mercredi 21 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai pas reçu le colis, la livraison est retardée. Très heureux de savoir que mon lecteur de Brossard est là… Difficile de vous accompagner dans ce malaise malheureux qu’est l’insomnie heureusement je fait plus la noce toute les nuits… J’espère que la lecture vous apaise… J’aimerais bien que mes mots vous bercent jusqu’au sommeil… Parfois je me réveille en sueur au bout d’un cauchemar, je sais pas pour vous mais c’est très difficile. Cette nuit c’est calme, c’est un court aperçu du bonheur d’être sans angoisse… Une chose qui me rend heureux la nuit c’est de plus avoir de rage de dents, c’est ce que j’ai vécu de plus intolérable comme douleur. Souvenir de ces hospitalisations au milieu de la nuit, en pleine psychose hallucinatoire, le feutré dans lequel on m’avait donné un lit et des médicaments pour dormir. L’infirmier qui m’éclairais le visage à la lampe de poche pour savoir si j’étais vivant… L’aile psychiatrique de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont déménage maintenant sur le site de l’institut semble que c’est parce-que les locaux sont vétustes. Ça m’arrivais souvent d’être hospitalisé parce-que j’avais téléphoné au neuf un un, maintenant je suis calmé apaisé. Je passe souvent mes nuits à vous écrire, j’aimerais bien donner de la noblesse à mes malaises, mon insomnie, mon écriture… Quand je téléphonais y’avait de quoi exacerbé le malaise, deux policiers, deux ambulanciers dans ce chez moi tout petit. Je les connaissait pas, j’étais tout doux en leurs racontant ce que je vivais on m’amenait à l’hôpital… Une chose dont je ne parle pas souvent c’est ce désir de mourir parce qu’épuisé de souffrir… Y’a longtemps que j’ai été hospitalisé, le médecin généraliste que je vois au Centre Local de Service Communautaire aimerais bien que je rencontre un spécialiste psychiatre où psychologue mais pour moi c’est comme un retour à la case départ. Je croyais que c’était maintenant le médecin de famille, la première ligne qui s’occupait de moi… Je pense à toute ces heures passées à attendre à l’urgence dans une sorte de psychose, je savais plus où aller, j’avais visité l’école, l’église, les centres de jour, les drop-in, les refuges rien n’y faisait me restais plus que l’hôpital, l’auspice… l’asile… Souffrir c’est un beau mot, vous vous calmez peut-être en me lisant assis au bar, pour le moment ça passe vous ne vous sentez pas seul, je suis sortis heureusement du monde nocturne et vous accompagne avec mes écrits. Y’a rien de plus difficile que de décrire une psychose c’est tout dans la tête avec une sorte d’hypersensibilité aux voix, aux sons, c’est douloureux. Je vous parle pas de ces sensations olfactives où je passerais mes nuits dans la douche… L’ambulance avance lentement y’a pas d’urgence je suis loin de la mort mais je la demande, ma folie est de ce ressort là… Je sais pas comment j’ai transformé ça en prière… Voilà c’est la chute je termine, encore quelques mots. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ça arrête pas, il neige toujours… J’ai fait la sieste. J’attends la pièce pour ma tablette électronique. J’ai une réunion vendredi après-midi. La neige est assez dense, je me questionne sur l’utilité de cette écriture surtout que tout ce que j’ai à vous raconter c’est mon senti. J’ai un copain qui voudrais que je l’accompagne à Ottawa demain, je crois pas y aller… Je regarde passé les autobus électrique… C’est vraiment l’hiver, je crois que ce sont les changements climatiques, ça fait plaisir aux skieurs… J’entends un avion qui passe j’aimerais être dedans, mon délire est pas très grave juste ennuyeux. Mon désir c’est d’être écrivain donc j’écris me rabat sur mon senti que j’ai de la difficulté à nommer… C’est pas la joie ni la honte ni la peine. Je peux pas parler de bonheur quoi que quand j’ai terminé je suis heureux. Tiens! Le temps s’est éclaircis, la neige à cesser… Je cherche les bons mots comment dire le bonheur, c’est difficile, qualifier ce que je vie. Je suis parfois désolé quand je pense à différents souvenirs quand la baronne m’insultais parce que je travaillais pas qu’elle me traitais de suceux de cul. J’avais mal mais mal à pas vouloir m’endurer. J’aime bien être seul chez moi sans obligation de chercher un boulot, je ne vais plus depuis longtemps passé mes après-midi au bistro à me faire insulter, à défendre mon état schizophrénique… Je les ai oublier ces gens-là… Les sentiments sont déjà difficile à nommer quand tu rajoute la maladie par-dessus ça, ça deviens presque impossible. Je veux y aller tout doux, calmement en écoutant mon discours intérieur. Je sais vous allez dire on a déjà lu ça mais pas écris par moi. L’idée c’est l’émotion… Comment on cesse d’aimer? A-t-on déjà aimer? Pas vraiment, je savais pas vivre. J’ai pas à demander du respect, j’en avais pas, y’a des gens que je vois plus et c’est tant mieux pour moi. Je connais toujours l’angoisse que je ne veux plus noyer dans l’alcool, la peur aussi mais j’agis mieux j’ai moins besoin de me protéger. Mon affaire c’est peut-être simplement un manque de vocabulaire, souvenir de ce gars qui était entré dans la cuisine du bistro avec un vingt-six onces de scotch. Je vous l’ai certainement déjà raconté, pour cesser d’écrire l’alcool m’aiderais mais je me tuerais… La neige à repris, de gros flocons… On gagne pas le respect à insulter les gens c’est un peu ce que je faisais trop malheureux pour être honnête. Maintenant je reste à l’abri, j’en dis moins, je me ferme la boîte… Je pense au cut-up, la méthode de Burroughs c’est pas ce que je fait. J’arrive presque à la fin, je termine en espérant que tout ça vous plait. La neige change de densité, moi quand j’écris je suis libéré. Voilà! Ce seras ça pour aujourd’hui! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je crois que c’est assez pour moi, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est la nuit, j’ai que le voyage en tête, encore quatre mois. Je sais pas trop quoi vous raconter, je vais me rabattre sur mon senti. Je suis bien réveillé j’ai pas de nostalgie me souviens quand même du Bryant park à New-York j’y avais passé quelques minutes, Manhattan m’y apparaissais moins épeurantes.  Pendant toute ces années j’aurai visité quelques capitales du monde, la matriarche pas trop étonnée me disait c’est des villes y’a du monde… La côte ouest j’y suis jamais allé c’est surement différent. Cette nuit j’ai dormis, mon café à refroidis, je repense à cette affaire de struggle for life, la lutte pour la survie, on est pas des animaux c’est un concept qui m’apparais assez nazi, seul les plus forts survivent, les humains s’aident et s’entraident… Je suis plus de ceux qui aident leurs prochains. Pour que je me rende à soixante-deux ans y’a des gens qui m’ont aidé. Je vous parle de ça c’est une conversation du café du commerce que j’avais eu avec un gars y’a longtemps, il rageait devant sa bière parce-que j’étais pas de son avis. Souvenir aussi de ce boiteux qui est apparus deux fois dans ma vie, j’en ai eu peur. C’est toujours la nuit, ils annoncent de la neige et du vent pour ce matin… Je suis pas très allumé, je ferai quand même pas le portier, une job de fier-à-bras… La douleur que j’avais est presque disparue, la snowbird avait raison c’est des petits bobos qui apparaissent avec l’âge… Aujourd’hui j’attends un colis, je suis pas un grand savant mais aujourd’hui je suis plus du aimé vous les uns les autres…  C’est très décousu ce que j’écris, des bribes de phrases que j’appose ici et là, j’espère qu’à mon voyage aux U.S.A. on me demandera pas si j’ai déjà fumé du pot, ça fait plus de quarante ans de ça… Et j’aime pas ça… La semaine passé un infirmier m’a examiné par téléphone, j’avais rien de grave… Il est pas encore trois heure, ils osent pas sortir du bar pour fumer de peur de ne pouvoir y revenir. Mais non je m’auto-dénigrerai pas, j’essaye d’être bien et bon. Les plans d’eau sont pas gelés faut oublier ça pour le patin à moins d’aller à l’aréna. C’est toujours pareil, les autre semblent mieux et meilleur que moi. Je vais essayer de pas boire aujourd’hui, le moment présent c’est ce qui est important depuis plus de vingt-cinq ans. Je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes j’espère qu’il a trouvé le sommeil… J’arrive presque à la chute encore cette nuit, les bars vont fermer, ne vont rester ouvert que quelques blind pigs, dans les bas-fonds on est toujours les rois maudits. Je sais vraiment pas ce que je faisait là, la fille ne croyais qu’en Janis Joplin et Jim Morrison tous les deux morts d’overdose. Voilà encore une fois pour cette nuit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine en vous souhaitant à la prochaine je l’espère!!!
Bernard
 

mardi 20 novembre 2018

Poème 20 novembre


Puisqu’il me faut tout dire

Que le diable m’emporte

Chez les anglos pourris

Qui demandent

La chienne de mes chiens

L’usage de mes mains

Pour étouffer encore

Celui des serins

Sans lendemain

Sans mots sans rien

Pour toujours

Du sang du bain

Tuant le prochain

D’un cœur sans frein

Sans refrain oserez vous

Le pain le mot malin

Assassin d’un train

De la mort vilain

Une proie une fin

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui il neige, j’ai été très touché par le osti de criss de tabarnak  https://www.youtube.com/watch?v=DvR6-SQzqO8&fbclid=IwAR2qWTmrKQc0h-jOY3Ik12Ob1FCcC2q2wh76KeNqRHNz5sTb7ebD0hrbs6E qu’a envoyé mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. L’hiver commence et c’est comme si il avait pas de fin c’est pas encore décembre… J’ai ouvert la porte, besoin d’air et d’un café, je m’endors… Ai reçu des nouvelles du centre collaborateur de l’organisation mondiale de la santé, on y parle de e-santé mentale c’est intéressant… Je sais pas si la neige participe de notre santé mentale, ce matin j’ai marché j’étais bien dehors. Ma lectrice snowbird me dis qu’il faut rester actif c’est ce que j’essaye de faire. Les lecteurs snowbirds s’en vont au Nouveau-Mexique et en Arizona cet hiver, j’espère qu’ils essairont pas de se faire passé pour des réfugiés avec leurs fifth wheel… Moi je rêve toujours d’aéroport et d’avions, San Francisco risque d’être bien. Y’a toujours le flux de passagers qui débarquent avant qu’on attende au quai… Ça fait du bien l’air frais ça réveille, un ami m’a dis qu’il y avait de beaux parcs à San Francisco. Mardi, la semaine avance je gobe tout ce qu’il y a a gobé sur ma prochaine destination, j’ai mon voucher pour Alcatraz et pour l’autobus Hop-On Hop-Off, j’espère que ce seras pas trop compliqué… J’ai fermé la porte je suis plus réveillé, j’ai envie d’aborder mon senti… Je me sent un peu comme le voisin grano de Bob Gratton, le mois se termine les gens ont faim, les gens ont soif… Ils s’agitent pour chercher du cash. Je pense à ce copain que je croyais aidé en lui disant de faire appel à l’aide aux employés de son job, ils l’ont foutu dehors j’ai un peu peur qu’il se sois suicidé… Ça m’a donné une leçon, je dois laisser les professionnels travailler. Je vais recevoir mon colis demain en fin de journée… Lentement le concierge nettoie la neige sur les passerelles. Je sais pas pourquoi tout à coup je me sent mal, j’aime pas quand ça s’agite autour de moi. Encore une fois tout le monde a faim, tout le monde à soif, les pawnshop font des affaires… C’est loin de mon senti tout ça ce matin je me suis empiffré d’un pouding chômeur… Dehors tout est blanc, déjà… Je digère pas. Je pense que je vais illustrer avec de images d’aéroports, il est presque seize heure, je sais vous me trouver malade d’écrire comme ça à tout les jours. J’essais de me regarder de prendre conscience de ma façon d’agir passé, présent et à venir… Je dois absolument m’améliorer. Je suis content on a replacé l’ami sur sa chaise, il est sortis du lit, c’est bien… Été comme hiver les voisins s’agitent, j’aimerais bien vous écrire quelque chose de sentimental mais j’en suis incapable. Je veux pas faire beau… Les gens reviennent du boulot… Je termine de cette façon en vous remerciant d’avoir lu jusque-là, viens de recevoir un appel d’un cabinet d’astrologie!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!


Bernard

lundi 19 novembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Écrire c’est pas tellement subversif, c’est pas de sitôt qu’on va lancer des pavés. Mardi, hier à la réunion nous n’étions que trois on a quand même discuté. J’avais bien compris l’art gothique n’a rien à voir avec les wisigoths, merci à mon ami historien de l’art… Je laisse ça là je vais plutôt vous parler de mon senti, les wisigoths et les ostrogoths on en parlait à la petite école, leurs batailles et leurs guerres de royaume.  Je racontais à un ami que faute d’avoir baigné dans la culture dans ma jeunesse, j’avais de la difficulté à nommer les écoles classiques quand même j’aime bien l’art… Je vais vous illustrer ça avec la photo d’un tableau de Vincent Van Gogh l’auto portrait à l’oreille bandée… Je suis inculte j’ai pas de leçon à donner… Me souviens de ces bouquins Time-Life auquel j’étais abonné. Je préfère me servir de mes photos même si elles sont pas bonnes ça donne une « couleur ». Je me berce devant l’écran c’est l’angoisse… J’ai dormis un peu, je me souviens à quelques moment je terminais ma soirée d’ouvrage à minuit, parfois je partais enragé sans signer le cahier de départ, j’aimais pas beaucoup le contre-maître, la job aussi d’ailleurs, l’entretiens ménager dans une école secondaire, je trouvais toujours un sous sur le plancher ça m’en prenais pas plus pour devenir fou… Cette nuit je suis battu, j’aimerais bien recevoir cette couverture pour mon Ipad aujourd’hui… En rétrospective si je regarde ça la maladie est arrivé parce-que je portais pas de masque et que je respirais l’odeur du thinner mélangé à la peinture. J’aimerais pas voir mon cerveau il ressemble certainement à un gruyère.  C’est assez pour vouloir mourir. Nos administrateurs m’ont placé sur le bord de la route, je suis pas un génie, je suis juste un intoxiqué permanent. Je guérirai jamais… Sirène de pompiers, de polices, je continus quand même à vivre. J’ai peur de la mort de ce qui m’attend, comme nous tous j’en sais rien… Chose certaine mon histoire paraitrais pas dans le Selection du Reader Digest c’est le cas de le dire, ça en est une à dormir au gaz… Je me souviens de ces petits quartiers industriels que je détestais, j’aurais préféré travailler au centre-ville. Comme un idiot dans les annonces classées de LaPresse je regardais les offres d’emploi pour les cadres le mercredi… Je dis idiot parce-que j’ai tout juste l’instruction pour le ménage et le balai que je déteste. Il est trop tard je suis un bum senior à la retraite. J’aurais aimé travailler au centre-ville et vivre à Outremont… Je vie plutôt au centre-ville et je ne vais jamais à Outremont, ça m’aurais pris une fortune plus que tout ce que j’ai bu. Voilà comme toujours j’en suis à la chute pour cette nuit, quelques mots encore pour bien terminer. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours je vous ai donné ce que j’avais de mieux à lire. À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi je suis fatigué, il fait noir tôt… Mise à pied, grève voilà le tableau des actualités. J’ai commandé un accessoire pour ma tablette électronique je devrais le recevoir bientôt. Ce lundi est presque finis je m’ennuis… Souvenir, j’étais le premier à me laver les mains à la sortie de l’atelier, on se bâdrais pas de m’avertir, ils savaient que je travaillerais pas là toute ma vie. Maintenant je suis fou, j’essais de construire quelque chose avec l’écriture, un ami m’a parlé des parcs de San Francisco semble qu’ils sont très beau.  Un peu plus de quatre mois et c’est mon départ, j’ai parlé aux copains des cerisiers en fleur, ici y’a déjà de la neige le temps est triste. Gadoue, voitures et autobus sales, j’essaye de figurer ce que font les gens à la retraite. Y’a tout ceux qui travaillent pour améliorer leurs sort, je suis pas de ceux-là, j’essaye de rester vivant… À la télé les publicités de Noël ont déjà débuté, deux semaines et c’est décembre, je sais pas si les gens vont se faire cadeau de cannabis. Ça trime dur moi… Je suis chez moi j’entends comme toujours les voitures qui ronronnent… Je pense à l’amie médiatrice culturelle, un beau métier… Je racontais comment c’était difficile l’histoire de l’art quand tu y a pas passé ta vie, moi je connait surtout la culture pop des années soixante-dix. Éric Clapton, John Mayall, les Rollings Stone, Jeff Beck… et aussi les bluesmen américain comme Willie Dixon, John Lee Hooker, B.B.King sans parler des grands jazzmen comme John Coltrane, Miles Davis, Charlie Parker… C’est surtout une “culture” musicale, je commence juste à m’intéresser aux impressionnistes en peinture… Les signataires du Refus Global, le magnifique vitrail de madame Ferron métro Champ-de-Mars. J’écris n’importe quoi je sais bien que cette dame est pas une impressionniste. Je vais illustrer avec son œuvre… Je viens de tuer une mouche, c’est à ça que je suis bon tuer des mouches… J’ai pas la plume du grand et regretté docteur Ferron… La noirceur est arrivé, ils ont réédité les Fous crient au secours de Jean Charles Pagé, que j’ai déjà rencontré dans les années où je fréquentais les bas-fonds. Je veux aller trop vite ce soir, j’écris sans réfléchir, je vous raconte pas les années de lecture de Rock’n’Folk, Best, et plusieurs magazines français… J’ai un peu lu Mainmise, la contre-culture mais mon affaire c’était surtout la bande dessinée. Avec tout ça je suis loin de mon senti, de mes sentiments, je suis fatigué et comme on dis si tu est fatigué fatigue pas les autres. Le bôf connais ça je crois… J’approche de la chute, de l’épilogue ce seras ma chronique encore une fois ce soir… Mes excuses à tous les gens « cultivé » je peux pas vous parler d’agriculture je connais pas…. « Keep on rockin on the free world »-Neil Young. Voilà comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard