mercredi 14 août 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens encore aujourd’hui dehors c’est très beau temps… C’est difficile de trouver un propos cohérent. Je pense aux boissons gratuites au Beresford de San Francisco c’était sympathique, la chambre étais tout petite mais j’avais pas besoin de plus que ça… J’ai toujours pas d’idée pour ma prochaine destination… J’apprécie qu’ont ais pas le droit de fumer dans les appartements de l’édifice, c’est moins dangereux. La semaine passée y’a eu une alerte tout s’est bien passé… J’aimerais beaucoup avoir quelqu’un pour partager mes marches et mes voyages… J’ai un ami qui veux s’acheter une maison dans Charlevoix, je comprends pas… Charlevoix c’est beau mais j’y suis allé trop souvent, j’ai vécu de mauvaises expériences, la solitude dans un si beau pays… Je pense aux gens qui ont un air cool et détendu, j’aimerais bien être comme ça… J’ai plutôt l’air d’un bôf… Dans deux jours ça fera vingt-six ans que j’ai pas consommé d’alcool et de drogues, un jour à la fois s’entend… Je pense aux amis qui m’ont aidé et qui sont malheureusement partis, je leurs dis quand même merci, je suis sûr qu’ils peuvent me lire là où ils sont…Aujourd’hui l’angoisse est moins lourdes, ça va mieux. J’ai vieillis aussi… Je suis plus très jeune, je parle à la matriarche elle va bien, je crois que ça lui fait plaisir que je m’informe… Je sais vraiment pas vers qu’elle destination je pourrais aller, moi aussi la Provence peut-être, mais ça va prendre pas mal de temps et y’a aussi le fait que je ne bois pas d’alcool. Je voulais vous demander de me signaler si vous me lisez, ça m’encouragerait… Je sais pas pourquoi j’ai encore le souvenir de cette déchirure que je m’étais fait dans le visage, ça me sers à rien de me rappeler de ça… Je sais ce que j’écris ça reste de l’ordre de la confidence, du succès d’estime, c’est pas viral… Pourtant c’est toujours un plaisir d’écrire… Je m’étais toujours dis que je payerais pas pour faire ça, mais la machine est là, elle sers à ça entre autre chose… Y’a quelques activités qui vont se présenter en septembre et en novembre le congrès de l’Association Québécoise de Réadaptation Psychosociale, j’y suis à trois endroits dans la journée. Je crois que je vous l’ai écrit ailleurs… Bon! Tout à coup l’autodénigrement apparait je sais pas pourquoi… Je vous l’écrirai pas, je fais de mon mieux… Je crois que c’est vrai que tout travail que l’on fait mérite d’être bien fait… Le talent oui! Mais le travail et la sueur aussi… Je sais pas pourquoi je pense à la photo qui va servir à mes funérailles, j’ai pas l’intention d’en finir aujourd’hui…Bon! J’en suis presque à la chute, quelques mots encore les plus difficiles ceux de la finale, je veux que ce soit différent mais le souffle y est pas. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ça donne ça pour cet après-midi. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai chaud, ai démarré le climatiseur, désolé d’apprendre que mon lecteur de Mont-Bleu et sa famille ne seront pas à la fête d’été… Il fait encore nuit, j’ai rêvé que je me faisait faire une coupe de cheveux. Toujours au même endroit dans mon écriture j’évolue pas vite… J’espère que tout va bien pour mes amis de Mont-Bleu… Faut pas que j’arrête de vous écrire sinon je terminerai pas… Je trouve plus la photo de mon envois sur mon journal Facebook, c’est pas grave je crois que vous l’avez… Je passe au mode émotions, sentiments, toujours souvenir d’un gars à la brasserie qui voulait que je lui récite un poème, j’avais réussis qu’à lui parler de buzzwell, à cette époque j’avais encore moins d’estime de moi qu’aujourd’hui c’est  tout dire… Quand je vous écris la nuit je vois pas le temps passé encore souvenir de la lourdeur des jours de ma jeunesse, j’étais pas juste hangover mais intoxiqué… Je sais je devrais pas vous parler de ça… Je pense à cette chanteuse qui s’est mis nue devant la caméra pour combattre la stigmatisation lesbienne… Je trouve ça un peu facile… Si j’avais que ça à faire dans ma lutte contre le stigmate de la schizophrénie mais c’est plus compliqué que ça… Lentement la nuit se termine, je continue dans mes sentiers « littéraire » Je sais pas pourquoi j’entends « Goodnight Irene » c’est si simple à lire mais ça prend tellement de temps à écrire… J’espère que le malheur frappe personne de ma tribu… Quand j’écris ça fait partie de ma lutte à la stigmatisation. Je sais pas trop, ça fait partis du discours à développer sur le rétablissement de ne pas abandonner, de ne pas être dans le déni et d’accepter de se faire soigner… Parfois, souvent même, c’est lourd… Je suis pas parfait mais je dois montrer que je fait des bonnes choses en rétablissement que je milite pour les droits et devoirs des personnes en rétablissements. Je pense à l’expérientiel parfois j’ai l’impression qu’on a laissé tomber tout ça, mais c’est important de montrer qu’on peut faire du chemin avec notre expérience… Moi je me cache pas pour dire que je suis en rétablissement, je veux pas écrire que je suis malade c’est trop négatif je souffre beaucoup moins…Mais oui, il faut prendre les devants de la scène faire des choses positives et pas se laisser agresser par la maladie… Schizophrène, j’aimerais pas que le mot disparaisse il est trop chargé d’histoire, de souffrance la mienne et celle des autres c’était trop intense je voudrais pas l’oublier en rayant un mot important… Je suis pas un monstre, je sais c’est cliché mais c’est important de le dire. Voilà! C’est la chute encore une fois je veux terminer d’une façon différente… Le jour se lève et je vous quitte, je vous reviendrai peut-être en fin de journée. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots de conclusion. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 13 août 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est encore moi, avec une gentille odeur de soupe au pois… Ça grouille un peu dans mon âme, je démarre, je suis un peu angoissé par mes participations  dans un colloque mais je vais être capable de les faire… C’est au mois de novembre j’ai le temps de me préparer, j’anticipe trop… Hier j’ai regardé l’émission Découverte sur les avions c’est fascinant… Les petits trains de France, j’aime bien aussi, de magnifiques villes et villages de fantastiques paysages… Je suis loin de mon monde intérieur qui est toujours difficile à écrire… Hier je disais aux amis que je voudrais pas retourner dans la lourdeur maladive de mes vingt ans… Ce matin je suis sortis au marché et en revenant j’ai fait la sieste… C’est le mois d’août mais c’est toujours l’été. Mon ami agent de programmation m’a téléphoné pour me rassurer, c’est bien… J’écoute pas nécessairement ce qui se passe dans ma tête, j’écoute plus mon âme pour moi elle se situe au même endroit que le cœur… C’est difficile de vous dire, je veux pas être laconique, ouais! Vraiment c’est toujours le désir d’écrire, je crois que tout le monde est capable de faire ça. J’y arrive un peu… Les éboueurs passent, c’est vraiment ça la ville… J’ai une odeur de parfum c’est étrange après les déchets… Pour le congrès je crois que tout va bien se dérouler, je me répète… Avec les collègues on va préparer notre présentation, ça devrais être bon… On fait aussi une reprise du monde de Clémence, et je fait un livre dans un atelier sur les stratégies de contact… Ce seras une journée très occupée… Y’a beaucoup de motos qui passent, ils en profitent avant l’automne… Ma lectrice privilégié est à la Conception, elle pêche, un achigan a mordus… Dans le corridor, les escaliers, ça sent la peinture c’est pas nécessairement mauvais… Je regarde un peu les appartements sur le plateau, ça a pas de bon sens mille cinq cent dollars par mois pour un cinq et demie… Je reste où je suis… Je regarde les amis qui étaient, qui sont où qui vont être en voyage je les envie mais à un moment ça va être mon tour… Lentement tout rentre dans l’ordre, quand c’est comme ça y ‘a un calme qui s’installe… Je pense à la paix qu’on a ici, comment on est heureux… La guerre je l’ai connue au début de ma schizophrénie et quand mon alcoolisme m’a battu… Je reste calmement chez moi et je ne vais plus me battre avec des fantômes.  J’arrive à la chute, je veux écrire différemment je sais pas si je vais y arriver… L’écriture me garde pas prisonnier, je veux juste me tenir me libérer… Voilà! J’ai presque finis pour cet après-midi, les mots m’auront encore une fois aidés. C’est pas rien… Je veux écrire une finale différente c’est difficile. Enfin! Comme toujours je vous remercie pour le plaisir que vous me faites de me lire. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 12 août 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Pas de nouveau cette nuit. J’écoute plus la regretté poétesse j’écris pas tout. Y’a une « école » de poésie qui est disparue avec le regretté libraire érudit du chercheur de trésor… J’ai plus envie de reprendre la rue et de la chercher la poésie avec mes compagnons anarchistes. Eux diraient « Je veux mourir à mort! » Je pense à la matriarche qui dis « s’t’est pauvres enfants! » si la poésie meure chez toi le poète dirais « appelle la police! ». Pendant ce temps-là on confond le psychotique avec le poétique, les vers de mirliton avec « la résurrection » le Whal mart c’est la bonne adresse, ils vendent la mort… « la poésie mortelle entre deux cans de beans ». Moé comme un beau « bozo » je cherche le poème dans le menu du snack bar « étouffé par le pogo ». Vous voyez pas vous voyez donc pas que la poésie se meure dans le plastique du pacifique, dans les bouteilles de vin du cinq à sept où on ne fait rien… Je t’entend me dire que je suis pas plus authentique qu’un « comic de gomme bazooka à cinq cennes ». Mais non c’est pas l’épiphanie, c’est que la surface « vinyeuse »… J’ai pas mon permis on m’a entouré, ankylosé de mots qui fuient… J’ai la phrase molle  comme « un cornet de crème à glace » pis y ‘en reste plus de « pop sicle à l’orange » pour se sodomiser c’est collant et fondue… et on nous dis que la planète va survivre si on change le steak haché pour le tofu, pendant ce temps-là la boucherie du supermarché dérougis pas, du « tartare barbare » pis on crève de faim en essayant de faire un budget avec rien… Quand tu mange ce que les autres te donnent faut que tu te « farme la yeule » et dise merci… Je devrais apprendre à nager au milieu de l’apocalypse, j’ai plus de chance de survivre mais pourquoi? Je suis « fier le pape » sans savoir ce que je veux dire, on va nous faire une grand messe dans les antilles… Je sais pas si pas loin des écoles y’a toujours des endroits ou on vend des bonbons à « cennes » où on scrappe  les dents des enfants. Envoèye mon Bob avance, t’est peut-être dans les livres mais… De temps à autre c’est le chocolat ça me réveille quand je suis en « crisse craft » Je me bouscule, je mange des biscuits en m’espérant m’en prendre à cette salope à ce compte-là tout va dans le dallot… Tout ça branle dans le manche… Je pourrais m’appeler Aurore et me brosser les dents avec du savon… J’ai rien de très salaud à dire… Voilà! J’arrive presque à la chute, une tombée drastique? C’est ça pour cette nuit on est pas chez les rhinocéros. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard




Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il fait quand même beau temps, ce matin j’ai eu une réunion assez difficile mais les gens ont des problèmes de santé mentale pas des cors aux pieds… Lentement je me réveille de ma sieste… Ce soir ce seras une petite soirée télé après la réunion des locataires, j’ai enregistré les émissions… Le climatiseur est très utile j’attends qu’il redémarre la réunion est en début de soirée. Fin août je suis invité chez la super-maman si y’a un lecteur qui a une place dans sa voiture je la prendrais bien… J’aime beaucoup ces réunions familiales. J’essais de pas répéter mon dire scripter… Un nouveau ton c’est ce qu’il y a de plus difficile, le fond avant la forme… Je prends mes visionnements télé comme des devoirs pourtant mon lecteur de Deux-Montagnes me dirais que je fais fausse route. Faut que je reste simple que je vous parle de mon quotidien, je suis debout depuis quatre heure ce matin, la journée a passée j’ai rien vu… À tous les jours je vieillis, y’a personne qui a trouvé le moyen de faire autrement… J’ai pas envie de m’abaisser, je veux juste rester au bon niveau. Écrire c’est un geste qui me passionne, j’essaye de grandir spirituellement à travers ça. Des fois ça le fait d’autre fois pas… Je sais vous diriez reviens en! Mais y’a pas de retour possible faut y aller à fond au fond… Je suis ma respiration, ça donne du rythme mais je suis désolé d’avoir perdu la musique, je courre après mais j’ai pas la note c’est toujours moins bon surtout quand on fait attention de pas répéter ce qu’on a déjà écrit, déjà dis… J’aurais aimé être musicien mais je suis écrivain y’a rien de divin… La poésie m’a laissée, je suis condamné à l’éternité… Je vous avoue c’est des gros mots orgueilleux. Ce matin on a parlé d’authenticité comment c’est important, mais on peut pas, on doit pas tout dire à tout le monde quand même j’essais d’y arriver avec ce que vous lisez en ce moment… La compagnie de communication viens de me téléphoner pour s’assurer que tout est o.k. mais oui! Voilà! C’est difficile de reprendre, surtout que je veux y aller avec la bonne humeur, vous allez peut-être trouver ça niais mais moi j’y tiens! Y’a mon surnom d’enfance qui me reviens en tête Beaver! Je crois que c’était à cause de mes dents. J’écris souvent que j’ai pas aimé mon adolescence, mais au début j’avais du plaisir avec les copains, ça s’est gâté plus tard, je crois que la schizophrénie commençait à se manifester… Je savais pas, on sait jamais avec ces maudites maladie là… J’avais beau courir ça me soignait pas… Tout ça c’est moins drôle, j’ai pas ris longtemps… J’étais pas, et je suis toujours pas drôle… J’aimais quand même bien me payer la gueule des clients au bar, ce sont quand même eux qui ont eu raison quand ça a mal tourné. À la prochaine j’espère!!!

Bernard




dimanche 11 août 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je bois un café pendant que je vous écris. C’est quand même humide chez moi, j’apprécie beaucoup  vos commentaires ça donne du dynamisme à l’ensemble, y’a une autre excellente émission, Cap Sud- Ouest  aujourd’hui c’était sur le Cap du Midi d’Ossau des paysages champêtres fabuleux qui donnent envie de s’acheter des bottes de marche et de partir en randonnée. Va falloir que je le fasse un jour… Je peux pas m’empêcher de pensés au « Génie des alpages »  une grande bande dessinée de F’murrr, y’a la transhumance aussi que j’aimerais faire avec les troupeaux… Y’a eu une émission où le jeune couple partais de la tonte et suivais la laine jusqu’au pull-over, comme ils disent, en laine et fabrication maison de France. Ce soir je vous illustre ça avec une montagne dans les Alpes dont je sais plus le nom… Dans la réalité c’est très impressionnant, me voilà cette nuit loin de mon senti… Je devrais recommencer à m’entrainer à la marche ça me ferais du bien avant de partir pour des aventures… Je me demande si il faut avoir une certification pour grimper certains sommets sinon on reste dans le vert c’est aussi bien… Ce matin c’est là réunion du groupe d’entraide, je crois que ça vas être bien…  Je sais pas si je vous ai écrit sur mon senti du courriel qui est revenus, c’est bien… Je sais pas comment vous écrire mes « sentiments » pour La France mon désir d’y repartir, je crois pas être le seul Québécois a aimer la France… Je pense à repartir là-bas le printemps prochain, j’attends j’espère toujours me trouver un où une partenaire… Cette nuit j’ai pas de raison de faire du ressentiment, je reste calme… À mon premier voyage outre-mer je conduisais la voiture sur les petites routes de campagne, la douce avait de la difficulté à lire une carte routière à un moment j’ai du prendre les commandes… Parfois je sens le mépris de la matriarche pour ce que je fais, elle apprécie plus les cousins, pourtant je fais de mon mieux et c’est pas à soixante-trois ans que je vais faire des enfants, si au moins j’avais une partenaire… C’est difficile de plaire à la mère et son père… Jamais un mot d’encouragement quoi qu’il est un peu tard pour parler littérature avec la matriarche…Je me dénigrerai pas, je fais de mon mieux… Chez nous tous les autres étaient meilleurs, amis, cousins, beau-frère c’était difficile de faire sa place… Je me rebâtis un peu chaque jours quoi qu’on dise je suis le seul responsable de mon malheur… Un autre café avant de terminer… Je crois qu’il y a encore des vacanciers, ce matin je vais parler pour essayer de me rétablir. Quelques mots encore j’espère que ça vous fait plaisir que j’écrive comme ça… La nuit est là, c’est le temps de terminer, je change la formule c’est gazant de répéter. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce sont les cinquante ans de Woodstock. Je suis pas allé j’étais trop jeune j’avais treize ans. Un peu plus tard j’ai écouté le disque chez un copain plus vieux qui était abonné à Columbia ça a quand même marqué ma génération. J’étais un adolescent qui voulais changer le monde, j’aimais bien le « peace and love » pourtant le monde est resté ce qu’il étais, capitaliste, ils ont fait de l’argent avec le film et le disque pourtant c’est supposé avoir transformé une façon de vivre on est resté dans un monde d’acheteur et de vendeur. Jamais oublier qu’on nous la vendais cette contre-culture. Ce printemps je suis allé sur la rue Fillmore à San Francisco, il y avait là le Fillmore West une salle de spectacle mythique de la côte ouest qui a pris je crois la relève du grand rassemblement, c’était tenus par le producteur Bill Graham… Maintenant je suis trop vieux pour suivre les modes musicales, un peu perdus aussi dans tout ce bouillon de culture. Y’avait la East et la West qui n’existent plus… Les artistes qui se sont produit à Woodstock on les a suivis longtemps. Je me demande comment les copains sont rentrés dans le rang après-ça… Bon mon senti semble vouloir surgir dans le dénigrement, je lui donne pas de chance, love man! Love! Le schizophrène qui se présentait à l’hôpital avait besoin d’amour, c’est pas ça qu’on lui donnais… Souvenir de l’Alternative une thérapie pour arrêter de consommer tenue par l’hôpital Juif de Montréal, c’était un peu hippies baba-cool, des coussins des tapis et on discutais j’ai jamais arrêté de consommer là… Woodstock c’était aussi l’époque des communes pour les plus vieux… Aujourd’hui il vente, et il fait beau… C’est ce que je peux vous apporter mon senti encore un peu adolescent pourtant c’est l’époque de ma vie que j’ai détesté le plus… Je crois que pendant la deuxième guerre mondiale la musique prenait pas autant de place quoi que en y pensant bien y’avait ce magnifique film West Side Story… Je me trompe c’était au début des années soixante, un film qui a gagné plusieurs Oscars, ça annonçais les gangs et le rock… Tiens les Who et Tommy l’opera rock ont suivis de la grande musique rock. Je retourne à mon senti, lentement j’avance dans cet écris peut être que j’en met trop, j’ai un fouillis dans l’âme. Après Woodstock ce furent nos racines psychédéliques mais fallait lire un peu pour être au courant de la contre-culture, aujourd’hui il en reste plus grand-chose. La schizophrénie a sonné le glas de tout ça… Je donnerai pas dans la nostalgie, ma culture en est une de banlieue… Voilà! J’en suis presque comme je vous écris toujours, à la chute, Je vous suggérerais d’écouter le Freedom de Richie Havens https://www.bing.com/videos/search?q=Freedom+Richie+Havens&view=detail&mid=F2F295582DA6358AD5ECF2F295582DA6358AD5EC&FORM=VIRE c’est ça… Quelques mots encore, je prends toujours la liberté, c’est jamais facile de terminer. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard