mardi 10 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai passé la soirée couché beaucoup apprécié le commentaire d’une lectrice. Ce midi c’est le lancement d’une vidéo auquel j’ai participé… Je devrais avoir plus de détail pour une entrevue vendredi…Je pense  à cette jeune fille qui souffre de schizophrénie dont la super maman m’a parlé. Je lui souhaite bien du courage pour passés au travers de ces années de plomb… Ce que j’ai trouvé difficile c’est de recommencer à zéro après chaque psychose… et aussi avoir l’affect déglingué qui s’acoquine avec les mauvaises personnes… En fait c’étais des gars que j’avais fréquenté pendant des années, je les ai abandonné pour le mieux. Semble que la jeune fille se promenait nue dehors, j’ai souvent eu cette idée mais je l’ai pas fait je voulais  pas me faire embarquer pour indécence même si en réalité c’est un appel à l’aide… La nudité et le sentiment de puer voilà deux symptômes…  Y’a longtemps plutôt que de vous écrire j’aurais signaler le neuf un un avec une grande tension après avoir discuté avec la téléphoniste ils auraient envoyé l’ambulance pour l’hôpital … Et on m’aurais installer sur une civière devant le poste afin que je ne pose pas de gestes malheureux… J’essais de me souvenir comment c’était y’avait foule chez moi deux ambulanciers et deux policiers dont une policière qui mettaient ses gants, je crois qu’elle s’attendait à ce qu’il y ais du grabuge… Bientôt les nuits seront froides  y’en a qui vont chercher un abri pour un peu de chaleur, maintenant il est un peu tôt… J’ai dans le nez une odeur de bière et de sueur comment pouvais-je croire que c’était possible de draguer les jeunes filles avec cette odeur là…À la brasserie ça sent les œufs pourris… Dernièrement je racontais à la matriarche comment j’étais heureux d’avoir mon passeport elle m’a répondus qu’il y avait pas de criminels dans son milieu, chez ses enfants… J’ai vraiment pas beaucoup d’imagination c’est toujours un récit mal fagoté… Je me souviens je sortais la nuit comme si rien n’étais, on me disait que c’était dangereux mais j’en faisais pas de cas… Le night-life c’est juste bon pour développer un hang-over le lendemain… J’avais deux où trois endroits de prédilection dont une brasserie qui a passé au feu y’a longtemps… Parfois je terminais la soirée fauché et je marchais longtemps de ces bars du plateau à chez moi, je dormais debout. Tout ça c’est toujours l’histoire d’un poivrot…. Voilà je vais essayer de terminer en rafale pour ensuite aller au lit dormir et être prêt pour demain midi… Cette nuit il pleut ça me rappelle la bruine de San Francisco. Je termine bientôt avant minuit, je suis toujours content d’être seul chez moi et de vous écrire… Ce soir la paranoïa était pas trop présente… Pas de grandes angoisse… Voilà c’est la chute, j’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je cherche toujours à écrire un mot de la fin décent. À la prochaine j’espère!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je sais pas trop comment démarrer, je pense à l’Espagne où je suis allé y’a quelques temps à l’architecture du musée de la reine Sofie. Y’a rien de nouveau là-dedans… Je suis pas Saint-Exupéry… J’ai fait la sieste une bonne partie de la matinée. Je reviens toujours à mon senti… La journée est fraîche, maintenant je me censure j’écris pas tout ce qui me passe par la tête… J’avais oublié que je faisais chauffé le four, j’y ai mis des macaronis… Même un schizophrène peut avoir parfois la tête vide… Je dirige mes voix comme un chorégraphe, un metteur en scène, le silence dans ma tête me fait parfois peur… Ai mangé les macaronis, étrangement y’a un parfum de bubble gum… C’est la journée mondiale de prévention du suicide ça viens avec la schizophrénie parfois je pense à ça… Je pense à tous ces jeunes qui sont partis… Je vie une journée à la fois. J’ai pas de courrier… Je pense aux psychologues à comment ils sont en demande… Y’a longtemps y’en avait un qui me suivait il m’a aidé à arrêter de boire… J’attends que le climatiseur démarre, je fixe l’écran, c’est pas très poétique… Je suis pas le champion de la belle métaphore… J’ai démarré le climatiseur, il semble fonctionner correctement. C’est un peu plus frais… Je sais pas pourquoi j’hésite à écrire j’ai que cette histoire de climatiseur dans la tête… C’est une obsession… Quand on a rien à écrire le sujet c’est les mouches… Je laisse le climatiseur il va se fermer seul, vous avez raison c’est pas Dostoïevsky, je fais ce que je peux avec ce que j’ai… Aussi bien vous l’écrire je suis vide, quand je suis pas paranoïaque je deviens muet, ceux qui me lisent et qui ont des désirs de suicide, téléphonez faites un appel à l’aide… Si vous saviez comme j’ai envie de sacrer le camp, j’ai trop d’occupation, je peux pas, je partirai peut-être le printemps prochain…. Je suis tout mêlé je me crois au printemps on est à l’automne… Le climatiseur s’est fermé, on en a rien à faire… J’essaye de soigner mon langage, c’est très domestique ce que j’écris… La matriarche m’a téléphoné ce matin, j’étais la première personne à qui elle parlait ça m’a fait plaisir… Je vais arriver à vous écrire quelque chose de lisible, je suis pas obligé de toujours sonder les profondeurs du désespoir… Bon! Demande d’entrevue pour vendredi, je dois donner la réponse demain, je crois que je vais la faire… Il est toujours question de ma paranoïa, comment parfois j’interprète mal les expressions humaines… et comment je vérifie où me raisonne. Voilà! Je suis presque arrivé à la chute, quelques mots encore pour vous dire comment ça a été difficile de vous écrire aujourd’hui, j’aurais aimé écrire quelque chose de nouveau mais l’inspiration y étais pas. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Vous pouvez me quitter je veux juste vous souhaiter à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Me voilà de la nuit, j’ai un peu dormis, je vais me concentrer sur mon senti. Aujourd’hui c’est tranquille côté boulot… Le climatiseur est brisé le radiateur gèle… Je l’ai arrêté… pour le redémarré, il s’est arrêté tout seul… C’est un senti de pas grand-chose, cette nuit y’a un parfum de mauvais vin… Je me serai cassé les dents avec ma tentative de déboulonner de défaire le mythe d’Emile Nelligan… Je l’ai pas très bien compris sans le relire pour ne pas m’imprégner de ses œuvres les plus fortes aussitôt qu’on tiens un crayon et qu’on a écrit quelques malheureux vers on dis de vous que vous êtes un poète, pourtant le conseil des arts du Canada se promène pas beaucoup dans les institutions pour psychotiques… Quoi dire de la pratique des Impatients, toute ces œuvres qui dorment produites au cours des ans, ça a vieillis… On transforme l’occupationnel en art… Je sais pas pourquoi je pense à Antonin Artaud et son « Suicidé de la société » Van Gogh… Je suis rien et je m’attache à ces histoires artistiques. À quoi bon… Je sais pas ce que c’est que d’être un artiste dans ma fratrie on dirais t’est pas sérieux… Encore une fois le mot prosodie qui reviens me hanter un autre, autofiction qu’on laisse aux femmes… Ça m’auras donner quoi ces tentatives d’écriture? Les arts c’est à Radio-Canada pas à l’institut universitaire de santé mentale de Montréal bien que parfois on couche dans le même lit… J’ai de la difficulté à m’analyser faire voir ce qu’il  y a à l’envers de mes écrits, peut-être rien, le néant tout simplement… Poète j’aurais pu trouver mieux, faire mon droit entrez au Barreau et défendre des crapules riches pour ensuite acheter des tableaux et les suspendre dans mon bureau… Voilà je crois que je vais me rendre cette nuit, y’a plus de batailles plus de combats, on laisse mourir les défavorisés cérébraux, ils pensent juste mais en ont assez… Mardi, tout ça c’est pas comme si je travaillais de sept à quatre… Le camion balais passe dans la rue, c’est tout ce que je peux dire de la « vrai » vie… Demain je serai à l’institut sur l’heure du midi… J’espère bien me rendre jusque-là…  Parfois je me sent, c’est un senti d’enfer, je brûle pour l’éternité mais ça va s’arrêter tout à une fin… Même l’enfer sur terre, la schizophrénie… Je vais parler de mon expérience, de mon parcours dans et avec la maladie de mon rétablissement aussi c’est important… Je sais les jeunes hommes qui débutent dans la maladie veulent tous avoir une copine et du boulot sans prendre le temps de se rétablir, les mêmes désirs que les autres. Voilà c’est la chute avec toujours cette difficulté pour conclure, j’aurai livré une bonne bataille à la nuit, je suis resté debout. Je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard




lundi 9 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur est très mêlé pour pas dire mélangé cet après-midi… J’avais faim j’ai mangé côte de porc, brocoli, pomme de terre et carotte c’était bon… Je vous parlerai pas de mon implication au CIUSSS de l’est de l’île de Montréal… Ce midi j’ai prévisionné une vidéo dans laquelle j’apparais, je vous la montrerai après le lancement mercredi… J’attends des nouvelles du Centre d’apprentissage Santé et Rétablissement du modèle Recovery College… J’essais de voir clair dans tout ça… Ma paranoïa est toujours présente, je devrai faire attention à mes différentes activités… Je partirai en voyage beaucoup plus tard, peut être une nouvelle visite à Paris dont je me rappelle l’odeur ce soir… Lyon aussi semble extraordinaire, les photos de mes deux lecteurs sont très bonnes… Ici le soleil est là ce soir, ma journée à été bien remplis, j’aime ça je suis pas trop fatigué j’ai évité la circulation dense dans le métro… Je me prépare un café, je me sens bien cette fin d’après-midi… J’ai pas des pensées trop tordues. Je pense à l’illustration que je vais placer peut-être une sculpture du musée d’Orsay… La jeune cinéaste me racontais vouloir travailler avec les itinérants… Elle veut leurs donner des cahiers et des livres j’ai peur qu’elle soit déçue, souvent les itinérants ne pensent qu’à consommer remarquez c’est peut-être moi qui est remplis de préjugé, les livres c’est une amorce c’est mieux que rien… Seize heure vingt-quatre les gens rentrent à la maison, d’autre après le boulot vont étudier pour améliorer leur sort. Moi je suis chez moi dans le goulag occidental, j’attaque la rédaction, y’a qu’ici que je peux écrire… J’aimerais que ce soit fort, souvent la littérature est forte quand il y a des morts du désespoir de la violence. Je peux pas écrire ce que je vie pas… La seule mort qu’il y a ici c’est une mouche… Je manque de mots, je sais plus trop quoi raconter… Je me rabat sur mon senti… Lentement je descends c’est comme si le bonheur de cette journée me quittais, pas moyen de rester léger, l’âme deviens grave et s’appesantis… J’en peux plus mais je veux pas cesser, tout à coup ça deviens torride, j’attends que le climatiseur démarre… La rentrée est bien entamée, lundi de profs et d’école… La seule rentrée que je me souviens est celle où je me suis fait mettre à la porte. Je vous en parle souvent c’est marquant… Ça fait si longtemps c’est plus tellement grave, ça pourrais même être drôle, le plus court séjour dans une école privé, un juvénat comme ils disaient… Quelques heures et dehors on appelle ton père, je les soupçonne d’avoir voulu lui soutirer de l’argent, ensuite c’était pas terminé un oncle avait voulu m’inscrire en éducation spécialisé, le patriarche l’avait pas pris, tous mes espoirs s’étaient envolés… Je délire encore là-dessus ça fait presque cinquante-ans. Je termine c’est la chute je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 8 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Comme souvent j’arrive pas à dormir. Je veux pas vous raconter mon passé c’est terminé. Je pense au copain avec qui je buvais, à comment je tenais des propos d’abrutis ça fait au moins trente ans… Ce soir ce seras plus sur mon senti en m’excusant auprès de la blonde du copain pour toute les insultes que je lui ai fait… Bientôt ce seras la saison des pommes, je suis trop vieux pour trainer dans les vergers. J’ai jamais beaucoup aimé les pomiculteurs, ils m’ont toujours renvoyé je crois que mon rendement était pas suffisant. Maintenant je paye les pommes que je cueille pour ma consommation personnelle . Je devrais me pendre aux branches du pommier… Quand j’allais au verger je voulais juste faire une saison et quelques dollars honnêtement mais ça semblait pas suffisant… Travailleur agricole y’a plus un québécois qui fait ça, ce sont tous des mexicains et des sud-américains… Maintenant je suis plus dans les fruits et légumes je suis dans la santé mentale que j’essaye de soutenir par mes différentes implications, y’a pas de sot métier mais maintenant le travail manuel m’horripile. J’aurai essayé, mon idée c’est d’aider ceux qui souffrent, ne pas les laisser faire les mêmes erreurs que j’ai faites et se rétablir plus vite… Je sais le rétablissement c’est pas une course mais si on peut s’éviter des problèmes pourquoi pas… Au pire de la maladie je respectais pas mes valeurs, j’en avais que pour l’argent et la booze rapidement je devenais psychotique… lentement je me tuais. Quand j’étais jeune la matriarche voulait que j’aille aux fraises mais là aussi y’avait pas une cenne à faire, c’était travailler dur pour pas grand-chose, je sais pas ce qu’elle pensait j’aurais jamais fait assez d’argent pour payer ma pension… Tout ça est partie sur le bord de la maladie, j’avais quand même peur de me faire soigner… Mon premier psychiatre un haïtien à qui l’infirmière reprochais de n’en avoir que pour le médicaments… C’est souvent le cas, les souvenirs bientôt je serai trop vieux le moment présent auras filé plus rien à me rappeler que ce temps avec le clavier et l’écran… Voilà minuit qui arrive… Ce matin c’est la réunion du groupe d’entraide, plus administrative celle-là , on est retourné dans les murs de l’institut je sais plus trop pourquoi. J’aimais pas l’accueil des intervenants de cette ressource… Je termine et je retourne au lit, le climatiseur fonctionne encore très bien, cette nuit pas besoin c’est frais, il démarre et arrête automatiquement… Quelques mots encore abandonnez moi pas ici, je sais bien que je suis pas Claude Meunier que j’ai pas son humour, je crois pas que vous me lisez pour ça… J’étire un peu la sauce finale, Voilà c’est la chute je vais essayer de la transformer c’est jamais simple. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ceux qui veulent se tordre de rire qu’ils aillent voir François Avard. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je laisse tomber pour le Vietnam c’est compliqué avant de partir, ça risque de l’être encore plus là-bas…  Rome, l’Italie peut-être moins exotique mais plus dans mes cordes… Un vol moins loin et en tout et pour tout moins cher je crois… Je trouve ça fatigant d’avoir ces obsessions de départ… Dans le courriel la bullshit d’une jeune fille qui cherche l’amour, bein voèyons!  J’ai vu dans le journal qu’il y a des endroits pas trop achalandé à Rome, j’irais peut-être aussi à Florence… Je sais pas si c’est un vol direct de Montréal… Le Vatican c’est certainement très beau… Je vais me préparer un café, c’est dimanche une journée toujours tranquille, à l’époque au bar y’avait des shows, J.D. Slim et le Blue Rocket Spécial, McGale-Smallwood et quelques autre j’y passait mes après-midi à gueuler pour les applaudir… Le Colisée de Rome c’est surement bien et y’a probablement des bistros pas loin… Je sais pas, je sais plus si je vais partir, y’a toute mes activités que je veux pas mettre de côté… C’est important ça fait partie de mon rétablissement, je préfère être à Montréal en cas de pépin… Souvenir de ce bistro Italien à San Francisco, c’était bien, je crois vous l’avoir déjà mentionné. Bientôt l’automne, déjà!... Je crois que mes lecteurs de Gatineau sont maintenant en France, j’espère que leur voyage débute bien… Mon lecteur de Deux-Montagnes à amener sa station-wagon de collection à l’exposition de l’île des Moulins à Terrebonne, belle voiture… Je suis vraiment vide, j’arrive pas à vous traduire mon senti en mots… Le téléphone sonne pas et j’ai essayé de faire la sieste j’y suis pas arrivé. J’ai bu mon café… Je pense qu’il y a beaucoup de choses à voir en Italie, les lieux de tournage de Pier Paolo Pasolini… Je pense que juste flâner c’est quelque chose à faire… Les lecteurs de Gatineau sont à Lyon qui est une belle ville, j’aimerais beaucoup retourner dans ce coin là, je vais vous illustrer ça avec une photo de la grande rue piétonne dans le temps le week-end. Ça fait plus de trente-cinq ans… Les voyages ça me fait toujours rêver, je serais prêt à partir quand vous voulez… J’aime quand même beaucoup La France… Ce sont nos cousins, j’aime à pensés ça… Demain à la réunion la jeune stagiaire française devrait être là… Elle avait bien dis qu’elle serait de retour le neuf je crois… Je regarde les photos des voyageurs, ça m’emballe… J’ai encore le temps, j’irai bien à un moment où l’autre… Je sais plus trop comment terminer ce texte, la chute c’est toujours difficile… J’ai hâte de voir les photos de Provence. La pièce s’est lentement réchauffé, ce matin j’avais laissé la porte ouverte. C’est humide, je sais pas comment est la température là-bas. Voilà je termine c’est la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Abandonnez pas tout de suite j’ai le message de la fin. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 7 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Les lecteurs de Gatineau sont présentement en vol pour Lyon… L’amie intervenante est arrivé chez elle à Agen… Pendant ce temps-là je suis chez moi et je doute de mon voyage au Vietnam, la matriarche m’y fait y pensés deux fois. Je vais attendre avant de prendre une décision… C’est certain que c’est un long voyage en avion mais j’irais pour le dépaysement, y’a qu’un train du nord au sud… En arrivant je me reposerais dans un hôtel d’Hanoï. J’ai lu différentes choses sur le pays les gens semblent avoir aimé… J’arrive pas à vous décrire mon senti… Je crois qu’il y a des hôtels pas très cher… Cette nuit il pleut, je suis de tout cœur avec les voyageurs. Je regarde la saison où je partirais, je suis prêt à retarder ça… Ici j’ai jamais entendu d’histoire d’horreur de gens qui sont allé au Vietnam… Y’a quatre classes de train banquette, fauteuil et couchettes un et deux… Je vous l’écris et j’ai de plus en plus envie de partir. Je vais faire des économies… C’est la nuit de samedi à dimanche, on me conseille même de retourner où je suis déjà allé, j’y pense… Cette semaine je vais acheter un guide sur le Vietnam si ça existe… Y’en a  mais c’est sur toute l’Asie du Sud Est… Y’a des amis de ma lectrice de Gatineau qui y sont allés ils ont aimés… Je sais pas si ils se sont bien relevé de la guerre… Comment accueillent ils les voyageurs solitaire?  Je rêve encore d’avions et d’aéroport… J’ai peur de me faire embarquer dans une gamique… J’irai pas en voyage organisé j’aime pas ça suivre un groupe. Je sais pas ce qu’on peut manger dans la rue… On me dis qu’après un si long voyage c’est mieux de rester plus longtemps… Tant qu’a y être pourquoi pas visiter le temple d’Angkor au Cambodge ça semble pas loin… Je vous écris et c’est comme si je faisait déjà le voyage… Je veux pas avoir d’ennuis avec la police les autorités… Je me renseigne et je me donne jusqu’au printemps pour partir… J’essais de pas me faire de scénario… Le Vietnam ça semble un beau pays, je veux le traverser en train, c’est un peu mêlant je crois pas que le train est en bord de mer… Je veux voyager de jour pas la nuit. Je crois que ce voyage-là pourrait être sympathique … Tout à coup je suis bien réveillé c’est vrai que j’ai pris deux cafés… La matriarche m’a dis que mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord avait eu des problèmes quand il est allé là-bas. Je crois que c’est parce-qu’il est allé chercher quelqu’un… La photo d ’aujourd’hui est de lui… Il en était à son deuxième voyage je crois… Voilà, c’est la chute, comme toujours j’ai de la difficulté avec la conclusion, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! L’épilogue c’est pas simple. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Bye!!! Ciao!!!

Bernard