Bonsoir!
Bonjour! Ce soir j’ai de la difficulté à vous écrire, c’est vraiment la fin du
mois…
Poésie
montre toi
Dis moi dis
moi
Pourquoi
tout ça
Et plusieurs
pas
Nocturne
Cette loi
Mauvaises
images
Plusd’une fois
À trop
vouloir être poète
On deviens
fat
Mais ça mais
ça
De vieilles
histoires…
Je suis pas le meilleur juge de ce que j’écris
je vous laisse le faire dans vos lectures… Cette solitude parfois pesante de
l’écriture comme si être seul avait un poids. Bon! Me voilà debout mais pas
plus inspirée. Je vous écris encore de la nuit, hier j’ai visité l’hôpitalSainte Justine tout rénové ça m’a fait pensés
à un aéroport. Ce matin je vais à l’hôpital Maisonneuve Rosemont pour
l’agrément… Hier ça m’a pris un moment pour réaliser que je parlais à un médecin
c’était dans le contexte de la journée annuelle de l’éthique avec pour thème la
santé mentale c’est en janvier… Il est minuit trente, hier je suis passés sur
le Campus de l’Université de Montréal devant les Hautes Études Commerciales
j’ai jamais vue autant d’étudiant… Les dames que j’ai rencontré étaient très
sympathique. Me reste plus qu’à trouver sous quel angle je vais faire ma
présentation… Je reviens à mon senti, hier j’ai appris qu’un enfant pouvait
être psychotique… L’enfance et la maladie mentale souvent on dit de les tenir
loin de l’hôpital mais quand on sait plus quoi faire… Ce que j’ai vue de
Sainte-Justine avait une dimension très humaine… J’écoute mon âme ça délire pas
trop n’empêche voir tous ces enfants on les souhaite pas trop malade. À la
journée d’éthique et de santé mentale en janvier je vais essayer d’exprimer mon
humanité pour défaire le stigmate de la maladie mentale… C’est très orgueilleux
ce que je viens de vous écrire… Je manque beaucoup d’humilité… Je suis tous
mélangé dans mes dates d’activités hier les dames ont dit en riant que ça me
prendrais peut-être un gérant… Me suis préparé un café cette nuit je ne souffre
pas, me souviens de ces rages de dents ça faisait tellement mal j’ai jamais eu
de douleur plus grandes étrangement parfois je regrette mes dents m’ennuis
d’une dent creuse… Ça j’appelle ça des confidences… Demain je vais essayer de
rédiger ma conférence de janvier, douze minutes je sais pas combien ça fait de
pages de texte… Je vais aussi récurer le four de la cuisinière… Quelques mots
encore, c’est pas terminé mais ça approche je sais pas trop comment illustrer
ça, dehors y’a un gars qui gueule comme souvent… Milieu de semaine j’aurai été
occupé… C’est difficile, j’essais de terminer avec de l’émotion, vous écrire
comme ça c’est ce qui fait mon bonheur, j’apprécie, je le répète, beaucoup vos
commentaires… Voilà! C’est l’épilogue la conclusion, la chute… Comment vous
écrire mon bonheur à chaque fois que je termine. J’espère que vous aimez ça. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est vraiment la fin pour
aujourd’hui. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Ce matin je vais rencontrer la professeure pour ma participation à la
troisième journée d’éthique clinique. Elle va m’expliquer ce qu’on attend de
moi. J’ai toujours l’intention de parler de stigmatisation de dévoilement de
dédommagement et de rétablissement. On me donne pas beaucoup de temps mais la
journée promet d’être intéressante c’est seulement en janvier j’ai le temps de
me préparer, c’est un beau défi… Je veux pas trop vous parler de mon senti pour
éviter de mentionner l’ami disparus. J’ai dormis un peu, beaucoup rêvé…
Décembre arrive, l’hiver est déjà là, quand j’écris y’a toujours la poésie de
différents poètes qui me viens en tête… J’ai entendu dire quelque part que c’est
aliénant d’écrire sur les réseaux sociaux, je pense à ce voisin avec des dreads
qui me regardait avec mépris c’est ça la stigmatisation, sans parler du vieux
schnock qui fredonnait des airs irritants… Y’a de la folie dans ce que je vous
raconte là, c’est ma sensibilité… Je trouve pas quoi vous raconter je pense aux
avions, si je suis pas trop occupé je vais partir pour je ne sais où l’automne
prochain… Cette année j’ai les formations du centre d’apprentissage santé et
rétablissement (Recovery College). Je veux aussi vous dire que si ça vous plait
pas d’être sur ma liste d’envois faite le moi savoir je vous enlève… J’en ai
assez d’être stigmatisé, je rentrerai pas dans le rang c’est impossible, je
suis différent et c’est pas ma chevelure. Je trouve les dreads d’un banal
convenus… Sans parler des tatouages qui n’ont plus rien de subversif… Ma
différence c’est mon être, mon senti une énigme sans réponse… Mon lecteur technicien
à la Rolls Royce est en vacance en République Dominicaine, il fait beau y’a de
l’alcool en masse que demander de mieux… Ça me rappelle Cuba et le vingt-six
onces de rhum… Je lisais un écrivain qui disait qu’écrire c’était briser un
tabou, il a raison on joue pas avec les mots sans se brûler… Parfois le
lecteur, avec raison, voie des choses entre les lignes… À l’époque un copain
disait y’a rien de plus straight que se saouler, j’avoue qu’il avait raison l’ivrognerie
contribue à la production… Bon! Je vais vous parler de certaines chroniques de
voyage qui ne parlent que de restos, de bière artisanales de vins et parfois d’alcool
fort, moi je suis pas de ceux qui courent les restaurants à la mode… On
retrouve ça partout à la télé, à la radio et dans les journaux, je vais
continuer ma visite des binneries, des greasy spoon… Il est presque temps de
terminer encore quelques mots comment vous dire que je me soigne que le blog m’amène
des lecteurs et que ça me fait plaisir… Je pense pas trop au livre, les anciens
écrivains crient contre le blogue c’est pas de la vrai littérature qu’ils
disent un peu comme à l’apparition du livre de poche. Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bonsoir!
Bonjour! Je sais pas si je devrais vous écrire après ce malheur. Plutôt parler
football, l’équipe de l’ouest, les Blue Bombers de Winnipeg, a remporté la coupe
Grey. J’ai pas regardé tout le match, Winnipeg dominait… Je vais quand même
essayer de vous écrire mon senti. La matriarche m’a invité à souper pour le quatorze
décembre, elle va préparer un repas traditionnel une tourtière du Lac
Saint-Jean c’est à ne pas manquer… Ce matin y’a une réunion de mon groupe d’entraide
il va manquer un gros morceau… Ce week-end dans le cahier voyage de La Presse+
on parlait de Las Vegas, une destination intéressante mais dispendieuse ça m’empêche
pas d’encore pensés à la France malgré toute les catastrophes naturelles, je
crois pas que ce seras pour bientôt… Je crois que bientôt les Boeing sept
trente-sept Max huit seront réhabilité. Je pense que ce seras bon pour les
compagnies Low-Cost donc pour les voyageurs. Je pense à tous ces baroudeurs qui
ont beaucoup voyagé et qui maintenant sous prétexte d’écologie veulent empêcher
les gens de prendre l’avion… La fameuse trace de carbone que laisse un siège d’avion,
eux y’a vingt trente ans se posait pas la question… Je crois que l’ami
historien de l’art est partis pour Florence j’espère que la température seras
clémente… J’ai cessé de tout écrire, je pense aux dents d’un blanc éclatant d’une
personne rencontré hier, ça en était épeurant… Lentement le sommeil me gagne, j’écris
avant d’aller me coucher. Toujours étonné de voir comment les gens ont attendus
la retraite pour vivre mieux… J’ai hâte qu’on me rembourse mes frais pour le
Forum Santé Mentale à Québec. Je vais être patient… Je pense au guide
alimentaire canadien aussi sacré qu’une bible à comment quand tu est pauvre… Je
sais y’a les banques alimentaire qui le respectent. Quand je dis patient faut s’entendre
j’ai pas beaucoup de recours… J’étais content de voir les photos des Gascon sur
Facebook… Voilà il est minuit c’est lundi, la dernière semaine de novembre qui
commence, plusieurs ont dépensé leursbudget, ils devront faire affaire avec la pawn shop où le shylock en
attendant vendredi. Vous trouvez que j’écris souvent là-dessus? C’est une
réalité obsédante qui reviens à toute les fins de moisvous en faites pas pour moi je suis plus dans
ce rythme-là, à l’époque quand j’avais besoin d’argent on me disait de vendre
mes livres. J’ai tellement regretté d’avoir vendus ma première bibliothèque qu’aujourd’hui
je garde mes livres… C’est toujours le même propos malgré que je sois sortis de
cette misère, j’ai toujours à manger, le loyer est payer et je vous écris à
tête reposée… Toujours de la difficulté à croire que le copain le collègue est
décédé… Voilà! C’est presque terminé j’en suis à la chute à la conclusion l’épilogue.
Je m’arrache les mots pour meubler ce mauvais silence… Je vous quitte pour
cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’étire la
sauce elle n’en seras que meilleure. À la prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui c’est triste je viens d’apprendre le décès de l’ami et collègue
Michel. Un être exceptionnel que la vie avait malmené mais qui malgré tout se
rétablissait. Michel pensait à la hauteur des grands intellectuels. Je
considère un privilège d’avoir fait sa connaissance, c’était une personne qui
maniait bien les concepts toujours en restant sur le plancher des vaches. J’arriverai
pas à le résumer en quelques mots il était beaucoup plus que ça ne serait-ce
que par la création du groupe d’entraide Reprendre Pouvoir. Il était toujours
prêt à aider en racontant son histoire et le développement de sa pensée. Un
être unique et rare, Michel s’était penché sur ce qu’il appelait le problème de
l’âme et la psychiatrie pour lui la psychose était un mécanisme de défensemais tout n’est pas dit, il n’auras pas eu le
temps de développer et de nous exposer sa pensée unique… Il va me manquer j’aimais
bien les échanges qu’on avait sois de vive voix sois au téléphone… J’ai une
pensée pour sa femme Sylvie avec qui en homme simple il allait jouer au bingo
le lundi… Je me suis toujours demandé pourquoi la vie s’était acharnée sur cet
homme, il ne méritais pas ça… Pour moi Michel c’était un génie capable de
réciter les grands philosophes, quand il parlait de ses soins en psychiatrie
pour lui l’institut Pinel c’était la prison. Je crois qu’il avait raison, il
avait quand même ses secrets dont on a jamais parlé c’est mieux comme ça… J’avais
encore besoin qu’il me raconte plein de choses comment il vivait la
stigmatisation par exemple… Michel avait lu Thomas Szasz le psychiatre rien de
facile là-dedans, je crois que lui seul était capable de résumer sa pensée.
Michel était un penseur du siècle précédent, sans internet, sans réseau
sociaux, sans téléphone portable, sa pensée se développait au contact de son
prochain dans des activités comme à livre ouvert, la bibliothèque humaine… Il
aidait aussi les étudiants universitaires. J’aimerais garder en mémoire le
Michel homme de lettres parfois au « ras des pâquerettes »… Génie,
méconnus mais quand même un génie. Je crois qu’il était heureux de nos échanges
au groupe d’entraide. Un de ses péchés mignons c’était le visionnement des
soaps américain à la télé l’après-midi, là je le comprenais moins. Peut-être y
trouvait-il un aspect sociologique, là il me dirait de pas tout
intellectualiser… J’ai jamais vu Michel désemparé, il était plein de ressource,
je me souviens pas l’avoir entendus nommer précisément sa maladie mentale il en
décrivait bien les symptômes par exemple. Il suivait bien ses traitements,
respectais ses rendez-vous avec les soignants. C’est dommage que ça finisse là…
On va s’ennuyer Michel, de tes appels, de ta haute philosophie. J’aimais bien
te rencontrer le lundi matin, ça démarrais bien la semaine. Mes sympathies à ta
famille à tous tes proches. Je fais une prière et j’espère continuer nos discussions
dans l’au-delà. J’écris cela pour qu’on ne t’oublie pas voilà c’est in
memoriam. Ciao!
Bonsoir! Bonjour! J’ai réussis à organiser ma
semaine prochaine. Le mois de novembre tire à sa fin, les publicités de Noël
sont commencé, un peu tôt… À tous les ans c’est la même chose, je pense aux
enfants de la super maman et de tous mes autres neveux et nièces… Je crois qu’ils
aiment noël et les cadeaux… Ça fait de grosses familles pour ma sœur et mon
beau-frère… Je sais pas si on va se voir je crois pas, d’habitude ça se passe
au téléphone, il est un peu tôt pour que j’écrive là-dessus… C’est la fin du
mois souvent difficile pour mes pairs… Je pensais à l’âge de la maison du patriarche
maison maintenant vendue, elle a plus de cinquante ans ça commence à faire de l’âge…
La semaine prochaine ça se passe à l’hôpital, je suis pas malade mais c’est
trois différents, l’institut universitaire de santé mentale de Montréal, l’Hôpital
Sainte-Justine et l’Hôpital Maisonneuve Rosemont… Je suis un patient
partenaire... Je me rétablis j’aime ça vous écrire ça… Cette semaine je me suis
bien reposé, j’ai travaillé un peu avec les collègues du Centre d’apprentissage
santé et rétablissement (Recovery College) on a beaucoup de boulot faut
préparer une formation sur la stigmatisation, j’en ai surement été victime ne
serait-ce que ces longues heures d’attente à l’urgence de l’hôpital maintenant
que j’ai moins besoin je connais les centres de crise ouvert vingt-quatre heure
sur vingt-quatre et leurs ligne d’appel. Après les fêtes je devrais avoir une
rencontre avec un psychiatre… Parais que les hommes consultent beaucoup moins
que les femmes moi ce que j’en sais c’est qu’ils préfèrent consulter des
charlatans plutôt que des professionnels… C’est vrai qu’une consultation en
psychiatrie ça laisse des marques, les stigmates dont je parlais tout à l’heure.
J’ai entendu parler de personnes qui avaient eu de la difficulté à se faire
soigner parce qu’ils avaient un dossier psychiatrique… Aujourd’hui je vous
illustre ça avec une photo du Pavillon Rosemont, ils avaient un étage psy, mais
je crois que tout ça a été transféré au Lahaise à l’institut… Rosemont c’est là
qu’on m’a traité, les soins étaient quand même correct, j’y suis allé plusieurs
fois jamais longtemps j’avais peur… Je pense qu’il y a aussi de la
stigmatisation dans le fait de partager une chambre avec quatre ou cinq personnes,
sans parler la nuit de cette lampe de poche qui vous éclaire le visage ça dort
pas fort… Je voulais aborder un sujet délicat, l’homosexualité je préfère ces
amis-là aux virils et ignorants hétéros… Ce que je cherche à vous dire c’est
que je sais pas et que je suis trop vieux pour avoir des relations sexuelles
avec un homme, je me suis débarrassé du désir je ne m’en porte que mieux…. Ce
soir je suis dans les confidences. Quelques mots encore avant la chute, la
conclusion heureuse de tout ça c’est que je me rétablis de la schizophrénie.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! Hier je regardais les hots rods sur les réseaux sociaux et je me rappelais
mon adolescence où j’achetais des revues spécialisées. Je sais pas si mon
lecteur de Deux-Montagnes se souviens, j’étais fou de ces bagnoles, c’étais des
rêves d’enfants. Souvenir aussi de la Challenger de VanishingPoint https://www6.123movies.st/watch/vanishing-point.r5nm/m232lopPoint limite zéro… J’aimais quand même
les voitures mais la vie s’est chargé de me dire que c’était pas pour moi… J’ai
pas d’anecdotes automobiles… J’ai eu que de vieux chars entre nous on appelait ça
des « bateaux » tellement ils étaient gros… Les voitures c’est pas ça
qui m’a fait travailler pour en avoir une… Je me rappelle j’étais malade
désemparé sans savoir où aller je passais de l’hôpital de Saint-Jérôme à celui
de Joliette, c’était la réalité de Laurentides-Lanaudière… Souvenir d’une virée
à l’hôtel Blainville avec un copain, on défiait la mort en fauchant les poteaux
de fer le long de l’autoroute six quarante, un poteau aurait été dans le
mauvais angle je serais pas là pour l’écrire… C’est la soirée de jeudi à
vendredi y’a longtemps déjà on les passait à la taverne, Radio-Canada à bien
tenter de les renipper avec ses émissions en direct de Chez Roger sur la rue
Beaubien dans la Petite Patrie mais la mode est passée… Hier un voisin semblait
désemparé je crois que la travailleuse sociale l’a accompagné à l’hôpital… C’est
étonnant avec le prétexte d’être authentique on peut dire les pires bêtises
dans un délire. Je m’assoyais près de la fenêtre au bar Saint-Laurent je
commandais une bière et je regardais les gens faire la file pour manger un
smoked meat chez Schwartch’z en face… C’était que le début de ma brosse où que
j’aille quoi que je fasse j’étais jamais bien, Plume Latraverse chantait https://www.youtube.com/watch?v=CMeh5p-WZjEc’était un peu à l’image de plusieurs
alcooliques solitaires… C’est toujours la nuit, j’ai dormis un peu me suis
préparé un café. J’ai pas rêvé, cette semaine j’ai écris un petit texte pour la
présentation de notre formation du centre d’apprentissage santé et
rétablissement, j’attends les commentaires des collègues… Cette semaine à été
tranquille elle a quand même passée vite… J’ai réussis à chasser mes idées de
fou, j’ai peur de l’alcool, j’avance lentement avec ce texte, cette année y’auras
pas de voyage je suis trop pris avec mes différentes activités. J’ai quand même
hâte qu’on réhabilite le Boeing sept trente- sept Max… Je pense au langage du rétablissement
de l’ alcoolisme et de la toxicomanie certains s’enferment dedans et n’arrivent
pas à communiquer autrement, c’est triste ils ont juste changer de prison… J’aime
pas les dialectes, me semble que la spiritualité c’est plus que ça. J’arrive à
la conclusion que comme toujours je ne sais pas comment construire. Quelques
mots encore j’espère n’avoir blessé personne… L’épilogue, la chute c’est jamais
facile de l’écrire, j’ai de la difficulté à renouveler. Je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! Lâchez-pas on y arrive. Je termine, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!!
Bonsoir!
Bonjour! Bon ça m’apparait impossible de ne pas utiliser la première personne
du singulier c’est mon histoire après tout. Mon journal aussi, donnez à lire… Il
vous raconte les différents « événements » quotidien. Même si il ne
se passe pas grand-chose on trouve toujours… C’est plus fort que moi m’y voilà…
C’est ennuyeux de suivre cette contrainte… Hier soir on a mangé du pain de
viande il était délicieux, la première personne du pluriel n’est pas beaucoup
mieux surtout quand on s’y perd avec la troisième personne du pluriel, on vous
parleras pas des temps c’est trop idiot… Une chronique sur rien comme souvent
en manque d’inspiration, au hockey le score est égal… Finalement en me prenant
comme sujet pourquoi pas, quelques mots pour décrire les événements cérébraux
faire part de l’activité du rhizome… Dans quelques heures c’est jeudi avec
toujours les mêmes souvenirs… Le grand bédéiste français, Bilal est à Montréal
son dessin n’a qu’admirateur et admiration, un grand artiste… Vous avez
surement déjà vu ses dessins sont gras mais d’une beauté… Semaine calme et de repos,
souvenir de cette littérature du retour à la terre ç’est encore présent avec
toute la dialectique écologique, le tofu et tutti fruti mal dis. Bon maintenant
c’est d’illustrer tout ça, ça gueule chez les voisins… Le sommeil est là… Hier
l’intervenante était très occupé en fin de soirée avec gentillesse elle a pris
le temps de me dire qu’elle aurais plus de temps pour moi aujourd’hui…
Voilà!Jusqu’ici c’est sans première
personne du singulier, il faut surtout rien briser la tentation est grande d’y
aller dans la facilité. Pas de rêve ni de cauchemars, les voisins ont le
sommeil lourd ils ronflent… Le téléviseur aurais peut-être besoin d’être
changé, encore une dépense vaut mieux attendre après les fêtes… Tout ça pour
plaire à ceux qui détestent la première personne semble que ça montre une plus
grande ouverture une plus grande générosité moins de narcissisme… Mais c’est
quand même de moi qu’il s’agit, de mon senti… Moins intime c’est vrai,
peut-être que vous n’aimerez pas ça mais l’impression c’est que les personnes
du pluriel ont plus d’ouverture à l’autre… Écoutez les amis vous n’appréciez
peut-être pas cette contrainte mais c’est un bel exercice, c’est vraiment plus
difficile cette prosodie… Voilà! On y arrive après la relecture ça va le faire
aucune idée de comment illustrer ça, presque brisé l’idée de base… Pour cette
fois ça va vous me trouverai peut-être embêtant on est maintenant avancé dans
la nuit. Quelques mots encore, une conclusion digne de ce nom, la chute, l’épilogue
en pensant à vous lecteurs lectrices, dehors y’a une voiture de police, y’a
peut-être quelqu’un dans le besoin dans l’édifice… La voiture est partie… C’était
ça pour cette nuit vous me direz si vous avez apprécié, c’est juste toujours
plus difficile… Vous en avez peut-être assez. Comme toujours ce sont les
remerciements d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Au revoir!!! À
bientôt!!! On y est arrivé!!! Bonne nuit!!! Bonjour!!!