vendredi 8 février 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c’est juste une tentative,je me sens un peu orphelin quand ma machine maitresse marche pas. En même temps c’est un exercice avant le voyage,je suis devant la télé c’est les victoires de la musique française avec des extraits de la regrettée Maurane,je suis dans mon senti, y’a des chansons très émouvantes… Les français ils font beaucoup de grandes choses,les victoires c’est du « live ». Ça me rend mélancolique ces chansons, ce soir dehors c’est grand vent,il est passé vingt heures. Je sais pas si je vais pouvoir écrire comme ça dans l’avion. Je relis le guide Ulysse de San Francisco, un sacré beau cadeau,je prends des notes… Je pense aux snowbirds qui vont bientôt être en Arizona… Les rappeurs français sont assez original… Demain j’attends la visite de mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord il va réparé ma tour…Dans un extrait d’émission y’avait un gars avec une casquette du club de hockey local de Montréal. Demain c’est le cahier voyage de LaPresse+, je l’aime bien, j’ai oublié de rappeler l’infirmière au centre local de services communautaires… Voilà! Je vous garderai pas longtemps ce soir, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard




jeudi 7 février 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai fermé le chauffage et ouvert la porte pour avoir un peu d’air frais, ça fait du bien… Je remercie ma snowbirds pour les encouragements ainsi que le lecteur comédiens et l’enseignants à la retraite. Merci à tout ce beau monde… Ce soir je suis debout, j’arrivais pas à dormir, ai fermé la porte. Jeudi soir y’en a plusieurs qui s’en vont dans les bars du centre-ville. Je m’en vais tout de suite à mon senti, j’attends le remboursement d’un chèque semble que je peux attendre jusqu’au vingt février. J’essais de nommer mes sentiments, ce n’est ni simple ni facile. Je pense au musée de la Reine Sofie à Madrid au petit bistro tout à côté où j’ai pris un café en attendant l’ouverture, le proprio semblait étonné que je me lève et me présente au bar pour payer le café… Je suis déjà en voyage, je regarde les guides de San Francisco. Je vais prendre l’autobus où on peut monter et descendre… Hop’n’go. Je dois regarder le positif du voyage, les quelques conversations avec des gens affables, les chauffeurs à Barcelone et à Madrid, la tenancière du restaurant à Washington, le magrébin dans le train entre Lille et Paris. Je me souhaite du bon temps, ça devrais… L’équipe de hockey locale mène par deux buts, cette année les gens sont moins déçu… L’endroit où j’ai le moins discuter c’est à Cuba sauf avant de partir, une serveuse qui tenais absolument que je revienne et à qui j’ai remis mes pièces de monnaie touristique Cubaine… J’espère que le prochain hôtel seras bien https://www.booking.com/hotel/us/beresford.fr.html?aid=311089;label=beresford-cuIraE9KAhaSr_sxlv6blwS161717077800%3Apl%3Ata%3Ap1%3Ap2%3Aac%3Aap1t1%3Aneg%3Afi%3Atiaud-285284111686%3Akwd-918200792%3Alp9061023%3Ali%3Adec%3Adm;sid=344ef60132d6f8849aefa9e0f5b04234;dest_id=20015732;dest_type=city;dist=0;hapos=1;hpos=1;room1=A%2CA;sb_price_type=total;sr_order=popularity;srepoch=1549594573;srpvid=9d4714a683970090;type=total;ucfs=1&#hotelTmpl  Voilà l’hôtel où je serai, je pense que c’est bien. Bientôt je vais contacter l’amie agent de voyage… Celle là je vous l’ai jamais raconté, j’étais si angoissé, j’avais si peur que plutôt que de coucher chez moi, la peur me faisait louer des chambres d’hôtel où de motel tout près, je dormais quand même pas, j’étais certain qu’il y avait un complot contre moi. Les gens me surnommait le motel, vous pouvez rire c’est assez difficile d’écrire la douleur qu’il y avait là dans une chambre au Holiday Inn… J’ai soixante-deux ans, j’ai réussis à me poser depuis les vingt-cinq dernières années. Je paye mon loyer j’ai pas peur de me retrouver dehors. Je pense à mon lecteur gouverneur d’une chaire à l’UQàM… Je me souviens plus ce que je voulais lui raconter… La peur de la menace peut-être, cette angoisse toute schizophrénique, les rendez-vous à toutes les semaines avec le psy, chaque rendez-vous était comme une confirmation que j’allais vivre encore une semaine. Je sais pas pourquoi je pensais comme ça, le psy m’aidais. Je suis jamais vraiment sortie de ce monde de maladie mentale, maintenant je me rétablis… J’entends la machinerie dehors curieusement c’est comme si j’étais déjà en voyage. Ha oui! Je voulais dire à l’ami gouverneur que j’ai reçu et envoyé toute la paperasse pour mon loyer. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai finalement reçu par la poste la paperasse qui me manquais, je l’ai posté à l’Office Municipal d’Habitation de Montréal. J’espère que tout va être o.k. J’ai vu le médecin ce matin, tout va bien j’ai rien de grave, peut-être un manque d’hygiène pourtant je prends souvent une douche. Ça me rassure quand même… Toujours tout le temps le bip du tracteur et du camion. Aujourd’hui je crois que j’ai fait ce que j’avais à faire. C’est pas fort comme phrase, je pousse trop et ne trouve rien… Jeudi après-midi les camions de livraison de bière sont occupés… Pendant ce temps-là les mamans passent avec leurs bébés dans les bras… C’est la vie, c’est la ville je suis sortis posté l’enveloppe j’ai pas vu de voiture de police… Dites-moi ce que je peux faire aujourd’hui pour battre le stigmate, parfois on me parle et je saisis rien dans ce langage… Il faut que je sorte, je dois pas rester enfermé, je cherche la rencontre, l’échange avec l’autre même si parfois c’est pas évident… Reçu un appel à signature du pacte, j’avais compris que ça ne se passerais pas comme ça qu’on ne nous solliciterais pas, j’aime pas ça… Encore et toujours des signatures ça, selon moi, change rien les gens ont voté, on voudrait un contre-pouvoir. La terre on la laisse pas tranquille, je sais je suis juste un gros Mon’oncle bouffeur de steak… Non, cet après-midi j’irai pas à la taverne, j’essais d’être sérieux et d’écrire… Le médecin a surement pensé que je suis un gros porc, je suis malheureux, je veux pas sortir et me faire stigmatiser par des gens qui connaissent rien à la maladie mentale, des gens qui déparlent et que je ne comprends pas comme si ils parlaient russe… J’ai vu sur les réseaux sociaux   https://www.facebook.com/preventiondusuicide/videos/1079428948902985/UzpfSTY4MjMzMjkzMzoxMDE1NjE5NjAxMDc5NzkzNA/ Madame Janie Houle la patronne d’un collègue de mon groupe d’entraide… Le suicide c’est un sujet très controversé parfois on se sent poussé à ça, y’a beaucoup de monde qui portent un jugement là-dessus, je sais pas comment dire c’est pas une question d’être d’accord ou pas, ça fait mal… Je suis d’accord quand on dit faut en parler, ne pas rester avec le motton dans la gorge. Je sais pas ce que j’ai fait pour être comme ça, je réussis pas à faire taire mes difficultés personnelles et interactives. Parfois je veux tout abandonner, je suis pas compétitif… Pourtant la mort ça règle rien pour ceux qui restent… Je sais pas où je vais me cacher en attendant de prendre l’avion, un peu plus d’un mois encore… Je vais essayer de vivre, c’est difficile. Aujourd’hui j’ai beaucoup marché pourtant je me suis pas sentis bien comme dimanche. Si on ne me respecte pas c’est que je suis pas respectable… Voilà! J’en suis presque à la chute, je pense à tous ceux qui détestent leurs travail et qui reste là je sais pas pourquoi… Encore une fois je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Pas beaucoup de temps entre les deux blogues, je sais ça compte pas ce que vous lisez ici, c’est pas de la vrai écriture mais lisez ça http://editions-hache.com/saulnier/saulnier1.html c’est ce que j’avais écrit pour me libérez de mauvaises habitudes. Ça fait longtemps… Depuis tout ce temps j’ai pas cessé d’écrire, je sais plusieurs d’entre vous sont passé à autre chose. Je cherche encore comment vous dire, je suis pas complètement libérez de ma névrose, écrire ça m’aide à survivre et le pire c’est que j’aime ça. Ce matin je vais voir le médecin… J’espère que parfois vous revenez à ce que j’écris. J’ai lu qu’il y a au moins soixante-dix-neuf personnes qui aiment ça… L’idée c’est de défaire le stigma par l’écriture… Je respire fort je m’entends à bout de souffle ça sille… Je suis toujours à la recherche de mon senti, hier au début de la nuit j’ai mangé des madeleines… De la grosse bêtise tout ça, vaudrais peut-être mieux que je m’amuse dans cette fin du monde… Je pense à ma dernière rencontre avec le médecin je lui avais confié vouloir mourir, viens de prendre une douche et je me suis parfumé avec ce que je crois être une copie du parfum que j’utilise d’habitude, une copie oui! Mais le coût est le même. J’attends qu’on me rembourse un montant payé en double pour mes communications… Lentement la nuit avance, j’aimerais beaucoup recevoir un dernier document pour ma subvention au loyer… Le senti, parfois je l’oublie, on aime pas beaucoup que je me place en avant, ne serait-ce que pour parler du rétablissement de comment c’est possible mais qu’il faut y travailler. Je me laisse démolir par des propos malicieux, ça me tue de les entendre parler de carrière quand ils sont au plus profond de la maladie mentale… Je raconte comment un changement d’institut peux faire le plus grand bien, d’un hôpital consacré entièrement à la maladie mentale à un autre de médecine générale il y a une grande différence ne serait-ce que le stigma accolé… Je suis penché sur mon clavier, j’entends la ville ronronner… Hier j’ai regardé un excellent documentaire sur le dernier des frères Gibbs qui reste, les Bee Gee’s de grand artistes… Je crois que les snowbirds quittent Houston aujourd’hui… La matriarche était toute étonné d’avoir une ligne téléphonique aussi claire, c’est bien le moins au prix qu’on paye. J’ai sommeil, voilà ça tire vers la fin cette nuit, hier j’avais presque oublié la réunion du conseil d’administration, j’y suis allé… Rien de nouveau, les malades qui se plaignent parce qu’ils sont renfermés. Faut les surveiller et les soigner… Encore cette nuit je pense aux itinérants à comment il fait froid… J’ai acheté le parfum trop vite j’aime vraiment pas son odeur trop banale, je vais finir cette bouteille et je ferai attention pour la prochaine. J’ai un déjà vu, l’ami pair-aidant de l’association québécoise de schizophrénie. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
 

mercredi 6 février 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Voilà j’ai préparé une omelette pour souper, j’ai pas eu ce que j’attendais dans la poste. Ça me fait angoissé j’ai peur qu’on me mette à la porte, pourtant le loyer est payé… Il neige encore un peu, demain matin j’ai rendez-vous avec le médecin. Mercredi soir plusieurs vont passé du boulot au guichet… C’est la culture du gagne petit… Dans le bas de la ville plusieurs fréquentent les banques alimentaires et font un petit traffic… J’entends toujours le bipper de recul des camions… Je suis finalement guéris de ce rhume et de cette sinusite… J’ai téléphoné à l’office municipal d’habitation on a pas retourné mon appel… J’arrive du conseil d’administration du comité des usagers de l’institut, on a répondu à mes questions, tout s’est bien déroulé. Je me suis fait souhaiter une bonne écriture… J’ai fait une erreur j’ai mis en doute l’implication d’un membre dans un autre conseil, celui de Ma Chambre inc qui s’associe avec la Société d’habitation de Montréal pour des logements à prix modique sur le boulevard Saint-Joseph https://www.machambreinc.org/ . Parfois je parle trop… Avant quand j’assistais à des réunions de ce genre après je m’arrangeais toujours pour prendre une bière avec les autres membres, c’est finis ce temps-là je ne bois plus c’est mieux pour eux comme pour moi… Ce soir je suis tout mêlé entre OMHM et SHDM vaux mieux que je m’occupe pas trop de ça… Je sais j’ai une idiote façon d’écrire, les gens honorables bossent et font de bonnes choses… Il ne me manque plus qu’un document pour renouveler mon bail, j’espère qu’il va arriver bientôt. Ce soir j’écris y’a longtemps que je l’ai pas fait sur cet horaire. Je vais aller vers mon senti, le gars avait peut-être raison je manque d’humilité, un gros ego… Je sais pas comment ont fait pour être effacé, juste écouter et commenter sans se faire d’ennemis… Parfois je sors de là le stigma bien vivant, comme un fou échappé de l’asile… Pourtant je me rétablis et j’essais de montrer une image saine de la psychiatrie… Souvenir du docteur Rotelli rencontré à Trieste et qui m’a donné le message que c’était possible de fermer les hôpitaux psychiatriques, en Italie ça n’existe plus… Je veux pas me battre, juste montrer que le rétablissement hors-les-murs est possible… Aujourd’hui j’y vais à contrario de ceux qui mettent le feu… Je sais pas si je vous aide quand je raconte mes histoires de senti. Un autre souvenir d’Italie les femmes qui travaillaient en santé mentale s’appelaient des opératrices, elles travaillaient dans des locaux vides éclairés par une ampoule nue, j’ai quand même vue leurs appartements supervisés, on y a chanté avec un gars qui nous accompagnait à l’accordéon… Tout ça je vous l’ai déjà raconté ailleurs c’est mon désir de partir qui parle… Le temps passe je me prépare pour San Francisco. Voilà c’est la chute, j’espère que je vous fatigue pas trop. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les journées passent vite, j’ai pas le temps de voir venir les différentes réunions. J’entends un avion qui passe je sais pas où il s’en va… Je mange des clémentines elles ont un délicieux goût de miel… J’ai retourné l’appel de quelqu’un qui selon moi est dans une grande solitude. L’équipe locale a gagné, j’apprécie beaucoup les commentaires de mes lectrices, ça me fait du bien. Je vous écris lentement après je vais regarder le match en express… Je pense au petit neveu qui en est à ses premières parties de hockey je lui souhaite un tir à la Weber… Il  ne me manque plus qu’un document pour l’office municipal d’habitation j’aimerais bien le recevoir aujourd’hui… C’est froid tout ça, du langage administratif je vais aller vers mon senti. J’ai peur de la police pourtant à ma connaissance je fais rien d’illégal… Ai dormis un peu je suis heureux quand l’équipe locale gagne, dehors tout à l’air gelé. Je pense au manque de main d’œuvre, je suis pas vraiment disponible pour le marché du travail, semble que ce qui compte pour les « vrais écrivains » ça compte pas ma plume est trop corrompus…J’irais au enfer mais j’en reviendrais la tête et les pensées brûlées… Je devrais pas utiliser ce langage, la mort par le feu c’est ce qui me fait le plus peur, je crois qu’on meure étouffé par la fumée. Ça fait partie du stigmate de santé mentale que je veux combattre, le malade qui met le feu, ça arrive pas plus souvent que dans la population en général. Pour combattre ça je dois faire le bien, être deux fois mieux. C’est pas très beau comme phrase, être plus sain que sain d’esprit…Ce soir j’ai une réunion du comité des usagers de l’Institut universitaire en santé mentale. Je vous dis merci pour les commentaires, je me suis couché pour me relever et regarder le match en différé ensuite je suis retourné au lit pour dormir un peu et me voilà… Je sais pas si j’ai raison de me sentir persécuté, je veux pas prendre la parole comme n’importe quel malade mental, mon affaire c’est la création, l’écriture de mon senti… Y’a pas de fonctionnaire qui me relis, la douleur de l’incompréhension est quand même vive… Heureusement tous les jours ne sont pas pareils. Si je veux écrire je dois le faire au grand jour. Parfois je trouve les gens cruels pourtant quand je prends la peine de parler le stigma se dissipe… Je pense à ce gentil kabyle au retour de Lille avec qui j’avais eu une excellente conversation. Je reste convaincu qu’il faut s’ouvrir au autre et dire ce qu’on est… Moins de deux mois et c’est le départ pour San Francisco, la mère de la contre-culture… J’ai hâte de voir cette ville marquante pour le vingtième siècle, y’en auras plus d’autre influente comme ça. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots, à la prochaine j’espère!!! Ciao!!! Au revoir!!! Bye!!!
Bernard

mardi 5 février 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui on disait au revoir à la gentille intervenante qui est tombé malade. Je me suis coupé l’appétit en mangeant des croustilles et du gâteau. C’était bien comme ambiance les employés et les voisins étaient présent, je les considère comme mes amis. Le ciel s’est dégagé, j’ai reçu une partie de la paperasse dont j’ai besoin, j’espère que ce qui manque va arriver demain… Je m’en fait pas trop ils ont tout le mois de février pour le poster. Soleil encore une belle lumière… Je cherche une émotion, je sais que la lecture ça touche pas tout le monde encore faut-il être capable de nommer ce qu’on sent, ce qu’on ressent. J’ai du « travail » mon compte-rendu à rédiger, mon curriculum vitae, bientôt la création collective et ce blog. J’entends le chat du voisin, je suis entouré de gens fier en rétablissement. Parfois la maladie touche ceux qu’on attend le moins. Je sais pas si c’est artistique ce que j’écris, faute de l’être j’ai acheté de petites Madeleine, je crois que ce soir ça va gelé… Plus tôt cet après-midi y’a eu une panne d’électricité… J’ai encore regardé un avion atterrir tourné du cockpit, c’est vraiment exceptionnel… J’ai la larme à l’œil, je tape sur mon clavier comme si j’interprétais au piano une pièce de Mozart. Les mots, les mots, les mots la tonalité… On me vois venir sur la portée que je sais pas lire, j’ai pas voulu apprendre la musique comme indiqué… J’aimerais ça écrire à contrepoint, mais je m’appelle pas Glen Gould… J’ai pas vraiment le vocabulaire de la musique, j’écris pas sur une clé… Je me suis trompé ça semble avoir fondu. Je suis toujours au prise avec mon senti que j’arrive pas à nommer… Parfois je fait des choses ça semble pas les bonnes, même le caissier du supermarché me fait mal quand il me parle, je suis seul et sans défense… Quand-même je m’auto-dénigrerai pas, les gens sont ce qu’ils sont. Parfois j’ai juste envie de me cacher, « la vie est dure, l’amour caché ». J’arrive pas à exprimer verbalement ce que j’écris, ce que je vie une sorte d’ostracisme de mise de côté de celui qui souffre… Dans ces moments-là je dois pensez aux amis… Je suis chez moi, y’a personne d’étranger, ils jugeraient peut-être moins si ils avaient fait quelques milles dans mes bottines… La police m’amène toujours à l’hôpital… Aujourd’hui je veux pas m’organiser pour être hospitalisé pas plus que faire de la prison. Tout ça je crois que c’est de la stigmatisation, ils sont mal dans leurs travail et voudraient la même chose pour les autres. La douleur voilà ce que je ressent, si vous pouvez me répondre et m’aider, merci! Rester seul je sais que c’est pas de la force. Voilà! J’aurai encore pondu quelque chose. C’est la chute, la finale, l’épilogue, Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, je cherche l’espoir. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard