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Bonsoir!
Bonjour! À la demande générale je reviens. Je ressens beaucoup d’amour dans
ceux qui me lisent et ne se manifestent pas, un fervent lecteur m’a dit de ne
pas vous oublier, j’ai eu une demande spéciale à laquelle je ne peux répondre
les muses étant muettes pour l’instant mais je dédie quand même le prochain
poème à ce lecteur… J’avais oublié que ça se pouvait le beau temps, j’ai laissé
la fenêtre ouverte, ce soir j’ai de bonnes vibrations https://www.youtube.com/watch?v=Eab_beh07HU ça me rappelle ces quelques jours à San
Francisco en Californie… Ce soir c’est comme si le goulag occidental c’était
réveillé. Je pense à mon attitude très peace and love pas mauvaise, j’ai la
super maman et son mari en tête toute cette belle famille. Je crois qu’il y a
un des enfants qui dessine, il suis les traces de son très talentueux
grand-père… Souvenir de cette époque où tous les mois j’attendais avec
fébrilité l’arrivé du mensuel de bandes dessinées. Je sais pas si vous attendez
mes écrits comme ça du moins je l’espère… C’est certain que pour moi écrire est
un exutoire mais j’aime ça. Je crois que j’arrive à une certaine « maturité »,
je dis merci à mon lecteur de Deux-Montagnes qui m’aide à débrouiller tout ça… Écrire c’est être devant l’écran
derrière le clavier et chercher à exprimer l’indicible, le senti immuable… C’est
la nuit de vendredi à samedi, me semble que ça fait longtemps que j’ai pas eu
de câlin, maudit confinement!... J’ai pris une douche, me suis parfumé, je vous
fait un câlin virtuel pour le vrai parfum vous savez pas ce que vous manquez… Je
crois que c’est l’anniversaire de Raphaëlle la petite fille de mes snowbirds de
Gatineau, je crois qu’elle auras quatre ans, bonne fête, le temps passe
tellement vite… Ce soir je crois que j’ai un peu de sérénité, y’a longtemps que
la solitude schizophrénique me laisse une pause… Parfois j’ai des reculs, je
crois toujours que ça viens de quelque part cette affaire-là… Je devrais pas
vous écrire là-dessus c’est rien de positif… Hier, j’ai rêvé à des souris
blanche qui se transformaient en furet blanc, je sais pas ce que ça veut dire…
Ce soir je vous illustre ça avec la sculpture Love de Robert Indiana, elle est
en core-ten… Je manque d’inspiration , quand j’écris sur la sculpture me viens
toujours en mémoire le symposium de Terrebonne c’est il y a longtemps plus de
quarante ans… L’art c’est toute une histoire, je pense à l’ami historien… Je
vais me répéter j’apprécie beaucoup tous ceux qui prennent le temps de lire…
Lentement je vais essayer de conclure avec une prose amoureuse pour vous tous,
mes mots ne sont pas flammes ardentes j’espère qu’ils durent comme le tison au
petit matin pour faire griller des toasts, encore les phrases comme du beurre
qui glisse au bord du feu. Voilà! Je termine comme toujours en vous remerciant
d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Bonsoir! Bonjour! Après une conversation avec
mon lecteur de Deux-Montagnes je me questionne sur la pertinence de ce blog. Je
pense à arrêter…Je sais pas… Ces derniers jours de COVID-19 ont été intense c’est
comme si je m’étais coulé dans le coronavirus… Ça fait longtemps que je vous
écris… Ce soir c’est une température chaude et belle de printemps… Je m’étais
couché tôt pour me relever et vous écrire… Je croyais faire de l’art et comme
il ne vie que de scandale je suis à cour…Ma prose… Je pense aux journalistes
qui écrivent pour un éditeur comment je fais… Ça fait dix ans de blog, je sais
toujours pas si ça vous a plus… Je reste profondément convaincu que la « littérature »
passe par le blog je crois pas que cette forme « d’art » sois
éphémère… La machine est là et comme je l’ai déjà écrit ce serait bête de
pas s’en servir… Je parlais de pardon, la difficulté c’est que je sais pas quoi
pardonner… Hier j’ai vu mon collègue marcheur passé, il a maintenant une longue
barbe poivre et sel et marche beaucoup plus lentement, il ne parle plus seul, c’est
la faune qu’on retrouve dans le goulag occidental… Je m’excuse auprès de tout
le monde d’avoir écrit ce blog qui prête à polémique pendant l’anniversaire de
la matriarche. Je retourne à mon senti c’est toujours le complot, le sentiment
qu’ils ne seront heureux que lorsque je serai disparue partis… Pour le blog
encore une fois je vais y aller un jour à la fois… Comme illustration aujourd’hui
je vais placer une photo de la matriarche… C’est toujours difficile d’écrire.
Je suis pas mal allez au bout de ce que je voulais vous dire… J’attends le dé-confinement
pour reprendre mes différentes activités pour le moment elles sont virtuelles…
Je fais pas le poids un pauvre texte de blog perdus dans des milliards de pages
web… Tourmenté voilà ce que je suis, j’ai pas trouvé de réponses à la
schizophrénie, souvenir du début de la maladie après plus rien n’a jamais été
pareil… Je dis merci à ma lectrice attentive de Gatineau ses commentaires sont
appréciés je me sens moins seul dans cet univers… Je reviens au questionnement
du début, le blog va cesser? Je sais pas, je vais peut-être me remettre au
cahier… Pendant ce temps- là on est toujours aux consignes du confinement.
Quand j’écris c’est pour vous distraire vous amener un peu dans mon univers…
Mon agitation cérébrale frénétique a cessé, ça fait du bien… Quelques mots
encore, j’entends les camions municipaux qui passent, nuit de jeudi à vendredi,
je sais pas ce que les gens font depuis que les bars et les restaurants sont
fermé, ils restent chez eux et n’ont pas plus droit aux visites… La fenêtre est
ouverte il entre un doux parfum ça m’adoucie… Voilà! Pour cette nuit je termine
c’est la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je
sais pas si il vas y avoir une prochaine.
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui on démarre sur une note plus joyeuse c’est l’anniversaire
de la matriarche! Quatre vingt dix ans! Et elle est en pleine forme on rêve
tous d’arriver là et d’être comme ça! C’est une dame très active qu’on espère
garder encore longtemps… Pour ce qui est de mon senti ce soir ça va mieux, avec
mon lecteur de Deux Montagnes on parlais de pardon mais je trouve que c’est pas
simple, je sais pas comment faire pour pardonner enfin je me dis que je
pardonne… On recolleras pas les pots cassés on reviendras pas en arrière mais
je vous dis que j’ai aucun désir de vengeance… Je suis responsable j’aurais du
me faire une vie malgré ça, malgré la psychose… Malgré le malheur, je vais
essayer d’abandonner ça la pour ce soir… Je sais pas si je vous l’ais écrit j’ai
un nouveau téléphone qui fonctionne très bien. Je me gênerai pas pour m’en
servir. Je regrette d’avoir pris cette thématique hier je crois que j’en
sortirai pas… Je crois que je vais prendre une pause d’écriture après ce texte
ci… C’est malheureux je peux pas partir en voyage pour me ressourcer… Cette
nuit c’est très doux je pense aux collègues itinérants qui peuvent rester
dehors, les centres d’injections supervisées sont ouvert mais pas à pleine
capacité j’en ai déjà vue s’injecter dehors sur le trottoir… Je sais pas si je
me trompe mais on dirais que la ville se réveille que lentement elle sort du
mode pause… J’apprécie vos offres de support mais pour le moment je me sens pas
prêt à en partager plus, c’est difficile j’ai peur qu’on me trahisse encore… Je
crois que la pandémie m’a ramené un peu en arrière dans des émotions du passé.
Je me souviens que de ça ces émotions… J’ai envie de tout laisser tomber mais
je sais pas quoi faire si j’écris pas ? Peut-être retourner aux cahiers? Je
suis bien seul dans tout ça… J’entends ronronner un scooter, j’aimerais avoir ça
un gros Vespa mais c’est cher… Il est plus questions de voyages les frontières
sont fermées, c’est peut-être le confinement qui m’a ramené ces mauvais
souvenirs, je me répète, je me répète… J’ai envie de pleurer, je crois que je
brise plein de choses, la vérité à un prix et je sais pas si je suis prêt à le
payer… Je pense que dès que les frontières seront ouvertes que la pandémie
auras reculé, je retournerai à Paris rue Mouffetard… Voilà! Je suis presque à l’épilogue
pour cette nuit, quelques mots encore pour vous dire que j’apprécie vos
lectures, j’ai réussis à calmer la paranoïa quand même aussitôt chassée elle
reviens… Faites-vous en pas trop je suis les consignes, je suis chez moi… Je
vais essayer de me rétablir… Je sais plus trop à qui je dois faire confiance.
Comme toutes mes conclusions toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
Lâchez moi pas c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir et à
bientôt!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! C’est la nuit de mardi à mercredi, je fait ce que j’ai toujours désiré
faire écrire. Y’a une personne qui me fait mal juste à pensés à elle, cette
personne me lis j’ai pas de sympathie pour elle, cette personne m’a brisé c’est
sa faute ma maladie du moins je crois, j’ai pas de preuve… Elle est la seule à
se souvenir c’est toujours impossible de remonter l’estime que j’ai de moi,
pour elle je ne suis qu’un plouc, je sais que personne veux m’entendre là-dessus
sur cet abus c’est comme ça les autres sont toujours mieux… C’est mon senti de
cette nuit cette personne me conseillais de consulter un psychologue, c’est pas
de la névrose mon affaire c’est de la psychose j’ai besoin des soins de la
psychiatrie, mais oui schizophrénie… Mon confinement il est double ou triple
depuis des années à cause de lui, j’ai pas envie de pardonner quelque chose
dont je me souviens pas précisément, l’abuseur le savait qu’il n’y aurais pas
de souvenir, j’ai peur juste de vous raconter ça lui est respectable moi je
suis moins que rien je trainerai ça pendant tout mon vivant. Je comprends
pourquoi ma sœur s’est enlevé la vie… J’arrête là-dessus pour tout de suite… Je
n’en prend qu’à moi… J’ai pas envie de vous le faire lire ce texte, je veux pas
vous déranger je continue ma vie de la même façon que toujours, mon écriture
est une sorte d’analyse je voudrais pleurer mais mon âme est sèche… Quand j’écris
là-dessus je voudrais toujours m’excuser comme si c’était de ma faute. J’ai
cherché longtemps le coupable même si je me trompe il est coupable de pas m’avoir
aidé… On préfère toujours le silence dans ces choses-là. Je risque de perdre
des lecteurs, lectrices pardonnez-moi c’est difficile, je suis prêt à tout nier
mais elle est là la difficulté de dire… J’aurai vécu comme ça abrutis à écrire
pendant la nuit. Je sais pas ce que je brise en vous racontant ça… Je crois pas
que mon mal parte de rien, je pouvais pas faire autrement que de me ramasser
avec les perdus, les multipoqués du bas de la ville, quel destin! Je croyais
avoir enterré tout ça mais ça participe à mon rétablissement, c’est un sujet
délicat j’y laisse des plumes, les adultes ils ont jamais rien su jamais rien vu,
ils me laissaient seul et désemparé devant ce qui m’arrivais. Je croyais pas en
avoir autant à écrire sur ce sujet, de l’échec est né l’échec mais un jour à la
fois j’y arrive… Je peux pas écrire plus vrai mon écriture est toujours comme
ça… Voilà! C’est presque l’épilogue pardonnez-moi d’avoir pris votre précieux
temps pour vous faire lire ça… J’ai encore une fois essayer d’être vrai d’écrire
à partir et avec mon angoisse… C’est la conclusion toujours difficile, j’y arrive,
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore en
espérant vous revoir dans une prochaine!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
Encore une
fois
J’ai brisé
ma guitare
Je sais pas
joué
Il est trop
tard
Comment vous
dire
C’est qu’un
sonnard
Y’a rien de
pire
J’en ai
marre
De la
musique
Je dois
faire la part
Et la
réplique
C’est le
pétard
Pandémique
Loin de l’art
D’où je
viens
C’est les
zonards
Du bistro
Et le pinard
Allo! Allo!
C’est pas si
rare
Le beau
bateau
Laisse moé
la barre
Mais oui c’est
mirliton
Et ses
bobards
De la poésie
Je serai
jamais le phare
Une écriture
retard…
Avant d’utiliser
Le buvard
Boire l’encre
Dans les
encarts

Bonsoir!
Bonjour! Ce soir j’ai souper d’une pizza assaisonnée de chorizo, c’étais bien c’étais
bon. Sur les conseils de la super maman j’ai commencé à regarder la série Dark.
Ça me fait beaucoup pensés à la série Twin Peak de David Lynch, c’est
intéressant… J’ai essayé de dormir j’y suis pas arrivé… J’ai toujours sommeil…
C’est pas évident d’écrire plutôt que dormir, hier on a eu une réunion
virtuelle de notre groupe Reprendre Pouvoir c’étais bien de revoir ces visages,
parfois dans ma folie schizophrénique je me sens responsable des malheurs de l’humanité,
j’en suis la première raison, voyons! J’aime beaucoup regarder ces séries qui
viennent d’ailleurs…J’ai les yeux qui ferment c’est pas à cause de la série… Je
veux surtout pas vous endormir avec ce que j’écris pas d’écriture soporifique…
Je pense que les belles journées de vols aériens sont passés, plus d’envolés
les frontières et les aéroports fermés quand ça va reprendre ce seras à des
coûts prohibitifs… C’est la crise!!! Je
reste chez moi confiné, je vais seulement sortir masqué et en respectant les
consignes, lavé les mains, à deux mètres des gens et le masque... Je crois qu'il
y a encore des connards qui visitent la
voisine… J’ai reçu mon nouveau téléphone il fonctionne bien… J’ai hâte de me
faire couper les cheveux. Y’auras dé-confinement la semaine prochaine, je sais
pas si quand vous lisez vous faites comme moi quand je l’écris vous cherchez la
poésie? Je reviens avec mon senti de confiné, elle tousse je dois m’en méfier…
Je pense à l’Italie à Milan qui dé-confine, les boutiques de luxe sont ouvertes,
avec l’été qui arrive je crois que le coronavirus seras moins virulent… C’est
toujours la nuit, je pense aux grands poètes décédés… Je préfère l’écriture en
ligne à l’édition d’un recueil qui va rester sur les tablettes sans lecteurs… Y’a
plein de dictons qui me viennent en tête, je les utiliserai pas… Je cherche la
métaphore, j’ai regardé la définition j’essais d’en faire une bonne une belle
poétique, sensible aux bouleversements… Je suis nostalgique des différents
voyages que j’ai fait. Je crois que ces beaux jours sont terminés on va rester
confiné, cloisonné… Une pensée pour les amis français du Centre Collaborateur
de l’organisation mondiale de la santé… Je crois que les collaborations
internationales du Centre universitaire de santé mentale de Montréal sont pas
mal terminés, on iras plus à l’étranger COVID-19 oblige… Reste qu’un paiement à
passé et le solde est à jours, rien de poétique là dedans… Voilà! C’est la
chute abandonnez moi pas tout de suite, y’a un parfum d’orange cette nuit, je
veux trop en faire pour terminer j’arrive à rien… Je souhaite faire une
conclusion respectable quelques mots pour tenter de dire l’impossible… Je crois
que c’est bien, je vous laisse quand même juge… Je pense à l’ami directeur
adjoint en tout cas avant il l’étais, je sais pas si il me lis. Je termine en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui c’est fête de la reine ou fête de Dollars où fête des Patriotes
on a le choix, ça dépend juste de nos orientations politique… C’est une journée
férié mais de toute façon y’a plein de monde qui ont été mis à pied… J’entends
les gens éternuer et tousser dehors je vais rester chez moi et me tenir à l’abri…
Je pense à la géométrie j’ai jamais compris, j’ai pleinement conscience de l’angle
dans lequel est ma fenêtre… Je pense à la Mezouzah chez moi sur le chambranle
de la porte… J’ai encore des démangeaisons aux doigts, voilà! Hier le parc
était plein de monde je crois qu’ils ne respectaient pas la consigne… Je
réalise que je suis pas grand-chose c’est une nuit douce qui va plaire aux
itinérants aux gens de la rue. Pour moi la race, la religion, la position
sociale n’ont aucune importance, bien sur ça parait impressionnant mais l’important
c’est les valeurs… Hé oui! Y’en a encore qui vont préférez passé la nuit dehors,
ces nuits ci y’a surement de ces bars clandestins qu’on appelait des « blind
pigs » c’est pas parce qu’il y a un
confinement que les toxicomanes vont cesser de consommer… J’ai des sentiments,
des émotions que je suis incapable de nommer ça me rappelle mes vingt ans, le
début de la maladie ce profond bourdonnement que j’entendais la peur l’angoisse…
Ma vie maintenant elle est dans le bas de la ville, je ne retournerai pas dans
la couronne nord trop de mauvais souvenirs… Les hobos je crois qu’ils arrivent
tous dans le centre-sud ce que j’appelle le goulag occidental… Les
restaurateurs ont remis le service à l’auto à la mode, on a remis les rues
piétonnières en place mais y’a pas de terrasses pas de commerce d’ouvert… Ce
matin j’ai une réunion virtuelle ça devrais être bien… Si vous saviez comment
je désirais être poète, les poètes sérieux ce sont tous plus où moins enivré,
absinthes, alcool pour après nommer leurs sentis leurs musique nominale… Ouais!
L’odeur d’étable est loin de la ville, j’en ai gardé un bon souvenir, j’avais
quand même peur du bœuf, ça mène à rien tous ça ce ne sont que des souvenirs épars…
Je pense aux copains qui ont remplis leurs vies, je reviens toujours à ma
dérive que j’ai cessé, un peu tard… Cette nuit il semble y avoir plus de
circulation, j’ai laissé la fenêtre ouverte, j’écris rien là d’émouvant… Bon! C’est
la partie la plus difficile, l’épilogue, la conclusion, je termine en pensant à
ceux qui me détestent, qui voudrais bien que je fasse autre chose qu’écrire…
Abandonnez moi pas tout de suite je suis pas toujours inspirés… L’idée c’est de
ne pas me dénigrer, je sais pas si j’arrive comme ça a remonter l’estime que j’ai
de moi, ça reste égocentrique… Voilà ça se termine de la manière habituelle,
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore un peu et ça y
est. À la prochaine je l’espère!!!
Bernard