jeudi 24 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je pense aux psychoses paranoïaque, à je ne sais comment dire, la sensation qu’on pue, trois où quatre douches par jour, des ablutions de parfum, d’eau de toilette, oui c’est presque religieux… Beaucoup de difficulté à écrire cet après-midi, il pleut c’est triste tous ce qui est enfermé dans ma tête. L’expression du malaise. Je sais bien vous préférez les choses positives mais ce ne sont que des moments… Il neige un peu partout même en France… Je raconte toujours la même chose… Les snowbirds sont à la chaleur, lentement janvier s’en va plus que deux mois avants mes vacances, je radote… Dans ces écrits je me suis tout décortiqué j’arrive pas à me renouveler… J’écoute ce que ça me dis, j’essais de plonger à l’intérieur de mon senti. Je suis pas très zen, je suis pas habitué au silence intérieur pourtant souvent j’ai peur. Y’a toute cette histoire à propos de l’utilisation du même mot, j’ai pas envie de chercher des synonymes… J’écris synonyme parce que j’ai longtemps causé écriture avec un tenancier de bistro qui faisait tous pour me décourager, il me parlait de toute les difficultés de tous ce qu’il voyait dans la façon d’écrire des descriptions, moi je cherchais toujours ce qu’était un lapsus. Tout ça assis au bar en cuvant de la bière, y’a rien de pire qu’un écrivain qui écris pas, j’avais comme idée pour en finir de prendre une caméra et de tourner pendant que je récite mes textes et que je gobe mes médicaments en buvant de la bière. J’ai longtemps eu cette obsession d’avoir une caméra vidéo, aujourd’hui c’est disponible pour tous ceux qui ont un téléphone portable, une tablette… À l’époque au bistro y’avait pas d’alcool, je mangeais du gâteau Boston et j’y perdais mon temps, j’ai jamais eu beaucoup d’ambition. J’ai toujours été quelqu’un de triste, la bière aidait pas, à la fin je pleurais au bar, c’est probablement une redite… Y’a longtemps que j’ai pleuré malgré tout je me remets souvent en question… Je les vois qui jettent un œil sur ce que je fais, la peine est là… Je suis pas un si grand écrivain qu’on ait besoin de transposer. Parfois j’ai le sentiment que je me laisse mourir au bout de ma peine… Y’a rien de réjouissant, je m’excuse pour ceux qui cherchent du plaisir à lire. Tout à coup j’ai froid, j’ai monté le chauffage… Je crois qu’il y a pas eu de poste aujourd’hui. Je prends mon temps pour vous écrire, je sais pas ce que je vais faire pour finir. L’hiver c’est toujours difficile, quelques mots encore je termine sur la tristesse, c’est sombre dehors. J’ai pas envie de trainer au centre-ville, je reste chez moi… Je ne serai pas devenus ce que je croyais, je me suis mépris… Voilà! J’espère que ça a une petite résonance d’écrivain. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer, j’y arrive. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 23 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! L’équipe locale a gagné hier soir, je veux juste dire aux snowbirds que j’adore la photo de leurs camping. Je m’y verrais bien un jour écrire à la chaleur. Notre amie secrétaire retraitée du collège d’enseignement général et professionnel de l’Outaouais à un style d’écriture très limpide c’est très beau. On la suit avec impatience sur facebook…  De mon côté je pense toujours aux avions à mon vol vers San Francisco, j’espère que la fermeture des services publics va se terminer bientôt, déjà jeudi… J’ai lu que dans l’avion y’a le wi-fi pour une douzaine de dollars… J’ai hâte d’être à l’aéroport Pierre Elliot Trudeau et d’attendre mon embarquement sur l’avion. Cette nuit vous dormez tous, c’est bon signe vous semblez avoir réglé vos insomnies… Le premier avril l’avion pars à sept heure puisqu’il faut être là au moins trois heure à l’avance je me demande comment je vais m’y prendre? J’imagine que c’est ouvert toute la nuit. J’ai vu que le transport par autobus est disponible vingt-quatre heure par jours sept jours sur sept. C’est assez long écrire comparé au temps que prends la lecture, je pense à la publicité télévisée qui dis que trop consommer ça éloigne le monde, c’est bien vrai ce sentiment d’immense solitude… Je pense aux auteurs de chansons, aux grands, je crois qu’ils sont des angoissés permanent ce qui leurs fait écrire de si beaux textes où on se reconnait… La neige a cessé, j’aurais jamais cru me retrouver si longtemps dans ce quartier. Je suis quand même heureux d’avoir un endroit décent pour vivre, de ne plus être ivre au début du mois… Je pense à Dom Remy aux nombres de fois que J’ai suivis leurs thérapies comment la dernière a été la bonne. Je racontais au psychologue que je savais que j’étais pas dry drunk… J’ai ouvert la boîte de tôle des biscuits, j’arrive pas à m’arrêter d’en manger, les alcooliques ont tous une « sweet tooth ». J’attends encore le courrier, je termine ceci et je retourne me coucher, j’y vais pas tout de suite. Je sais pas pourquoi je pense à ma sœur qui est partie peut-être tout simplement parce qu’elle me manque… On parle très peu de ceux qui sont disparus c’est pas drôle et de nos jours on en a que pour l’humour… Je crois que je vais avoir un beau défi à relever dans mon implication aux ateliers du Théâtre du Nouveau Monde… Si vous saviez comment je me sent quand je termine, quand j’ai joué mon rôle c’est une espèce d’extase… On commence bientôt j’ai bien hâte de voir où ils vont nous amener cette année. La fièvre est partie, je suis moins congestionner, je tousse presque plus ça va mieux… Je vous décrirai pas mes souvenirs pornographiques. J’illustre avec l’enseigne de l’optométriste rue Ontario, j’essais de voir clair. Voilà, c’est la chute ce que j’ose appeler épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il neige encore… La semaine passe lentement, j’ai rendez-vous chez le médecin dans deux semaines. J’ai encore sommeil et toujours peur que le médecin me trouve une maladie grave…. J’essais d’écrire en paix… C’est de mon senti qu’il s’agit, la paperasse de l’impôt arrive pas… J’ai hâte d’avoir ça, je veux pas me retrouver dehors. Cette semaine j’ai retrouvé le lecteur DVD débranché et en dehors du meuble, le téléphone aussi comme si quelqu’un avait fait ça pour me déstabiliser, je me rappelle pas d’avoir fait ça… C’est assez fatigant cette persécution… Je vous raconte ça, je crois que c’est moi qui ai tiré sur les fils avec mes pieds, ça fait partie de la schizophrénie paranoïaque. J’ai des journées plus calmes et d’autre plus agitées ça se passe surtout entre mes deux oreilles. J’ai bien aimé vos commentaires d’hier… Je crois que l’an passé j’étais allé à Madrid et à Barcelone pour ensuite au printemps me retrouver à Lille. Cette année ce seras des vacances à San Francisco. L’institut universitaire de santé mentale de Montréal cherche des pairs aidants, moi j’ai pas assez de formation pour faire ça, je reste quand même une personne en rétablissement. Ils auront beau ouvrir tous les postes pour pairs aidants j’ai pas la formation académique  et il est hors de question que je recommence le calvaire des petits boulots. Je suis un peu vieux parfois ma vie elle est d’une tristesse infinie… J’ai pas souvent envie de rire, encore beaucoup de neige aujourd’hui… Il est pas question que je fasse mon comique, les tracteurs et les camions passent pour nettoyer les rues, j’ai pas envie de m’auto-dénigrer… Je voudrais vous faire plaisir écrire quelque chose d’un gars de bonne humeur mais ça arrive pas souvent. J’avais beaucoup aimé marcher dans Madrid. Hier je parlais peinture avec l’ami, comment il faut laisser les œuvres nous parler nous émouvoir, l’émotion qu’elle procure c’est la justesse d’une peinture. Je peux pas écrire beaucoup là-dessus, je vais vous illustré ça avec le bœuf écorché de Rembrandt, je la trouve dure cette peinture mais elle me parle… Les images de boucheries… Je pense aux végans qui sont surement révolté à la vue de cette œuvre, mais faut comprendre l’époque comment on se nourrissait, la viande on a pas toujours prêté de grands sentiments aux animaux de boucherie. De nos jours faut que ça lave plus blanc que blanc sinon c’est pas bon. Dans cette carcasse c’est difficile de voir une boulette de burger mais ça vient bien de là, j’ai quand même la conscience tranquille, y’en a qui veulent être plus pur que pur… Je reviens au lecteur de DVD c’est bien moi qui l’ai déplacé en m’accrochant les pieds dans les fils… Ça y est presque pour cet après-midi, non c’est pas de la charogne c’est du bœuf dépecé. Voilà! J’en suis à la chute, je termine toujours dans la même tonalité. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
 

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Beaucoup de plaisir hier soir à la réunion du conseil d’administration, c’est la nuit de mardi à mercredi… Je vous les aurai toutes passées du rhume à la grippe pour arriver à la pneumonie. Je tousse et ça arrache j’ai un peu peur… Pourtant j’ai reçu deux vaccins! Je suis à la recherche de la plus jolie phrase… Je crois qu’il y a des gens qui n’apprécient pas que j’ai de l’amitié pour l’historien d’art. J’apprécie toujours les gens savants ils ont quelques chose à m’apprendre. J’arrête ça là ce sont des choses qui me regardent quoi que je vous ais fait déjà des confidences bien pire… C’est difficile parler de l’art j’ai pas ce grands talent, j’y arrive un peu avec la littérature mais encore un ne vas pas sans l’autre… Hier une conseillère a amené une bouteille de champagne elle en a bu un peu ça l’a aidée à parler. Elle étais pompette comme on disait… J’ai de la peine y’a toujours quelques choses qui cloches dans mes affaires… Lundi j’ai reçu l’horaire de la création collective au Théâtre du Nouveau monde, ça débute en février… Même si je suis  pas très bon j’adore faire ça… Je vais avoir le temps de me rendre à San Francisco… Ce que je ressent y’a que moi qui le ressent mais c’est toujours plus de l’ordre de mon senti… J’ai parlé un peu voyage avec le mari de ma conseillère en voyage… Encore là les gens me disent que je vais faire un très beau voyage… Si j’avais attendu mes noces pour voyager, je serais jamais partis… J’entends de la musique une guitare qu’on gratte sur un rythme jazz… Je vois bien que je suis dépassé avec mon écriture ordiné ordinaire. Il sont tous passés à la vidéo, je crois que bientôt tout ce qu’on va savoir lire ce seras les instructions de montage des meubles IKEA… Mercredi d’hiver, aujourd’hui j’ai pas affaire à sortir ma respiration sille j’y entends des canards et des oies… J’ai soigné ma sinusite avec le vaporisateur d’eau salée… J’étais tout énervé je croyais avoir perdus mon appareil photo, je l’ai facilement retrouvé sur le petit meuble près de mon bureau n’empêche ça agite ma paranoïa… J’ai plus grands choses à dire, comme souvent je pense au snowbirds en voyage comment ils vont manquer ce beau temps froid, c’est des farces ils vont rien manquer du tout on donnerais cher pour être à leurs places… Lentement avec quelques mots je termine, il fait tellement froid les murs craquent. Ça y est c’est le matin! Il fait quand-même encore noir, le sommeil m’a rattrapé cette fois ci je vais terminer avant d’aller me coucher. Je pense aux amis de la radio j’aimerais bien les aider mais je sais pas comment, je vais y penser. Voilà c’est la chute et comme toujours l’épilogue, encore une fois je vous remercie d’avoir lu attentivement. Encore quelques mots j’espère qu’il fait chaud là où vous êtes. À la prochaine!!!
Bernard
 

mardi 22 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis allé au marché à pieds et suis revenus en autobus, y’avait une vieille grincheuse fatigante qui voulait pas attendre. Elle plaçais son attente à la faute des béesses comme ils disent, les prestataires d’aide sociale ils ont le dos large… Je suis étonné d’entendre les eux autre même de ceux qui ont des prestations, ils font bien attention de s’identifier pour moi c’est ça la stigmatisation… J’ai pas reçu de courrier. Dehors il fait froid mais y’a une belle lumière… Ce soir j’ai une assemblée du conseil d’administration d’Antenne Communication, lentement mes sinus se dégagent, je tousse un peu moins… Me suis ouvert un sac de fromage en grains, j’attends qu’il se réchauffe… Voilà c’est terminé je l’ai tout mangé. La matriarche me conseille de pas sortir pourtant je suis capable, j’essais de marcher un peu plus en prévision de mes vacances à San Francisco. Ça commence à faire pas mal d’hiver pour votre humble serviteur, je sais pas trop pourquoi je pense aux retraités du secteur de l’éducation probablement à cause de nos snowbirds… Moi aussi j’ai hâte de partir… Aujourd’hui c’est difficile d’écrire. J’y vais toujours avec mon senti, bientôt janvier qui se termine, le court mois de février qui arrive, il ne me resteras que deux mois avant de partir, je prends tout comme une expérience… Je pense à la fatigue des adolescents en classe comment ils voudrais être ailleurs mais ne savent pas où. Y’a des jeunes qui ont beaucoup de talent mais qui détestent ce qu’ils font, ils semblent pas être conscient du privilège qu’ils ont d’être au conservatoire… J’ai beaucoup apprécié les conférences de l’ami historien de l’art. Ça m’encourage de voir qu’il y a toujours des gens passionnés… J’écris moins rapidement, pense à l’intervenant anglophone qui avait écrit et abandonné parce que disait-il c’était n’importe quoi. J’y crois pas l’écriture c’est jamais n’importe quoi on peut toujours y lire une part du subconscient, c’est ce qui je crois est épeurant. Ça ressemble à du délire psychotique y’a toujours quelques chose à comprendre mais faut prendre le temps, ici on l’a pas, on engourdis tout ça avec des médicaments souvent les intervenants restent au premier niveau, ici maintenant, ils sont incapable de lire tes histoires d’abus subis dans ton enfance. Là aussi le stigmate reste très présent, faute d’en parler tu le refoule de la névrose à la psychose et souvent la schizophrénie. Pourtant la maladie mentale ce n’est pas que ça, souvent malheureusement y’a pas de raison, ça frappe sans avertir les meilleurs d’entre nous, l’avenir s’annonçais prometteur et bang la folie surgie, tu soufre malgré tout tes talents. Encore si ce n’était que ça mais on nous place à l’écart, un peu moins qu’avant mais on nous cache, nous enlève notre droit de parole voilà pourquoi je me bat pour la pleine citoyenneté c’est pas un privilège c’est un droit une fois que tu à remplis tes devoirs. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!
Bernard

lundi 21 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai bien aimé les photos de la snowbird au volant. J’ai reçu les réunions de production du Théâtre du Nouveau Monde. Je suis heureux y’a rien qui entre en conflit avec mon voyage, mes vacances… Dimanche passé y’a eu deux matchs de football américain intéressant qui se sont terminés tous les deux en prolongation, un bon suspense… J’espère recevoir bientôt ma paperasse d’impôt… Je vous reviens avec de la poésie, y’a rien qui se mélange plus mal que les impôts et la poésie.. Beaucoup de difficulté à écrire cette nuit, je pense à ces sportifs qui gobent des médicaments pour améliorer leur performance. Déjà mardi, dimanche je me croyais lundi, voilà pour la confusion, je sais qu’on veut de la poésie toute belle toute tendre…
Quelques sacres
Le désarroi
Écrivaient les docteurs
 Pourtant
Dans la mort
Personne n’écoute
Vous aimeriez rire
Je suis pas humoriste
Plus que communiste
Je regrette déjà
Avant d’avoir écrit…
J’espère que mes jambes vont se rétablir. Ça avance pour mon voyage, j’attends de terminer un roman avant de relire le guide de San Francisco et de prendre des notes. Je vais y aller avec mon senti, pour la prochaine création collective j’espère que je serai pas trop idiot… Cette nuit j’avance lentement, je pense aux bouviers bernois que j’aime tant qu’ils me font pleurer… Dans mon enfance la matriarche cuisinait des desserts le samedi…
 Tanné mais tanné
C’est pire qu’épuiser
Sans exhulté
Quittant la nuit
Pour des territoires
Plus propices  
 Je vous aurai tous dis
Mais encore qu’est-ce que dire…?
 Je vous laisse juge de tout ça avant je vous demandais d’être indulgent une forme de pitié, je préfère que vous me condamniez en tournant le fer dans la plaie. Y’a pas pire misère que la misère intellectuelle… Dans ma tête des gens parlent avec un accent africain… J’aimerais bien être rétablis de mes problèmes de marche bientôt. Bon! J’arrête de niaiser puisque c’est mon senti, j’y vais d’une sorte d’une espèce de traite en essayant de vous dire mes espèces de malaises angoissé et m’a peur  d’être enfermé. Je vous ai dit que je vous lâcherai pas… Je sais pas pourquoi dans ma tête ça cause de gouvernement, souvenir de ce vieux saxophonistes gitan qui voulaient absolument que je fume du cannabis. Je suis tout mêlé, trop mêlé… Je crois pas qu’à cette température il y ais beaucoup de monde dehors, j’envie beaucoup les snowbirds qui conduisent leurs pick-up les fenêtres ouvertes, pas de gel comme ça les chemins doivent être beau… J’ai pas encore reçu mon courrier j’espère que ça vas arriver aujourd’hui mon lecteur de Deux-Montagnes me dis de pas m’en faire. Je ne fais que regarder dehors ça semble froid à pierre fendre. J’ai toujours de la difficulté pour terminer, j’ai oublié ce que je voulais vous raconter à ce propos, disons que c’est un bon temps pour avoir un chez soi. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
 
 

dimanche 20 janvier 2019

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi pendant la tempête ça s’annonce football américain. Les déneigeurs sont à l’ouvrage, souvenir de pelletage à n’en plus finir, je finissais à un bout pour recommencer à l’autre. C’était ma job aux habitations olympique, souvent j’avais une souffleuse, un chasse-neige… C’était rien le pire c’est quand il fallait briser la glace au pic, les deux pieds qui gelaient même avec les meilleures bottes d’hiver. Ça fait longtemps qu’on a pas eu cette température là… J’entends un avion je me demande comment il fait pour voler… Il doit y avoir plusieurs vols qui restent à terre. Ce matin je me suis réveillé je croyais qu’on était lundi, je dormais debout, j’ai réalisé que c’était dimanche… Quelquefois j’ai lu mes textes en public, on m’a suggéré de trouver un éditeur c’est surement pas assez bien pour l’édition papier, pas assez original, pas assez fin. J’ai photographié la tempête, si j’étais fiévreux j’irais me rafraichir dehors d’habitude ça marche… C’est pas des avions que j’entends c’est des chasse neige, un joggeur passe y’en a que rien n’arrête toujours souvenirs de ces dimanche après-midi musicaux au bar, à la fin ils avaient installé des caméras et des écrans pour filmer le band, quand il finissait une toune je me mettais à gueuler comme un malade. Je serais curieux de savoir combien y’avait de gars désemparé qui fréquentais ce bar, des gars qui n’ont pas voulu où pas pu arrêter et ce sont donner la mort. Parfois je réfléchis et je pense aux fausses valeurs que véhicule l’alcool, le bling-bling… Anecdote délirante, ce matin j’ai finis une boîte de médicament de vingt comprimés, j’en ai ouvert une autre et je croyais que j’en avais jeté dix où que quelqu’un était entré chez moi pour voler une tablette de dix, j’ai bien regardé les boîtes étaient identiques à une exception près une indiquais vingt comprimés et en regardant bien l’autre indiquais dix. Je sais pas si vous comprenez ma folie paranoïaque avec ça. J’ai photographié la tempête, c’est le parc devant chez moi, juste pour montrer comment on n’y vois rien et espère que les gens prendront pas la route, mon rhume, ma sinusite se calme un peu… La toux reprend parfois, les comprimés sont sans somnolence, c’est mieux comme ça. Une chose me manque parfois c’est la distance avec mes lecteurs lectrices mais au moins ils sont là fidèle… J’aime beaucoup vous écrire comme ça directement sur la machine, c’est pas pour gagner des prix ça me dégage le mental. Le premier match est à trois heure … Les amateurs de motoneige sont heureux, j’ai toujours trouvé que c’était un sport bizarre. Ouais! Il neige et c’est froid ça fait des années qu’on a pas connus ça. Voilà! C’est presque terminé, on est pas à la chute de neige, bein non voyons… C’est la chute de la fin. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ça vous a plu? J’aimerais bien vous revoir pour une prochaine!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!


Bernard