mardi 12 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est pas simple, l’inspiration commence à me manquer. Il fait très beau, je sais pas si mes lecteurs d’Aylmer vont se rendre en Floride après être allé en Espagne? J’ai un peu dormis cet après-midi. Je reprends sur ma nuit… Je suis un peu plus tranquille côté paranoïa, parfois je cherche qui me harcèle et je trouve pas, je pense que c’est le prix à payer quand on est seul. Ailleurs ce serait pareil et j’ai pas envie de déménager… On est au mois de septembre… Je me vois à la shop je regarde l’heure pourtant j’ai rien d’autre à faire que travailler mais j’ai hâte de quitter. D’habitude j’allais souper pour après aller boire c’était avant de devenir fou. Je me prépare un café… Le climatiseur viens de démarrer, le voisin mange du poisson… Je pense à tout ce que j’ai manqué en voyage j’avais pas assez de temps. Je sais que certains d’entre vous ce sont inquiétez pour moi à cause de l’attentat mais j’étais sain et sauf. Je réfléchis à ce que je vous écris ma destination étais la bonne j’ai beaucoup aimé Madrid. Je vous conseille encore de lire Schizophrénique à Barcelone et à Madrid sur ce blog. Allez-y d’une traite vous m’en direz des nouvelles. C’est en dix parties. Ça m’a pris beaucoup de temps avant de vivre comme un adulte, je descendais dans le bas de la ville, j’y habitais pas et j’y foirais pendant toute la nuit… C’est encore mon sujet de prédilection. Cet après-midi il fait assez beau et chaud pour prendre un verre sur une terrasse, je peux pas faire ça je décollerais pas… Vous le savez je me répète, avec l’ami on se demandait de quelle façon étrange après plus de vingt ans sobre on pensait encore à ça. Je crois que je ne dois jamais oublier où j’étais, en train de mourir où de me faire tuer… Souvenir de ce vétéran qui avais le syndrôme du docteur Jekyll et de Mister Hyde, à jeun il était très gentil mais quand il avait bu c’était un assassin. Aujourd’hui il est probablement décédé ça fait plus de vingt ans. Ces choses-là c’est ce que j’aime le moins vous écrire, c’est quand je manque d’inspiration… C’est pas des tentatives ça sort comme ça, des mauvais souvenirs avec la peur à l’estomac… Je pense à ces femmes qui aimait les femmes, je sais pas pourquoi j’étais toujours attiré par elles, je comprends pas mais aujourd’hui je les laisse tranquille… Voilà où j’en suis, je veux pas blesser aucune d’entre vous, je suis un peu perdus. Je ne sors plus simplement pour trouver quelqu’un avec qui couché. J’ai été chanceux pendant ce temps-là j’ai pas eu de maladie, de MTS maintenant ma libido est très tranquille et ça fait mon affaire, le sexe ça m’a longtemps fait souffrir, vous pouvez pensé ce que vous voudrez moi je suis en paix. Voilà je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 11 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis mais je suis encore debout cette nuit, comme toujours il va être question de mon senti… J’ai oublié le numéro de l’album spirou où je suis rendu, j’abandonne ça me coûte trop cher. J’ai perdu certain revenus. J’ai bu un café en pensant à l’amie qui traverse une épreuve difficile, la lumière de l’écran me réveille. Ce matin je cherchais une œuvre a présenté mais on me dis qu’il y a un cheval sur toutes les statues de la Plaça de Catalunya. Je vous en place donc un sans plus, ça semble pas important pour les Catalans de nommer l’artiste, tout ce que je sais c’est que c’est un bronze sur la place centrale la plus fréquentée de Barcelone…  Vous allez me dire une vrai écurie cette place, mais non! Elle est très riche en sculptures de toutes les époques. Je vais rentrer en moi et plutôt vous parler de mon senti. Cette nuit j’ai une amie en deuil. Je veux que mes pensées deviennent des prières dans ces moments extrêmement difficiles pour elle. Je sais je devrais me taire mais je préfère partager avec vous cette nuit… Les gens de l’Outaouais partent bientôt pour l’Espagne, ils sont plus organisés que moi, je voulais tout embrasser d’un regard. Je pense que ma photo hippique est pas sur le bon angle il manque des détails. Je suis perdus j’essais de traduire de l’espagnol ce qu’on voit sur la photo c’est soit un bronze de Miquel Oslé intitulé Saviesa, une alégorie sur Minerve, soit  un bronze intitulé Treball de Llucia Oslé en tout cas c’est tout prêt de la sortie du métro Catalunya. Une statue de dos c’est pas très beau… Je reviens sur mon senti, pense à la culture automobile de mon lecteur de Deux-Montagnes, je crois qu’une collection de voitures c’est une bonne idée ça va devenir de plus en plus rare… Les voitures ce sont des icônes du mode de vie américain… Justement une moto passe et on peut entendre Hôtel California la toune des Eagles, les motos ça aussi c’est intéressant mais trop souvent associé au monde interlope. À Barcelone y’a beaucoup de motos, j’ai vu de magnifique Harley qui ferait rougir si ce n’est rugir n’importe quel motard américain… Je sais que parfois les motards européens ont les prends pour des motards d’opérette mais eux aussi faut les tenir loin. Il est presque deux heure… C’est la nuit je crois que l’été est revenue, avec le temps j’arrive à chasser l’angoisse, j’ai encore du travail à faire pour une présentation santé mentale au mois de novembre. Mais oui c’est déjà mardi, cette nuit ils font gronder les voitures. J’arrive à la finale de ce texte, on m’a dit que commencer par la fin c’est plus facile mais je sais pas quand elle arrive. Je veux pas arrêter trop tôt mais terminer sur des bons mots. Voilà c’étais ça, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin c’était retour au « boulot ». Il fait très beau et je me prépare un café… Je crois pas avoir besoin de vous présenter mon propos c’est toujours le même… Aujourd’hui y’avait des millions de personnes dans la rue en Catalogne, ils vont faire un référendum sur l’indépendance c’est aussi leurs fête nationale ça se passe à Barcelone. Je suis de tout cœur avec eux. Catalan, Québécois même combat… Quoi que je suis pas très attiré par le parti indépendantiste d’ici. C’est vrai qu’on est un peuple malade on élit des médecins… Comment voulez-vous sortir d’un tel état, état comme pays et comme maladie. Je raye beaucoup de mots de mon vocabulaire, je sais pas pourquoi je pense à une époque où sans le dire mon beau-frère était malade, je crois qu’il faisait une dépression, il s’en est très bien sortis. Mais peut-être que je me trompe, qu’il a jamais été malade, c’est ma folie à moi de voir de la maladie partout. Je m’occupe de la mienne de ma schizophrénie, j’ai pas besoin d’en coller aux autres… Peut-être qu’il avait que le blues…. Ça fait bien des suppositions je devrais me mettre un suppositoire… Je vous raconte encore cette histoire d’urgence d’hôpital où je croyais qu’on avait pris ma température avec un thermomètre rectal dans la bouche, c’était ma paranoïa qui débutait avec un délire anal. Je veux faire différent je ne réussis qu’à écrire des inepties. Ce matin la circulation automobile était au fixe, l’autobus était en retard de quinze-minutes. Oubliez tout ça, faites comme si vous l’aviez pas lu, je veux pas blesser personne… J’ai plus cette folie des grandeurs alcoolique. J’irai pas jusqu’à dire que je fais du multimédia. J’utilise les médias sociaux comme beaucoup de monde, quand même… Je suis toujours dans mon goulag occidental, je devrais dire que j’y suis de retour, accroché encore au béton et à l’asphalte, c’est un goulag intime, un goulag du quand à soi pour écrire comme le grand scribe notable de la rive-sud. Je vous écris aussi pour m’alléger sortir mon délire doré… Je dis, je dis, je dis et je compose mal-aimé avec la passion des rues asphaltées, vous saviez qu’on m’appelait beaver dans ma jeunesse en référence à ces grandes dents que je me suis fait péter après y’a eu Beaver Asphalt mais ce n’étais plus du tout la même chose. Le bitume, l’asphalte c’était une époque où la ville grandissais, on nous a ramené dans le quartier le plus gay, qu’on asphalteras plus. Juste un goulag ghetto pour les pas pareils, les multi-poqués comme ils disaient dans les services sociaux… Hé oui! Il fait soleil, y’a deux semaines à Barcelone c’était comme ça… Vous vous demandez où je vais avec ça? Juste là dans le plaisir d’écrire, de mettre en mots une partie de la journée. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là, il me manque quelques mots pour une finale réussie. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

dimanche 10 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit j’y vais avec ce qu’on appelle la Grande Arche de la fraternité, un monument connus sous le nom d’Arche de la Défense fait de béton d’acier de verre et de marbre, les architectes en sont, Johann Otto Von Spreckelsen, Paul Andreu, Érik Reitzel, Peter Rice, inauguré en mille neuf cent quatre-vingt-neuf, l’ouvrage abrite des bureaux ouvert en mille neuf cent quatre-vingt- dix il est d’une hauteur de cent dix mètres d’une longueur de cent huit mètres et d’une largeur de cent sept mètres ceux qui veulent en savoir plus peuvent se rendre sur le site http://www.lagrandearche.fr/ . Je reviens à mon senti en pensant à mon beauf de l’Outaouais, je m’ennuis de ces longues discussions qu’on avait, c’est surtout lui qui parlait un puit sans fond de connaissance toujours intéressant. Ce matin dans mon insomnie somnambule je cherchais un réglage qui n’existe pas. Parfois je bave c’est fatigant, j’ai pas hâte qu’on me place dans un CHSLD, je vais démarrer le climatiseur… La nuit comme ça je suis plus en contact avec mon senti… Ce matin je sais pas pourquoi j’ai peur d’écrire… Je sais que mon voyage en Espagne vous intéressait mais j’ai beaucoup d’autres souvenirs de voyage… Ce que je fais avec mon blog pour moi c’est l’équivalent de ceux qui bâtissait des miniatures avec des cure-dents, mais c’est me dénigrer que d’écrire comme ça. Ce que j’écris c’est digne d’une scolarité de deuxième secondaire. Je vais essayer de pas trop vous impliquer dans la rédaction, je vais être plus général. J’ai de la peine, je sais pas ce que c’est une écriture sérieuse… Je veux écrire comment je me sens en-dedans pas vraiment un malaise mais la peine d’un pauvre bougre qui s’échine et s’acharne à écrire… Quand je termine je suis heureux… Ce matin les activités reprennent, j’ai une réunion de mon groupe d’entraide, ça risque d’être amusant de revoir les collègues. D’arc à arche je sais pas si on peut appeler ça un glissement sémantique?... Je me fais des idées je crois avoir plusieurs lecteurs-trices quand en fait j’en ai que deux ou trois hier j’ai lu un article sur la différence entre l’illettrisme et  être analphabète… Moi si j’avais pas su lire je serais pas devenus vieux, je trouve que la lecture c’est important c’est une sorte de refuge… Je sais aussi que c’est pas tout le monde qui est d’accord avec ça mais c’est toujours intéressant d’être en contact avec d’autre univers. C’est toujours la question de l’autre qui c’est? Et d’arrêter à des vécus différents des nôtres…  Écrire dans la nuit au son du frigidaire, je pense aux malheureux assis au bar sur des sièges inconfortables à se regarder la tronche dans le miroir au travers des bouteilles. Voilà mon sujet de prédilection qui me reviens, je pense à l’ami décédé qui buvait au Queen’s Elizabeth c’étais peut-être le luxe immobilier mais dans le fond son âme étais malade. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vais vous parler d’un autre arc, peut-être le plus célèbre, l’arc de triomphe de l’étoile à Paris. Sa construction a été décidé par l’Empereur Napoléon premier, débuté en dix-huit cent six et achevé en dix-huit cent trente-six sous Louis-Philippe. Il est d’un style néo-classique. Son architecte est Jean-François Thérèse Chalgrin, il est d’une hauteur de cinquante mètres, d’une longueur de quarante-quatre point quatre- vingt-trois mètres et d’une largeur de vingt-deux point deux mètres, son ouverture à eux lieux en dix-huit cent trente-six avec comme destination initiale, la commémoration de la bataille d’Austerlitz, sa destination actuelle  commémore la première guerre mondiale avec le tombeau du Soldat inconnu. Si vous voulez en savoir plus vous pouvez visiter ce site  http://www.paris-arc-de-triomphe.fr/ . Je reviens avec mon senti, quand je vous écris ça va mieux… Je veux pas vous écrire sur l’ouragan ici il fait très beau… Quel est mon état d’âme? J’hésite à entrer en contact avec les amis, parfois c’est comme ça que ma journée se débine… Mais oui y’a quelques années j’étais allé à Paris, j’avais adoré m’y promener et boire des cafés au bistro, je crois qu’ils réparaient l’arc de triomphe quand je l’ai pris en photo… Je sais ma recension des arcs ça fait beauf mais j’aime bien ces monuments… J’arrive pas à vous écrire, j’ai la tête vide en ce dimanche, un peu d’angoisse aussi… Comment ont dit? Veni, vidi, vici, je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu c’est très exactement les arcs. Mais oui j’ai vaincu la peur maladive que j’avais auparavant, je pense à ce commandant de bord qui me dis adios d’une façon impressionnante… Mon arc à moi il est tout intérieur, je célèbre ma liberté décomplexé. Me suis ouvert une boisson à l’orange, je préfère ça à l’alcool, ça aussi c’est une victoire. Plus je vous écris cet après-midi je sens une sorte de bien-être s’installer, c’est pas toujours comme ça mais en ce moment ça occupe mes pensées. Parfois la schizophrénie est presque absente, je vous écris en paix pourtant je sais que la souffrance va revenir plus ou moins intense, mais aujourd’hui j’ai une espèce de sérénité difficile à garder. Je sais c’est juste pour aujourd’hui, la culpabilité disparait parfois elle aussi. Je réfléchis à tout ça. Tiens! J’y vais sans justement trop réfléchir en rafale, je m’arrête… Dimanche! Je prie un peu même si ça vous fait rigoler. Bein non! Je vais pas à la messe même si parfois je me dis que je devrais. Je veux pas écrire des bêtises… Comme à l’habitude j’ai de la difficulté pour terminer, je vous demande de me pardonner, je pense à vous mes lectrices adorées. Comme toujours j’essais de tout donner, de pas faire l’excité de pas trop philosopher. Je sais j’ai démarré sur les chapeaux de roues mais je termine comme une tortue, lentement lentement dans le sable des idées perdues. Enfin! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

samedi 9 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Encore un autre arc cette nuit celui de Barcelone, un arc de triomphe aussi de style moderniste catalan, néo-mudéjar. L’architecte en est Josep Vilaseca i Casanova. Il est fabriqué de briques de céramique et de pierre artificielle de faïence. Il a été construit pour l’exposition universelle de dix-huit cent quatre-vingt-huit sa hauteur est de vingt-neuf point huit mètres  sa longueur de douze point quatre mètres, sa largeur de vingt-sept point sept mètres. C’était la porte principale de l’expo universelle de dix-huit cent quatre-vingt-huit considéré maintenant comme une décoration monumentale urbaine au « Passeig de Llurs Companys » les sculpteurs en sont  Josep Reynés, Josep Limona, Antoni Villanova, Torquat Tasso, Manuel Foxà, Père Carbonell. Voilà pour l’arc, je vais maintenant vous parler de mon senti avec une introduction pareille qui célèbre le triomphe comment écrire sur mon senti qui est souvent perdu, toujours en lutte pour triompher de la maladie mentale. On ne gagne jamais cette bataille mais on se rétablis… Je sais pas si j’ai envie cette nuit de vous parler de mon senti de loser si il serait pas préférable d’essayer de triompher dans le silence, d’abandonner la bataille, le combat, d’éteindre la voix et d’aller au-delà, je sais que parfois les gens me croient pas quand je dis que je suis schizophrène, on rajoute même que je ne suis pas fou! Mais non pas fou mais malade, je me demande où en étais les soins de santé mentale en dix-huit-cent-quatre vingt-huit… Le sanatarium pour ceux qui avaient les moyens, les autres erraient un peu partout. Je pense à l’histoire de la folie de Michel Foucault que je devrais relire. Ces itinérants, ces mendiants aujourd’hui encore on les cache loin de la victoire sur ces maladies sociales Non! La rue ne m’appartiens pas on érigeras pas un arc quand on auras triompher de la folie. La vie serait trop uniforme, les différences ma différence est nécessaire… Ça me prend tout mon petit change pour vous écrire cette nuit. Souvenir de cette employé de l’institut Pinel qui m’interviewais de temps à autre, y’a longtemps que je l’ai vue… Je crois que le prochain arc dont je vais vous parler seras celui de Paris en France, le plus symbolique le plus remplis d’histoire à mon sens… J’irai dans d’autres villes pour essayer de trouver d’autre arc, je vais laisser mon instinct me guider, il est pas question de partir pour l’instant… Je pense au conducteur désigné à comment ça doit être plate d’être en compagnie de personnes saoules… J’essais sans y arriver de vous nommer mon senti, c’est un échec. J’aimerais vous faire des phrases poétiques à propos… Vous le savez je me répète, les mots sont pas suffisant pour dire ma détresse psychologique, c’est ça détresse pourtant j’ai pas envie de poser de geste grave. Mon blog ressemble de plus en plus à une machine à boule. Je termine, je vais en profiter pour méditer. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je poursuis avec L’Arco della Pace, L’arc de la paix, dessiné par l’architecte Luigi Cagnola, commencé en dix-huit cent sept à l’époque Napoléonienne achevée en dix-huit cent trente-huit après la mort de Cagnola en dix-huit-cent trente-trois les architectes Francesco Londonio et Francesco Peverelli continuent les travaux. Situé dans Piazza Sempione, haut de vingt-cinq mètres et large de vingt-quatre de style néo-classique décoré par des bas-reliefs statues et chapiteaux corinthiens de marbre, bronze, bois et stuc. Quatre jours après la bataille de Magenta le huit juin dix-huit cent cinquante-neuf Napoléon trois et Victor Emmanuel deux entrent triomphants à Milan en passant sous l’arc. Bon! Voilà pour l’histoire, moi je triomphe à chaque jour où je ne consomme pas quand j’offre ma journée à ma puissance supérieure. Pour ceux qui se demandent encore cet arc est à Milan. Je reviens toujours avec mon senti parfois je me sens moins que rien. Ai discuté avec l’ami de ces artistes qui produisent dans l’ivresse et parviennent quand même à être génial… Moi je suis incapable de « travailler » alcoolisé… Je préfère vous écrire à jeun que de me faire mal ivre. Quand je vous écris je me sens moins lourd… Bien que mon affaire ça donne pas dans la légèreté  comme on dit en anglais, j’ai été là j’ai fait ça… Voilà! J’ai de la difficulté à vous écrire mon senti je veux pas me dénigrer les autres le font assez bien merci. Je viens d’apprendre que Tex Lecor est décédé, j’aimais bien sa peinture et l’époque où il faisait des insolences au téléphone… Me semble qu’il y en a plusieurs grands qui partent… J’ai toujours les mêmes mots qui me trottent dans la tête, j’offre mes sympathies à toute la famille de monsieur Lecor… Pour revenir  sur un sujet plus léger, il fait plus frais chez moi, je suis bien,  pour ce post j’ai quitté Barcelone pour revenir à Milan c’est un peu différent mais ça reste l’Europe remplie d’histoire. Je me rappelle au secondaire j’avais fait un travail sur Napoléon trois, je m’étais documenté dans l’encyclopédie illustrée Tout Connaitre, on s’intéressait à Napoléon premier et second mais selon moi y’avait plus personne pour s’intéresser au troisième. Aujourd’hui je me suis levé très tard, j’avais besoin de sommeil c’est plus une question de décalage horaire c’est juste mon insomnie ordinaire. Je me sens mieux, j’ai moins mal… On nous conseille souvent de fermer la télé c’est ce que je fais. Je préfère écrire pourtant je suis pas scripteur, ni romancier, j’écris que mon état d’âme, ma littérature d’affamé parfois je cherche l’image à vous donner… Je redémarre pour vous amener dans une finale triomphante, je réussis malgré tout à faire une thématique de ma vie d’ermite, l’arc c’est l’orgueil et si l’humour c’est l’humilité je suis pas très humble. Y’a rien de drôle c’est difficile d’être comique. Riez pas! Je n’arrive qu’à ça. Voilà! Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard