vendredi 24 novembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’arrive pas à dormir comme il faut chez moi c’est trop sec, j’aurais besoin d’un humidificateur. J’ai une toune de Robin Trower dans la tête, Bridge of Sighs, regardez la vidéo y’a l’air à s’être mis pas mal de poudre dans le nez https://www.youtube.com/watch?v=0tLsFsGxLmE. Je suis toujours étonné de voir les énormes amplificateurs et système sonore, vintage, quoi qu’il y ais encore des musiciens qui se servent de ça, ils ont trouvé un son, un ton… Me souviens des jam sessions où j’étais spectateur les gars avaient de tout petit amplificateur du genre Fender Twin Reverb… Je crois que pour les bons musiciens c’est pas de jouer qui est difficile, c’est de se trouver un son original bien à eux, le génie il est là. Moi j’avais dans la tête de chanter mais j’avais pas une bonne voix et je connaissais pas le solfège… Me souviens que les gars avaient joué dans le gymnase du Séminaire Saint-Sacrement  c’était que pour les étudiants de cette école, on m’avait laissé entrer en me disant de faire attention de rencontrer le directeur, il était dangereux parait-il, je m’étais caché derrière une colonne de son sur la scène, il s’était rien passé… Y’avait toujours comme ça des gars qui jouaient dans les installations scolaires sans parler de ceux qui jouaient dans l’entré des maisons… Moi dans le rock’n’roll j’ai jamais été chanteur juste roadie je transportais le stock dans les camions… J’ai jamais eu beaucoup de talent, le samedi matin j’allais parfois écouter les gars répéter chez un copain à Mascouche plus tard y’a eu l’arrivé des magnétophones où les gars pouvaient jouer d’une track à l’autre… J’avais tellement d’idole musicale parfois on allait écouter l’une d’entre elle à la Place des Nations à Terre des hommes… On arrivait tôt pour avoir une bonne place. Me souviens de Lucien Francoeur et d’Aut’Chose à la place des Étoiles à la Ronde j’étais le seul de la gang à être allé voir ça… Sans parler du groupe Offenbach et de sa messe des morts à l’Oratoire… Pourtant à l’école on nous donnait des cours de musique mais je voulais pas suivre et commencer par le commencement, j’avais honte de ma flute à bec alto. Si peu de mots pour dire toute cette époque, les bars où on entendait le Stephen Barry Band… Souvenir aussi du Grand Salon du Domaine Mascouche, un groupe différent toute les fins de semaine, Morse Code Transmission et sa marche des hommes une autre fois l’exceptionnel Long John Baldry et beaucoup d’autre, j’étais fasciné par le rock’n’roll progressif où pas… Les faits c’est que j’avais pas de talent ça se serait sue. Maintenant je suis plus tellement la musique je sais pas quel sont les hits à la mode… Je me fait vieux ça m’intéresse moins, quand même je suis encore ému par certaines chansons. J’ ai pas suivi les festivals pas plus celui du jazz que les francofolies. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!!
Bernard

jeudi 23 novembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai fait la sieste, je croyais être le matin… Mais non, c’est la nuit qui commence. Il est dix- sept heure treize. J’ai le senti pas mal vide ce soir… Noël dans à peu près un mois… C’est la Thanksgiving américaine, les festivités de noël commencent ce jour-là. Disons que c’est le départ pour les partys de bureau. Je suis pas trop nostalgique, souvenir d’un mauvais minuit chrétien chanté avec les gars à la brasserie on nous avait mis à la porte, on était de vrai yable. Je m’ennuis pas de ces Noëls-là. À un moment dans ma vie j’ai vu que j’avais pas ma place, sans parler de la psychose dans laquelle j’étais j’ai décidé de consulter, le patriarche comprenais pas, c’est vrai que c’est difficile à expliquer une psychose et encore plus la schizophrénie. Dans le temps des fêtes la vie était encore plus difficile… Des fois j’ai l’impression qu’il y juste moi qui ai fait des conneries. Je pense que les gens s’en vantent pas… Je vous ferai pas l’écriture du pauvre type… Je sais qu’il y en a quelques un d’entres-vous qui vont faire des abus d’alcool, mais ça va s’arrêter là, moi c’était toujours, tout le temps rien de drôle là-dedans… Même quand j’avais tout perdus je perdais encore c’étais ma folie, l’oncle disait que j’avais bu trop vite en trop grande quantité que j’étais plus capable, tant mieux j’ai arrêté… Le patriarche et les oncles sont tous regrettés maintenant c’est nous les oncles, on a quelques nièces et neveux avec des enfants qu’on chérie… Je pense au serveur de la brasserie qui souvent était aussi ivre que les clients. Comme souvent je suis dans les vieilles histoires… La première chose qu’on faisait après que le facteur sois passé on allait changer le chèque et on rentrait à la brasserie… Je suis pas fier de ça mais je croyais que c’était le normal des choses.  Je pense que c’est ce qui m’a rendu fou… Les gens travaillaient prenaient leurs paye et se faisaient une vie. Moi je travaillais juste assez longtemps pour avoir droit à l’assurance chômage et pour le reste je buvais, j’étais un écarté, jusqu’au moment où la peur s’est emparé de moi, la peur et la schizophrénie. Je vous mentionne ça souvent de ce temps-là, j’ai le propos aviné. Fallait quand même la boire cette bière-là, l’ami représentant m’expliquais que la bouteille valait plus cher que ce qu’il y avait dedans… Je pense à la taverne « verres stérilisés » sur le plateau, je m’ennuis pas de ça j’en parle peut-être un peu trop. C’est toujours mon thème de prédilection, je parle pas trop de mon senti, me souviens de l’aubergiste qui était tout heureux d’avoir son permis pour vendre de l’alcool. Enfin ce soir je suis bien chez-moi. Encore quelques mots, ça faisait des Noël triste. Voilà pour maintenant je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore en espérant que vous continuez à lire!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Quelques écritures ce matin. Je trouve pas l’inspiration, j’ai changé mon horaire… Matin ensoleillé un peu de la couleur qu’on retrouvait à Trieste au bord de la mer y’a quelques années. Hier j’étais inquiet, je croyais que mes examens médicaux se compliqueraient… J’ai pas de problème de santé grave… Comment vous dire? Les voix, la voix que j’entends c’est quand je perds mon interlocuteur de vue. C’est toujours dénigrant… Le matin comme aujourd’hui j’ai jamais grand-chose à écrire. J’ai quand même réussis à dormir, me souviens de ce vieux bandit en veste de cuir dans l’ouest de la ville, ça fait plus de vingt ans,  je crois qu’il m’aurais régler mon compte. Je bois de l’eau en pensant au Manon des sources de Marcel Pagnol… Hier j’ai regardé un film sur les Pyrénées c’est magnifiques, j’aimerais y aller, je pense encore à un voyage de marche même si j’ai un peu de difficulté, les sentiers et coucher dans les abris ce serait bien… Le plus évident c’est Saint-Jacques-de-Compostelle mais y’en à d’autre, je devrais m’entrainer en général j’aime bien marcher en voyage. La dernière fois c’était dans les rues de Madrid, j’ai adoré ça mais j’avais pas beaucoup de temps et je voulais pas me mettre à courir. Bientôt décembre déjà, c’est fou ce que ça passe vite… Je peux pas vous écrire sur mes amours, j’en ai pas je suis seul, seul et vieux… Comme toujours pour plusieurs c’est le jour de la paye, souvenir de la shop où le contremaitre distribuait les chèques plus tard on déposait le montant directement dans le compte de banque… Je devrais pas écrire là-dessus ça aussi c’est tabou c’était la journée qu’on finissait saoul. Ce matin j’ai plus mal à la fesse et pas de démangeaisons, j’espère que ça va durer. S’agissait que je vous en parle et les démangeaisons sont revenus, j’ai mis de la pommade ça les a fait disparaitre… Vous écrire là-dessus ça fait pas de la grande littérature… Y’a pas de personnage c’est toujours mon senti, j’ai toujours de la difficulté avec la psychologie de l’autre… Je crois que je vous ai perdus avec mon changement d’horaire c’est pas grave peu importe l’heure il s’agit d’écrire… À la pharmacie c’est toujours le pharmacien qui me sert, les jeunes filles restent derrière le comptoir où elles préparent les ordonnances. Je crois qu’ils changent souvent de personnel… Aujourd’hui j’ai pas affaire à sortir… Je vais rester chez moi et lire un peu…Le soleil se montre, les cyclistes passent. Ça sent le steak, moi je vais encore manger du foie, mon senti… Qu’est-ce qu’il a mon senti!? C’est juste que je trouve pas les mots, vous les avez-vous? Ce matin ça me fait pas mal, j’y arrive tranquillement… Je suis pas angoissé, je suis presque rendu à la chute à la finale. Encore une vingtaine de mots. Je termine donc comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Donnez-moi une petite chance!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 22 novembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’arrive de chez le médecin, ai pris rendez-vous avec une infirmière pour un appareil qui va mesurer ma pression pendant vingt-quatre heures. Me suis fait prescrire une pommade pour un eczéma que j’ai à l’anus, je vous l’écris sinon je vais m’étouffer avec… Ce soir je mange du foi de bœuf, j’ai marché une bonne heure aujourd’hui ça me fait du bien, je fais cuire des pommes de terre et des carottes ça devrais être bon avec le foie, les soins médicaux j’aime pas trop ça quand ça deviens compliqué. J’imagine que j’ai pas grand-chose, à peu près rien sinon le docteur ferait quelque chose, ça semble pas urgent. Je sais pas pour vous mais les abats de bœuf surtout, je trouve ça bon… Viens de souper… Vous allez peut-être trouver mes écrits comique ce soir profitez-en c’est rare… Je suis tout mêlé je sais pas quand je devrai rappeler le médecin. Une visite au centre local de services communautaire parait que c’est suffisant pour faire monter la pression… J’ai rendez-vous avec l’infirmière la veille et le jour de la paye la semaine prochaine… Je croyais que je serais drôle mais j’y arrive pas, heureusement j’ai mon lecteur historien de l’art qui trouve toujours à rire… La crème que je devrai appliquer c’est un corticoïde, moi mes histoires de cul elles sont jamais comique, ça pique… Heureusement j’ai pas eu trop froid je portais mon manteau de duvet. Quand je regarde ça je souffre de nervosité, l’eczéma c’est nerveux, la pression aussi… Cet après-midi j’ai rencontré un paranoïaque qui est certain qu’on l’écoute sur sa ligne téléphonique, je l’ai mis en doute il m’a conseillé de lire les vieux philosophes grecs comme Platon et Aristote le gars il questionne son diagnostic, je crois qu’il est bien mal partis être sous écoute et victime d’un complot c’est pas très bon, je sais que c’est possible parfois je me sent comme ça et j’y crois moi aussi mais je dois pas nourrir ce senti. Le gars m’a demandé si j’avais fait mon collège d’enseignement général et professionnel, je lui ai répondu que non, mais je lui ai refilé de la philosophie de votre humble serviteur… À l’entendre j’ai eu peur, on auras beau me suivre je ne vais que dans des lieux légitimes. Le prof à l’université avait l’air de savoir ce que c’était que cette maladie quand il disait qu’elle était terrible, c’est vrai! Mais j’oubliais vous avoir dit que mon dos et ma fesse étaient guéris, après les radiographies le médecin a dit que je souffrais de quelque chose de banal.  Somme toute la semaine est tranquille. Ce soir comme toujours j’écoute mon senti, je crois pas qu’on m’arrête si je parle de dope et de crime organisé, on est encore dans un pays libre je me plait à le croire. Je pense que la prochaine fois que j’hallucine je sors dehors nu. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
 

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Un peu fatigué d’être insomniaque, j’arrive pas a avoir une nuit de sommeil qui a du sens. Je passe donc les nuits devant mon ordi. J’essais de dormir en suis incapable la bouche sans salive… Je pense au crastillon du chef Groleau… ça et une boîte de Kam ça coupe la faim, je suis en beau verras mais oui! Un cochon! Parais que les Italiens pauvres aiment bien le corned beef, les québécois aussi… C’est alimentaire cette nuit, autant pendant celle-ci j’ai la bouche sèche autant le jour je bave… C’est pourris cette écriture je suis pas inspiré. Les cans de Kam où de Klik c’est du porc… D’habitude on me donnais ça quand j’allais chercher de la nourriture à l’église… Je me fait harcelé par cette dame qui veux absolument que je prenne ses cours d’écritures… Je reste toujours avec l’idée que si je suis ses cours je vais écrire comme tout le monde ça vaut pas la peine. Chez moi y’a pas de rat gros comme des chats, tant mieux! Cette nuit j’ai pas la tête très très claire. Message pour la super-maman de Cantley, y’a un autre recueil Spirou qui s’en viens, je vais le lire et tout de suite après je le poste à Antoine. J’ai perdu le fil de mes idées, je gossais avec Word. Bon! Je vais essayer d’y aller avec mon senti de la nuit. Je pense à ces écrivains qui se sont suicidés à Mishima entre autre et son hara-kiri… Y’avait aussi cet auteur français installé à Montréal qui à mis fin à ses jours…. Laissons faire ça. Dans mon senti quand je suis dehors j’ai envie d’engueuler des gens à cause des voix, je crois toujours qu’ils m’insultent mais la plupart du temps ils ne s’adressent pas à moi. Ai pris une douche, y’avait une odeur de piscine faut rester conscient que c’est un privilège de faire sa toilette à toute heure du jour et de la nuit. Je me suis parfumé aussi comme je vous l’écris souvent ça me fait penser au voyage. J’aime bien être debout la nuit mais j’aime aussi dormir… Je me couche un peu je vais revenir… Voilà! Je suis de retour il est huit heure trente, j’ai une petite migraine. J’ai pas rêvé, ai quand même dormis un peu. Je suis quand même à bout, Ce soir j’ai rendez-vous chez le médecin. Je réalise que j’ai tout mon temps pour vous écrire pourtant je me donne une heure de tombée. Ce matin elle est passée… Je vais peut-être aller au cinéma voir un film de super-héros, j’aime bien ce genre… C’est un matin sombre de novembre, c’est mercredi je me sens comme un vendredi… Je prends un café lentement… Ça me prendrais un humidificateur ce serais moins sec, je saliverais plus la nuit. Pour ce qui est de ma journée je vais lire et vous revenir bientôt. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

mardi 21 novembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai finalement reçu le recueil de bandes dessinées… Encore de la lecture! Je suis descendu pour décorer le local, mais le pied du sapin est disparu. Ça me tue quand les choses disparaissent. Me suis offert pour aller fouiller dans le garage mais il faut attendre le concierge… Mon senti travaille, je soupçonne qu’une personne l’a fait disparaitre ça aussi ça me fait mal. Quand même, c’est pas grave c’est juste triste… Aujourd’hui il a fait beau et pas trop froid… Je me malmène à écrire, parfois j’ai des journées vides. Ça me tue, ça me tue, rajoute à ma fatigue… La vérité c’est qu’à part mon senti j’ai rien à écrire comme on disait dans le temps, je fournis pas, sur youtube j’ai vu que les gars parlaient de Artel Pogo,  ils savent pas que j’y ai travaillé à préparer la pâte, c’étais pas très payant, j’avais lâché ça pour travailler dans les portes et les moulures de bois. La matriarche viens de me téléphoner elle souffre aussi d’insomnie, c’est désagréable, on a discuté un peu… Demain j’ai rendez-vous chez le médecin… J’arrive pas à me sortir cette affaire de sapin de Noël de la tête. J’ai fait chauffé des hors d’œuvre, des petites bouchées. L’estomac me brûle… Le soleil se couche, où sont-ils ceux qui sont toujours d’heureuse humeur.  À soère je suis à bout, le ciel est d’un beau rouge… La télé est ouverte sur une émission avec des analystes politique… J’aimerais ça qu’on me dise ce que ça veut dire et d’où vient l’expression « su’a coche »?  Ce soir je vais avoir de la difficulté à vous développer quelque chose qui fait du sens. Je sais que vous pouvez pas tout commenter, tout lire, mais moi j’ai ce besoin d’écrire. Je sais pas pourquoi parfois j’écris dans l’urgence. Il fait déjà noir, les lampadaires éclairent. Je pense que vous avez pas apprécier le post précédent. Y’avait trop de choses dedans. Y’a tout ceux qui font de longues heures pour le plaisir de « réussir ». Je pense à cette publicité selon moi idiote sur une shop qui veux exporter, semble qu’elle est là la réussite!   Et y’a tout ces itinérants au centre-ville… Je sais pas trop comment vous parler de ça j’ai longtemps travaillé dans une petite entreprise c’était affreux comme boulot. Je sais je devrais pas mentionner ça c’est presque aussi tabou que l’inceste… Maintenant je suis retraité et c’est pas plus mal, je me rappelle de ce petit vieux dans ma jeunesse, on disait qu’il volait le travail des jeunes. Je veux pas être celui-là. Je demande pas votre pitié parfois je fait dur mais j’essaye toujours d’écrire… Terminer sur une bonne note, j’aimerais bien, cette semaine ça été tranquille pas de colloque, pas de présentation, juste le temps qui passe… Tranquillement les gens rentrent à la maison, d’autre s’en vont manger au fast-food. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai la bouche sèche et une saveur d’ail. La neige est toute fondue. J’ai une petite migraine. J’ai rêvé que j’étais assis sur la banquette arrière d’une vieille Volkswagen d’un copain on allait je ne sais où. Je crois qu’on parlait d’argent… Je vous suggère d’écouter le magnifique texte de David Goudreault, « J’en appelle à la poésie » à onze minutes trente quatre http://ici.radio-canada.ca/tele/tout-le-monde-en-parle/site/segments/entrevue/47460/sophie-bienvenu-christian-guay-poliquin-david-goudreault-livres-litterature-salon-livre  c’est superbe! Je rêve d’écrire un texte pareil. En attendant je me rabat sur mon senti la nuit, je sais pas ce que je dis j’évite l’ennui pourquoi pour qui c’est si fa sol et je cherche mon bol je broie mon sol en attendant Paul voilà voilà lot of laugh lol. Je te fais do dans un pic-nic musical et je calle comme un sale comme une proie sidérale j’essaye de dire mon mal de chacal ma rétention anale. J’ai peur du pal de la douleur impériale. Voilà c’est pas grand-chose juste une tentative je suis pas vraiment un slammeur… Hier j’ai parlé avec un ami qui pense à abandonner le groupe d’entraide, la routine s’est installé et pendant ce temps-là arrive une personne très perturbé qui bouscule notre rétablissement on a beau lui dire de consulter elle ne veut rien entendre. Je cherche une solution… Maintenant je vais essayer d’y aller comme toujours avec mon senti, j’aime bien vous écrire la nuit en regardant dehors la pluie, c’est de la rime de souris pourtant je sourie et je rie j’essais de faire le tri et le trait je pense au lait le soir distrait… Pour rester dans ce genre de culture slam et hip-hop je vais vous illustrer ça avec l’art qu’on voie sur les murs j’ose pas appeler ça des graffitis… Je pense à ma lectrice secrétaire retraité du Cégep de l’Outaouais, ça fait longtemps qu’on s’est vue, j’espère qu’elle va passer à Montréal un jour. Pour l’écriture ce que mon senti me dis c’est que je suis trop vieux, pourtant j’ai commencé jeune j’ai des cartons remplis de papier. Y’en a que j’avais donné à mon « bôf » il y a longtemps, il me les a retourné et je les ai jamais relu j’ai pas le courage, peut-être un jour… Là je pense au proprio du Bistro, il préférais que je me rende au pool room plutôt que de niaiser dans son bistro. Comment dire la façon qu’il avait de me parler, c’était dur, je fittais pas avec sa clientèle… C’est un des beaux quartiers. Je vous aurai écris encore cette nuit… Contrairement à ce que je croyais, hier tout s’est bien passé. Cette semaine tout est tranquille, j’aimerais bien recevoir le recueil de bandes dessinées en attendant je vais essayer de m’avancer dans la lecture d’un roman. Je termine sans cravate sans savate plutôt patate et je me gratte me gratte, comme un chien et sa patte ça me dilate la ratte. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arivederci!!! Ciao!!!
Bernard