dimanche 19 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il fait chaud chez moi, j’ai mis mes jeans et ouvert la porte pour faire de l’air. Beaucoup aimé les photos d’Antoine et de la matriarche. J’ai retrouvé le numéro de téléphone de l’heureuse secrétaire retraité du syndicat des enseignants du Collège d’enseignement général et professionnel de l’Outaouais. La semaine va passer vite demain une rencontre avec l’intervenante, mercredi répétition au théâtre ce qui me mène à la générale de dimanche et la représentation lundi prochain. Je mène deux ou trois projets de concert j’espère que ça va être O.K. Je fais un scrapbook y’a longtemps que j’avais pas fait ça, ça me rappelle mes jeunes années… J’ai ressortis la plume fontaine et retrouvé les cartouches d’encre. Hier j’avais encore en mémoire San Francisco j’aime beaucoup les souvenirs de voyage, dans la navette pour l’aéroport une dame disait que je suis un « handsome man » ça fait plaisir, en voyage en général je parle pas longtemps mais je rencontre des gens sympathiques, j’ai pas pu voir la banlieue de Frisco on arrive le soir quand il fait noir et on part le matin très tôt… Cette année je commanderai pas mon voyage trop tôt, il faut que je me fixe une destination… Rome? Lisbonne? Italie? Portugal? Je vais voir, je vais peut-être avoir une illumination soudaine pour une destination inattendue. Les amis de Brossard partent pour la France, Marseille! Aujourd’hui… Ça fait du bien l’air frais cette nuit… J’ai rêvé à un ancien voisin de chambre, je le verrais j’en aurais peur, ça fait plus de vingt-cinq ans, partis comme il était partis il ne doit plus être de ce monde… Je mange des biscuits OREO… Nous sommes maintenant lundi, j’ai le souvenir des B.B.Q. des T-Bones steak, à la maison de chambres… Y’avait toutes sortes d’intrigues dans cette maison.  Je suis jamais étonné de voir comment la misère s’abat sur les défavorisés. C’est assez étonnant comment on a peu de souvenirs, ça fait quand même soixante-deux ans bientôt soixante-trois et je me souviens pas de grand-chose, j’aimais bien le camping en famille, lets go Stéphane! J’ai pas mal fait le tour de mon jardin, cette nuit c’est les orages le tonnerre, j’aimais bien être à l’abri dans la tente, ce sont les dernières nuits où je crois avoir bien dormis, la lecture c’est ce que j’aimais le plus, vous le savez je le répète toujours… Lecture et écriture, après un long passage en enfer, j’aurai rebâtis ma vie sur ces deux pratiques c’est important pour moi écrire, je peux dire et éclaircir… Le sommeil viens de me rattraper, j’ai les yeux à moitié fermés. J’en suis presque à la chute, dehors des gens parlent, ce sont des anglophones, y’a pas que dans les rues de Frisco que les gens parlent la nuit. Voilà c’est l’épilogue, je termine, les gens honnêtes dorment la nuit, quelques mots encore avec les mêmes difficulté que toujours. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai beaucoup dormis, me suis levé et suis allé acheter un scrap-book pour faire un collage que la metteur en scène nous a demandé… Je fais toujours les choses à la va vite ça donne pas de bons résultats. Cet après-midi j’irais bien prendre un café au marché avec une amie, mais je crois qu’elle est occupée. Le temps s’est découvert il ne pleut plus… La première de notre pièce approche lentement… J’essaye de faire ce qu’on appelle du cut-up dans le scrap-book, j’y arrive pas, c’est trash mon affaire… Demain, la fête des patriotes, je sais pas pourquoi on célèbre des défaites. J’ai remarqué que mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord avait la même façon de parler que le patriarche, je me suis jamais entendus avec lui… Je me prépare un café… Cet après-midi y’a un parfum de pâtisserie, y’a beaucoup de circulation automobile… Mon lecteur chauffeur d’autobus semblait croire que je pouvais partir comme ça sans aviser personne… J’ai quand même ma vie, mes activités à Montréal, je peux pas tout lâcher… Pour le scrap-book j’ai peur d’être jugé je suis pas très délicat, en tout cas ce seras ce que ça seras… Je préfère m’exprimer par l’écriture. Mon senti pour tout de suite semble évanescent je force beaucoup pour pas qu’il disparaisse c’est en quelque sorte ma muse… Combien de temps faut-il pour arriver à écrire son senti correctement. Je pense à cet ami que je m’étais fait à mes débuts sur internet je sais pas ce qu’il est devenus voilà ce qu’il avait fait de mes écrits… http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnier  Le temps à passer, je sais pas si j’ai encore des lecteurs. L’écriture c’est quand même la seule chose dans laquelle je suis capable de mettre de l’amour. Pourquoi? Je sais pas, je réussis à pas m’auto-stigmatisé… J’essaye de pas faire semblant, de pas être faux, une goutte d’alcool vaux pas un texte, bon! Je m’en vais pas encore dans cette direction, j’ai bu mon café, j’ai pas soif, je pense à ces restaurants à la mode qui ne durent pas… À l’époque rue Saint-Denis y’avait beaucoup de cafés de bistros et de commerce, aujourd’hui la rue est un désert, l’action est sur Saint-Laurent je crois qu’il y a pas de place pour les deux… Je crois aussi que c’est une question de génération  on avait nos habitudes, au Fridolin où au Bruit coure par exemple… C’était y’a plus de trente ans, le quartier était grouillant. Je pense aussi au Passeport et sa musique, c’était une mode on essayait dans faire un mode de vie de la musique industrielle… La climatisation était quand même bien l’été mais je me roulais par terre sur la piste de danse et j’arrivais pas à avoir une conversation. Je vous ai déjà écrit tout ça… Voilà! J’en suis presque à la chute, à la difficile épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine en essayant de trouver une photo. À la prochaine j’espère!!!

Bernard


samedi 18 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Y’a mes lecteurs de Brossard qui s’en vont, je leurs souhaite un bon voyage. Aujourd’hui c’est dimanche j’ai pas connus l’hégémonie de l’église je crois qu’à cette époque les gens se posaient pas trop de questions… Je me souviens que pour faire des études les jeunes hommes prétendaient avoir la vocation, à la révolution tranquille ils ont défroqué et son devenus directeurs d’écoles… J’ai pas eu cette option toute mes tentatives de réintégré le système scolaire ont été raté. Je crois qu’en haut lieu on avait décidé que je deviendrais un peu moins qu’un éboueur, une épave, peut-être un membre du lumpenprolétariat… Des hommes ont dirigé des hommes et moi je me suis réfugié dans la folie ont a pas pu en faire beaucoup pour moi j’étais en mode autodestruction… À part le chômage et l’aide sociale j’ai jamais eu plus du gouvernement qu’une entrevue d’embauche ratée à la voirie… Ils m’en ont fait croire de belles histoires avec leurs indépendance c’était un peu comme la religion… Aujourd’hui je trouve que parti au pouvoir comme opposition ils ont tous de sales gueules et je veux pas me laisser gouverner par eux… J’ai hâte de voir ce qu’ils vont faire avec les sinistrés des inondations. Enfin tout ça c’est de ma responsabilité j’ai pas su persévérer comme préposé à l’entretien ménager c’était pas ma vocation  j’ai toujours cherché…. Tout ce qu’on avait à dire c’est ta gueule fait ta job pis écoeure nous pas… Je sais pas si y’en a qui s’imaginait que j’allais passer des années à balayer… Je suis un traumatisé retraité de la petite semaine… Je vous dirai pas que tout ça proviens de la schizophrénie, j’aime pas beaucoup rendre la maladie responsables de mes conneries… Je reste et je resterai paranoïaque moins virulent mais ce seras toujours là… C’est le printemps pourtant il fait encore froid, un jour peut-être j’irai me louer une cabane au bord de la mer et j’écrirai peut-être à la manière du regretté Hemingway. En ce moment j’ai des brûlements d’estomac c’est loin du senti… Je remercie les gens qui prennent la peine de partager ce que j’écris… Sauve moi maudite poésie je n’arrive pas à toi c’est dis… Hey bein! Je suis à court de mots, je pense à cette usine de verre taillé de vitrine où j’ai travaillé quelques nuits comme d’habitude j’ai eu peur et j’ai laissé la job là… J’en suis presque à la chute, cette nuit je pense moins à San Francisco, je vous met le logo de la banque dans le village… J’ai plus rien à dire, rien pour vous entretenir. Dans une vingtaine de minutes on ne serviras plus d’alcool, les gens vont aller manger du gros stuff gras pour désaouler… On va continuer à rigoler de façon cynique, la nuit auras passé encore une fois on rentreras seul… Rien pour avoir de la peine, juste assez ivre pour s’endormir. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est l’après-midi et pourtant j’ai sommeil. J’ai fait des courses et la lessive, les t-shirt de San Francisco sont restés beau… Autant à une époque je parlais en sacrant autant maintenant quand j’entends ça j’ai peur… Souvenir d’avoir passé y’a longtemps le week-end au parc du Mont-Tremblant, on avait dormis sur le dur de la boîte de pick-up, il pleuvait c’était le plein air à la dure, on avait croisé un orignal… On était trop bum pour faire du camping confortable… Quand même ça meublait ma solitude viscérale trop triste pour m’amuser… Souvent on ne pensait qu’à la bière. Je sais pas pourquoi nos sorties étaient toujours tout croche… Moi j’étais monsieur Motel, je me sentais poursuivis je me cachais paranoïaque dans un motel, cette peur cette angoisse c’était très difficile, je voulais mourir… Dehors y’a une bande de motards qui passent… Ça aussi ça me paralysait… J’étais pas très brave. Je crois que bientôt y’a d’autre chantiers de construction qui vont ouvrir… J’ai jamais rêvé à la fortune, j’étais plus une sorte de psycho-socialiste… Je parlais de syndicat et je fuyais. Maintenant j’ai finis mon temps sur le marché du travail, je comprends très bien pourquoi on voulait pas de moi, un paquet de troubles… Je vais essayer de m’en tenir à ma prose… Au présent m’y voilà pourtant je suis triste et j’attends… La schizophrénie me laisse en paix aujourd’hui, la maladie parfois vous veut mort, c’est pas le bon choix… Aujourd’hui  y’a un peu de musique chez les voisins mais ça dure pas, ça aussi à un moment dans ma vie j’étais incapable de tolérer, je pense aux effets secondaire des antipsychotique qui m’empêchaient de vivre, c’est une chose assez difficile à décrire je vous souhaite pas de passé par là… Je pense qu’il y avait pas de solutions simples à cette folie… Encore une fois y’a un gars qui gueule dehors, quand je vous aurai rédigé ça je vais lire le texte de la pièce de théâtre juste pour me souvenir un peu plus… Je cherche c’est difficile, je pense à l’amour comment ça sonne sentimental… La vie est plus toffe que ça, écrire c’est pas que de la romance… Souvenir d’un grand souper à Milan, les bonzes de la santé Mentale italienne y étaient, je m’étais fait dire que mes textes étaient rafraichissant, pourtant… Je l’ai certainement déjà écris ailleurs… Je descends dans la chute… Vous devez vous demander quel est le propos pour garder ça simple on va dire que c’est la santé mentale et ses aléas. C’est bien un endroit où je peux en parler pourtant vous réagissez pas… C’est toujours une histoire de rétablissement, d’ancien souffrant qui maintenant accepte… Y’a des samedis comme celui-là où je me retrouvais à l’urgence de l’hôpital parfois je me demande si j’ai attendus tout ce temps là pour rien… J’ai quand même vieillis et changé ma façon de vivre… Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard


vendredi 17 mai 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Vendredi soir tout est calme, étrangement je me couche en bavant ma salive et quelques minutes plus tard j’ai la bouche sèche à m’empêcher de respirer… De pauvres considérations pour vous écrire… La boucherie Limoges à Terrebonne semble avoir d’appétissante charcuterie va falloir que j’aille faire un tour… Comme vous voyez ce soir je suis en surface quoi que je vais plonger dans pas long… L’introspection c’est difficile nommer ce qu’on sent et ressent… Je m’ennuis des pics-nics et des fins de semaine de camping avec la douce. Si j’avais les moyens je m’achèterais un camping car… C’est toujours l’agitation dans ma tête je devrais faire de la méditation pleine conscience ça me calmerais… Je comprends pas pourquoi je respire pas mieux que ça pourtant c’est la vie… Je pense encore à la gracieuseté des boissons douces à l’hôtel c’était bien… Je vais  vous illustrer ça avec une photo de San Francisco que j’aime bien… Cette semaine on parlait de l’éclairage du pont Jacques-Cartier à Montréal, comment ça deviens une signature…  Les femmes disaient d’un air détaché c’est que de l’écriture elles semblaient pas accorder d’importance aux mots, pourtant les mots moi j’en fait toute ma vie j’essais de toucher les âmes sensibles… La douleur du senti on la ressent dans cette solitude alcoolisé assis dans un bar à écluser des drinks pour faire taire la voix,  mais viens un moment qu’on y arrive pas qu’on y arrive plus… Parfois je crois que ce que j’écris c’est de la sensiblerie, ça me prendrais une ligne plus éditoriale pourtant j’écris pas politique… Ai pris une douche et je me suis parfumé, je prends soin de moi. Quand j’ai plus rien à vous raconter je me retourne vers moi et je me dénigre, me souviens d’une fille qui se sentait jugé disons que l’accueil inconditionnel c’était pas pour elle… Samedi s’en viens avec la toujours très intéressante chronique voyage dans LaPresse+… À l’automne si tout va bien je devrais suivre une formation pour devenir formateur au Recovery College, j’en ai parlé avec mon lecteur de Deux montagnes et il y a effectivement une professeure-chercheure de l’Université du Québec à Trois Rivières. Les écrivains pour se faire connaitre ça gagne des prix, avec mon écriture brinquebalante je gagnerais pas grand-chose, il est un peu tard pour gagner des prix et me diriger vers l’enseignement…  J’écris c’est toujours ça que j’ai voulus faire et advienne que pourras… Encore une semaine et on joue envoyez moi le mot de Cambronne… Voilà! C’est la nuit et je cherche une façon de terminer. J’ai encore plein de chose à faire, je vais relire la pièce… Je crois qu’encore une fois aujourd’hui j’aurai fait de mon mieux, plus que ça je suis incapable. Je pense à un petit cousin qui étais présent sur les réseaux sociaux, j’ai un peu peur qu’il ait fait l’irréparable. Si tu me lis fait moi signe. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Viens de regarder une émission des Racines et des ailes sur le Vaucluse. C’est tellement beau j’en pleure, un jour j’irai… Ce matin j’ai rencontré un ami immigrant, je sais pas d’où il vient mais quand on se voie à l’arrêt d’autobus on discute. Il a un gros accent difficile à comprendre mais c’est toujours intéressant. Je pense aux amis qui s’en vont en Provence… J’aime beaucoup les abbayes, les monastères Cistercien ça aussi je devrais y aller pour méditer… En France plus de milles appellation de fromage, je crois que maintenant au Québec ont peu en goûter quelques un… La France, y’a tellement de choses à voir, j’aime bien ce pays… J’y suis allé quatre fois mais pas assez longtemps à mon goût… C’est mon senti de cet après-midi… Il fait encore un temps gris et triste… Je pense à mon costume pour le théâtre, je vais me préparer un café… Parfois je suis calme mais on dirait que je fais tout pour me déranger… C’est vendredi une soirée de sortie pour plusieurs, je m’ennuie un peu du vin c’est le seul alcool que j’aimais mais ce seras pas pour aujourd’hui… Je pense à la regrettée qui travaillait à la société des alcools qu’aurais-je pu faire pour l’aider?  Souvenirs de vendredi soir où j’arrivais du boulot, je me rasais, prenais une douche, mangeais un sandwich et je partais pour la soirée au bar… Quand je revenais au petit matin je puais le tabac et l’alcool pour me réveiller le lendemain matin fauché avec un hangover, un mal de bloc… Maintenant je suis tranquille un peu trop vieux pour ce genre de soirée… J’y retournerai pas. Je médite chez moi, je prie aussi c’est mieux comme ça. Les arbres sont en feuilles, je me répète, c’est le cycle de la nature… Je pense à ma jeunesse à ma folie on m’avait jamais expliqué comment ça se passait dans le monde de la nuit. Aujourd’hui je crois qu’ils parlent du bling-bling… En ce moment y’a un délicieux parfum… Je crois qu’écrire c’est une sorte de prise de parole, je vous raconte mon senti dans la métropole. Au moment où j’ai cessé la consommation, les choses se sont améliorées pour moi, j’irai pas tout démolir pour un minable verre de vin… Y’a encore de la place à l’amélioration, je sais ça sonne comme de la morale pas chère mais pour moi c’est comme ça… Ce soir les étudiants sérieux rentrent à la maison, d’autre s’en vont travailler et une minorité va se saouler… Moi je bois pas parce-que je veux pas vous décevoir et surtout me décevoir. Voilà encore ce soir je suis dans ma thématique de prédilection… IL ne me reste que quelques mots avant d’arriver à la chute… Je suis toujours prêt à entendre les commentaires même des inconnus. Un jour à la fois j’y arrive, encore une fois je vous aurai écris. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours j’espère qu’il y aura une prochaine!!! Au revoir!!!

Bernard

jeudi 16 mai 2019

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! C’est silencieux dans l’édifice, me souviens de l’époque de la maison de chambres où j’écoutais de la musique à plein volume. Je plaçais la radio dans la fenêtre pour que les voisins entendent comment j’avais du goût j’étais débile, c’était une façon de meubler la douleur de la solitude… Je pouvais pas imaginer que les voisins voulaient juste être tranquille et qu’on leur foute la paix… J’en écoute plus de musique, les derniers airs à la mode m’intéressent pas, j’ai beaucoup diminué l’écoute et je marche beaucoup moins je crois que c’est l’âge… Je pense aux amis de Brossard qui doivent se préparer à partir pour la France. Moi je pense à une prochaine destination je suis toujours aussi fervent des aéroports et des avions… Je me vois sur le quai de l’aéroport Trudeau je marche jusqu’à la porte d’embarquement… Si je partais pour l’Allemagne? J’ai enregistré l’émission des Racines et des Ailes, la France y est très belle… Faute de repartir ce printemps je regarde les émissions télé de voyage, je pense que je vais pouvoir partir l’année prochaine en attendant je fais des économies, je devrais pas raconter ça y’a des requins qui vont lire… Je savais pas qu’à un moment je vivrais en paix… Aujourd’hui je crois que mon lecteur de Deux-Montagnes rend visite aux lecteurs de l’Outaouais. Je sais c’est de la poésie, de l’art de bôf que je fais, quand même j’ai jamais prétendus être d’avant-garde, le désir c’est toujours de trouver des mots nouveaux et de me faire comprendre… J’ai ouvert le sac de chips… On entends plus parler de la réparation des Boeing c’est surtout l’acquisition d’Air Transat par Air Canada qui prends la place… J’ai volé à bord d’appareil de différentes compagnie le service est pas mal similaire en classe économique… Franchement j’ai hâte de repartir je ne sais pour où, je pourrai en faire un texte une chronique, mardi j’ai parlé de Chicago avec les gars, une amie m’a conseillé le Portugal… Y’a tant d’endroit à voir… Je sais pas, je trouve pas je vais revenir à mon idée de base Rome, je prends mon temps avant d’acheter et de réserver… En attendant je vais marcher dans Montréal… Je sais j’ai pas une belle petite écriture  proprette mais comme disait l’autre « c’est ça qui est ça! » Depuis que j’ai acheté des pantalons sur la toile, Facebook arrête pas de m’inonder de publicités de pantalons. Je pense qu’il y a jamais eu autant de travaux et d’annonce de travaux à Montréal, le nouveau pont Champlain est presque terminé, l’échangeur Turcot continue, on va continuer l’autoroute dix-neuf et réparé le pont Pie-IX et allons y… Montréal est encore un vaste chantier et le matin toutes les voies d’accès sont congestionné, bus, route et métro… Y’a juste en avion que les départs gèlent pas… Voilà quelques mots encore, on est déjà vendredi. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est terminé je vous souhaite à une prochaine j’espère!!!

Bernard