Bonsoir!
Bonjour! Il fait chaud chez moi, j’ai mis mes jeans et ouvert la porte
pour faire de l’air. Beaucoup aimé les photos d’Antoine et de la matriarche. J’ai
retrouvé le numéro de téléphone de l’heureuse secrétaire retraité du syndicat
des enseignants du Collège d’enseignement général et professionnel de l’Outaouais.
La semaine va passer vite demain une rencontre avec l’intervenante, mercredi
répétition au théâtre ce qui me mène à la générale de dimanche et la
représentation lundi prochain. Je mène deux ou trois projets de concert j’espère
que ça va être O.K. Je fais un scrapbook y’a longtemps que j’avais pas fait ça,
ça me rappelle mes jeunes années… J’ai ressortis la plume fontaine et retrouvé
les cartouches d’encre. Hier j’avais encore en mémoire San Francisco j’aime
beaucoup les souvenirs de voyage, dans la navette pour l’aéroport une dame
disait que je suis un « handsome man » ça fait plaisir, en voyage en
général je parle pas longtemps mais je rencontre des gens sympathiques, j’ai
pas pu voir la banlieue de Frisco on arrive le soir quand il fait noir et on
part le matin très tôt… Cette année je commanderai pas mon voyage trop tôt, il
faut que je me fixe une destination… Rome? Lisbonne? Italie? Portugal? Je vais
voir, je vais peut-être avoir une illumination soudaine pour une destination inattendue.
Les amis de Brossard partent pour la France, Marseille! Aujourd’hui… Ça fait du
bien l’air frais cette nuit… J’ai rêvé à un ancien voisin de chambre, je le
verrais j’en aurais peur, ça fait plus de vingt-cinq ans, partis comme il était
partis il ne doit plus être de ce monde… Je mange des biscuits OREO… Nous
sommes maintenant lundi, j’ai le souvenir des B.B.Q. des T-Bones steak, à la
maison de chambres… Y’avait toutes sortes d’intrigues dans cette maison. Je suis jamais étonné de voir comment la
misère s’abat sur les défavorisés. C’est assez étonnant comment on a peu de
souvenirs, ça fait quand même soixante-deux ans bientôt soixante-trois et je me
souviens pas de grand-chose, j’aimais bien le camping en famille, lets go
Stéphane! J’ai pas mal fait le tour de mon jardin, cette nuit c’est les orages
le tonnerre, j’aimais bien être à l’abri dans la tente, ce sont les dernières
nuits où je crois avoir bien dormis, la lecture c’est ce que j’aimais le plus,
vous le savez je le répète toujours… Lecture et écriture, après un long passage
en enfer, j’aurai rebâtis ma vie sur ces deux pratiques c’est important pour
moi écrire, je peux dire et éclaircir… Le sommeil viens de me rattraper, j’ai
les yeux à moitié fermés. J’en suis presque à la chute, dehors des gens
parlent, ce sont des anglophones, y’a pas que dans les rues de Frisco que les
gens parlent la nuit. Voilà c’est l’épilogue, je termine, les gens honnêtes dorment
la nuit, quelques mots encore avec les mêmes difficulté que toujours. Voilà! Je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bonjour! Bonsoir!
Aujourd’hui j’ai beaucoup dormis, me suis levé et suis allé acheter un
scrap-book pour faire un collage que la metteur en scène nous a demandé… Je
fais toujours les choses à la va vite ça donne pas de bons résultats. Cet
après-midi j’irais bien prendre un café au marché avec une amie, mais je crois
qu’elle est occupée. Le temps s’est découvert il ne pleut plus… La première de
notre pièce approche lentement… J’essaye de faire ce qu’on appelle du cut-up dans
le scrap-book, j’y arrive pas, c’est trash mon affaire… Demain, la fête des
patriotes, je sais pas pourquoi on célèbre des défaites. J’ai remarqué que mon
lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord avait la même façon de parler
que le patriarche, je me suis jamais entendus avec lui… Je me prépare un café…
Cet après-midi y’a un parfum de pâtisserie, y’a beaucoup de circulation
automobile… Mon lecteur chauffeur d’autobus semblait croire que je pouvais
partir comme ça sans aviser personne… J’ai quand même ma vie, mes activités à
Montréal, je peux pas tout lâcher… Pour le scrap-book j’ai peur d’être jugé je
suis pas très délicat, en tout cas ce seras ce que ça seras… Je préfère m’exprimer
par l’écriture. Mon senti pour tout de suite semble évanescent je force
beaucoup pour pas qu’il disparaisse c’est en quelque sorte ma muse… Combien de
temps faut-il pour arriver à écrire son senti correctement. Je pense à cet ami
que je m’étais fait à mes débuts sur internet je sais pas ce qu’il est devenus
voilà ce qu’il avait fait de mes écrits…http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnierLe temps à passer, je sais pas si j’ai
encore des lecteurs. L’écriture c’est quand même la seule chose dans laquelle
je suis capable de mettre de l’amour. Pourquoi? Je sais pas, je réussis à pas m’auto-stigmatisé…
J’essaye de pas faire semblant, de pas être faux, une goutte d’alcool vaux pas
un texte, bon! Je m’en vais pas encore dans cette direction, j’ai bu mon café,
j’ai pas soif, je pense à ces restaurants à la mode qui ne durent pas… À l’époque
rue Saint-Denis y’avait beaucoup de cafés de bistros et de commerce, aujourd’hui
la rue est un désert, l’action est sur Saint-Laurent je crois qu’il y a pas de
place pour les deux… Je crois aussi que c’est une question de génération on avait nos habitudes, au Fridolin où au
Bruit coure par exemple… C’était y’a plus de trente ans, le quartier était
grouillant. Je pense aussi au Passeport et sa musique, c’était une mode on
essayait dans faire un mode de vie de la musique industrielle… La climatisation
était quand même bien l’été mais je me roulais par terre sur la piste de danse
et j’arrivais pas à avoir une conversation. Je vous ai déjà écrit tout ça…
Voilà! J’en suis presque à la chute, à la difficile épilogue. Comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine en essayant de trouver une
photo. À la prochaine j’espère!!!
Bonsoir!
Bonjour! Y’a mes lecteurs de Brossard qui s’en vont, je leurs souhaite un bon
voyage. Aujourd’hui c’est dimanche j’ai pas connus l’hégémonie de l’église je
crois qu’à cette époque les gens se posaient pas trop de questions… Je me souviens
que pour faire des études les jeunes hommes prétendaient avoir la vocation, à
la révolution tranquille ils ont défroqué et son devenus directeurs d’écoles… J’ai
pas eu cette option toute mes tentatives de réintégré le système scolaire ont
été raté. Je crois qu’en haut lieu on avait décidé que je deviendrais un peu
moins qu’un éboueur, une épave, peut-être un membre du lumpenprolétariat… Des
hommes ont dirigé des hommes et moi je me suis réfugié dans la folie ont a pas pu
en faire beaucoup pour moi j’étais en mode autodestruction… À part le chômage
et l’aide sociale j’ai jamais eu plus du gouvernement qu’une entrevue d’embauche
ratée à la voirie… Ils m’en ont fait croire de belles histoires avec leurs
indépendance c’était un peu comme la religion… Aujourd’hui je trouve que parti
au pouvoir comme opposition ils ont tous de sales gueules et je veux pas me
laisser gouverner par eux… J’ai hâte de voir ce qu’ils vont faire avec les
sinistrés des inondations. Enfin tout ça c’est de ma responsabilité j’ai pas su
persévérer comme préposé à l’entretien ménager c’était pas ma vocation
j’ai toujours cherché…. Tout ce qu’on avait à dire c’est ta gueule fait ta job
pis écoeure nous pas… Je sais pas si y’en a qui s’imaginait que j’allais passer
des années à balayer… Je suis un traumatisé retraité de la petite semaine… Je
vous dirai pas que tout ça proviens de la schizophrénie, j’aime pas beaucoup
rendre la maladie responsables de mes conneries… Je reste et je resterai
paranoïaque moins virulent mais ce seras toujours là… C’est le printemps
pourtant il fait encore froid, un jour peut-être j’irai me louer une cabane au
bord de la mer et j’écrirai peut-être à la manière du regretté Hemingway. En ce
moment j’ai des brûlements d’estomac c’est loin du senti… Je remercie les gens
qui prennent la peine de partager ce que j’écris… Sauve moi maudite poésie je n’arrive
pas à toi c’est dis… Hey bein! Je suis à court de mots, je pense à cette usine
de verre taillé de vitrine où j’ai travaillé quelques nuits comme d’habitude j’ai
eu peur et j’ai laissé la job là… J’en suis presque à la chute, cette nuit je
pense moins à San Francisco, je vous met le logo de la banque dans le village…
J’ai plus rien à dire, rien pour vous entretenir. Dans une vingtaine de minutes
on ne serviras plus d’alcool, les gens vont aller manger du gros stuff gras
pour désaouler… On va continuer à rigoler de façon cynique, la nuit auras passé
encore une fois on rentreras seul… Rien pour avoir de la peine, juste assez
ivre pour s’endormir. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bonjour!
Bonsoir! C’est l’après-midi et pourtant j’ai sommeil. J’ai fait des courses et
la lessive, les t-shirt de San Francisco sont restés beau… Autant à une époque
je parlais en sacrant autant maintenant quand j’entends ça j’ai peur… Souvenir
d’avoir passé y’a longtemps le week-end au parc du Mont-Tremblant, on avait
dormis sur le dur de la boîte de pick-up, il pleuvait c’était le plein air à la
dure, on avait croisé un orignal… On était trop bum pour faire du camping
confortable… Quand même ça meublait ma solitude viscérale trop triste pour m’amuser…
Souvent on ne pensait qu’à la bière. Je sais pas pourquoi nos sorties étaient
toujours tout croche… Moi j’étais monsieur Motel, je me sentais poursuivis je
me cachais paranoïaque dans un motel, cette peur cette angoisse c’était très
difficile, je voulais mourir… Dehors y’a une bande de motards qui passent… Ça
aussi ça me paralysait… J’étais pas très brave. Je crois que bientôt y’a d’autre
chantiers de construction qui vont ouvrir… J’ai jamais rêvé à la fortune, j’étais
plus une sorte de psycho-socialiste… Je parlais de syndicat et je fuyais.
Maintenant j’ai finis mon temps sur le marché du travail, je comprends très
bien pourquoi on voulait pas de moi, un paquet de troubles… Je vais essayer de
m’en tenir à ma prose… Au présent m’y voilà pourtant je suis triste et j’attends…
La schizophrénie me laisse en paix aujourd’hui, la maladie parfois vous veut
mort, c’est pas le bon choix… Aujourd’huiy’a un peu de musique chez les voisins mais ça dure pas, ça aussi à un
moment dans ma vie j’étais incapable de tolérer, je pense aux effets secondaire
des antipsychotique qui m’empêchaient de vivre, c’est une chose assez difficile
à décrire je vous souhaite pas de passé par là… Je pense qu’il y avait pas de
solutions simples à cette folie… Encore une fois y’a un gars qui gueule dehors,
quand je vous aurai rédigé ça je vais lire le texte de la pièce de théâtre
juste pour me souvenir un peu plus… Je cherche c’est difficile, je pense
à l’amour comment ça sonne sentimental… La vie est plus toffe que ça,
écrire c’est pas que de la romance… Souvenir d’un grand souper à Milan, les
bonzes de la santé Mentale italienne y étaient, je m’étais fait dire que mes
textes étaient rafraichissant, pourtant… Je l’ai certainement déjà écris
ailleurs… Je descends dans la chute… Vous devez vous demander quel est le propos
pour garder ça simple on va dire que c’est la santé mentale et ses aléas. C’est
bien un endroit où je peux en parler pourtant vous réagissez pas… C’est
toujours une histoire de rétablissement, d’ancien souffrant qui maintenant
accepte… Y’a des samedis comme celui-là où je me retrouvais à l’urgence de l’hôpital
parfois je me demande si j’ai attendus tout ce temps là pour rien… J’ai quand
même vieillis et changé ma façon de vivre… Voilà! Je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bonsoir!
Bonjour! Vendredi soir tout est calme, étrangement je me couche en bavant ma
salive et quelques minutes plus tard j’ai la bouche sèche à m’empêcher de
respirer… De pauvres considérations pour vous écrire… La boucherie Limoges à
Terrebonne semble avoir d’appétissante charcuterie va falloir que j’aille faire
un tour… Comme vous voyez ce soir je suis en surface quoi que je vais plonger
dans pas long… L’introspection c’est difficile nommer ce qu’on sent et ressent…
Je m’ennuis des pics-nics et des fins de semaine de camping avec la douce. Si j’avais
les moyens je m’achèterais un camping car… C’est toujours l’agitation dans ma
tête je devrais faire de la méditation pleine conscience ça me calmerais… Je
comprends pas pourquoi je respire pas mieux que ça pourtant c’est la vie… Je
pense encore à la gracieuseté des boissons douces à l’hôtel c’était bien… Je
vais vous illustrer ça avec une photo de
San Francisco que j’aime bien… Cette semaine on parlait de l’éclairage du pont
Jacques-Cartier à Montréal, comment ça deviens une signature… Les femmes disaient d’un air détaché c’est que
de l’écriture elles semblaient pas accorder d’importance aux mots, pourtant les
mots moi j’en fait toute ma vie j’essais de toucher les âmes sensibles… La
douleur du senti on la ressent dans cette solitude alcoolisé assis dans un bar
à écluser des drinks pour faire taire la voix,mais viens un moment qu’on y arrive pas qu’on y arrive plus… Parfois je
crois que ce que j’écris c’est de la sensiblerie, ça me prendrais une ligne
plus éditoriale pourtant j’écris pas politique… Ai pris une douche et je me
suis parfumé, je prends soin de moi. Quand j’ai plus rien à vous raconter je me
retourne vers moi et je me dénigre, me souviens d’une fille qui se sentait jugé
disons que l’accueil inconditionnel c’était pas pour elle… Samedi s’en viens
avec la toujours très intéressante chronique voyage dans LaPresse+… À l’automne
si tout va bien je devrais suivre une formation pour devenir formateur au
Recovery College, j’en ai parlé avec mon lecteur de Deux montagnes et il y a
effectivement une professeure-chercheure de l’Université du Québec à Trois
Rivières. Les écrivains pour se faire connaitre ça gagne des prix, avec mon
écriture brinquebalante je gagnerais pas grand-chose, il est un peu tard pour
gagner des prix et me diriger vers l’enseignement…J’écris c’est toujours ça que j’ai voulus
faire et advienne que pourras… Encore une semaine et on joue envoyez moi le mot
de Cambronne… Voilà! C’est la nuit et je cherche une façon de terminer. J’ai
encore plein de chose à faire, je vais relire la pièce… Je crois qu’encore
une fois aujourd’hui j’aurai fait de mon mieux, plus que ça je suis incapable.
Je pense à un petit cousin qui étais présent sur les réseaux sociaux, j’ai un
peu peur qu’il ait fait l’irréparable. Si tu me lis fait moi signe. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au
revoir!!!
Bonjour!
Bonsoir! Viens de regarder une émission des Racines et des ailes sur le
Vaucluse. C’est tellement beau j’en pleure, un jour j’irai… Ce matin j’ai
rencontré un ami immigrant, je sais pas d’où il vient mais quand on se voie à l’arrêt
d’autobus on discute. Il a un gros accent difficile à comprendre mais c’est
toujours intéressant. Je pense aux amis qui s’en vont en Provence… J’aime
beaucoup les abbayes, les monastères Cistercien ça aussi je devrais y aller pour
méditer… En France plus de milles appellation de fromage, je crois que maintenant
au Québec ont peu en goûter quelques un… La France, y’a tellement de choses à
voir, j’aime bien ce pays… J’y suis allé quatre fois mais pas assez longtemps à
mon goût… C’est mon senti de cet après-midi… Il fait encore un temps gris et
triste… Je pense à mon costume pour le théâtre, je vais me préparer un café…
Parfois je suis calme mais on dirait que je fais tout pour me déranger… C’est
vendredi une soirée de sortie pour plusieurs, je m’ennuie un peu du vin c’est
le seul alcool que j’aimais mais ce seras pas pour aujourd’hui… Je pense à la
regrettée qui travaillait à la société des alcools qu’aurais-je pu faire pour l’aider?Souvenirs de vendredi soir où j’arrivais du
boulot, je me rasais, prenais une douche, mangeais un sandwich et je partais
pour la soirée au bar… Quand je revenais au petit matin je puais le tabac et l’alcool
pour me réveiller le lendemain matin fauché avec un hangover, un mal de bloc…
Maintenant je suis tranquille un peu trop vieux pour ce genre de soirée… J’y
retournerai pas. Je médite chez moi, je prie aussi c’est mieux comme ça. Les
arbres sont en feuilles, je me répète, c’est le cycle de la nature… Je pense à
ma jeunesse à ma folie on m’avait jamais expliqué comment ça se passait dans le
monde de la nuit. Aujourd’hui je crois qu’ils parlent du bling-bling… En ce
moment y’a un délicieux parfum… Je crois qu’écrire c’est une sorte de prise de
parole, je vous raconte mon senti dans la métropole. Au moment où j’ai cessé la
consommation, les choses se sont améliorées pour moi, j’irai pas tout démolir
pour un minable verre de vin… Y’a encore de la place à l’amélioration, je sais
ça sonne comme de la morale pas chère mais pour moi c’est comme ça… Ce soir les
étudiants sérieux rentrent à la maison, d’autre s’en vont travailler et une
minorité va se saouler… Moi je bois pas parce-que je veux pas vous décevoir et
surtout me décevoir. Voilà encore ce soir je suis dans ma thématique de
prédilection… IL ne me reste que quelques mots avant d’arriver à la chute… Je
suis toujours prêt à entendre les commentaires même des inconnus. Un jour à la
fois j’y arrive, encore une fois je vous aurai écris. Merci d’avoir lu
jusque-là!!! Comme toujours j’espère qu’il y aura une prochaine!!! Au revoir!!!
Bonsoir! Bonjour! C’est silencieux dans l’édifice,
me souviens de l’époque de la maison de chambres où j’écoutais de la musique à
plein volume. Je plaçais la radio dans la fenêtre pour que les voisins
entendent comment j’avais du goût j’étais débile, c’était une façon de meubler
la douleur de la solitude… Je pouvais pas imaginer que les voisins voulaient
juste être tranquille et qu’on leur foute la paix… J’en écoute plus de musique,
les derniers airs à la mode m’intéressent pas, j’ai beaucoup diminué l’écoute
et je marche beaucoup moins je crois que c’est l’âge… Je pense aux amis de
Brossard qui doivent se préparer à partir pour la France. Moi je pense à une
prochaine destination je suis toujours aussi fervent des aéroports et des
avions… Je me vois sur le quai de l’aéroport Trudeau je marche jusqu’à la porte
d’embarquement… Si je partais pour l’Allemagne? J’ai enregistré l’émission des
Racines et des Ailes, la France y est très belle… Faute de repartir ce
printemps je regarde les émissions télé de voyage, je pense que je vais pouvoir
partir l’année prochaine en attendant je fais des économies, je devrais pas
raconter ça y’a des requins qui vont lire… Je savais pas qu’à un moment je
vivrais en paix… Aujourd’hui je crois que mon lecteur de Deux-Montagnes rend
visite aux lecteurs de l’Outaouais. Je sais c’est de la poésie, de l’art de bôf
que je fais, quand même j’ai jamais prétendus être d’avant-garde, le désir c’est
toujours de trouver des mots nouveaux et de me faire comprendre… J’ai ouvert le
sac de chips… On entends plus parler de la réparation des Boeing c’est surtout
l’acquisition d’Air Transat par Air Canada qui prends la place… J’ai volé à
bord d’appareil de différentes compagnie le service est pas mal similaire en
classe économique… Franchement j’ai hâte de repartir je ne sais pour où, je
pourrai en faire un texte une chronique, mardi j’ai parlé de Chicago avec les
gars, une amie m’a conseillé le Portugal… Y’a tant d’endroit à voir… Je
sais pas, je trouve pas je vais revenir à mon idée de base Rome, je prends mon
temps avant d’acheter et de réserver… En attendant je vais marcher dans
Montréal… Je sais j’ai pas une belle petite écritureproprette mais comme disait l’autre « c’est
ça qui est ça! » Depuis que j’ai acheté des pantalons sur la toile,
Facebook arrête pas de m’inonder de publicités de pantalons. Je pense qu’il y a
jamais eu autant de travaux et d’annonce de travaux à Montréal, le nouveau pont
Champlain est presque terminé, l’échangeur Turcot continue, on va continuer l’autoroute
dix-neuf et réparé le pont Pie-IX et allons y… Montréal est encore un vaste
chantier et le matin toutes les voies d’accès sont congestionné, bus, route et
métro… Y’a juste en avion que les départs gèlent pas… Voilà quelques mots
encore, on est déjà vendredi. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! C’est terminé je vous souhaite à une prochaine j’espère!!!