dimanche 22 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’y vais du fond de mes pensées du bord de mon senti. Je pense à nos grands poètes québécois, à nos merveilleux chansonniers. Je sais la poésie n’est pas que rimes et rythme, j’essairai pas de vous dire ce qu’elle est. Je recule c’est trop complexe… Dehors dans cette douce nuit d’été les voisins discutent… Ouais! J’ai dormis, ai laissé là la rédaction pour plutôt sommeiller. Je m’y remet ce dimanche matin, le temps est gris, ai démarré le climatiseur. Je me dénigre pas ce matin, la voisine a de la visite, hier ai regardé une partie du match de football… Je vais me préparer un café. Ai reçu des photos de mes lecteurs de Deux-Montagnes dans un lieu de villégiature en Espagne. L’an passé j’y étais en Espagne, je crois que c’est au mois d’août… Je vais essayer de vous écrire mon senti, de vous parler de mes émotions, je pense au « Des mots pour le dire » de Marie Cardinal, la difficulté elle est toujours là nommer l’émotion, le senti. Je sais pas pourquoi je m’entête à vous écrire surtout que ce sont des choses toutes personnelles. J’entends des motos qui passent dehors, je mange de petits croissants… Il est presque onze heure, j’ai toujours la tête dérangée, j’essais de pas trop m’agiter… Je pense à ce bar du nom de Saint-François-Xavier que je fréquentais il était dans le vieux Terrebonne, j’avais quand même de gentilles discussion avec le Disc-Jockey… Quand même je retournerais pas là, c’était toujours mon alcoolisme qui étais devant, ça fait longtemps tout ça plus de trente ans, y’a de l’eau qui a coulé sous les ponts… et beaucoup d’alcool dans le gosier, au fond je cherchais une présence, j’étais pas prêt à soigner mon alcoolisme et mes maladies mentales. J’ai survécu… Souvenir aussi de ce patron que j’avais, j’allais boire chez lui et je disais des méchanceté sur sa copine, je comprends qu’il m’ais fait boire de l’urine, j’en suis presque mort dans mes vomissures. Je buvais n’importe quoi, je me faisait haïr, je ne m’aimais pas, aujourd’hui je prends soin de moi essais de mieux vivre… Vous avez le droit de me détester mais je vous fait des amendes honorables… C’est vraiment les vacances, cet après-midi je vais rendre  visite à l’ami qui souffre de la sclérose en plaques… Je vois bien que je n’existe pas dans le monde de la littérature, on ne parle pas de moi, ni en bien ni en mal, c’est le silence. La littérature! C’est un monde tout feutré où écrire demande le silence et l’attitude est surtout pas rock’n’roll pour moi. Je pense à un lecteur qui écrivais pour le Mouton Noir de Rimouski, je me sent un peu déplacé d’en parler, je crois même qu’il ne me lis plus. Voilà! J’ai presque terminé, comme toujours la difficulté elle se présente là dans la chute. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour une conclusion. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 21 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai marché au moins une demie heure au soleil. J’étais content d’entrer chez moi au frais… Je sais pas trop quoi raconter à l’ami qui a la sclérose en plaques. Je sais pas quoi vous raconter à vous aussi. J’ai fait quelques achats au supermarché, pris quelques photos de la rue qui est moins déprimante l’été au soleil, le vert des arbres y fait pour beaucoup. J’ai transféré des photos de mon appareil photo à l’ordinateur, parfois c’est pas simple mais j’ai réussis. C’est grand soleil, je pense à tous ces gens à la piscine et à la plage. Je souhaite un bon retour aux vacanciers de Myrtle Beach… Souvenir d’enfance, la matriarche qui parfois me disait « va jouer dehors! » et d’autre fois « rentre dans la maison! » Je savais plus à quel Saint me vouer.  Y’a un Saint-Bernard-de-Menthon dans les Alpes, je savais pas, la race de chien tire son nom de là, c’est le saint patron des montagnards et des alpinistes. J’aimerais bien en faire mon saint patron à cause de mon prénom. D’habitude c’est le Saint-Bernard-de-Clairvaux cistercien réformateur de la vie religieuse catholique, moine aussi, il prêchait les croisades et conseillait le pape. Moi c’est Bernard et je suis loin d’être un saint… Quand je suis allé à Cuba on dinait en groupe et on se présentait un gars ignorant s’est payé ma gueule parce que je me prénommais Bernard, une vraie réaction d’enfant… Je croyais pas qu’il existait encore des adultes qui réagissaient comme ça… J’ai le frisson, c’est tout de mon senti , lentement le mois d’août s’en viens, je préfère pensés à mon Saint-Patron qu’à mon signe astrologique. Un bon jour j’irai en pèlerinage chez les moines, question de méditer, de prier et faire le point sur ce qui me reste à vivre. Souvenir, pour toujours rester dans le même sens, ce gars rencontré à une soirée de poésie qui disait qu’être prestataire de la sécurité du revenu c’était de l’ordre des mystiques, c’est vrai que quand t’a pas un sous tu peux pas faire autre chose que méditer. Le temps fait son travail, on se calme avec l’âge. Je deviens plus chant grégorien que rock’n’roll, étrangement je vous écris sur les chants grégoriens et la première chose qui me viens en tête c’est le Salve Regina https://www.youtube.com/watch?v=d5p_U8J0iRQ  très émouvant tellement c’est beau, je suis pas mal dans le sacré aujourd’hui le spirituel aussi… Si je force un peu je vais vous parler des matines quand j’écris à trois heures du matin… Après c’est juste l’ordinaire, voilà, c’est pas mauvais parfois de chercher l’inspiration dans le sacré tant mieux si ça vous fait rigoler, moi ça m’aide à être inspiré. Je me souviens quand maman et papa arrêtait à l’abbaye cistercienne de Mistassini pour acheter du chocolat, le Monastère Notre-Dame de Mistassini… Je termine sans écrire de prière, je suis pas consacré. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard
 

vendredi 20 juillet 2018

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! Je me suis couché tôt et j’ai dormis quelques heures.  J’en profite pour vous écrire, le matin est encore loin. Aujourd’hui c’est samedi avec ma section préférée dans LaPresse+, la section voyage. J’attends des nouvelles de l’amie Libanaise j’espère que pour son retour tout s’est bien passée. Je croyais être plus tôt dans la nuit, première journée complète de vacances de la construction. Y’a un parfum de bouillon de poulet. Le climatiseur est toujours en marche, c’est frais chez moi. J’ai des projets de voyage, je vais essayer d’économiser encore un peu. Je me berce d’avant en arrière sur ma chaise comme le font les jeunes garçons malades. On voit ça aussi chez les juifs orthodoxes ce long balancement eux ils sont pas malades ils prient. J’aime bien la petite famille de Hull eux aussi sont en vacance dans le Maine. Je crois que la super-maman et sa cousine puéricultrice sont rentrées, elles se sont fait de joyeux moments avec les enfants. Y’a encore du bonheur en terre d’Amérique, vous gênez pas pour me lire, ça me prend beaucoup plus de temps pour vous écrire. C’est encore la soirée de vendredi, quelques minutes encore et nous seront samedi, c’est pas mal anachronique mon affaire quand vous lirez ceci je sais pas à quel moment on vas être. J’aime beaucoup la photo de mon neveu avec sa puce sur les épaules. Ça fait longtemps que j’ai passé l’été à la maison, je pense à une destination, la France s’impose encore, je vais attendre d’avoir fait encore un peu d’économie et je verrai… Je crois que pendant cette période estivale on se confond mieux avec la foule on est moins stigmatisé. Je devrai pas oublier de parler de tous mes voyages au journaliste, ça fait partie de mon rétablissement un paranoïaque ça voyage pas. Ça reste enfermé dans une petite chambre torride victime de l’angoisse. Mon rétablissement y’a que moi qui sais où j’étais rendu, tout mélangé entre l’alcoolisme la toxicomanie et la schizophrénie ces longues psychoses. Comme dis l’expression populaire, pauvre fou! C’est étrange il fait frais et je me sens coupable d’arrêter la climatisation, je dérange personne, c’est mon choix… J’aimerais bien aussi aller en forêt, marcher dans des sentiers, je me souviens des longues marche le long du fleuve à Saint-André-de-Kamouraska, le camping à la SEBKA la société d’écologie de la batture du Kamouraska, un très bel endroit pour marcher faire de la randonnée et camper. En attendant je suis chez moi, je veux pas tellement faire partie de ces bobos écolos, souvenir de la grande époque du camping à l’ère industrielle, plusieurs préféraient camper qu’avoir un chalet. La vieille école de Saint-André-de-Kamouraska ne fonctionne plus c’était un endroit sympathique pour prendre un café, on sait jamais peut-être qu’un jour on y retourneras. Quelques mots encore avant de vous abandonner, profitez bien de l’été surtout qu’il est superbe c’est le temps de jouer dehors. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il fait chaud, le soleil me tape sur le ciboulot. La matriarche et mes lecteurs de Deux-Montagnes sont partis. La matriarche est partie quelques jours au Lac-Saint-Jean et mes lecteurs de Deux-Montagnes quelques semaines en Espagne. Je me répète… Le climatiseur me garde au frais, mais oui je suis un agité du bocal mais je suis pas digne des mots de Louis Ferdinand Céline. Ce bocal quand je le protège pas surchauffe et je délire. Je sais pas pourquoi j’ai toujours la France en tête… Les vacances de la construction sont officiellement commencée, les chantiers routier restent au travail, ils peuvent pas se permettre de prendre du retard. J’arrive de chez l’ami qui souffre de la sclérose en plaque, depuis que je le connais il en a beaucoup perdus, la maladie à eux de ces poussées maintenant il ne marche plus et ne peux plus se servir de sa chaise, il est alité… C’est triste, j’aimais bien prendre un café dans le parc avec lui c’est plus possible. Avant de me plaindre je pense à lui… Peut-être que j’ai pas toute ma tête mais je peux sortir et marcher y’a longtemps que je suis plus psychotique. Aujourd’hui j’ai marché une demi-heure, j’ai croisé une jeune fille avec un jolie sourire. J’ai commencé la lecture du recueil Spirou ça me détend… Je fais pas mal toujours la même chose, semble qu’on a tous une routine… J’ai pas de grands mots, bientôt je devrai m’arrêter pour vivre des aventures et vous les raconter. Me suis ouvert une boisson pétillante à l’orange Sanpellegrino, pour moi c’est toute l’Europe dans une canette. C’est aussi un souvenir d’Italie. Parfois en voyage y’en a qui croient que je suis docteur je fais rien pour les corriger, les détromper… Je sais même pas ce que per diem veux dire. Ces temps-ci j’ai toujours une petite musique dans la tête, aujourd’hui je vous illustre ça avec l’académie nationale de musique. Opéra Garnier ou Palais Garnier dans le neuvième arrondissement de Paris sa construction a débuté en août dix-huit cent soixante et un… C’est de style Beaux-Arts, style Néo Baroque, style second Empire, l’architecte en est Charles Garnier… Voilà ce que ça donne quand je m’agite, quand je m’éloigne de mon senti, je me prends pour une encyclopédie… Heureusement y’a pas surchauffe, je suis à l’air frais… Parfois je vous écris pour que les choses m’entre bien dans la tête, je sais pas si c’est possible d’écrire pour ne rien dire, mon senti est tout d’émotion de sentiment. Tout à coup ça me fait mal d’être un fêlé du ciboulot, d’écrire comme ça à tous les jours, une autre façon de me stigmatiser de me traiter de malade. Pourtant l’expression selon moi est curative, elle soigne mais ne guéris pas. La poète disait qu’il fallait tout dire, je répète comme toujours… Il est temps que j’arrête je commence à m’en faire. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit je mange des micro-croissants. Je suis debout après avoir regardé une vertigineuse et très jolie émission des Racines et Des Ailes sur le Mont-Blanc c’est vendredi, on y auras laissé plusieurs paye dans cette maudite nuit. Je vais être pas mal occupé la semaine prochaine, je peux pas vraiment vous donner de détail, mais je participe à un groupe de recherche je crois et je donne deux entrevues. Les lecteurs de Deux-Montagnes partent aujourd’hui on leur souhaite de belles et bonnes vacances. Y’a ma lectrice aphasique qui reviens du Liban aujourd’hui j’ai hâte de la voir qu’elle me raconte même si c’est difficile. Me suis préparé un café, le climatiseur est en marche. Je pense à Basse Terre en Guadeloupe, à Pointe-à-Pitre en Martinique ces temps -ci on a un peu la température qu’ils ont l’hiver, c’est beau et chaud… Je parle souvent d’ailleurs mais ici aussi c’est un beau pays, y’a pas mieux que chez soi. Les vacances de la construction commencent ce soir ça veut dire beaucoup de monde sur la route au Québec, des gens qui vont visiter la parenté en région, par exemple la matriarche s’en va au Lac-Saint-Jean, elle va se promener comme elle dis. Je vais maintenant y aller avec mon senti, mes sentiments mes émotions d’abrutis, je devrais pas écrire ça… Je pense au jeu télévisé Question pour un champion, y’a un gars qui est à une victoire de la cagnotte, je la lui souhaite. Je sais pas si vous avez remarqué m’ai j’aime beaucoup TV5… Je regarde la France à la télévision en attendant de m’y rendre encore une fois. La prochaine fois j’aimerais y aller accompagné pour avoir quelqu’un qui partage mon émerveillement. Ça vous dis quand même pas comment je me sent, je pense déjà à l’agent de voyage mais je vais attendre plus tard cette automne pour m’organiser. Je termine mon café parfois j’ai le sentiment d’être outre-mer. Je vous le dis souvent, j’aime voyager être à l’aéroport entre deux destinations. Je devrais essayer de trouver un congrès international et aller représenter encore les patients-partenaires à l’étranger. Ce printemps à Lille on avait bien aimé mon intervention. Je suis maintenant bien réveillé… Je ressens encore ma vie d’avant, j’espère que les gens à qui j’ai fait du mal à cette époque vont me pardonner, c’est de la vieille histoire mais je dois m’en souvenir pour pas répéter les mêmes erreurs. Voilà que j’y arrive à la finale de ce « texte » entre guillemets parce-que plusieurs considèrent que ça en est pas un… J’essaye de terminer de façon différentes, je sais pas pourquoi je pense aux chevaux. C’est toujours la nuit, je vous écris toujours, j’aime bien la façon que ma lectrice de l’Outaouais à trouver pour me commenter. C’est l’aube y’a une petite lumière, je vais terminer bientôt, le soleil se lève. J’espère vous avoir fait plaisir dans vos lectures. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 19 juillet 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y’a des lectrices qui ne peuvent pas lire mon texte à partir de Facebook. Y’a un problème, je crois que c’est parce qu’elles utilisent leurs téléphones portables. Le blog avec un ordinateur on peut facilement l’atteindre. Y’a une amie qui rentre du Liban aujourd’hui, je lui souhaite un bon retour . Encore un réveil somnambule, je cherchais un six pack de cannettes de jus de tomates que je n’ai jamais eu. J’étais certain que les responsables du complot me l’avaient subtilisé. Encore de la folie. Le climatiseur s’est finalement arrêté tout seul. Pour la lecture du blog je leurs ai conseillé de passer par ma page Facebook, ça devrait le faire. J’ai démarré une publicité ça semble fonctionner. Il fait frais ce matin… J’attends plus rien dans le courrier. J’aimerais juste que l’ami agent de programmation me téléphone pour me dire qu’il a l’argent. Il est deux heure trente je suis bien réveillé. Je suis pas Verlaine, je suis pas Rimbaud juste un écrivain de taille moyenne sans trop de génie. Je nourris ce blog comme un ignorant, j’écris en pensant à la gang de ma jeunesse, ça tournais pas mal autour d’une chose la dope. Ça m’a rendue fou, je vais pas dans cette direction. Je sais maintenant que mon lecteur et ma lectrice de Deux-Montagnes partent vendredi pour le nord de l’Espagne pas loin de la France, ça me donne juste envie de partir moi aussi… Prendre l’avion!!! Avant me balader à l’aéroport Pierre-Eliot-Trudeau , j’ai jamais vu un endroit où le temps passe si vite, je préfère beaucoup ça à l’urgence de l’hôpital où y’a aussi beaucoup de monde mais pas pour les mêmes raisons, vous allez me trouver idiot de comparer ça mais le voyage c’est aussi ma santé mentale… Je pense au gentil et sympathique chauffeur de Madrid. Hier j’ai finalement compris que mes tremblements étaient pas tous du aux effets secondaire  des médicaments, c’était aussi le manque d’alcool et de drogue depuis que je ne consomme plus je ne tremble plus,  ou si peu. Je sais je reste un peu bizarre, pour moi c’est le stigmate c’est à ça que les gens reconnaissent qu’on me traite pour ma schizophrénie, heureusement ça va mieux pour les apparences je vais laisser ça a d’autre, je ne fais que me rétablir. Lentement j’ai commencé à lire le recueil Spirou c’est amusant, ça me rappelle mon jeune temps. Je vous le dis pas assez, j’aime beaucoup mes lectrices et mes lecteurs, pour moi le temps que vous prenez pour lire mon blog est important… Je pense encore à l’aéroport de Barcelone au commis au bagage qui dis merchié, c’est du vieux français, ça s’adressait pas à moi ça veut dire marquer… Lentement encore cette nuit j’y arrive, voilà un peu plus d’une heure pour rédiger ceci, ça va vous prendre quelques minutes à le lire. Je termine comme ça en rêvant d’avion et d’aéroport. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 18 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Très beau temps aujourd’hui, le climatiseur viens de démarrer… J’ai reçu mon recueil Spirou et une lettre d’une compagnie de recouvrement du Bell pour un montant de douze dollars quatre-vingt-deux, y’en a qui ont du temps à perdre. Quand j’aurai finis la lecture du Spirou je vais l’envoyer au petit gars en espérant qu’on me prenne pas pour un vieux pédéraste. Moi les enfants j’aime quand ils sont loin, le monde dans lequel je vie est trop dur pour eux. Je l’ai payé le douze dollars et quelque, viens de regarder deux documentaires intitulé Nazi Junkies où comment les allemands se droguaient à la deuxième guerre mondiale. C’est difficile de regarder ces atrocités. Pas de nouvelle du dédommagement pour le show des libraires… On serait pas payé que ça m’étonnerais pas, je suis en discussion Facebook avec  ma lectrice secrétaire exécutive à la retraite pour le syndicat des enseignants au CÉGEP de l’Outaouais. J’espère être de bon conseil. Trompez-vous pas je parle pas de paye mais de l’impossibilité de lire mon blog avec son cell. Je reviens à mon senti, c’est plus intéressant cet après-midi je fais pas la sieste, J’ai une toune de Nana Mouskouri dans la tête, Quand tu chante! J’avance lentement dans cette rédaction, aujourd’hui je suis pas sortis, la rue piétonnière du village peut se passer de moi.  Lentement le mois de juillet passe, j’aimerais bien aller passer quelques jours dans la nature mais je crois que ça seras pas possible. Je pense aux neveux et aux nièces tous en vacances avec leurs enfants. Je paye toujours mon compte de téléphone à la fin du mois c’est peut-être pour ça qu’ils m’ont envoyé ce ridicule avis de recouvrement. Je sais c’est personnel , vous, vous ne raconteriez pas ça sur les réseaux sociaux. J’aurais bien aimé me rendre à la nuit de la poésie de Saint-Venant-de-Paquette, entendre de vrais poètes, je viens de voir que c’est au mois d’août. Je vais y réfléchir. Moi et ma prose que je voudrais poétique, j’y arrive pas, je manque de mots savants pour précisément nommer mon senti… Je prends mon temps, j’aime bien être satisfait quand j’ai terminé mais plus souvent qu’autrement je doute. Je devrais prendre ma place j’y ai droit pourtant le doute est mon maître, c’est lui qui mène…Je trouve pas, j’ai un point dans le dos, la poésie c’est pas si terre à terre, le mot qui me viens c’est évanescent c’est comme ça que j’aimerais terminer avec des mots qui s’amoindrissent et disparaissent. Pourtant je donne toujours une poussée pour terminer c’est pas très beau, cochon je sais pas trop pourquoi peut-être parce ce que je me roule dans la fange informatique, les vrais poètes sont organiques… Voilà, lentement je glisse vers la fin… Quelques mots encore, en pensant aux immenses poètes qui ont laissé une marque, c’est peux dire certains ont transformés le langage… Je termine là-dessus en vous laissant réfléchir. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard