jeudi 5 avril 2018

Au présent



Bonsoir! Bonjour! Me voilà encore, j’ai dormis un peu c’est encore la soirée, ce soir je vais essayer d’être délicat… Ça demande de la patience avec l’écriture. Hier la médiatrice culturelle avait pas reçu les textes que je lui ai envoyé. Ça m’a donné la chance de me relire… Y’a longtemps c’était l’heure, vingt-deux heure où je me préparais à sortir. Je ne rentrais qu’aux petites heures du matin des nuits à boire bière sur bière dans le désespoir pourtant y’avait toujours la musique rock’n’roll des années quatre-vingt. Je pense à cet ancien militaire détestable quand il avait bu je crois qu’il était atteint neurologiquement. Y’avait aussi cet autre qui était un ancien légionnaire, il était bipolaire pas joli lui non plus quand il avait bu. Je crois qu’il était atteint de crétinisme et oui on peut considérer ça comme une maladie. J’ai préparé un café, j’aimerais bien avoir du courrier demain, les dédommagements pour les livres ouverts des bibliothèques vivantes… Hier j’étais à une répétition au Théâtre du Nouveau Monde, c’était difficile j’avais pas la tête là, je vais écrire quelque chose pour cette création… J’ai remarqué que je suis seul de ma gang ce sont tous des inconnus. Je vous écris ça et j’essais en parallèle de réfléchir à cet autre texte. Ce soir je suis moins enthousiaste pour écrire mais je sais que j’en tire un bien énorme. Je pense à cette dame qui entretenais des relations épistolaires suivis pour moi elle était l’exemple même de ce qu’est l’écriture. Écrire tous les jours malgré tout et là je ne sais pourquoi je pense à cette communication que j’ai fait à Lille, j’ai fait rire quelques personnes c’est bon signe, je me prends moins au sérieux… J’ai suivi les conseils de mon lecteur de Deux-Montagnes et j’ai pris beaucoup de note, on va travailler là-dessus pour une future présentation au Centre Intégré Universitaire de santé et de services sociaux de l’est de l’île de Montréal. Hier, j’ai souper de foi de bœuf avec des carottes et des pommes de terre, c’était bon. Pas très très beau comme phrase ça aussi. Pour la prochaine pièce de théâtre il semble qu’on vas avoir droit à un reportage de Radio-Canada on va s’habiller propre… Je suis pas un comédien ce qui me va le mieux c’est l’écriture. Je me suis reposé un peu, la nuit seras pas trop longue, je crois en avoir terminé avant minuit je vais vous illustrer ça avec une petite rue piétonne de Lille… Je sais pas pourquoi j’aime beaucoup ces photos, peut-être parce que c’est le dernier voyage. L’ami agent de programmation m’a lu hier il est d’avis qu’il y a quelque chose a faire avec mes textes. Quelques mots encore avant de terminer mais oui je suis un gros chien qui cherche sa niche. Je sais pas comment la trouver j’ai beau reniflé. Voilà pour ce soir, je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Me voilà, j’ai été pas mal occupé, j’ai pas eu le temps de vous écrire. Cette nuit je le prends. Me suis réveillé en plein cauchemar. Aujourd’hui c’est la création répétition au Théâtre du Nouveau Monde. J’espère que l’agent de programmation va me téléphoner j’ai des choses à discuter… Hier on se demandait qui des Français où des Québécois étaient les plus avancés en psychiatrie. Je suis content y’a un ami européen qui a aimé une page du blog avec une photo d’une maison de Lille. Aujourd’hui on gèle… J’ai encore le nez douloureux, il est trois heure du matin, ça c’est bien passé à la radio, je me questionne sur mon implication dans le comité des usagers de l’institut. Cette nuit j’écoute ce que ça dis par temps de grand vent. Y’en a toujours pour chialer parce qu’on écrit avec un ordinateur je les traiterais de granola… Hier j’ai croisé un collègue qui sera absent à la répétition, c’est une difficulté majeure les absences aux répétitions. J’ai amené mes factures de voyage à la secrétaire, on devrais me rembourser… Voilà, j’écoute mon senti je cherche comment vous dire? mais quoi au juste?, cette douleur émotionnelle sourde loin des pleurs mais présente, toujours là à s’imposer à attendre que je l’écrive… Les mots me manquent, le vent siffle dehors c’est un peu affolant pour un fou c’est le quotidien… «  j’ai voulu faire du plomb mais j’ai pas de feu… » Une espèce de poésie écris sur un banc dans un abribus. De l’alchimie à l’envers pas vraiment pour transformer le plomb en or. Je sais pas trop comment je vais vous illustrer ça, une photo du monument au général Faidherbe sur la place Richebé. Je vous donnerai pas de leçon d’histoire… C’était pas encore la grande place je l’ai raté, j’ai pas été assez curieux au cœur de Lille, en voyage je rate souvent des visites. Ça me fait mal je me sens idiot de toute façon j’avais pas le temps. Je pense déjà à mon prochain départ, hier on m’a dit que je suis une sorte d’ambassadeur, c’est pas faux je représente les gens en rétablissement du Centre Intégré Universitaire de Santé et de Services Sociaux de l’est de l’île de Montréal. C’est toujours la nuit on gèle je vais démarrer le chauffage. Je trouve plus, je trouve pas, j’espère avoir quelque chose dans le courrier ce matin. Je manque d’adjectif pour qualifier mon état et de mots pour décrire, mon vocabulaire est trop faible, l’écriture je devrais laisser ça aux diplômés universitaires. Pourtant j’ai pas un cœur de pierre juste une âme déplumée comme le poulet qu’on va embrocher et faire rôtir, je vais me retrouver sur le bûcher à flamber pourtant au vingt et unième siècles on brûle plus personne c’est juste une image… Voilà ce que ce seras cette nuit, encore une fois j’y suis arrivé, merci d’avoir lu jusque-là!!! Je vous rajoute ceci pour finir, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

mercredi 4 avril 2018

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je sais pas pourquoi ma page Facebook se plante, ça m’énerve je suis incapable de suivre le fil des actualités. C’est probablement un autre malfaisant où peut être que c’est à cause de la fusillade chez YouTube, quoi que là je tombe dans la paranoïa. Aujourd’hui c’est le comité des usagers de l’institut et après une présence radiophonique. J’aime bien partir en voyage et écrire ça m’inspire… Il est une heure du matin je suis debout, je me laisse distraire par tous les bugs électronique, c’est pas grave… Les clics sur mon blog montent et descendent d’un jour à l’autre. Depuis mon retour j’ai la chanson Mistral gagnant de Renaud dans la tête… Je sais y’a certains puristes qui veulent revenir à la machine à écrire, moi je suis passé de la plume à l’ordi, je sais pas comment vous dire j’aime bien taper sur le clavier. Je vais essayer d’écrire des choses plus émotives mais pour le moment je constate qu’il a neigé c’est vraiment n’importe quoi ce que j’écris. J’ai régler le problème de Facebook avec l’excellent support technique de Bell, je vais devoir changer ma façon de travailler, Explorer commençait à être vieux. Maintenant je suis bien réveillé, il neige pas mal. Je trouve plus quoi vous écrire, j’écoute ce que dis mon cœur cette nuit je suis pas en pleur… C’est pas facile je peux pas dire que c’est de l’autofiction j’arrive pas à imaginer. J’ai pas rêvé je sais pendant que j’écris vous dormez. Je reviens à ce voyage c’était très bien, je n’étais pas trop dépaysé. Je vous ai pas dit qu’au déjeuner, le diner ici, les sandwichs jambon beurre étaient bonnes. Bon! Je m’auto-dénigrerai pas cette nuit, je vais regarder si il y a un nouveau recueil Spirou de disponible… Je cherche quoi vous raconter mon âme est calme, je pense que le puits de mon écriture est taris, j’ai beau garroché la chaudière je ne remonte que du vent… Je pense aux jolis bâtiments de Lille, une architecture sans pareille une maison entre autre faite d’acier à l’allure corrosive.  J’étais tout près de la Belgique, la patrie de Spirou, de Tintin et du grand Hergé. J’arrive pas à me détendre, la tension est toujours là… Allez j’y vais vous me direz ce que vous en pensez, étrangement y’a une odeur de pizza, la nuit comme ça pourtant ils livrent pas. Je m’arrête toujours je réussis pas à continuer sur une lancée, je me prend la tête, demain c’est la répétition théâtre, j’ai hâte de reprendre de voir où on en est… Je termine ça et je retourne me coucher. Je vais essayer de dormir un peu. Encore quelques mots, je veux pas trop vous fatiguer avec mes répétitions, le seul qualificatif que je trouve c’est simiesque et oui comme un singe je répète les mêmes gestes. Voilà! J’en ai assez dis cette nuit je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À un autre moment je serai peut-être plus inspiré. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mardi 3 avril 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir!  Cet après-midi je suis vide, reposé mais vide ce sont les effets du voyage. Je repartirais si c’était possible. Hier j’ai eu beaucoup de plaisir à discuter avec l’ami col bleu bientôt à la retraite. Dehors un gars passe il parle tout seul, il est pas branché…  À l’hôtel Appart City de Lille la semaine passée, j’ai regardé une nouvelle émission Des Racines et Des Ailes, c’était très intéressant… Je vais essayer de vous écrire mon senti encore une fois, je pense aux vrais écrivains qui sont beaucoup moins prolifique que moi, ils découpent les mots et travaillent les phrases comme des artisans, plusieurs sont organique avec un crayon et du papier. J’écoute ce que ça me dit si j’ai la chance je retournerai en France. Après les journées les gens sont retournés à leur boulot plus riche d’idées. Je vous ai pas parlé de mon nez irrité, je me mouche et arrache les peaux mortes c’est dégueu… Ça aussi ça fait partie du senti, j’ai enfin compris ce que faisait le regretté patriarche quand il se jouait dans le nez. Je devrais pas vous parler de ça c’est du domaine de l’intime. Je crois que c’est héréditaire, ça a tout pris pour que je trouve le mot. Les ouvriers municipaux ont commencé à nettoyer le parc en face. J’ai hâte de voir du vert quoi qu’ils annoncent une tempête pour ce soir et demain, probablement la dernière. Je pense aux éoliennes qu’on aperçois du train entre Paris et Lille c’est magnifique… J’attends du courrier le paiement de deux livres ouvert fait dans deux bibliothèques différentes. Je sais ça vas être long on est plus pressé d’avoir l’animation que de payer. J’ai reçu par courriel une publicité de sacoche, est-ce parce que je suis une « sacoche ». Je suis un peu inquiet pour la facturation de mon voyage, j’espère qu’ils vont tout démêler, je veux pas facturer en double. Je m’éloigne, je m’éloigne de mon senti… Comme toujours j’écoute ce que ça dit je vous illustre ça avec une photo de verdure Lilloise… Le ciel est couvert, l’ami agent de programmation m’a téléphoné, ça m’a un peu déconcentré pour écrire ceci mais j’étais content de lui parler… Je peux pas me plaindre les gens sont gentils avec moi. J’ai souvenir de cette époque où je buvais beaucoup d’alcool, c’était une entreprise de démolition maintenant je me reconstruis, je crois que je fait les bonnes choses… Je sais pas vraiment comment je vais vous terminer ça aujourd’hui, ma méfiance envers les gens elle est pas toute partie. Je vais y arriver même si parfois je me répète. J’ai des sentiments agréables, je garde de bons souvenirs du dernier voyage, me semble que la vie est moins plate. Je vais essayer de pas me planter aujourd’hui, demain je vais à l’institut pour le comité des usagers et dans la soirée  je participe à une émission de radio. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 2 avril 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je reviens vous hanter la nuit. Je suis debout j’ai un peu dormis. J’ai bien aimé voir en vrai le beffroi de Lille. Je suis debout parce que l’anxiété m’a dit que j’allais rater quelque chose je ne sais quoi… Ai pris une douche, me suis parfumé je suis bien. Demain j’ai une réunion du comité des usagers, on a de moins en moins de monde, je crois qu’avec l’âge c’est moins motivant, les plus jeunes semblent pas vouloir s’impliquer. Je reste là ça peut aider. J’écoute ce que mon senti dit. J’ai profité des voyages en avion pour regarder des films, le grand prix du festival de Cannes, Cent vingt battements par minutes, un film sur la pandémie de sida, très bon mais très gay, et un autre sur les superhéros DC toujours aussi inspiré de l’ancien et du nouveau Testament selon moi. J’ai pas pu terminer le dernier Blade runner, j’avais pas assez de temps… Ça vous dit pas mon senti de cette nuit, me suis préparé un café, on annonce de la neige pour cet après-midi… Mais non j’avais pas « une chambre à l’hôtel des cœurs brisés », je pense aux répétitions et à la création de la pièce de théâtre au Théâtre du Nouveau Monde, ça avance lentement. Je crois que dans mes lecteurs y’a des amateurs de poésie, moi je considère que je suis un peu vieux pour le genre, n’empêche j’essais parfois d’être poétique… Les snowbirds sont à Myrtle beach, ils reviennent tranquillement au Québec.  Hier j’ai discuté avec l’ami col bleu qui seras à la retraite la semaine prochaine, on vieillis tous. Je pense au patriarche qui a pas vraiment eu le temps d’en profiter. Si tout va bien demain j’irai à la radio enregistrer une chronique pour l’émission Folie Douce. Aujourd’hui je vais essayer de parler avec l’ami agent de programmation. Tout à coup j’entends Dick Annegarn que j’aime bien, https://www.youtube.com/watch?v=qcnaPXCdtFs  ça me rappelle une belle époque des émissions à Radio-Canada. La regretté Chantal Jolis et son compère Jean-François Doré aussi regretté, c’était y’a longtemps presque quarante ans les émissions étaient trippantes.  Et j’ai vieillis, j’ai vécu, je croyais tout savoir, je ne savais rien… L’ignorance de la jeunesse j’étais tellement malheureux au prise avec la schizophrénie heureusement maintenant je vais mieux. Je reste fou mais sage c’est un peu paradoxal. Je pense aux lecteurs et lectrices… Voilà où j’en suis cette nuit quelques souvenirs, la semaine commence ce matin. Les voitures passent lentement, les gens sont épuisés d’avoir trop fêté, ils vont mettre la semaine à s’en remettre, Pâques c’est pas que le chocolat et le jambon c’est aussi la résurrection, la nature qui se réveille. Quelques mots encore, j’essais d’écrire une jolie chute terminer sur une bonne note. J’ai passé le dimanche de Pâques en avion c’est le cas de le dire j’étais au ciel. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je n’ai qu’un souhait c’est de vous revoir à la prochaine j’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Souvenir de Lille la jolie Porte de Paris. Je vais essayer de revenir avec mon senti. Je suis chez moi j’ai pas eu mon reçu de loyer, lundi de Pâques c’est fête… Je pense encore aux journées internationales du Centre Collaborateur de l’organisation Mondiale de la Santé, la santé mentale… Je suis de retour assez tôt ça m’a permis d’éviter la grève des trains. Je crois vous l’avoir déjà écrit aujourd’hui c’est calme j’aime ça. Pour mon retour tout s’est bien passé. La paranoïa est absente, l’angoisse aussi. Je vais remercier la direction qui m’a permis de faire ce voyage. J’aime beaucoup voyager, y’a des attentes que j’aime moins mais tout passe si vite, c’est comme si je venais de partir. Hier en sortant de l’avion un homme a essayé de me piquer mon porte-feuille, j’ai mis la main dessus à temps. J’ai rien dis je voulais pas retarder tout le monde, son sac et ses mains trainaient sur la poche de ma fesse droite, c’est négatif je vous en dis pas plus long… Air France c’est une bonne compagnie aérienne, j’avais jamais voyagé avec eux, la bouffe étais bonne… J’ai finalement compris que les français utilisent pas le si il vous plait comme nous. J’ai rencontré un chauffeur de taxi sympathique qui avait du bagout , il me racontais que tous les québécois qu’il rencontrais étaient jovial, de bonne humeur, c’était bien, j’aimais bien sa façon de parler du Canada… Un autre m’a dit qu’il venait de Vimy, il avait le souvenir de ces soldats canadiens morts à la bataille de Vimy à la guerre de quatorze dix-huit. Pour voyager le billet électronique c’est très pratique, on enregistre nos bagage et on se procure les pièces d’embarquement sur les bornes installées un peu partout dans l’aéroport. Je crois que les douaniers rigolaient de me voir essayé d’aller à toute vitesse en plaçant mes effets dans les bacs. J’ai beau essayé d’étirer le temps j’y arrive pas tout passe trop vite. Aux journées j’ai rencontré des gens très intéressant, beaucoup de pairs-aidants, mais plusieurs qui se cherchent du boulot dans l’aide à la santé mentale. Ce soir le soleil se couche beau, j’ai un déjà vu ça m’arrive parfois, c’est schizophrénique… Hier quand je suis arrivé, je me suis dit je vais prendre tout mon temps, c’est ce que j’ai fait et tout s’est bien passé. Avec la grève je crois qu’il y a beaucoup de gens qui vont remettre leur voyage en France. Je suis un chanceux… Quelques mots encore, j’aime bien la France… Les voyages ça rehausse l’estime que j’ai de moi. Comment vous dire? Je me repose et ne pense qu’à repartir, ce soir j’arrive pas à la poésie, au mieux c’est mon journal que je vous fait lire. Toujours très difficile de terminer, j’aime bien savoir que vous me lisez, ça aussi c’est pas une très belle phrase. Voilà! C’est tout, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voilà de retour, cette nuit j’ai beaucoup dormis. Je pense à toutes ces belles rencontres que j’ai fait, les gens ont je crois bien aimé ma communication. Je sais pas si ça vas avoir des répercussions ici, espérons que ce soit pour le mieux. Hier j’ai lu un éloge journalistique à la machine à écrire. Lundi de Pâques, heureusement je suis revenus avant qu’il y ais grève à la Société Nationale des Chemins de Fer. Quand je regarde ça tout s’est bien passé. J’ai remarqué que maintenant y’a beaucoup de services numérisés et informatisé, on enregistre nos bagages en les scannant soi- même. J’ai la chanson de Renaud, Mistral gagnant, dans la tête… Je l’aime quand même beaucoup la France c’est pas le cas pour tout le monde un jeune homme qui avais des problèmes s’est mis à l’insulter en criant des propos salissant. Je suis quand même content d’être de retour chez moi, c’est mon senti tout ça, je crois que ce lundi est férié pour pas mal de monde. Dans le train de retour j’ai eu une gentille conversation avec mon voisin qui s’en allait en Algérie, c’était sympathique.  Lentement je me réveille, l’écran m’aide un peu, on a modernisé les déclarations à l’aéroport Trudeau, quand on arrive tout est électronique, c’est simple et efficace. En rentrant dans mon appartement hier, j’ai réalisé qu’il sentait bon… Ce matin je suis debout à Montréal… Je pense à la dope aux policiers. J’ai plus de problème avec ça je suis « sobre » depuis un bout de temps. Dans l’avion les gens buvaient un petit alcool de poires français et quand les gens ont bu ils se mettent à causer comme des malades qui se connaissent depuis des années… Hier je réfléchissais sur l’inconscient à comment je prête des intentions aux gens quand ce n’est que ça des gestes inconscients… N’empêche, la première classe dans les avions ça semble confortable mais je crois pas que je serais capable de dormir. Tout passe tellement vite, je suis de retour et c’est comme si j’étais jamais partis. Je reviens dans mon quotidien d’écriture et d’implication. Je vais écrire à l’agent de voyage elle a fait une super job… Comme ça je pense à mon quartier, comment on le découvre après s’en être éloigné, pas longtemps soit! Mais juste assez pour l’apprécier. Je vais dire comme mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord, je me suis contenté! Y’a des moments que j’aimais moins dans le voyage mais il faut être patient. J’aime toujours l’avion… Le train à grande vitesse c’est bien aussi. Faut se concentrer sur ce qu’on a aimé, les gens, et laisser faire le reste. À l’aéroport Charles-de-Gaulle deux dames québécoises m’ont demandé où il fallait qu’elle embarquent, j’ai répondu en bégayant, je crois qu’elles ont compris… Mon sac-à-dos est très utile, je m’en sers beaucoup. Voilà! Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard