Bernard
lundi 26 mars 2018
Au présent
Bonsoir!Bonjour! J’ai passé la fouille, je suis maintenant sur le quai d’embarquement. J’ai voulu manger mais les sandwichs à douze dollars c’est un peu cher… Y’a un gars qui' avait spotté mon sac à dos, il m’a dis qu’il fallait être millionnaire pour avoir un sac pareil. Je sais c’est dispendieux mais c’est de la qualité. Je suis loin de mon senti ce soir, lentement l’horaire d’embarquement approche. J’ai de la lecture, le programme des journées. Je vous laisse là-dessus.
Bernard
Bernard
dimanche 25 mars 2018
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Me voilà dans la nuit, un peu moins de vingt-quatre heures avant le
départ. Mes bagages sont presque prêt… Je vais vérifier si le vol est prévu. J’ai
un peu dormis comme souvent je suis réveillé dans la nuit. Je serai pas partis
longtemps c’est pas la peine de sortir les mouchoirs. Je vais me rendre à l’aéroport
assez tôt. J’ai hâte de prendre le train à grande vitesse pour Lille. Mon mal
de dos est disparu… C’est lundi y’a des façons plus désagréables de commencer
la semaine. Douché parfumé, je vais changer de continent, l’Europe, La France.
J’espère qu’il y aura du beau temps… Un copain me demandait combien de fois j’étais
allé en France? Quatre ou cinq fois je l’aime bien la France… Je vais me rendre
à l’aéroport avec les transports en commun. J’essaye d’y aller avec mon senti,
je vous écrirai peut-être quelque chose dans l’avion à moins de changement je
vais avoir un terminal vidéo à mon siège… Étrangement j’ai souvenir de ce
drink, le stinger, cognac et crème de menthe… Non! J’en boirai pas, j’ai pas
envie de me tuer… Viens de manger deux croissants, c’est toujours la tentative
de dire comment je me sent mais j’y arrive pas… Toujours le souvenir de la
maladie dans son plus intense… Je sais que le bof est un de ceux qui crois que
tout a été dit dans l’art, oui mais pas par moi, l’unicité, ce qui fait qu’on
est unique personne n’écris comme moi… Mon ami l’agent de programmation devrais
me téléphoner avant que je parte. Je vous écris ça et après je retourne dormir.
Je pense à mon coin préféré à l’aéroport, je m’installe presque toujours là
avant de passer les douanes. J’aime beaucoup m’asseoir sur le quai avant l’embarquement
et regarder les avions. J’arrive toujours tôt pour être bien certain d’embarquer.
Cette nuit c’est très silencieux, y’a pas beaucoup de circulation automobile. J’ai
sommeil. J’ai le nez sec ça me fatigue, un autre petit bobo qui va disparaitre.
Je sais pas comment ils vont m’accueillir là-bas. J’espère qu’ils seront pas
trop dur. Je vais partir de chez moi vers dix heures et demie, onze heures.
Cette nuit c’est pas très intense ce que j’écris, je suis heureux d’avoir le
temps de partir. J’ai le siège du côté de l’allée dans l’avion… Je suis anxieux
pas angoissé, j’écoute ce que dis ma voix intérieure, pas grand-chose. Je vais
essayer de rien oublier comme bagage. Il va pleuvoir à Lille, je me souviens
plus qui disait il faut faire les choses pas se laisser arrêter par des gouttes
de pluie. De la gare à l’hôtel je vais prendre un taxi… Le frigo viens de s’arrêter,
je ne me laisse pas emporter par l’anxiété, ça devrais pas être trop compliqué
à l’aéroport c’est fait pour du monde, ils ont dû y penser. Vol direct sur
Paris après le train jusqu’à Lille. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Départ demain… Aujourd’hui c’était un beau grand soleil, vraiment le
printemps… J’ai regardé un film sur le décollage d’un avion d’Air France…
Demain je serai à l’aéroport Trudeau. Je suis un peu nerveux, je m’arrache les
poils du nez. L’aéroport et l’avion ça va c’est quand je serai en France pour
ma correspondance avec le train vers Lille j’espère que ça va bien se passé. C’est
un peu ça l’aventure… Je remercie mon lecteur de Deux-Montagnes pour tous les
services qu’il me rend. Je vais essayer de bloguer avec ma tablette
électronique en France… Je pense que la nuit va être courte et la journée de
demain longue. Je vais vers mon senti, je pars lundi soir j’arrive mardi matin,
je vais vérifier si j’ai toute la paperasse qu’il me faut, le billet
électronique, le voucher de l’hôtel, l’adresse, et l’adresse des journées. L’ami
agent de programmation dois me téléphoner demain pour le moment tous se passe
bien… Je me souviens du transfert vers le métro à Heathrow à Londres, ça c’était
fait facilement, ça doit être simple aussi pour le train à Charles-de-Gaulle…
Au pire je demanderai à un agent de bord comment faire… Demain je vais
commencer à prendre des notes dans le cahier… Je pense au snowbirds et à leur
Courailleuse, quand ils vont revenir le beau temps va être là. Je vous écris ça
lentement ce soir, j’ai rien de spécial à vous raconter, je veux juste vous
faire lire pour le plaisir. Je suis pas tellement anxieux, j’essais d’imaginer
ce que ce serait si je restais bloqué à Lille avec des hallucinations… Ce sont
des journées santé mentale je crois qu’ils comprendraient mais ça me sert à
rien de mettre ça au pire… Je m’en vais pas visiter l’hôpital psychiatrique, je
vais parler de patient partenaire de rétablissement et de dédommagement toutes
des choses que le ministère questionne. Je vais essayer de ramener une couple d’idées
et d’être prudent pour un paranoïaque ça va de soi. J’ai hâte de voir la
chambre d’hôtel c’est un trois étoiles avec petit déjeuner… Le soleil se
couche, ça va me faire un autre voyage. Je dois être à l’aéroport au moins
trois heures à l’avance et un jour à la fois je vais essayer de pas consommer.
Ma lectrice de Deux-Montagnes va bien je suis heureux pour elle. Tout le monde
sait que je pars en voyage, personne va me chercher… Ce sont les journées du
Centre Collaborateur de l’organisation mondiale de la santé pour la recherche
et la formation en santé mentale. J’imagine que les sommités en santé mentale
vont être là… Je vais faire ma communication humblement, c’est comme je
racontais à mon ami agent de programmation, je suis un ti-pit… Je pense quand
même que c’est important ce que je fais, il y va de mon rétablissement… J’y
suis arrivé encore ce soir, j’ai écrit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
J’essaye de terminer sur une bonne note. À la prochaine j’espère!!!
Bernard
samedi 24 mars 2018
Au présent
Re-bonsoir!
Bonjour! Dimanche égaré, toujours les même chevaux de bataille. La
stigmatisation et le dédommagement… Le rétablissement aussi… L’argent à un
grand rôle dans tout ce qu’on fait. J’ai une petite anecdote pour illustrer ça,
à une époque pas si lointaine on nous consultais déjà mais on nous payait avec
un ticket d’autobus ce qui fait que si je voulais un café j’étais obliger d’emprunter
où de quêter quelques dollars pour me le payer ça contribuais pas à mon
rétablissement mais encore aujourd’hui on nous dédommage pour notre savoir
expérientiel, ça me permet de me payer un café et le montant d’argent donne de
la valeur à ce que je dis, ça rehausse l’estime que j’ai de moi. Y’a encore
beaucoup de problème à régler mais je crois qu’on était sur la bonne voie semble à ce qu’on dis que le ministère veux
arrêter ça, faut comprendre que ces activités contribuaient activement à mon
rétablissement et selon moi permettais d’éviter des hospitalisations qui si on
fait la balance des comptes une activités payer une somme minime versus une
hospitalisation des coûts dispendieux, me semble que le choix est pas très
difficile. Je parle souvent des devoirs versus les droits quand on est
bénéficiaire de la sécurité du revenus on roule pas sur l’or certains doivent
parfois faire le choix entre payer le loyer, un devoir où acheter de la bouffe.
Le petit montant qu’on nous donne permet de joindre les deux bouts. Hier je
disais on est pas un pays du tiers monde on est un pays riche qui devrais
permettre à ces citoyens les moins bien nantis d’ajouter à leurs assiettes de
revenus, sans pénalité. Je me souviens toujours de l’époque où je ne recevais
qu’une centaine de dollars et où je dormais dans le salon des copains, pour en
sortir et me permettre de retourner au étude j’ai du faire faire un papier du
médecin qui disait que j’étais schizophrène. Je réussissais à payer le loyer et
payer de la bouffe, je faisais du stop pour aller à l’école malheureusement j’ai
pas terminé, les professeurs étant donné mon âge déjà avancé me conseillait de
m’inscrire directement à l’université. Tout ça c’est passé, je vais mieux, je
me suis trouvé tardivement une vocation j’essais d’aider mes pairs en
propageant le mot que le rétablissement est possible, qu’on peut aller mieux.
Je ne suis pas guéris en santé mentale faut s’éloigner de ceux qui se disent
guéris, cette semaine mon propos aux journées du Centre Collaborateur de l’Organisation
Mondiale de la Santé seras de cette teneur, toujours la même thématique, « Patient
Partenaire une pratique éphémère dans le réseau de la santé québécois? »
De vous écrire ça, me permet d’y voir plus clair, je sais qu’académiquement ça
vaut pas grands choses, je suis pas aux études, je ne participe à aucune
recherche, c’est juste le son de cloche d’un patient partenaire qui se rétablis
et essais de faire un peu plus que survivre. Merci d’avoir lu jusque-là!!!
Ciao!!!
Bernard
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Ce soir je suis de retour, de la bibliothèque de Boisbriand et de l’événement
Livre Ouvert. C’est quand même demandant de parler de soi et de faire un retour
en arrière sur ces maudites années de souffrance. J’espère que je fais une
différence, mon idée c’est toujours d’aider, dire que le rétablissement est
possible… Aujourd’hui dans le centre-sud la neige à beaucoup fondue. Y’en a qui
ont sortis leurs motos. J’ai bien aimé passer ces quelques heures à la
bibliothèque. On m’a demandé si j’étais heureux, j’ai répondu oui des
événements comme ça permettent de parler sans le brouillage alcoolique, la
comorbidité. On rencontre des gens intéressants qui nous font parfois des
confidences, je respecte ça. Encore une couple de dodos et je m’envole pour la France,
Lille. Dans l’avion je vais essayer de préparer ma communication… Ce soir je
suis chez-moi et je vous écris… La nuit tombe, je répète l’intitulé de ma
communication « Patient Partenaire une pratique éphémère dans le réseau de
la santé québécois? » Y’a des choses de l’ordre du dédommagement monétaire
qu’on accepte pas dans le réseau de ce côté-là on peut pas jouer le livre
ouvert, uniforme voilà ce qu’on veut avec un emploi détestable qui nous fait
suer et la peur de le perdre à tous moments. Je sais vous aller dire que je
suis un loser, mais je fais avec ce que j’ai. On me demandait sur quoi j’écrivais?
J’ai répondu mon senti avec de l’autofiction bien que ce soit rare que j’invente
des choses. Les voix elles étaient dans ma tête, elles sont disparues, il en
reste plus qu’une c’est la voix de ma conscience qui s’agite. La question de la
littérature, les barjos comme moi devraient se coucher et dormir là-dessus, l’idée
c’est pas d’être une rock-star mais juste un écrivain… Je pense à mon nom de
famille très français, j’aime ça. À la bibliothèque j’ai vu de magnifiques
livres Taschen sur les super-héros Marvel, ils étaient vraiment beau… Demain je
crois que je vais aller à la librairie essayer de trouver un roman qui se passe
à Lille. J’entends le tic-tac de l’horloge, mon écriture a pas vraiment une
belle forme, c’est pour ça que j’écris c’est jamais définitif… J’avais mal dans
le dos ça a finis par partir. Je sais! Je sais! Les blogs c’est pas sérieux ce
sont les paparazzis de la littérature, c’est pas de la vrai écriture! Mais
enfin qu’est-ce que vous voulez? La plume et l’enluminure? Je pense au décalage
horaire , c’est pas si mal ce seras pas la première fois… Je baille, j’en ai
beaucoup donné aujourd’hui. Je crois toujours que les gens aiment pas ma façon
de vivre, mes revenus. Je finis comme j’ai commencé ça m’obsède et ça me fait
mal… Je suis pas un raté non! Non! Non! Ce soir je suis calmement chez-moi et
je termine là-dessus. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour
dire que j’apprécie. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
vendredi 23 mars 2018
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Voilà encore que je m’adonne à ma passion, ce matin je vais à
Boisbriand pour une séance de Livres Ouvert. Me reste plus que deux nuits avant
de partir. Mes bagages sont fait me reste que quelques articles de dernières minutes. Me
suis réveillé avec des brûlements d’estomac, c’est la pizza y’a rien de
poétique là- dedans c’est sans artifice ce n’est que la vérité qui on le sait n’est
pas poétique. Le mensonge voilà un fil, la poésie qui ment, qui trouve de la
beauté dans les actes barbares, le poète savait venir nous toucher avec ces
mots. Parfois je cherche au yable au vert et c’est tout près de moi… J’aurais
aimé être un homme de lettre sortis de Brébeuf, le seul collège que j’ai
fréquenté j’y suis allé qu’une journée et de toute façon je connais personne
qui l’a fréquenté qui sois haut placé, une réputation usurpée? Cette nuit j’ai
la toune Pleurer des rivières https://www.youtube.com/watch?v=0bR60Y-t0v8 dans la tête. Je pars sur Air France j’espère
qu’il y auras pas grève. J’ai dormis à peu près quatre heures, je suis debout
pour vous écrire. J’écoute ce que ça me dis, j’ai une douleur dans le dos, j’ai
pris un cachet ça devrais soulager. Y’a des moments où je me dis si j’avais
mentis je serais pas où je suis… J’ai toujours trouvé que c’était moins
compliqué de dire la vérité. C’est pas facile de rester simple et de s’engager
dans la poésie, on sort des mots de la canne comme si c’était un stew irlandais
et on le mange pour notre salut. Ça ressemble à un prêche tout ça, j’essais de
racheter vos âmes comme un faux-prêtre vous ne serez pas sauvé. Voilà! J’écris
des bêtises digne des chtis. J’entends des avions qui passent au-dessus de
Montréal. Je crois que pour tout ce qu’il y avait de scolaire on était déjà
discriminé, les enseignants étaient pas là pour nous aider. J’étais déjà perdu
dans les études secondaires. Je m’égare suis trop loin de mon sentis. Je
réussis au moins ça écrire… Mais je suis loin des belles images évocatrices, je
suis trop terre à terre… Faut surtout pas que j’oublie mon passeport, minuit
est passé c’est samedi, y’a pas de château fort pour mes mots, vous pouvez les
attaquer je ne sais pas si ils résisteront en tout cas ils seront là à attendre
votre lecture critique si il y’en a. Ça tiens du désir tout ça… Je crois que
dans l’avion on à la télévision individuelle… J’ai pas connus l’époque où on
servait de l’alcool à volonté me souviens quand même d’un voyage où on m’avait
servis plusieurs verre de Tia Maria où d’Amaretto… À l’époque je buvais
beaucoup d’alcool. J’ai choisis mes sièges pour le voyage, j’espère que l’enregistrement
va bien se passer. Pendant le vol je vais essayer de mettre de l’ordre dans mes
idées pour la communication. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À
la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
jeudi 22 mars 2018
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Je reviens c’est la nuit. J’ai dormis j’ai entendu à quelque part que
pour « créer » ça prenais des nuits d’insomnies, c’est pas ça qui
manque… J’essaye de me faire une vie en écrivant encore faut-il que je l’écrive
cette vie. Toujours la même recherche, une écriture simple voilà ce que je veux
atteindre… J’essaye de figurer comment je vais m’habiller pour partir en
voyage, je crois que ça va être léger. Aujourd’hui je vais faire ma valise.
Encore trois dodos comme on dis au enfant. Je crois que je me réveille la nuit
parce que je ne veux pas entrer dans cette petite mort qu’est le sommeil… Cette
nuit c’est tranquille je remplis l’écran de phrases et de mots. Je sais que
vous cherchez le fil conducteur de mes écritures, y’en à pas c’est surtout d’écrire
le moment, l’instant présent, c’est pas toujours simple parfois je dois prendre
du recul avant de plonger dans ce qui se passe dans ma tête… Je prends les mots
du grand écrivain, je suis un agité du bocal, c’est pas fin fin mais ça me
décris bien. Y’a cette pièce de théâtre à écrire collectivement, c’est pas
simple de faire parler des personnages, j’ai écrit une scène, pour le reste j’y
arrive pas… En voyage je vais essayer de m’y mettre. Je suis ce qu’à une époque
on appelait un échappé de l’asile, j’ai toute ma liberté je ne veux pas qu’on m’y
ramène, je reste loin de la psychose. Je contrôle rien parfois j’ai peur,
pourtant je suis tranquille chez moi à vous écrire… Je pense aux petits gars
aux enfants de mes nièces, y’en a un qui à commencer à jouer au hockey, c’est
bien, j’espère que celui de Cantley apprécie les bandes dessinées… Je devrais
faire un bon voyage tout le monde me le souhaite. Aujourd’hui c’est congé j’ai
toute la journée à moi, je le répète j’ai hâte d’être dans l’avion, l’ami
sclérosé me disait de me calmer les ovaires comme si j’étais une hystérique, je
suis un homme et plutôt neurasthénique… Y’a des gens qui sont disparus de ma
vie et c’est tant mieux, hier quand je suis arrivé chez moi en fin de journée j’ai
eu un craving, un désir de boire avec les potes mais si je fais ça aussi bien
signer un acte de mort. Je reste loin du faux repos que procure l’alcool. Sans
parler de son côté déprimant, c’est toujours la thématique de ce senti, comme
souvent la nuit je me suis douché et parfumé, j’aime ça. J’aurai encore une
fois mis des mots sur la nuit, éclairé mon insomnie… Je pense à d’autre nuits
moins agréables, heureusement elle sont finies. J’essaye de vous terminer ça
sur une bonne note mais l’optimisme c’est pas mon fort. Quelques mots seulement
pour dire une forme de désir, désir de partir, j’irai bientôt. Voilà je vous
remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! Ne vous découragez pas il en
reste un peu!!! Ciao!!!
Bernard
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