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Bonjour!
Bonsoir! Il fait chaud, cet après-midi je me sens moins fou. J’ai démarré le
climatiseur… C’est difficile d’être égal quand j’écris. Aujourd’hui j’ai dormis…
Je préfère écrire la nuit… J’ai fait chauffé les légumes que je vais manger
avec du foi de bœuf, je crois que c’est santé. Je pense toujours à San
Francisco je vais illustrer ça avec la photo d’une murale que j’ai vu là-bas… J’y
vais avec mon senti, il est presque seize heures… Hier, j’étais content de voir
l’amie on devrait se voir plus souvent… Les pompiers passent comme souvent en
fin d’après-midi. J’ai perdu mes tabliers pour faire la cuisine, y’a rien de très
viscéral dans cet énoncé. J’essais de vous écrire mon monde intérieur, je
laisse faire la douleur… J’ai soupé c’était bon, quand j’ai le ventre plein ça
fait moins mal. Je pense à la directrice du mouvement santé mentale Québec, une
vieille amie perdue de vue… Ce matin c’était le supermarché, j’ai acheté du
sucré… Je prends mon temps, c’est ce que le poète du cours discours poétique m’avait
dit, je le répète, question de prendre tout mon temps, c’est ce que je fais… Le
soleil plombe, c’est bien la chaleur. Tout à coup je suis triste, c’est souvent
comme ça je sais pas pourquoi, je suis pas un poète maudit, mon nom c’est pas
Verlaine, écrirait-il un blog aujourd’hui? J’écris rien de costaud dans cette
fin d’après-midi, je veux dire, je veux tant dire que j’en suis muet… Les
grands poètes ont les mots savants, la matriarche parlait comme quelqu’un du
bord de la mer, comme un pêcheur, elle parle souvent des grands vents, comme un
capitaine où un marin… À l’époque c’était le nordêt… Elle termine avec un O.K.
d’abord!!! Je sais pas si c’était le lac
Saint-Jean où la mer qui faisait prendre ce langage maritime… Je pense à
Claudia et à Isabelle qui nous ont grandement aidé à monter la pièce de
théâtre, j’ai vraiment beaucoup apprécié… Non! Je m’auto-stigmatiserai pas, je
vaux autant qu’un autre, c’est pour ça que j’écris, pour essayer de me donner
une certaine valeur, parfois j’ai trop d’introspection et ça tourne mal… Je
pense au gars de Québec ce conférencier pair-aidant, je crois pas qu’il me lise…
Il s’est rétablis je devrais être capable moi aussi à ma façon. Je suis désolé
j’aurais aimé vous écrire un texte égal à celui d’hier… Plusieurs personnes ne
croient pas dans la puissance des mots pourtant parfois il ne reste que ce
chemin, la prosodie pour dire et se libérer… C’est une question de valeurs où
on les places dans le matériel où l’argent? Où dans les sentiments, le senti
franc… Je crois pas que les millionnaires sont plus heureux. Voilà! C’est
presque terminé toujours avec difficulté. J’aurai essayé encore une fois en
espérant que ça vous plairas. Quelques mots encore comme toujours pour vous
remercier d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez moi pas, je souhaite vous revoir dans
un prochain, je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Suis allé prendre un café avec l’amie hier. Je la remercie, parfois je
crois que je vais devenir fou avec ces écrits. Je suis peut-être dans le champ,
écrire ça accentue le mal? Y’avait du monde partout pour le fringe rue
Saint-Laurent. Aux actualités j’ai vu qu’Ottawa avait maintenant un million d’habitants
sans compter la population de Gatineau… Les lecteurs qui habitent dans ce coin
sont surement très heureux d’être maintenant à la retraite et de ne plus perdre
de temps dans la circulation… J’ai démarré le climatiseur, j’ai hâte d’aller manger
des huitres au marché Jean-Talon. Avec l’amie on a discuté de notre expérience
théâtrale commune comment on avait aimé ça… Moi je suis très fou et j’aime
toujours être en avant sur la scène… Mais j’ai peur j’ai beaucoup de pensée
malsaine, le livre La bête intégrale de David Goudreault me fait mal par sa
véracité, j’ai peur de devenir comme le narrateur, un criminel… Je sais pas si
je dois vous écrire ça j’appuie peut-être un peu trop sur mon senti… J’ai la
musique du générique de Des Racines et des Ailes dans la tête… Je croyais que
la nuit était plus avancée que ça. Bientôt mercredi, bon! Je continue avec mon
senti, cette semaine dans l’ascenseur de l’institut quelqu’un a dis qu’on me
voyais partout, évidemment, je peux pas me cacher et dé-stigmatiser… Je tiens
beaucoup à ça montré qu’on peut vivre une vie décente avec de bonnes valeurs
même avec la schizophrénie… Je regrette qu’on s’enlève la vie avant d’avoir
essayé encore une journée… Je comprends aussi que la souffrance est tellement
forte qu’on crois qu’elle ne se termineras jamais… Souvent la schizophrénie est
co-morbide, j’aimerais ça avoir des solutions simples, moi j’appelle je parle
toujours à quelqu’un avant d’aller trop loin… Je sais qu’on peine pour certain
à donner du sens à l’existence, que ce n’est que ça en déçois plusieurs… Mon
senti sers à construire quelque chose, vous le lisez présentement… Je veux dire
à l’amie photographe que je l’embrasse… Tout à coup j’ai comme de la peine… Je
pense à mon prochain voyage, ce seras le printemps prochain… En attendant j’écoute
ce que dis mon senti, je veux vous écrire sur la sexualité, une chose dont je
ne parle pas souvent parce que ça m’embarrasse… Ça m’a longtemps fait souffrir…
Je suis un romantique j’aime bien faire la cour… Souvent ça démarre bien mais j’arrive
pas à développer une relation durable. Quelques mots encore, je vire de bord je
vous parle pas de sexualité c’est trop malade et je suis pas sexologue… Là
aussi je suis abstinent, ça me fait moins mal, depuis le temps je vous l’ai
surement déjà écris… On m’a trop écorché j’ai besoin de douceur… Voilà pour ce
soir, j’en suis rendus à la chute, j’essaye de terminer d’une façon décente. J’ai
pas perdus certaines habitudes et comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard
P.S. La photo est de Nicole Khouri photographe professionelle

Bonjour!
Bonsoir! Je suis vraiment à boutte pas d’inspiration… J’ai mis des bermudas,
changé la tête d’oreiller, avez-vous déjà lu ça un écrivain incapable de faire
une métaphore? De rajouter de la beauté dans son écriture en transcendant le
plate quotidien… Je vous rédige ça vraiment dans la nuit. Souvent je veux faire
une image mais ce sont celle des plus belles chansons qui me viennent en tête…
Mon écriture est lourde comme du plomb elle amène dans les profondeurs de l’ignorance…
J’ai que la rue en tête… Je viens d’écouter un reportage sur la Direction de la
protection de la jeunesse, rien de très réjouissant le gars menaçait de mettre
un contrat sur la tête de l’agent… J’ai mal, mal à ceux qui pensent que la
poésie c’est d’écrire tout de travers, on m’a dis que j’arriverais pas à écrire…
Je fixe l’écran rien n’apparait, je voudrais me voir sur la piste comme un
vieux clown décati, je bave tellement c’est difficile d’écrire mon senti de
cette nuit… Je sais pas trop où je veux en venir, là est la difficulté, le plus
simple ce serait de transposer mon senti, inventer la folie mais je tiens au
réel, à rester dans le même contexte même si comme je l’écris toujours je suis
mal amanché… Cette nuit il pleut… J’ai cessé de m’intéresser aux musiques à la
mode… Je crois que pour être publier
faut écrire comme tout le monde moi j’arrive juste à écrire des amanchures
de saloperie de texte tout croches… C’est pas apaisant ce que j’écris…Écrire,
comment? Pourquoi? Je sais pas… Peut-être pour enlever un poids… Les vieux
bonhommes peuvent pas réinventer la vie… À tous les dix ans y’a un auteur qui
fait sa marque et je suis pas de ceux-là… Je suis bon qu’à chiâler… Tout ça
serait bon que pour le feu… Je m’arrête à toute les phrases en pensant
réinventer, y’a rien de neuf dans mes tribulations « littéraire ». Là
y’a des mots d’espagnol qui me viennent en tête… Il est six heure dix je me
lève j’ai démarré le climatiseur, il fait chaud… J’écris en deux séquences … Je
trouve pas quoi vous écrire, j’ai mis mon T-shirt Alcatraz, je viens de niaiser
je sais pas combien de minutes avec le traitement de texte… Mardi matin, je
sais pas comment je vais vous illustrer ça… En fait je suis ignorant… Aujourd’hui
j’ai tout mon temps à moi, je crois que je vais rédiger le compte-rendu de mon
groupe d’entraide. Je me prépare un café, j’ai dormis un peu cette nuit… Il
pleut encore, j’aime bien l’odeur des toasts et du café le matin… Souvenir de
cette femme avec qui je vivais qui le matin me disait ce que son ancien amant
faisait, il préparais le petit déjeuner, elle me reprochait de pas le faire, je
la détestais mais j’avais l’affect déréglé. Voilà! Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! J’ai rêvé pendant la sieste, rêvé d’un temps où je faisais la fête
dans un bistro la nuit. J’en avais trouvé un autre un japonais… Y’avait aussi
une intervenante que j’ai connus y’a plus de vingt-cinq ans, j’étais amoureux d’elle,
je me suis réveillé avant d’avoir recommencer à consommer, c’était assez
traumatisant comme rêve toute ces figures du passé. Je suis heureux de plus
être là… Je suis gêné de vous écrire ça… Cette semaine j’ai une assemblée
générale annuelle d’Antenne Communication après ce seras terminé… Je pense à ce
que je vais manger pour souper… Aujourd’hui il fait beau temps, chaud… C’est
enfin l’été. J’ai peur de retourner dans cette maison de chambres c’était très
nocif… L’ami sclérosé à une autre plaie qui se développe, ça lui en fait trois,
semble qu’ils peuvent pas rien faire à part mettre un pansement, c’est triste…
Je suis pas à plaindre, je crois que mes lecteurs de Brossard sont en Alsace,
les photos sont superbes… Ce matin y’a pas eu de réunion du groupe d’entraide
on était pas assez nombreux, y’a un collègue qui deviens pair-aidant au Centre
Local de Service Communautaire, c’est l’endroit où je consulte… Je pense à mes
soixante-deux ans bientôt soixante-trois, je suis vieux j’ai peur pourtant je
suis pas mal en forme… J’ai préparé les légumes, carottes, brocoli et pomme de
terre, je vais manger ça avec un steak… Je sais pas ce que j’ai aujourd’hui j’ai
plein de mauvais souvenirs, ça me tue… Pourtant je ne vie plus cette immense
solitude maladive. Je me questionne un peu comme le fait la petite stagiaire
française sur l’à propos de rester exclusivement dans l’univers de la santé
mentale. Je vois pas très bien ou je pourrais aller avec toujours cette peur de
me faire briser. Bientôt je devrais commencer avec le Centre d’Apprentissage
Santé et rétablissement… On recommence pas une carrière à mon âge, je vais
essayer d’aider des plus jeunes, des plus souffrants… Je sais pas pourquoi tout
à coup j’ai de la peine, j’en ai moins en avant qu’en arrière… Une chose est
sure j’ai vécu, je sais pas si ça peut servir à d’autre… Je suis muet… Le
climatiseur fonctionne bien vous voyez j’ai rien à dire… Comme d’habitude quand
je suis vide j’ouvre la télé… J’ai souper c’était bon… J’ai mon excellent
parfum dans le nez… J’ai fermé la télé y’a pas grand choses aux actualités. Là
je suis bloqué, le ciel commence à se couvrir… À cette heure-ci les gens rentrent
à la maison… Je me souviens plus de ce que c’était le métro boulot dodo, c’est
pas de la bonne prosodie… Voilà! Je suis encore dans la difficulté d’écrire une
chute, un épilogue, une conclusion qui a du sens… Je suis pas toujours inspiré…
Je termine pour commencer la soirée… Je mangerais bien un peu de sucré… C’est
ça qui est ça! Merci d’avoir lu jusque-là!!! J’en ai encore quelques un j’étire!!!
À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! Nuit de dimanche à lundi, ce
matin je vais au groupe Reprendre Pouvoir. Je sais qu’il y en a beaucoup qui
discutent encore de la pertinence de ce nom pendant ce temps-là ils foutent
rien… Nous on se rétablis et participe à différents comités… Je vais essayer de
placer une photo du musée du Quai d’Orsay… Il fait chaud je vais prendre une
douche, voilà c’est fait propre et parfumé… Je laisse le climatiseur démarré
automatiquement… C’était la fin de semaine où les hôteliers et les
restaurateurs font des affaires d’or sans parler des agences d’escortes. J’y
vais avec mon senti… Le regretté écrivain Hubert Aquin était un grand amateur
de formule un… En ce moment je pense à la peine de sa femme, Aquin s’est suicidé
on en parle pas beaucoup c’est même pas une histoire de gars saoul… J’aimerais
avoir un peu de son talent mais je me tuerai pas pour ça du moins pas ce soir…
Vingt-trois heure trente c’est vraiment la nuit, je retourne pas au lit, ça
sent le bacon… Les Bruins de Boston vont jouer le match déterminant la série
est égale trois trois… À Montréal les courses de voitures sont maintenant plus
populaire que le hockey je crois… Les traditions se perdent, je sais pas si on
apprends à être pilote en faisant le chauffard dans la rue? Parfois je me dis
que c’est pas sérieux ces écritures que je devrais laisser ça aux enfants… J’arrive
pas à la sensibilité avec mon senti, quand même j’écris beaucoup, je veux
arriver à quelque chose de qualité par la quantité je sais pas si c’est
possible, ça défait je crois, bien des théories littéraire … Je pense au
rouleau de papier de Jack Kerouac… J’ai mangé quelques biscuits, je pense
au parc Laurier et à ses commerces à l’est du parc… Si j’ai une si belle plume
pourquoi ne suis-je pas édité en version papier, les éditeurs me disent
toujours que leurs catalogue d’auteurs est plein… Bon! Je reviens avec mon
senti pense à ces « amis » qui eux aussi écrivent mais ont du succès,
je change de sujet… Je devrais soigner le propos, livrer le malheur, le chagrin
pourtant je sais pas si c’est mon destin, je suis une personne simple donc j’écris
compliqué les personnes compliqués écrivent simple c’est notre auteur
académicien qui le dis… Je me suis réveillé en sursaut juste comme j’allais m’endormir
profondément, j’ai eu peur… Je sais pas si j’ai vocation d’écrire, il me semble
que depuis le temps on devrais le savoir, y’a mes compatriotes analphabètes
mais qui s’en tirent, ça me donne quoi d’écrire et de lire? C’est difficile j’ai
pas envie de me battre avec la machine,
quelques mots encore pour terminer j’essais de vous composer une chute qui a du
sens. J’y suis presque… Voilà c’est l’épilogue, je termine continuez encore un
peu je vais y arriver. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À
la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! C’est vraiment l’été, y’a plein de belles voitures, on a beau être
écologiste on peut pas faire autrement qu’avoir un petit crush pour ces
automobiles… Y’a pas beaucoup de petit gars qui ont pas rêvé d’auto sport… Je
sais pas si vous vous souvenez de la bande dessinée Michel Vaillant, du grand
art! J’aime bien les belles machines mais pas au point d’en avoir une… Ce matin
dehors chez moi on entendait vrombir les formules un… La photo qui illustre mon
texte c’est une mustang que j’ai vu rue Saint-Laurent… J’espère que mon lecteur
de Deux Montagnes va apprécié… Quand j’étais plus jeune j’étais pas assez
sérieux pour conduire, mes premières leçons de conduite je les ai pris j’avais
vingt-quatre ans j’ai pas accroché… En plus j’ai toujours été très poche en
mécanique… J’y comprenais rien, dans toute ma vie j’ai eu trois voitures, une
vieille Pontiac Parisienne à l’odeur de mort à l’intérieur, une puissante
Oldsmobile quatre-vingt- huit surtout faite pour tirer une roulotte et une
Honda civic toute rouillée mais économique. Avec la Pontiac je partais sans
savoir où j’allais et je déprimais, je me souviens que sous la pluie dans les
Cantons de L’Est un essuie-glace avait brisé j’ y voyais plus rien, le
Oldsmobile sur un nowhere sur la côte nord était tombé en panne, trop
paranoïaque pour le faire réparer je l’avais donné à deux gars avec qui j’avais
discuté quand au Civic, le cap distributeur je crois c’était débranché, je l’avais
laissé au garage pour le prix du remorquage… De toute façon je buvais trop pour
conduire ça aurais été dangereux… J’ai fait un peu de vitesse mais en plein
jour et à jeun… Le patriarche était de la
génération où la voiture était nécessaire. Je pense à Ford qui fabriquait des
voitures pour ses employés… C’est là
presque tout mon senti pour le voitures, j’aimais bien les films de poursuite
comme Bullit et Point limite Zéro, les
batmobiles m’ont aussi fait tripper… Je racontais à une amie que je préférais
être assis dans un avion qui accélère et s’envole que dans les estrades de
formule un où parait-il on peut sentir la pression des voitures qui passent… La
Mach one c’était aussi une belle machine, la Shelby… J’aimais aussi assembler
des modèles réduits, c’était amusant, pourtant ça m’a pas donné le désir de
conduire longtemps. Je pense à la Camaro de mon lecteur technicien à la
Rolls-Royce c’était une voiture montée et très rapide… L’auto c’est pas très
sentimental, les moteurs rien de très senti… Mon lecteur de Deux Montagnes à
une Camaro qui ferait damnés les puristes… Je me souviens d’un vieux film
intitulés Formule-Un que j’ai vus très souvent… Je pense au stationnement l’hiver
à Montréal, impossible et l’été tous les détours qu’il faut effectuer… Voilà! C’était
mon spécial Grand-Prix, je pèse sur le gaz pour terminer. Comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je sais pas comment finir. La course est
faite, Je vous dis à la prochaine!!!
Bernard


Bonsoir! Bonjour!
J’ai des démangeaisons aux mains c’est fatigant. Bientôt dimanche en fait dans
quelques minutes. J’ai rêvé… J’ai démarré le climatiseur… Je crois bien que la
pièce va se rafraichir… Plus tard je vais regarder des Racines et des Ailes que
j’ai enregistré… Je pense à Notre Dame, à comment ça doit être
difficile de replacer les pierres à leurs places… J’illustre avec une photo
avant l’incendie… Dimanche, c’est tranquille dehors… Je suis trop bavard je
cesse pas de répéter… Je me souviens plus vous l’avoir dit mais ma lecture de
vendredi était bien, le directeur a eu de bons commentaires… J’ai terminé la
journée avec des médecins qui voulaient démarrer une façon de soigner la
diskynésie, ils voulaient avoir accès à la banque de données signature… Je
pense à l’argent nécessaire pour soigner la schizophrénie comment à part les
antipsychotique y’a rien, la lourdeur que laisse l’haldol dans le corps et tous
ces effets secondaires irréversibles qui handicapent et ne disparaissent pas…
Pas de difficulté à trouver des milliards d’Euro pour Notre-Dame mais toutes
les difficultés du monde pour avoir les milliards qui soigneraient la
schizophrénie, la maladie mentale… Voilà on est encore un peu au moyen-âge où
on soignait avec des saignements et la prière… Je me suis préparé un café,
dimanche est arrivé… Je pense à toutes mes implications santé mentale, à
comment ça contribue à mon rétablissement… J’ai vus le feu de camp de mon
lecteur technicien à la Rolls-Royce, ça me manque beaucoup les soirées devant
le feu juste à le regarder crépiter… En fait c’est le camping à la sebka de
Kamouraska qui me manque, tranquille dans une tente au bord du fleuve c’est
très agréable. Si vous voulez un partenaire de camping faites-moi signe, ce
soir je suis passé de la cathédrale Notre-Dame à Paris aux rives du fleuve à
Saint-André-de-Kamouraska… J’ai toujours de bons souvenirs de camping. Je me
suis quand même perdus dans la ville… Tout à coup y’a un agréable parfum de
savon… Je me souviens je regardais de magnifique coucher de soleil… J’aurai
quand même un peu bourlingué… C’est vraiment l’été c’est bien. Je poursuis la lecture des romans
la bête intégrale, ensuite je vais lire le roman de Simon Leduc le fils du
praticien ressource à la retraite que je connais bien… Je suis loin de mon
senti cette nuit… J’ai pas mal c’est bon signe, je délire un peu, je vois mes
pairs suffoquant de chaleur à L’Institut universitaire de santé mentale de
Montréal, la chaleur et la psychose ça fait vraiment pas bon ménage… Je me
souviens de cette tension paranoïde c’était difficile… Si je garde ça
confortable chez moi y’a peu de chance que je sois hospitalisé… Voilà! Quelques
phrases encore pour vous dire que j’apprécie votre lecture, je sais pas trop
comment terminer. Je commence jamais par la fin. J’arrive à la chute pour vous
remercier d’avoir lu jusque-là!!! Ne désespérez pas je termine en souhaitant
vous voir à la prochaine je l’espère!!!
Bernard