mardi 24 octobre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me suis apaisé ce matin, C’est rare que ça arrive mais sous mes bracelets j’ai des démangeaison, je les ai donc enlevé pour un moment. Comme à toutes les nuits j’entends une voiture sport ronronner, je veux pas offusquer mon lecteur collectionneur d’automobiles, je pense que le gars rentre à la maison, il a finis son shift. Je me suis couché tôt je me lève donc tôt… Je suis endormis cette nuit comme toujours j’essais de vous définir mon senti, l’évidence c’est que je suis pas Freud ni Jung. J’ai décidé que je laissais tomber la poursuite du dépôt du montant qui me dédommage pour la rencontre de la semaine passée. Une longue phrase monotone qui est loin de mon senti, je me torture pour sortir de l’émotion. Le propre de l’inconscient c’est de l’être, je sais pas si vous sentez quelque chose entre les lignes de ce que j’écris… Je pense à ma présence au colloque de l’association québécoise de réadaptation psychosociale. Je vais y parler de ma participation à la création collective le Banquet de la mémoire, les bienfaits d’y participer et je vais aussi parler de ma participation à la bibliothèque humaine ce que ça m’a apporté de positif. Je téléphone plus à Québec, je laisse aller ça, je vous écris ça comme si par magie ils feront le dépôt… J’ai vu que ma lectrice privilégié c’est débranché quand j’ai essayé de communiquer… Ici c’est toujours la nuit, je suis quand même pas dans l’angoisse nocturne… Ça fait déjà quelques années que j’ai posé mes pénates, ma vie c’est ici. Je vous communiquerez rien de comique, je suis pas drôle de nature, je suis plus drôle j’ai gouté à ma médecine et je suis devenus fou. Je vais quand même arriver à écrire d’une plume crû… Quoi que mon affaire c’est construit… Je pense à cette dame qui a trouvé refuge dans notre groupe. J’ai un peu peur qu’elle soit dans un high de sa maladie, je lui ai posé trois fois la même question elle a été incapable de répondre. Je pense qu’elle se sent persécuté c’est difficile de l’orienter. Je me sens responsable, je crois qu’elle a peur… Elle dis ce que selon elle on veut entendre, un trouble de personnalité? Quand je la rencontre je trouve ma maladie bénigne même si ça fait mal je dissimule rien. Je crois qu’elle a peur qu’on la fasse taire. Le groupe c’est pas sa place elle va trop vite… Je sais pas si on devrais appuyer les soins qu’elle reçois, son équipe traitante dois pas avoir une bonne opinion de reprendre pouvoir. J’ai peur de faire mal, je sais pas comment aider, parler de soi c’est difficile y’a des gens hyper présent à leurs senti. Hier ça parlais de juge pour qu’elle prenne ses médicaments, ça me fait mal d’écrire là-dessus, c’est aussi mon senti… J’arrête tout ça la et je vous remercis d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 23 octobre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ai terminé ma pizza, c’est mon souper. Le technicien est venus stabiliser le système… Je crois que j’ai eu un bon service, je cracherai pas dans la soupe. Vous voulez savoir comment je me sent? Je suis heureux pour les voyageurs… Me suis préparé un café. À la télé c’est les actualités… Ai pas eu besoin du concierge pour réparer, le technicien savait où il s’en allait. J’attends qu’on dépose un montant dans mon compte, mais non je me sent pas plus smatte que les autres. Étrangement j’ai le mot suicide en tête, je vais essayer de transformer ça… J’essais de faire deux choses à la fois c’est pas bon. Je pense à ces femmes qui ont été agressé, j’essais de voir où je me situe là- dedans, je crois pas avoir jamais agressé personne… Ça me fait mal, je vais continuer à être seul et doux… Laissons les parler, moi je suis un homme battu et abusé vous allez dire que je suis idiot d’écrire ça, mais j’irai pas dans les détails c’est beaucoup plus grave pour les femmes… C’est ça mon senti ce soir, peut-être que je me trompe, que je suis blanc comme neige, mais pour n’en nommer qu’un y’avait cet homme qui mettais ses doigts derrière moi dans mon rectum. Je suis brisé à soir, toutes ces choses là sont arrivées, j’ai envie de pleurer je suis désolé pour ces dames… Je pardonne de toute façon ces hommes ne sont plus vivant, je crois qu’il y a des causes pour devenir comme je suis. J’arrête là, je laisse ces dames panser leurs plaies… Psychose et schizophrénie paranoïa aussi ça viens de quelques part mais je ne cherche plus, c’est que des ennuis… Ce soir c’est plus intime que jamais, y’a pas une cenne qui va réparer ça. Je vous raconte ça, je suis trop vieux y’a plus rien à faire, je suis stigmatisé… Je continus quand même à vous écrire… J’étais malade tout ce qui m’apaisait c’était les balades en auto, je suis responsable de ça… Je me suis battu et j’ai voulu en battre mais c’étais pas les bons ça se passait à grandes tapes sur la gueule. C’est il y a longtemps déjà plus de vingt-ans, pardonnez- moi. Je me répète c’est mon senti de ce soir, du genre à mourir dans son vomis. Ça me bouleverse toute ces histoires là… Y’a plein de choses dont je me souviens pas j’étais trop jeune… Ce soir j’ai mal à mon cœur d’enfant, j’ai mal pour enlever du poids à ces femmes déchirées. Je reste chez moi et je vous laisserai juger ce que j’ai écris là… Ma folie à des racines j’en suis presque-mort. C’est pas permis d’écrire ça… Les agresseurs sont tous partis et moi je suis un idiot finis. Je veux pas être une victime, je suis responsable maintenant. J’arrête là en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! J’espère que mon senti de ce soir a blessé personne. À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur souffre d’insomnie encore cette nuit. Je suis debout et j’ai sommeil, je me couche et ça me réveille… Je crois qu’une araignée m’a piqué une fesse, j’ai un énorme bouton. Non! Non! C’est pas une punaise de lit la piqure est trop grosse et ça ne me démange pas. On est en pleine nuit… Ai communiqué avec la voyageuse, ils ne voyagent pas en tout nus… Ce matin j’ai une réunion et j’espère que tout est dans l’ordre avec des documents que j’ai envoyé par internet à Québec. Bon! On va encore s’essayer avec le senti, j’écoute le long soliloque, incapable de créer une histoire… Il est presque trois heure, j’écoute le tic-tac de l’horloge… Dehors une fille gueule comme si elle avait un orgasme, c’est le goulag occidental on prend son pied comme on peut. J’arrive pas à écrire de façon classique avec des petits détails foisonnant, en vous situant ça dans un café du quartier latin, je pense au Pèlerin tout près du cégep du vieux Montréal. Je crois que j’ai deux lectrices qui ont étudié là… Je pense au salaire minimum qu’on veut augmenter ça me touche pas je suis un pensionné. J’écoute cet épeurant silence intérieur… Pense à ces jeunes filles qui travaillaient comme secrétaires, je les ai vu une ou deux fois pas étonnant qu’elles ne me reconnaissent pas, dans la salle des étudiants y’a plus de quarante ans on écoutait les Allman brother’s blues band, un très grand groupe américain, c’était en plein dans mon adolescence j’y étais déjà perdu ça a duré longtemps, je me cherchais personne m’a aidé à me retrouver, j’ai pris le chemin de l’ivresse quotidienne… Je me souviens y’a des gars qui disaient être payé pour aller à l’école ça m’a pris beaucoup de temps à réaliser que c’étais pas vrai… Soixante et un ans et encore à écrire sur l’école secondaire, on était les premiers à expérimenter ce système d’éducation, les amis psychologues disent que c’est pas tout le monde qui étais fait pour ça, mais oui on m’a laissé au bord de la route avec ce qu’on appelle le calvaire des jobs, la jeunesse qui savait pas où elle s’en allait, de chômage en jobine de plus en plus le chèque se faisait attendre… Tant que je vivais chez le patriarche ça allait mais quand j’ai dû quitter les poches vides c’était moins drôle… Ces professeurs qui devaient m’éduquer sont je crois tous partis en fait le bonhomme, le vieux c’est maintenant moi, on m’offre son siège dans l’autobus… Je suis revenus à des valeurs qu’on m’a appris, je sais pas si ce sont les bonnes mais elles me conviennent, elles sont plus humaines. Je crois que c’est important d’inculquer des valeurs c’est grâce à ça qu’on survie. J’en aurais long à dire mais ce seras pour une prochaine fois. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour la chute. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 22 octobre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ai dormis quelques heures cet après- midi. Ça a calmé mon senti. Je crois que les voyageurs sont à Barcelone, semble que le dernier roman de Dan Brown se passe là, si je le lis ça feras le quatrième romans en scène à Barcelone… Demain matin j’ai une réunion du groupe Reprendre Pouvoir, l’expérience du rétablissement. J’espère que tout va bien se passer pour les voyageurs… Ils vont voir de l’art moderne Catalan et le travail de Gaudi qui est magnifique. J’ai regardé un peu de football mais je manquais d’intérêt, j’ai hâte de voir si ils ont bien reçu tous les documents à l’INESSS de Québec. Le goulag occidental est calme… Les voitures passent… Je vous raconterai pas Barcelone, je vais leurs laissé la place. Je parlais avec la matriarche des énormes déjeuners à l’hôtel… J’ai chaud, je crois que c’est un autre été des indiens, il est presque dix huit heure. Je suis à bout d’écouter les actualités, c’est toujours négatifs… Tout ce que j’ai reçu des voyageurs c’est une magnifique photo d’avion, je devrais avoir des nouvelles demain. La situation Espagnole m’inquiète un peu, je crois que cette semaine ça devrais être tranquille… Quelques jours encore et ils seront de retour… Je me sent tout drôle, ce matin j’ai parlé avec la matriarche. J’en serai jamais revenu de ce voyage, les élections pour leurs indépendance bientôt, les politiques de Madrid… C’est comme si j’y étais allé l’hiver passé. Je suis pas très sensible aujourd’hui, je pense à ces amis gay qui s’étaient lancé dans les arts pour se revaloriser, plusieurs trouvent pas que j’ai une bonne plume selon eux je suis pas assez sensible pourtant une amie dis que je suis hypersensible qu’un rien me touche et que j’ai de la difficulté avec l’expression, je sais pas où et comment. La façon aussi parfois ça fait mal et je me réfugie dans le silence, souvent j’ai peur, en groupe plusieurs ont pas compris ils continuent à faire des jokes de mon’oncle… Je pense que même si je repars avec quelqu’un ça empêcheras pas les gens de me juger, c’est ça qui fait mal… J’ai pas le droit d’être différent, je suis stigmatisé, je sors souvent ma schizophrénie du garde-robe mais je serai jamais guéris… Ma vie sexuelle ne regarde que moi, je suis toujours étonné de voir comment c’est stigmatisant. Les gens fouillent dans ma vie ils ne comprennent rien et se réfugient dans des endroits où ils trouvent leurs réponses. Ils ont besoin de se définir comme malades pourtant ils ne se font pas soigner, la maladie est loin d’être guéris, moi j’aurai toujours cette maladie mentale, eux ils s’identifient pour se rapprocher du normal, ils ont très peur d’être différent. Voilà c’est ma folie, l’ami viens de me téléphoner, j’ai oublié ce que je voulais vous écrire pour terminer. Le fou vous écris toujours, ça fait parfois moins mal de le rester. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

samedi 21 octobre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Gros soupir cette nuit, je pense aux voyageurs en pays Basque espagnol. Je crois que bientôt ils seront à Barcelone. J’espère qu’il vas y avoir une pause dans les manifestations. Ce matin je vous place une photo du quartier Gotic où se situe le musée Picasso. J’espère qu’ils auront la chance d’y aller… Hier j’ai fait une sortie avec l’ami, on a traversé deux ponts c’était plus rapide, l’ami à baptiser une voiture qui voulait pas le laisser entrer dans le rang, je croyais qu’il sacrait après moi qui lui parlait de mon budget c’est toujours la même chose. Aujourd’hui c’est dimanche, je me rappelle j’étais très tôt dans le quartier Gotic ai croisé une dame c’était probablement une « lady of the evening ». Je voulais être certain d’entré au musée j’étais le premier dans la ligne. J’ai discuté avec un couple de japonais qui parlait anglais. Je crois que le lendemain je partais pour Madrid admirer l’œuvre maitresse Guernica… Lentement les choses se mettent en place pour un prochain voyage, peut-être aux Philippines mais ce seras l’an prochain, l’ami qui connais bien les Indes ne les conseille pas, trop de changement brusque entre l’extrême pauvreté et la richesse… Aujourd’hui je vais sortir, je dois remplir le garde-manger… Une heure quarante-cinq, les gens à court d’argent pour boire rentrent à la maison… Souvenir d’avant le voyage, j’ai commandé des stations de télé latino pour comprendre un peu l’espagnol, je me faisait des illusions on apprend pas une langue en deux semaines, le castillan ça demande du respect. Quand même faut pas que ça vous empêche d’y aller… Souvent le samedi soir on le passe de préférence avec la copine, c’est le moment doux du week-end , le dimanche on se repose en préparant la semaine qui viens. Je pense à la ferveur religieuse des peuples espagnols et latins… Le voyage en Espagne c’était plus l’aventure que celui à Cuba, pas de guide et libre de faire ce que je veux contrairement au tout compris dans le voyage organisé, c’est évidemment pas pareil. Je peux pas parler du pays andalou sans avoir une pensée pour le mythique groupe musical les Gypsie Kings, souvenir aussi de ces stations de radio avec une musique que je qualifierais de rock andalou, c’était extraordinaire cette touche. https://legoulag.blogspot.ca/2017/08/schizophrenique-barcelone-et-madrid-1.html?spref=fb  Voilà pour ceux qui auraient raté cette lecture, une écriture de voyage. Lentement j’y ai pas vraiment placé tout mon senti… Hier j’ai calculé mon revenus annuel, y’en auras pas beaucoup de voyage comme ça, l’avenir le diras… Bon j’ai encore radoté sur mon voyage en ayant une pensée pour les snowbirds qui vont bientôt être à Barcelone, l’indépendance peut-être tout ce que je souhaite c’est que ça tourne pas en guerre civile, les espagnols ont assez donné au siècle dernier. Bon! Je cherche toujours à terminer élégamment… Je vois mon beauf s’exclamer dans le musée art nouveau catalan. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ai terminé ma lecture du samedi, il fait un temps magnifique. Je mange une barre de chocolat… Parfois je lis des chroniques dans le journal qui me touchent celle-là entre-autre qui dit qu’il faut s’aimer. J’essaye mais c’est difficile, je pense à une dame dans l’avion qui demande à l’autre si elle s’aime, je pense qu’elle a pas répondu… Moi c’est assez rare que je m’aime, c’est pas volontaire j’ai pas appris ça mais parfois oui. La difficulté c’est d’aimer l’autre… Je vous réécrirai pas la chronique comme toujours je vais y aller avec mon senti, parfois quand je suis seul c’est moins difficile… Je vais mieux, y’a des années sans hospitalisations, j’essais de me rétablir… Je sais pas pourquoi on dirait que parfois je fais peur aux gens pourtant je suis pacifique… J’ai peut-être pas une assez belle gueule. C’est toujours l’apparence c’est pas une bonne valeur, beau avec rien entre les deux oreilles et laid mais génial disons que vaux mieux se promener entre ces deux pôles. C’est assez niais ce que je vous écris là voilà pour l’amour de moi. Je vous réécrirai pas l’histoire du loser qui s’en est sortis, le show-bizz se nourris de ça et les enfants eux aussi croient y arriver mais faut leurs dire que c’est rare quand même vaux mieux faire ce qu’on aime que se suïcider.  Mais oui! On nous vend du rêve mais avant faut travailler sans compter, quand je vous écris c’est un peu ça, une discipline un travail, je sais y’a de meilleures plumes mais je crois que de plus en plus la mienne s’affine. C’est très moral ce que je vous écris là, j’essais de vous éviter le poète saoul qui réussit, ça se peut mais y’a un côté malheureux, désolant… Je pense… Mais vous le savez à quoi je pense y’en a plein la presse… Je veux toujours éviter ça les grands titres des journaux… L’humilité c’est une vertu pas très bien partagé, je vous écris ça et j’ai peur de me faire juger, on a tous une histoire, j’en connais pas de gens parfait l’important c’est de se corriger… C’est pas très bon ce texte, pas très touchant. Je me suis longtemps sentis coupable, comme si j’avais pas le droit de vivre… J’ai fait des erreurs je m’en excuse et me voilà à singer… Je l’ai pas eu le permis pour vivre, je fais ça sans grand talent, gosse à gauche gosse à droite en essayant de pas faire de mal. Je voulais pas écrire là-dessus y’en a partout et j’ai jamais abusé d’une femme disons que c’était des relations troubles y’a longtemps… Je suis envahis par ça, je vous donne à lire… Je sais pas comment les humoristes vont traiter ça, moi j’essais de pas être ce qu’ils appellent Mon’Onk… Quand y’a des choses comme ça qui se passent on sait pas quoi dire. Vaux mieux se taire je crois. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 20 octobre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Bon! Finalement de Québec ils vont déposer le dédommagement pour la réunion de mardi passé. Je trouve ça bien ça niaise pas trop. J’aimerais bien qu’il fasse encore appel à mes services… Il est vingt-trois heures dans la soirée de vendredi à samedi, c’est encore une tentative de vous écrire mon senti… J’ai beaucoup aimé le commentaire de ma lectrice retraitée en voyage en Espagne. J’ai dormis un peu, je m’étais dit que je me lèverais pour vous écrire ceci… La semaine prochaine je vais acheter mon parfum le Burberry  Brit Rhytm, c’est pas donné mais ça sent bon. Je pense au parfum de cet ami décédé, à tous les autres aussi qui sont partis. Hier j’ai envoyé un spécimen de chèque, j’ai pas écris annulé dessus je crois pas que ce soit très grave. Je suis pas vraiment dans mon senti, je fais comme un homme honnête la nuit je reste chez moi… Hier j’ai regardé un documentaire sur les Alpes côté sud, c’est superbe… Je me noie dans l’Europe plusieurs vont dire pas besoin d’y aller on à ça et ça et ça ici ce sont des incultes incapables de voir l’histoire des vieux pays, incapable d’admettre qu’ils viennent de là surtout nous avec notre français boiteux… La nuit approche, minuit, je crois que les voyageurs vont adoré Barcelone, j’aurai passé un automne Espagnol grâce à eux j’ai pu raviver des souvenirs de mon voyage… Hier j’ai parlé à mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord, je lui ai mentionné la Chine mais il a un voyage sac-à-dos aux Indes en tête, il peut se passer beaucoup de choses en un an… Ici la nuit on entends les motos hurler… Je vais peut-être aller manger un burger demain… Je suis bien réveillé, il est déjà passé minuit, voilà une partie de ma chronique à Folie Douce https://www.youtube.com/watch?v=wSb8Xtdlwkw&t=59s  Dans ma tête le bruit que j’entends c’est comme une bande son d’un film québécois, un documentaire dramatique des années soixantes. Voitures, motos, camions, polices sirènes, ambulance, pompier comme si la ville, le goulag occidental était à feux et à sang. Cette nuit j’ai la schizophrénie virulente, l’angoisse et l’anxiété très présentes… Comme on dis à une chose malheur est bon, je connais les limites de l’hôpital en ce qui a trait à la santé mentale, je reste chez moi et je me soigne en vous écrivant ceci. Non! Je suis pas psychotique cette nuit, y’a beaucoup de vie autour de moi. Au Théâtre du Nouveau Monde ils parlent d’écrire une pièce pour l’an prochain. Je sais pas si je vais pouvoir y participer, j’aimerais ça. Je crois que je réussis à écrire mon senti de cette nuit, je salut mes lecteurs à travers le monde, c’est toujours la nuit de vendredi à samedi, je lâcherai pas un cri… C’est toujours difficile de terminer. J’ai encore des mots mais je crois qu’ils ne sont pas nécessaire. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard