mardi 10 octobre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Pas mal changé d’horaire pour vous écrire. Aujourd’hui j’hallucinais des mouches et des chiens. Je croyais qu’on me dédommagerait ma formation cohabitation aujourd’hui, mais non c’est pour demain j’ai dérangé tout le monde pour ensuite m’excuser… C’était la journée internationale de santé mentale http://ici.radio-canada.ca/emissions/le_15_18/2013-2014/chronique.asp?idChronique=418783  Voilà où j’étais l’an passé, je crois que c’est encore bon cette année à la même date. Je vais essayer de placer un peu de senti, aujourd’hui on a dit que même si on est pas malade la vie est pas facile pour certains. J’ai parlé à la matriarche lui ai dit que je suis fou, elle dis que non  parce que je suis capable de le dire… Faut les dires ces choses-là, la maladie, le délire, je suis chanceux j’ai plein d’oreilles pour m’écouter… J’ai pas de doctorat, ni de post-doctorat, je me soigne… Parfois j’ai l’impression que j’en ai plus pour longtemps, je marche plus aussi vite… La soirée est presque commencée, le voisin est venue m’emprunter les films Le Parrain, je pense qu’il va bien s’amuser. Les gens sont surprenant, je crois qu’il y a un cinéphile qui sommeille dans beaucoup de monde… Je pense à tous ces gens qu’on dis malades, à ceux qui les soignent… Les rêves brisés comment plusieurs ont succombé au nom de Morphée, c’est pas fort ça une divinité des rêves prophétiques… Quand même y’a des écrivains qui ont dit qu’au Québec y’avait pas de mythologie, on va s’en faire une, je sais pas trop comment on deviendras pas mythomane pour ça… Moi ce que je vous écris c’est vrai, j’espère… Je sais que ma paranoïa ça peut ressembler à des mauvais contes pourtant y’a un zeste de véracité, je me base toujours sur la réalité, ma réalité intérieure qui parfois se confond avec les chimères. Bon! Je vous les sort tous ce soir les beaux mots , la muse, en voilà un autre, est là, s’agit d’écrire pas de marcher au pas… Une pensée pour mes voyageurs en Espagne, ils sont heureux bravo! Le bonheur leurs colle dessus et c’est tant mieux. Moi j’essaye ça le bonheur, je pense que je serais bon là-dedans être heureux, des fois j’en pogne des petits bouttes c’est surprenant ce que ça peut faire, on souris et on ris et ça fait pas mal… Y’a aussi de la joie, c’est pas parce que la moitié de la planète s’entretue, qu’il faut pas parfois être joyeux, c’est grave je sais mais la gravité ça tue, faut être un peu plus léger et se laisser emporter par l’hilarité. Reste plus qu’à rire de moi qui n’aime pas les cirques et l’industrie du rire. Je préfère le doux bonheur, la douce joie parfois, que le drame tout le temps… Des fois vaux mieux se taire que de trop en parler du bonheur, je sais le grand humoriste monologuiste en parle beaucoup mieux que moi. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

lundi 9 octobre 2017

Au présent





Bonsoir! Bonjour! Voilà que je suis réveillé, j’étais tout en sueur… Je pense au forces policières pourtant j’en ai pas besoin, je me prépare un café. J’avais décidé de plus vous écrire la nuit, c’est difficile je suis insomniaque. Ce matin je vais à une installation du CIUSSS-de-l’Est-de Montréal, je suis nerveux je fais une présentation, je parle de mon parcours pendant dix minutes, ce qui fait que je me rétablis. Je me souviens d’un séjour à l’hôpital où je m’étais fâché un collègue patient lui aussi m’avait calmé en me disant que eux aussi entendaient des voix!... Y’en a qui sont assez con pour dire que je fréquente l’hôpital à cause d’Émile Nelligan, c’est des pauvres tarés c’est la police qui m’a fait hospitalisé. Je suis mélancolique oui! Mais pas de l’espèce d’Émile y’a rien de très poétique dans les installations de l’institut et je crois pas que la psychose ce soit très poétique… Cette nuit je me tord l’âme, pour dire, juste pour dire cette grande solitude que j’ai vécu, ces animaux qui m’ont blessé, c’étaient pas des hommes c’étaient des bêtes… En faisant la part des choses je réalise que ces blessures je me les suis attirées. Y’a quelqu’un qui rôde dans les corridors, mais non! J’habite pas à l’institut. Je me souviens de ces femmes qui voulaient que je m’installe dans cet appartement avec un poste d’observation, j’ai dit non j’avais trop peur. Je reviens à mon senti à comment parfois c’est douloureux, à comment dans le quotidien on lui donne pas de place au senti, la vie de tous les jours est trop dures, souvent on préfère que vous mettiez fin à vos jours. Pour un schizophrène parfois la vie s’adoucie mais elle est quand même difficile… J’écris pas pour guérir j’écris pour me rétablir, c’est un long chemin… Tout à coup je suis réveillé, faut que je sois à l’installation à neuf heures ce matin, on entendait l’alarme pour la fumée elle s’est arrêtée… Je me souviens, de bons souvenirs, on écoutait une série avec la douce, c’était bien… Faut dire que malgré mon état je suis pas très patient. Je vais vous illustrer ça avec un vieux vitrail de l’installation… On est en pleine nuit, j’ai eu des nouvelles des voyageurs, ils sont arrivés à Madrid sans problème. J'espère que les problèmes politique les dérangeront pas trop… Parfois quand je me rends à l’institut je me plais à penser à tout ce beau monde qui y a travaillé et c’eux qui y ont été hospitalisé… Je crois que cette nuit je m’en tire assez bien, j’ai changé mes souvenirs. Voilà où j’en suis avec mon senti, j’aurai quand même écris cette nuit comment dire? J’ai fait des vœux pieux? Mais oui je vous l’écris, je pense à la sexualité que je trouve encombrante, embarrassante même! Voilà! Je cherche comment terminer, rien de très sexuel à dire. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore et ça y est. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!


Bernard




Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je pense que je vais me calmer et vous écrire seulement un blog par jour… J’y vais avec mon senti, c’est congé pour beaucoup de monde ce lundi. Mes lecteurs retraités de l’Outaouais sont maintenant en Espagne, moi j’ai toujours envie de partir. J’aime beaucoup prendre l’avion, la prochaine fois je pense que je vais prendre la première classe… Cette nuit j’ai bien dormis, c’est rare que ça m’arrive, demain je vais dans une formation cohabitation à l’Institut Universitaire de Santé Mentale de Montréal… Je devrais peut-être dire le CIUSSS de l’est de Montréal… C’est loin de mon senti tout ça, quand je suis tranquille j’ai pas grand-chose à écrire… Je sais pas si mon couple de lecteurs arrive à Madrid? Cet après-midi je suis calme, j’essais quand même de nommer ce qui se passe dans mon âme, pense à ce copain que j’avais qui disait qu’on ne pouvait pas écrire une émotion et aussi bien qu’il ne croyait pas à la médication, il a fait le tour des médecins, mais ils ne trouvaient rien, je crois qu’il était psychotique… Ce copain là je l’ai laissé tomber il était trop négatif. Pour mes petits bobos ça va mieux aujourd’hui, c’est lundi il pleut, je pense à l’amour à comment exprimer ça. Je suis bien entouré… Je veux pas vous écrire mes malaises intimes, je l’ai déjà fait ça avait pas donné de bons résultats. Pourtant c’est ça mon senti, mes douleurs et mes larmes… J’ai longtemps cru que j’étais le seul homme qui pleurais, parfois je me décourage… Aujourd’hui parfois je m’ennuis… J’écoute, je veux écrire quelque chose de beau, j’aimerais bien écrire de la poésie des mots musical un peu bancals.  C’est souvent les autres autour de moi qui ont beaucoup de talent, j’ai changé ma moppe pour un clavier d’ordi, c’est pas pareil… Je sais l’envie c’est pas bien pourtant… Mais non! Je suis pas envieux, je suis ce que je suis pas mal narcissique… Bon! Ils ont recommencé à se promener sur la passerelle, je sais pas ce qu’ils font de toute façon ça me regarde pas… J’ai des malaises quand je mange, je veux pas manger… J’aime pas les gens qui excusent leurs gaffes parce qu’ils ont une maladie mentale, moi j’ai une schizophrénie paranoïde avec comorbidité ça me permet pas de faire n’importe quoi… Voilà! C’est mon senti cet après-midi. Je sais plus trop quoi vous écrire, j’espère que ma lectrice voyageuse va me lire. Je pense à mon prochain voyage peut-être en Californie. C’est pas pour tout de suite, je prends le temps d’arriver, je vais y penser. La télé est sur le football… C’est loin de ma sensibilité… « picoté par les blés, fouler l’herbe menue »- Arthur Rimbaud. Écrire! Voilà ce à quoi je m’adonne. J’essaye de terminer sur des beaux mots même si c’est pas les miens c’est quand même mon senti. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je vous laisse en souhaitant vous revoir à la prochaine!!!
Bernard
 

dimanche 8 octobre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dimanche comme toujours c’est tranquille. J’ai rien à dire, après-midi j’ai sommeil. J’entends des voitures klaxonner… Je sais pas si mes lecteurs de l’Outaouais partent en voyage aujourd’hui où demain… Bon j’ai eu le renseignement, ils partent ce soir, ma lectrice va me manquer… Je vais quand même essayer de vous écrire quelque chose qui se tiens… Je sais je suis pas un vrai écrivain, je l’écris souvent à écrire comme ça à tous les jours j’ai pas d’inspiration. Je pense aux façades d’édifices à Madrid. Je me répète… Je veux pas me prononcer sur les politiques de la Catalogne. Le voisin parle à son chat, il s’appelle Théo… C’est aussi le nom d’un petit neveu. Je pousse, je pousse y’a des lectrices qui ont apprécié la céramique de la Madone. Je tiens quand même à vous écrire, sans savoir si vous allez me lire je sais que plusieurs d’entre vous ont autre chose à faire http://legoulag.blogspot.ca/2017/09/schizophrenique-barcelone-et-madid-10.html  Voilà la finale du texte de « voyage ». Je prends mon temps y’a que ça à faire, je sais pas si on peut dire que c’est de l’écriture épistolière des lettres? Cet après-midi je me dénigre pas, je suis pas le plus grand ni le plus fin mais juste au milieu de tout ça. C’est déjà vieux cette façon d’utiliser l’internet, je suis pas du tout dans l’avant-garde… Je me prépare un café, j’ai comme un ressort qui me saute dans la tête, ça fait pas mal mais c’est étrange heureusement c’est l’affaire d’une couple de secondes. Demain c’est un lundi de congé pour plusieurs, le dernier avant les fêtes déjà… On sort à peine de l’été, c’est l’automne les couleurs sont pas toutes là. Je vais revenir à mon senti, dans mon adolescence on aurait aimé que je devienne médecin mais j’avais pas les capacités… Dans l’autobus j’entends l’enregistrement qui annonce les arrêts et le terminus en nous remerciant d’avoir voyagé avec la STM. Vous vous demandez surement à quoi je veux en venir, juste m’exprimer essayer de composer quelque chose… Je suis désolé que ce soit pas plus récitatif que ça… Un conte plus linéaire, quelque chose qui raconte une visite à l’épicerie faute de mieux. Au jourd’hui j’ai lu les chroniques lectures, à travers les vrais écrivains je vois bien que j’ai pas les capacités pourtant… Ouais! Je vous ai déjà écrit que je veux pas me dénigrer, je garde mon ego à low. Ça fait longtemps que j’ai pas écris une histoire « classique » c’est pas cette littérature là que je veux écrire. Je pense que j’en serais pas capable, je sais c’est trash ce que j’écris… Tout les genres ont été exploité, n’en reste qu’un le mien et encore je sais pas si je vais le tenir jusqu’à la fin, pas bon pour l’édition papier, vers quoi vais-je aller? Voilà à quoi ça ressemble aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Encore quelques mots et je termine. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

samedi 7 octobre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ils sont venus identifier les édifices du goulag, de publicités pour élever écologiquement les poulets, une toute jeune fille à la philosophie naturaliste.  Je comprends qu’on ait plus besoin de pétrole mais qu’est-ce qu’on va utiliser à la place… Je pense à cette guerre psychologique qui se prépare, en fait elle se prépare pas on est en plein dedans… Je suis somnambule , j’ai versé du café instantané dans une assiette sans m’en apercevoir. Lentement j’en bois un, j’ai démarré le climatiseur, cette nuit je suis dans mon senti… J’ai jamais eu besoin de cacher des bouteilles d’alcool mon alcoolisme je le vivais devant tout le monde. Parfois j’étais arrêté un moment et sans le vouloir vraiment je prenais ma première bière qui démolissait tout. Je pense à la formation cohabitation à laquelle je participe mardi. http://legoulag.blogspot.ca/2017/09/schizophrenique-barcelone-et-madrid-9.html?spref=fb  Encore pour ceux qui préfèrent l’intensité… Je pense à ma bêtise d’avoir cru tout ça ce monde de sexe de drogue et de rock’n’roll, c’était les années quatre-vingt, j’étais malade, c’était virulent, des années à écouter la même musique dans le même bar, ça s’appelle perdre son temps. Le temps passait je devenais de plus en plus irrécupérable… Me souviens de ma fixation sur les caméras vidéo… J’ai dérangé une agente de main d’œuvre longtemps avec ça. Nuit de samedi à Dimanche, pense à ce bar discret sur Fairmount près de Saint-Laurent, le genre d’endroit où j’étais dérangeant parce que c’était trop cozy… Je suis devenu ça un gars qui écris sans trop savoir quoi ni pourquoi. C’est assez terrible de voir combien on traîne de choses de notre adolescence, on pense toujours à revenir au plaisir d’avant mais c’est impossible et à un moment on réalise que c’est mieux abstinents. C’est encore mon sujet de prédilection, je pense au stigmate comment on croit que je suis différent… Les faits c’est que je veux l’être différent, pas pareil mais pas méchant, le stigmate c’est surtout quand je le dis que je suis schizophrène paranoïde, on me donne des attitudes des intentions de malade. Comment dire que je fait pas de procès d’intention, je suis ce que je suis et on a le droit de pensés ce qu’on veut de moi. Tout à coup ça sent le parfum… Je crois que mes lecteurs de l’Outaouais partent ce soir, si ils se sentent la moitié de ce que je sens quand je pars ils vont faire bon voyage… Parfum de gomme à mâcher, je vais vous illustrer ça avec la Puerta de Toledo à Madrid. Le début de ce texte à été écris inconscient à la sortie d’un rêve, je dormais debout. Ça fait peur… J’ai sortis un échantillon de parfum ça sent bon. Aujourd’hui je sors pas je veux pas dépenser. Lentement je vais arriver à terminer ce texte. Tout ça c’est pétrie d’angoisse…Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en rajoute comme on met du crémage sur le gâteau, du glaçage… À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent





Bonjour! Bonsoir! Très ému encore une fois après le visionnement de l’émission télé des Racines et des ailes. Ému pourquoi? Parce que c’est mes racines c’est ma langue, le français outre-mer, la vrai France. J’y suis allé y’a quelques années à Paris. Je pense que les gens aimaient bien m’entendre parler le français ma langue maternelle même si Paris c’est pas la province, mais je pense souvent à eux… Des souvenirs… D’une France paisible d’avant les attentats, ça aussi ça m’a brisé le cœur. Un jour j’y retournerai en France, le pays de mes ancêtres. J’irai peut-être à Saint-Malo en Bretagne, je crois que mes racines sont là. Me souviens d’avoir mangé un bon steak mais de m’être étouffé avec, j’avais mangé trop vite, une jeune fille à passé toute ma crise de toux à me demander si c’étais la première fois que ça m’arrivais, j’arrivais pas à lui répondre je toussais. Marché dans Paris c’est bien aussi, se perdre dans les petites rues en passant au marché. Cet après-midi mon senti est de l’ordre de la nostalgie… Dehors j’entends parler anglais et on joue de l’accordéon, ça me rappelle avec émotion ce gars qui jouait dans le métro de Paris, mademoiselle de Paris. J’irai quand même pas vivre dans la capitale française, semble que c’est compliqué, je serai touriste comme toujours, les jeunes filles m’appelleront Gérard… Peut-être à cause du gros Gérard Depardieu. Y’a des Starbuck’s à Paris c’est pas ce qu’il y a de plus français comme café. Me souviens du vieux serveur de bistro qui voulais pas que je prenne une place en salle parce que ça coûtais trop cher, il m’a trouvé une place en terrasse, j’ai pris un café… À Montréal dans le centre-ville on peut entendre l’accent français, des jeunes qui viennent prendre de l’expérience. Je pense à l’assistant metteur en scène de notre création collective de ce printemps. Je les aime bien les français tant qu’ils aiment notre pays, je suis tiraillé entre la France et le Québec mais je suis très nord-américain. Je pense à la rue Mouffetard, à son marché, comment il faut pas y aller trop tôt le matin, mais j’ai bien aimé. Je sais pas si je vous en ai déjà parlé de ma visite à Paris, certainement… Je ne vie que de souvenirs, de place où je peux perdre mon temps en prenant un café, m’asseoir sur un banc et observer. J’aime pas faire la course quand je voyage, j’aime bien prendre tout mon temps comme dans l’écriture. Quand j’ai pris l’avion à Paris pour revenir à Montréal un gars à dis « bravo! Un autre gay qui quitte Paris ». Voilà pour ceux qui veulent des écritures plus intenses http://legoulag.blogspot.ca/2017/09/schizophrenique-barcelone-et-madrid-8.html  Voilà! J’ai changé de capitale, j’ai encore hâte de prendre l’avion… Parfois je suis un peu fatigué de me faire diminuer. Peut-être que c’est ma schizophrénie. Je termine là-dessus j’espère que ça vous à plut. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!


Bernard



Au présent





Bonsoir! Bonjour! Je croyais qu’il était cinq heures du matin, mais non! Il est deux heures. Samedi, j’ai le sentiment d’être en Europe à Madrid surtout, j’aime les odeurs. Je pense que mes lecteurs de l’Outaouais partent demain pour l’Espagne. Je vous illustre ça avec le café terrasse tout près de l’hôtel… C’était un peu mêlant la plupart du temps on me servait de l’hôtel, un bocadillo des familles entre autre, la viande étais super. Vous le savez je suis pas gastronome, mangé seul au restaurant ça m’ennuis, me suis contenté à la terrasse le soir et le matin le magnifique petit déjeuner. Je crois que la voisine veille tard le vendredi soir. Elle rentre tard. Je leurs souhaite bon voyage aux lecteurs, moi j’ai déjà hâte de repartir… Cette nuit, au cas où ça vous inquièterais, mon senti se porte bien, je reste insomniaque mais je fais avec… À l’hôtel en Espagne je dormais bien. Quand je suis arrivé à l’hôtel Puerta de Toledo à Madrid, j’avais oublié que la carte en plus d’ouvrir la porte était universelle elle démarrais le climatiseur et l’éclairage. http://legoulag.blogspot.ca/2017/08/schizophrenique-barcelone-et-madrid-7.html  Voilà encore pour plus intense… Nuit blanche, je me suis quand même couché à sept heure ce soir. Vraiment! Mais vraiment une odeur d’Europe quand on connais  la sensation olfactive du schizophrène c’est pas peu dire. Je me rappelle que le Chroniqueur Pierre Foglia à La Presse nous parlais souvent de l’épicerie la Vieille Europe sur Saint-Laurent, là aussi y’a des odeurs, des parfums. Il était un peu gastronome Foglia. Moi je la fréquente pas cette épicerie, j’assume mon identité nord-américaine et je fréquente pas plus le marché Jean-Talon. Je fais mes courses au supermarché près de chez moi… Peut-être que je vais aller faire quelques photos au marché… Je me prépare un café, je sais pas si c’est le temps des vendanges ça aussi ça devrais plus m’intéresser je ne bois plus de vin. J’aimais le vin bien que j’ai pas le palais développé… Les épiceries fines je trouve que c’est des endroits pour les bonnes femmes, mes excuses à toutes mes lectrices… Je suis pas cuistot. Dernièrement sur Facebook, j’ai beaucoup aimé les promotions de Jambon de la charcuterie Limoges… C’est vraiment une longue fin de semaine, y’en a qui vont fermer le chalet, d’autre rangé le bateau, à la campagne on va faire du bois de chauffage et monter une corde. Je pense qu’avec l’automne s’installe une sorte de rituel, on ramasse aussi les feuilles plus tard dans la saison, d’autre préparent de la sauce à spaghetti et des conserves avec la récolte du potager. Ça vaut quand même la peine de se promener dans la Petite Italie pour le parfum… Les jardins communautaires c’est bien mais c’est jamais comme les potagers dans les cours des ruelles Henri-Julien et les autres rues parallèles. Moi dans mon logement de vieux garçons j’ai pas beaucoup de place pour cuisiner. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!


 


Bernard