dimanche 2 juin 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui il pleut comme toujours je pense à mon senti, les amis avec leurs magnifiques photos me donnent envie de partir… Je réfléchis sur la solitude comment je vie ça… Une chose est certaine c’est que vaut mieux être seul que mal accompagné. Écrire! J’y pense toujours et ça donne ce que vous lisez présentement, je suis toujours dans mon senti, je me répète… C’est un peu un désir d’enfant. J’aimerais avoir une prose forte qui marque avec des métaphores à l’emporte-pièce et quand je me laisse prendre au jeu, je me stigmatise… Je veux trop bien, trop fort et ça me fait mal… La semaine passée après la pièce, en coulisse une dame m’a comparée au regretté Robert Gravel, elle disait que j’avais sa diction, j’ai accepté son compliment mais j’ai pas son talent… Je vous l’ai peut-être écris ailleurs, j’entends les merles chanter… Écrire si ce n’était que de ça mais je me passe l’intérieur à la chainsaw ça crie, ça hurle et pourtant je ne vois pas l’horreur… Un écrivain du dimanche! Mon talent meurt à chaque mot ça en est toujours un de trop, je veux pas rester muet mais crier avec ma prose… Je pense au copain qui ne croyais qu’au bottin téléphonique pour lui c’était impossible d’écrire ou de réciter une émotion, c’est tout schizophrénique… Il en était rendu au couteau, j’étais passé par là y’a bien des années le Normark… L’émotion, le senti j’arrive pas à vous le faire vivre… Je vais rester simple c’est ce qu’il y a de mieux, le gars disait dans sa folie si tu me menace je devrai te tuer pourtant j’ai jamais eu cette intention… Il voulait pas se faire soigner… Sa façon de penser c’est que c’était inutile d’en rajouter, il jouait bien de la guitare faisait de la musique mais n’y croyais pas. Y’a un mot qui me viens, nihiliste… Je me souviens qu’il était un grand fan de Frank Zappa, une sorte de génie dont on entends plus parler… Dans ma dérive je me suis reconnus dans son Two Hundreds Motels… Je dormais là pour échapper à la paranoïa… Maintenant je me rétablis, y’a des œuvres de rock à laquelle je ne crois plus, les artistes que j’ai connus se sont rangé… J’essais d’être heureux, on en veut au bonheur, pour plusieurs c’est le cash pas les valeurs… Je poursuis ma voie j’ai été malheureux tant que j’ai essayé de faire autre chose que ça… Bon! Le gars voulait se soigner avec du hashish, je sais pas ce que ça deviens avec la légalisation du cannabis, en tout cas c’est la bonne façon d’entretenir la paranoïa… Que de mauvais souvenirs, j’essais toujours, vous allez rire de me rétablir… Je vois les psychotiques fumeurs de cannabis à l’urgence de l’hôpital… On va les envoyés dans des drop-in pour itinérants… Cet après-midi je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 1 juin 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je n’ai dormis que quelques minutes. Je tente de me laisser inspirer par le manque de sommeil. Je devrais me faire photographier plus souvent vous semblez apprécier. J’ai regardé l’émission Thalassa qui se passais en Corse c’était de toute beauté… Ensuite j’ai visionné une émission Des Racines et des Ailes que j’avais déjà vue, la France est un beau pays ça me rend francophile, on suis l’Isère c’est magnifique… Je vous illustre ça avec une photo que j’ai pris dans cette région si je me souviens bien c’était il y a longtemps… Bon! Si j’y allais avec mon senti semble que ça fait longtemps, le climatiseur s’est arrêté… Cette nuit j’ai un gentil parfum, https://www.youtube.com/watch?v=soEgS5M7Hck  J’aime bien cette chanson de Bashung où il mentionne le Vercors, je crois que c’est un des territoires de L’Isère… Dehors y’a des gars qui gueulent dont un qui crie « C’est la maison d’un chien ». Cette nuit s’est agité, les pairs ont eu leurs argents ils sont braves quand ils sont un peu pompette, quand je les entends je trouve que c’est pas difficile de confondre avec la psychose… J’entends les avions qui partent… Ils ont attendus toute la journée, la nuit ils sortent, il faut se protéger plusieurs n’auront pas assez d’argent pour tout payer et terminer leur bringue. Après quelques bières on oublie mais au bout d’un moment on déprime et on devient violent… Toujours la même thématique, j’aimerais bien vous écrire sur les fromages mais le seul dont je me souviens dans un restaurant le midi, avait encore comme dessert la texture du lait caillée mais c’était quand même bon… Cette nuit mon senti questionne la schizophrénie qui est peut être un TPL un trouble de la personnalité limite mais c’est là qu’il faut être prudent la psychose est jamais loin… Voilà on auras payé le shylock acheté un six pack pour le reste de la nuit, et on se repose pour retourner au boulot lundi… Encore un réacté qui passe, y’a longtemps que je suis allé à l’hosto, c’est bien comme ça, la psychose me laisse, semble que normal ça n’existe pas… De mois en mois, de loyer non payé a l’autre on y arrive de moins en moins, on emprunte de petites sommes, juste assez pour pas coucher dehors et la nuit on repars en salivant devant un verre de bière… Je sais pas si je réussis à vous faire sentir, la vie du prestataire, du bénéficiaire… Les travailleurs sociaux, les militants instruits ont plus de talent que moi pour la métaphore, la misère ils l’emmènent pas chez eux, moi je suis dedans à l’année et j’essaye de pas m’en faire… C’est toujours une folle histoire pas drôle mais folle, je me brûle à essayer de vous raconter la pauvreté d’un ignorant… Voilà où la vie m’a menée d’autre diraient le destin… Comme toujours je termine avec ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 31 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir c’est la féria du vélo, le tour de l’île la nuit. Je me suis toujours demandé pourquoi ils passaient pas dans Outremont plutôt que dans mon quartier, on a pas le choix faut entendre leurs litanie, aller donc rouler à Brossard j’ai un ami cycliste de haute performance qui serait très heureux… Je bougonne, je sais pas si ce genre d’activité aide les pauvres et les maganés de mon quartier après la procession de la fête Dieu, on a le tour en vélo une autre sorte de religion inconsciente.  On se fait toute sorte d’activités païennes…Une espèce d’hommage au printemps pour les enfants criards, j’aime pas ça, quand je faisais du vélo sérieusement c’était en solitaire, je m’entrainais seul, je vous dis ça c’était y’a longtemps… J’en connais qui attachent leurs vélos sur leurs voitures et viennent nous embêter à Montréal… C’est la folie furieuse la rue Mont-Royal est fermée à la circulation automobile… Je pense à la fameuse procession dans la Famille Plouffe de Roger Lemelin tout y étais, Sacré-Cœur et fleurs, prêtre en soutane et cardinal comme évêque de toute les couleurs. Je sais pas si les cyclistes font des promesses, le Sacré-Cœur en faisait… Je les entends sur leurs bécanes, ils ont oublié l’histoire et comme un troupeau ignare se garrochent dans leurs randonnées laïque, je crois qu’à la fin y’a une grande messe musicale… Je sais pas ce qu’il aurait fait là-dedans notre Guillaume Plouffe…Des processions religieuses voilà de quoi étais fait notre Québec d’hier… On célèbre du pareil au même, perdus nos prières qu’on a remplacé par des chansons, le Pater est quand même resté on le récite discrètement… Souvenir d’une autre époque où on faisait du camping en famille, un dimanche on s’était arrêté dans une église d’un village pour assister à la messe, le prêtre dans son sermon avait mentionné notre présence… La randonnée cycliste est terminée, le calme est revenu… Oui j’en faisait du vélo avant que la maladie mentale fasse ses ravages, ce soir après cette randonnée je sais pas si mes pairs vont finir ça dans un bar du quartier, la nuit c’est un peu ça le désir de s’encanailler… Encore un autre souvenir où les abbés étaient ultra-présent, c’était peut-être les espions du curé qui veillait sur la famille, j’ai toujours été mêlé entre les abbés, les pères et les frères, c’est vraiment d’une autre époque… Hé oui! On a prié pour moi, je suis en rétablissement, je le dois peut-être à tous ceux qui prient… La circulation automobile a recommencée, on a rangé nos revendications pour la bécane jusqu’à l’année prochaine… J’aimerais bien qu’ils fassent une randonnée jusqu’à Québec et à Ottawa… Je fais plus de vélo j’ai trop peur et j’aime pas assez le monde pour participer à des féria comme celle-là… J’ai presque terminé, pense à la randonnée Terrebonne- Hull que j’avais fait avec l’ami de Brossard y’a longtemps, que de bons souvenirs. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

P.S. En fait j’ai deux amis à Brossard, un cycliste praticien ressource à la retraite et un autre ingénieur à la retraite avec qui j’ai fait du vélo dans ma jeunesse.






Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis ensommeillé dehors c’est frais et gris je voudrais faire de belles métaphores comme les écrivains aguérris… Aujourd’hui c’est la navigation et le port de San Francisco. L’ami commence sa traversée de l’atlantique demain, il est brave… J’ai remarqué que les gens « cultivés » ne se gènent pas pour utiliser les adverbes… J’écris gens, j’aime pas ça, c’est trop populiste je devrais plutôt utiliser personnes je dis pas mes pairs, ce ne sont pas eux. Je suis bien seul quand j’écris comme ça…Moi j’étais au bord du pacifique et tout près des bateaux de pêche, l’ami va commencer par la rivière Hudson et ensuite filer vers les Açores au Portugal. Je sais c’est mêlant, j’arrive pas à écrire de belles poésie obscure que personne ne comprend mais qui vous met tout à l’envers, loin de moi l’idée d’écrire comme un criminel… Quoi que mon écriture n’est pas fine je la veux crû comme j’écris souvent… Quand j’écris de cette manière j’arrive toujours à la même forme auto-dénigrante. Je m’en veux, je vais me préparer un café, je crois que le poète radical utilisait un dictionnaire médical pour moi pas de langage obscur juste le vocabulaire du petit matin… J’aurais tant aimé être poète, trouver une belle phrase pour vous dire que j’ai mangé du pâté de foi à l’ail et que j’ai soif comme un bédouin dans le désert… J’ai rêvé que je retrouvais ma première flamme elle était avec moi chez le patriarche j’étais tellement heureux de la voir, je crois qu’aujourd’hui elle est décédée… Y’a pas de poésie dans la mort faut savoir vivre, je sais pas comment vous dire autrement… Je gagnerai jamais de concours avec mon écriture, la gouverneure générale a d’autre chats à fouetter, moi ce que je fouette c’est la crème… J’ai redémarré le climatiseur, je sais vous préférez les poètes écologiques dans la sueur de leurs chambres chauffé par le trop gros frigo pour rafraichir la bière, on sue et ça dégoutte sur le tapis, on glisse sur le clavier, c’est l’été… Vous vous croyez écologique parce que vous vous envoyez dans la dalle de la bière artisanale au fond vous êtes alcoolique… Ça fait de bon client pour la brasserie à la mode du coin… Vous faites l’intéressant pourtant vous avez tout perdu, vous ne retrouvez personne restez seul et battu… Tout à coup ça sent bon l’after-shave… Je veux pas vous monter de bateau, ma prose est ordinaire… Je serais incapable d’enseigner quoi que ce soit à quiconque vous voyez c’est très mauvais, pourtant je continue dans le vernaculaire, je veux mon écriture d’ici… Encore une fois je suis dans la pourriture finale, rien d’édifiant juste de l’écriture banale. C’est ma tâche de chaque jour, trouver la finale, je pense à ma regretté sœur, vous me l’avez remémoré, je suis brisé… Voilà c’est comme ça que je termine. Quelques mots de plus pour vous remercier de m’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

jeudi 30 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je fais une indigestion j’ai mangé trop de biscuits, quand je vide des boîtes comme ça je suis comme un enfant qu’on a privé. Je sais fallait m’arrêter c’était pour mon bien, maintenant je les vides… Comme si j’avais été carencé… Je me vois encore fouiller dans le garde-manger de la cuisine essayant d’attraper quelques biscuits avant le souper assez pour me gâcher l’appétit  et avoir des hauts le cœur… Après je disais j’ai pas faim pour quelques heure plus tard me faire des tartines de beurre d’arachide, À la maison fallait manger à l’heure sinon on passait sous la table,  je vous écris ça et je bave… Je savais pas vivre avec les années j’ai pas appris beaucoup de choses on s’est pas arrêter pour m’expliquer, je dévalisais le garde-manger parce que j’étais trop angoissé, je voulais me paralyser… Il pleut, j’ai démarré le climatiseur, j’aime quand c’est frais… Jeudi soir comme toujours les bars et les tavernes sont remplis, on s’y saoule allègrement entre copains… Les lieux ont changé mais ça reste la même maudite bullshit  alcoolique… Avant, puisqu’il y eut un avant, je pouvais prendre le taxi et descendre dans le bas de la ville pour boire à mon bar préféré, à la fin cochonnerie je pouvais me vomir dessus et puer le rance on me jetais pas dehors, la belle époque était terminé le bar étais sur le déclin… Tout près y’avait une maison de thérapie analytique j’en soupçonne quelques un d’avoir péter les vitrines du bar… Miroir, vitrine, éclairage et alcool les moments de détente artificiel, le lendemain ont était vanné … La nuit avançait bientôt on aurais plus un rond en tout cas plus moyen de jouer à Bukowsky toujours prisonnier de la folie ordinaire, juste névrosé pas encore psychotique… Cette semaine j’ai croisé un pair psychotique ça semble pas simple cette tension… C’est toujours mon thème de prédilection… Le climatiseur viens d’arrêter… Je sors plus la nuit, fallait être un peu tête folle pour répéter ces sorties toute les nuits… L’ivresse ça fait combien de fois que je vous en parle, tous ceux qui se sont suicidé parce qu’incapable de vivre sobre. Je crois qu’il y a une profonde blessure, une âme blessée, amochée qui répète… On cherche de l’amour un peu partout même auprès des serveurs et serveuses des grands bars… Je sais je me répète c’est pour mieux me souvenir. L’ivresse c’est aussi la pornographie, les mauvaises valeurs, l’argent sale qu’on veut laver… Je voulais plus vivre là-dedans… J’ai pas tous vu mais j’aurai fait le tour… Cette nuit je termine dans la solitude et la tristesse… La littérature est aussi dans les revues que l’on tiens d’une seule main pour paraphraser le chanteur… Voilà! J’arrive à la chute, y’a un parfum d’ail, comme toujours l’épilogue est difficile, je pense à la lecture comment on associe ça à la folie, la maladie… Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère, au revoir et à bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je sais pas si je vais arriver à vous écrire quelque chose d’original aujourd’hui… C’est l’anniversaire de quelqu’un de très cher, elle est maintenant grand-mère. J’aurais pas cru ça… Ça fait de moi quelqu’un de plus jeune jeune… Pour moi depuis quelques années la vie s’est apaisée, tout à coup y’a un parfum d’orange… J’ai la paix chez moi, je vous écris et le bonheur je vous le chuchote tout bas. Je vous écris j’essaye de réaliser quelque chose pour moi écrire ça toujours été important… Je me suis adoucis en écoutant mon senti… L’idée de vivre en plein jour me réussis, j’ai si longtemps vécu la nuit et mes échecs je les ai nourris. Je pense toujours aux aéroports aux avions, je repartirai bien à un moment, je sais vous me trouvez très bôf avec mes voyages mais j’ai cette chance- là, pouvoir partir… J’aime bien la poussée dans le siège quand l’avion décolle… À mon départ pour San Francisco j’ai bien aimé la rapidité avec laquelle tout s’est fait, bagage, douane, embarquement… Quand je suis sur un vol j’en profite pour visionner des films… J’aime bien les super-héros Marvel, les Avengers… Je vous raconte ça avec de la nostalgie j’ai déjà hâte à mon prochain départ. Y’a l’ami de Brossard qui me demande la réaction de Clémence Desrochers à qui on rendait hommage en début de semaine, elle était très enthousiaste et a fait quelque jeux de mots, elle a apprécié et nous a encouragé à continuer… J’ai appris qu’il y aurait peut-être des reprises de certaines scènes au congrès de l’association québécoise de réadaptation psycho-sociale. Je sais pas si je vais en être ça reste à confirmer. J’ai un peu discuté avec madame Desrochers mais j’ai fait un fou de moé, c’est difficile de parler avec quelqu’un qui a tant de métier. Je vois qu’il fait beau en Provence, moi je vais repartir le printemps prochain j’ai pas encore décidé de la destination mais j’y pense, j’ai Rome en tête pour aller rencontrer l’ami de Diane… Je pense aux enfants qui doivent avoir hâte aux vacances, j’aimais bien l’été bâtir des cabanes dans les arbres et marcher dans le boisée derrière la maison, me reposer en faisant de la lecture quand il faisait trop chaud. Parfois dans le stationnement de l’église je rencontrais l’ami maintenant de Brossard avec son triporteur. Je sais pas si vous vous souvenez de la foire dans le parking du centre de Loisirs tout à côté de l’école Saint-Louis… Ça aussi c’est de la nostalgie de bons souvenirs quand-même… Je sais que mon lecteur technicien à la Rolls-Royce développait déjà sa passion pour la pêche… Quelques mots encore… J’aimais pas tellement tondre le gazon et jardiner, j’ai jamais eu le pouce vert. Je touchais aux plantes et elles disparaissaient… J’avais essayé de faire pousser du cannabis mais la matriarche l’avait découvert. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir et à bientôt!!!

Bernard

mercredi 29 mai 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Dans la nuit de mercredi à jeudi, j’ai de plus en plus de difficulté à être original… Le climatiseur s’est arrêté. Hier j’étais heureux il n’en tiens qu’à moi de continuer ce bonheur aujourd’hui. Je vous illustre ça avec une photo du musée de la beat generation à San Francisco. Tout est tranquille, y’a plus d’implication cette semaine… J’ai beaucoup aimé tous mes collègues de l’hommage à Clémence de même que j’apprécie tous les commentaires pour la photo… Aujourd’hui c’est l’anniversaire de ma lectrice privilégié secrétaire retraitée du syndicat des enseignants du Collège d’Enseignement Général et Professionnel  de l’Outaouais, faites lui un petit bonjour… Je sais que l’écriture est un moyen archaïque d’utiliser toute cette technologie mais c’est ce que j’aime faire, j’aime ce contact presque direct avec le lecteur… Je pense que ça fait grandir mon senti… Encore une journée et c’est la paye… Dans notre groupe d’entraide on a maintenant une étudiante française en travail social, on lui souhaite la bienvenue si jamais elle lit ceci…  Pour ce qui est de mon rétablissement, je crois que je me respecte, j’essaye d’être authentique c’est pas toujours la façon de faire la plus facile mais je crois que c’est la plus gratifiante… Lundi dans la salle de répétition j’ai bien aimé pousser la ritournelle avec Jean-François au piano… Souvenir d’il y a longtemps un pianiste qui croyais reprendre son métier mais qui étais miné par l’alcool… Je dis bonjour à mon lecteur de Deux-Montagnes qui a pris la peine de me téléphoner hier. Lentement la poussière retombe après le show, je le répète j’ai apprécié vos interventions à tous sur Facebook… J’ai ouvert une boîte de biscuits Oreo, je pense au jeu intense du gars qui interprétais  le MC,  j’aurais été incapable de faire ça… J’aime ces jours méditatifs d’après la représentation, ça fait des souvenirs que malheureusement je ne pourrai raconter à personne j’ai pas d’enfants, le blog c’est un peu ça je veux laisser une trace… Voilà une difficulté traduire le senti pour qu’on ressente l’émotion du moment, je sais plus trop quoi vous raconter, la scène et le trac vous savez moi et mon lecteur de Deux-Montagnes on était d’accord pour dire que le doute est essentiel… J’ai regardé un peu ce  qu’étais le psychodrame, je crois que c’est une discipline encore jeune qui dois faire ses preuves, disons que à mes yeux juste le nom ça fait pas sérieux…Ouais! J’y arrive, je pense à la gentille médiatrice théâtrale cette femme-là elle est en or, j’apprécie beaucoup de travailler avec elle… Tout ça pour dire que mon expérience a été très positive, ça me prend un peu de temps avant de tourner la page de passer à autre chose… C’est presque terminé je vous salue bien bas tout le monde. Encore une fois j’espère que vous avez apprécié. Quelques mots encore pour écrire une chute décente. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir et à bientôt!!!

Bernard