarement et quand je sors je me cache le visage… Mes souvenirs sont souvent olfactif… Je racontais à un ami que malgré tout j’avais plus voyagé que mon père, lui faisait des voyages de pêches dans une pourvoirie sur la côte nord à peu près à ce temps ci de l’année … Je pense à mon lecteur technicien à la Rolls-Royce qui est un grand amateur de pêche, je me souviens plus si il va au réservoir Gouin où au Baskatong. J’essayerais bien ça un jour… Lentement c’est le dé-confinement, les campings, les pourvoiries et les commerces vont ouvrir. Je m’ennuie quand même des aéroports j’aimais y flâner avant de partir… Y’a pas de vols, pas d’avions et si on part on risque d’être mis en quarantaine c’est pas un très beau voyage. J’irais peut-être voir les snowbirds à Gatineau mais je vais attendre encore un peu question de respecter la distanciation… Je sais pas si la super-maman me lis toujours, j’ai terminé le visionnement de la série Dark sur Netflix je l’ai regardé au complet mais j’ai pas trouvé ça très bon… Si elle a quelque chose d’autre à me suggérer qu’elle ne se gêne pas.  Voilà où j’en suis accroché à la tévé, y’a la chanson de Bruce Springsteen, 57channels (nothin on) https://www.youtube.com/watch?v=YAlDbP4tdqc   Ça a vieillis un peu je sais plus combien y’a de chaîne télé maintenant, des centaines? Voilà! La nuit est arrivé, mon clavier sonne comme si je frappais sur une enclume, heureusement y’a pas le feu… C’est étrange j’ai entendu un retour d’amplificateur ça nourris ma paranoïa mon parfum de fin du monde … Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est terminé j’espère juste vous revoir pour une prochaine!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 25 mai 2020

Star


 Bonsoir! Bonjour! Déjà venu le temps du climatiseur, je viens de le démarrer… C’est exceptionnel une canicule aussi tôt dans la saison. Encore une tentative de mettre du gras sur mon senti, on dirais que quand la douleur n’y est pas j’ai rien à dire… Y’a pas d’explication pour mes textes ils se suffisent à eux même… Encore une couple d’émission de la série Dark et j’ai terminé le visionnement… Faut vraiment que je sois désemparé au bord de la psychose pour écrire un poème qui n’est pas nécessairement bon… Je pense aux amis itinérants qui l’ont moins dur… Quand-même pour dormir dans les rues y’a toujours l’humidité qui est difficile…

Un matin cru

Dans la rue

Ils continuent

Farfelu

Ces mots nus

Et moi perdu

Composant contigus

N’alarmant plus

Des mots d’hurluberlu

C’est quand c’est quoi

J’ai su

En ce moment ardu

De mauvaise rime qui pue

Comme un mauvais tissu

Et si j’étais poète

Je m’avouerais battu

par toute ces musiques issues

d’une rengaine déchue



 Voilà un poème dédié à Siou pour sa demande spéciale. Quand j’en termine un comme ça je deviens sans mots… Je sais j’ai pas le talent des grands paroliers français qui nous quittent l’un après l’autre, c’est triste…  Je sais pas où je vais avec ça je serai pas décérébré de mon vivant c’est assez épeurant, un cerveau mort ça vaux pas grand-chose… Comme écrire ça me rapporte pas financièrement je me dis que je vaux pas grand-chose pourtant je suis entouré de gens qui m’aident, je ne suis pas seul… Hier j’ai fait les courses j’aurai pas à sortir cette semaine, j’ai acheté de quoi faire un pâté chinois.  En ce moment je mange des chips, ça calme mon angoisse… Je reste chez moi confiné à l’abri… Aujourd’hui il va faire chaud… J’essaye de placer un peu d’humilité dans mon écriture, c’est pas facile j’y met toujours trop d’emphase… C’est triste parfois la poésie, comment il y en a sous couvert de licence poétique écrivent n’importe quoi, la poésie exige qu’on soit grand sans demi-mesure… J’entends plus de poésie dans les médias… Je sais pas pourquoi je m’entête à écrire dans ce milieu de multi-poqué faut que j’en vienne à l’évidence j’en suis un moi aussi, la poésie c’est pas un repêchage d’équipes sportives on est foncièrement seul… Je sais pas pourquoi je pense au regretté Langevin, au franco ontarien Desbiens… et je rajoute Daoust par-dessus ça… Je me répète quand même j’aime bien mes textes crus… Voilà que j’arrive à la conclusion comme je l’écris toujours la partie la plus difficile du texte, c’est comme l’écriture on en sort pas, je me suis condamné à écrire je crois que seule la mort me sauveras. Sobre je suis sobre je ferais pas tout ça sous l’influence de l’alcool… Je partirai pas sur la brosse… C’était ça pour le moment… Ils y sont arrivés moi aussi je peu. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


dimanche 24 mai 2020

Éclat


Bonsoir! Bonjour! Changement majeur j’ai installé le climatiseur… Me suis couché mais j’ai pas dormis insomniaque que je suis… Suivis les conseils de la super-maman et je regarde la série Dark, j’ai presque finis pour moi c’est pas une grande série… C’est la nuit de dimanche à lundi, pour moi là aussi y’a pas grand changement, je souffre toujours de schizophrénie et double confinement suis sans « boulot »… J’espère que les amis de Gatineau ont fait une belle fête pour les quatre ans de Raphaëlle… Je sais pas pourquoi je pense au Bistro Détour. Je crois que j’ai rêvé au propriétaire qui étais partis travailler pour le Cirque du Soleil…Ce soir c’est difficile de vous écrire toujours en confinement entendue une nouvelle désolante on se plaignait que les gens avant la COVID-19 prenaient l’avion comme on prenais l’autobus, mais oui ça devraient être toujours les mêmes qui ont le droit au voyage… Trop de places, trop de vols, trop économiques maintenant on nous dis restez chez vous… Dans deux ou trois ans si tout va bien je retourne en France… C’est toujours de mon senti qu’il s’agit… J’ai une pensée pour l’ami décédé juste avant la crise. J’avais presque oublié j’ai une réunion Zoom ce matin… Le climatiseur fonctionne ça rafraichis le studio, Le week-end est terminé j’aime pas tellement ça, la semaine passée j’ai pleuré  parce que je suis incapable de prendre de longues marches comme avant… J’essaye mais j’y arrive pas surtout que les cafés sont fermés. Ouais! Dernière semaine de mai déjà, j’ai hâte que le salon de barbier ouvre j’ai besoin d’une coupe de cheveux… L’ami est partis visiter une maison dans Charlevoix, il veut s’installer là-bas, le climatiseur fonctionne toujours bien il fait frais. On entre bientôt dans la nuit de lundi mais j’ai pas finis. Je sais pas ce que je donnerais pour écrire un bon script et faire fortune… Allons y quand-même avec humilité… Je pense que les enfants en dehors de Montréal entrent à l’école aujourd’hui, ils sont surement très nerveux et heureux de ce retour. Y’a tout à coup un parfum de pain qui lève, de levure, ça sent bon… J’arrive pas à vous décrire mes éclats intérieurs, mettre un nom sur ce senti qui fuit ne se laisse pas empoigner par la mer de mots… Muet lourd et sourd voilà ce qu’il est le senti il ne s’ouvre pas… Souvent quand ça va mal j’ai qu’à me rappeler ce séjour en maison de chambres comment c’étais difficile, j’étais quand même malhonnête dans mon alcoolisme actif… J’ai cru mourir et j’ai perdus bien des « amis ». Voilà! Je sais pas trop comment vous terminer ça, je pense à des gens que j’ai pas vu depuis plus de vingt ans… C’est l’âge et la ville le goulag occidental aussi… Conclusion, chûte,  épilogue j’y arrive ne m’abandonnez pas… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! Faites le savoir si ça vous a plus. À la prochaine je l’espère!!!

Bernard








samedi 23 mai 2020

Béat


Bonsoir! Bonjour! Soirée de samedi à dimanche, je suis pas très inspirée. Je pense à cette fille rencontré à la brasserie qui voulait que je lui parle du docteur Ferron que j’ai beaucoup lu. J’étais trop saoul j’ai pas su quoi lui dire, je crois que je lui ai parlé du Salut de l’Irlande et du Ciel de Québec, L’amélanchier aussi à part des titres comme je le fait là j’ai pas su lui dire grand-chose de peur de mélanger  les œuvres quoi que chacune très différentes, le ciel son peuple et ses Monseigneurs , l’Amélanchier et sa Tinamer sa rive sud aussi avec un léger soupçon de Lewis Carroll y’avait aussi un rappel d’Alice au pays des merveilles. Y’avait aussi du Fond de mon arrière cuisine qui racontais ses années de soignants à Saint-Jean-de-Dieu à l’époque son rapport avec les sœurs et la folie je pense aussi Aux Roses sauvages une œuvre toute sensible qui parle des femmes et que mon psy m’avait conseillée, les confitures de coings aussi qui si je me trompe pas parle de l’indé pendance du Québec… Une correspondance aussi Le Désarroi entre le docteur Bigras et le docteur Ferron, pour ceux qui veulent en savoir plus l’internet grouille de renseignements, une œuvre quoi! Je reviens à mon senti je suis pas un éxégète de Ferron, à l’institut universitaire de santé mentale j’ai rencontré une femme de lettres qui a mis mon histoire dans un livre…  J’essaye de vous parler de mon rapport avec les livres avec la littérature, les livres rarement j’ai eu d’aussi bons compagnons ils étaient partout avec moi, les grands comme les moins grands… La littérature m’a longtemps aidé à vivre la lourdeur du quotidien… J’ai toujours cru qu’il y avait un moment dans une vie pour aborder une œuvre la difficile de Claude Gauvreau pensionnaire de l’institut et son destin tragique, ses étals mixtes quelques choses d’inabordable un long débat lexical avec la langue… Je pense à Artaud à Brecht son opéra de quatre sous et le classique Mack the knife… Quand à Artaud je pense à son Van Gogh le suicidé de la société une exposition du musée du Quai d’Orsay  https://culturezvous.com/van-gogh-artaud-suicide-societe-musee-dorsay/  Tout ça flirte beaucoup avec la folie moi je vous parle de ma difficulté d’être je m’arracherai quand même pas une oreille… Ce soir c’est très doux un peu moins difficile à vivre pour un itinérant… Les gens peuvent se réunir à dix et à chacun deux mètres de distances… Je me suis toujours demandé dans quel cercle fallait être pour publier, je suis pas enseignant… La folie c’est pas suffisant, quand-même je vous donne à lire en espérant que ça vous distraie. Voilà! C’est la chute la conclusion toujours difficile, quelques mots encore ne m’abandonnez  pas j’espère que ça vous plait, dehors les gens se promènent en gueulant. Je suis heureux de vous avoir écris encore cette nuit. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard






vendredi 22 mai 2020

Amour


Bonsoir! Bonjour! À la demande générale je reviens. Je ressens beaucoup d’amour dans ceux qui me lisent et ne se manifestent pas, un fervent lecteur m’a dit de ne pas vous oublier, j’ai eu une demande spéciale à laquelle je ne peux répondre les muses étant muettes pour l’instant mais je dédie quand même le prochain poème à ce lecteur… J’avais oublié que ça se pouvait le beau temps, j’ai laissé la fenêtre ouverte, ce soir j’ai de bonnes vibrations  https://www.youtube.com/watch?v=Eab_beh07HU  ça me rappelle ces quelques jours à San Francisco en Californie… Ce soir c’est comme si le goulag occidental c’était réveillé. Je pense à mon attitude très peace and love pas mauvaise, j’ai la super maman et son mari en tête toute cette belle famille. Je crois qu’il y a un des enfants qui dessine, il suis les traces de son très talentueux grand-père… Souvenir de cette époque où tous les mois j’attendais avec fébrilité l’arrivé du mensuel de bandes dessinées. Je sais pas si vous attendez mes écrits comme ça du moins je l’espère… C’est certain que pour moi écrire est un exutoire mais j’aime ça. Je crois que j’arrive à une certaine « maturité », je dis merci à mon lecteur de Deux-Montagnes qui m’aide à débrouiller  tout ça… Écrire c’est être devant l’écran derrière le clavier et chercher à exprimer l’indicible, le senti immuable… C’est la nuit de vendredi à samedi, me semble que ça fait longtemps que j’ai pas eu de câlin, maudit confinement!... J’ai pris une douche, me suis parfumé, je vous fait un câlin virtuel pour le vrai parfum vous savez pas ce que vous manquez… Je crois que c’est l’anniversaire de Raphaëlle la petite fille de mes snowbirds de Gatineau, je crois qu’elle auras quatre ans, bonne fête, le temps passe tellement vite… Ce soir je crois que j’ai un peu de sérénité, y’a longtemps que la solitude schizophrénique me laisse une pause… Parfois j’ai des reculs, je crois toujours que ça viens de quelque part cette affaire-là… Je devrais pas vous écrire là-dessus c’est rien de positif… Hier, j’ai rêvé à des souris blanche qui se transformaient en furet blanc, je sais pas ce que ça veut dire… Ce soir je vous illustre ça avec la sculpture Love de Robert Indiana, elle est en core-ten… Je manque d’inspiration , quand j’écris sur la sculpture me viens toujours en mémoire le symposium de Terrebonne c’est il y a longtemps plus de quarante ans… L’art c’est toute une histoire, je pense à l’ami historien… Je vais me répéter j’apprécie beaucoup tous ceux qui prennent le temps de lire… Lentement je vais essayer de conclure avec une prose amoureuse pour vous tous, mes mots ne sont pas flammes ardentes j’espère qu’ils durent comme le tison au petit matin pour faire griller des toasts, encore les phrases comme du beurre qui glisse au bord du feu. Voilà! Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard








jeudi 21 mai 2020

Question


 Bonsoir! Bonjour! Après une conversation avec mon lecteur de Deux-Montagnes je me questionne sur la pertinence de ce blog. Je pense à arrêter…Je sais pas… Ces derniers jours de COVID-19 ont été intense c’est comme si je m’étais coulé dans le coronavirus… Ça fait longtemps que je vous écris… Ce soir c’est une température chaude et belle de printemps… Je m’étais couché tôt pour me relever et vous écrire… Je croyais faire de l’art et comme il ne vie que de scandale je suis à cour…Ma prose… Je pense aux journalistes qui écrivent pour un éditeur comment je fais… Ça fait dix ans de blog, je sais toujours pas si ça vous a plus… Je reste profondément convaincu que la « littérature » passe par le blog je crois pas que cette forme « d’art » sois éphémère… La machine est là et comme je l’ai déjà écrit ce serait bête de pas s’en servir… Je parlais de pardon, la difficulté c’est que je sais pas quoi pardonner… Hier j’ai vu mon collègue marcheur passé, il a maintenant une longue barbe poivre et sel et marche beaucoup plus lentement, il ne parle plus seul, c’est la faune qu’on retrouve dans le goulag occidental… Je m’excuse auprès de tout le monde d’avoir écrit ce blog qui prête à polémique pendant l’anniversaire de la matriarche. Je retourne à mon senti c’est toujours le complot, le sentiment qu’ils ne seront heureux que lorsque je serai disparue partis… Pour le blog encore une fois je vais y aller un jour à la fois… Comme illustration aujourd’hui je vais placer une photo de la matriarche… C’est toujours difficile d’écrire. Je suis pas mal allez au bout de ce que je voulais vous dire… J’attends le dé-confinement pour reprendre mes différentes activités pour le moment elles sont virtuelles… Je fais pas le poids un pauvre texte de blog perdus dans des milliards de pages web… Tourmenté voilà ce que je suis, j’ai pas trouvé de réponses à la schizophrénie, souvenir du début de la maladie après plus rien n’a jamais été pareil… Je dis merci à ma lectrice attentive de Gatineau ses commentaires sont appréciés je me sens moins seul dans cet univers… Je reviens au questionnement du début, le blog va cesser? Je sais pas, je vais peut-être me remettre au cahier… Pendant ce temps- là on est toujours aux consignes du confinement. Quand j’écris c’est pour vous distraire vous amener un peu dans mon univers… Mon agitation cérébrale frénétique a cessé, ça fait du bien… Quelques mots encore, j’entends les camions municipaux qui passent, nuit de jeudi à vendredi, je sais pas ce que les gens font depuis que les bars et les restaurants sont fermé, ils restent chez eux et n’ont pas plus droit aux visites… La fenêtre est ouverte il entre un doux parfum ça m’adoucie… Voilà! Pour cette nuit je termine c’est la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je sais pas si il vas y avoir une prochaine.

Bernard