lundi 11 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin c’était retour au « boulot ». Il fait très beau et je me prépare un café… Je crois pas avoir besoin de vous présenter mon propos c’est toujours le même… Aujourd’hui y’avait des millions de personnes dans la rue en Catalogne, ils vont faire un référendum sur l’indépendance c’est aussi leurs fête nationale ça se passe à Barcelone. Je suis de tout cœur avec eux. Catalan, Québécois même combat… Quoi que je suis pas très attiré par le parti indépendantiste d’ici. C’est vrai qu’on est un peuple malade on élit des médecins… Comment voulez-vous sortir d’un tel état, état comme pays et comme maladie. Je raye beaucoup de mots de mon vocabulaire, je sais pas pourquoi je pense à une époque où sans le dire mon beau-frère était malade, je crois qu’il faisait une dépression, il s’en est très bien sortis. Mais peut-être que je me trompe, qu’il a jamais été malade, c’est ma folie à moi de voir de la maladie partout. Je m’occupe de la mienne de ma schizophrénie, j’ai pas besoin d’en coller aux autres… Peut-être qu’il avait que le blues…. Ça fait bien des suppositions je devrais me mettre un suppositoire… Je vous raconte encore cette histoire d’urgence d’hôpital où je croyais qu’on avait pris ma température avec un thermomètre rectal dans la bouche, c’était ma paranoïa qui débutait avec un délire anal. Je veux faire différent je ne réussis qu’à écrire des inepties. Ce matin la circulation automobile était au fixe, l’autobus était en retard de quinze-minutes. Oubliez tout ça, faites comme si vous l’aviez pas lu, je veux pas blesser personne… J’ai plus cette folie des grandeurs alcoolique. J’irai pas jusqu’à dire que je fais du multimédia. J’utilise les médias sociaux comme beaucoup de monde, quand même… Je suis toujours dans mon goulag occidental, je devrais dire que j’y suis de retour, accroché encore au béton et à l’asphalte, c’est un goulag intime, un goulag du quand à soi pour écrire comme le grand scribe notable de la rive-sud. Je vous écris aussi pour m’alléger sortir mon délire doré… Je dis, je dis, je dis et je compose mal-aimé avec la passion des rues asphaltées, vous saviez qu’on m’appelait beaver dans ma jeunesse en référence à ces grandes dents que je me suis fait péter après y’a eu Beaver Asphalt mais ce n’étais plus du tout la même chose. Le bitume, l’asphalte c’était une époque où la ville grandissais, on nous a ramené dans le quartier le plus gay, qu’on asphalteras plus. Juste un goulag ghetto pour les pas pareils, les multi-poqués comme ils disaient dans les services sociaux… Hé oui! Il fait soleil, y’a deux semaines à Barcelone c’était comme ça… Vous vous demandez où je vais avec ça? Juste là dans le plaisir d’écrire, de mettre en mots une partie de la journée. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là, il me manque quelques mots pour une finale réussie. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

dimanche 10 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit j’y vais avec ce qu’on appelle la Grande Arche de la fraternité, un monument connus sous le nom d’Arche de la Défense fait de béton d’acier de verre et de marbre, les architectes en sont, Johann Otto Von Spreckelsen, Paul Andreu, Érik Reitzel, Peter Rice, inauguré en mille neuf cent quatre-vingt-neuf, l’ouvrage abrite des bureaux ouvert en mille neuf cent quatre-vingt- dix il est d’une hauteur de cent dix mètres d’une longueur de cent huit mètres et d’une largeur de cent sept mètres ceux qui veulent en savoir plus peuvent se rendre sur le site http://www.lagrandearche.fr/ . Je reviens à mon senti en pensant à mon beauf de l’Outaouais, je m’ennuis de ces longues discussions qu’on avait, c’est surtout lui qui parlait un puit sans fond de connaissance toujours intéressant. Ce matin dans mon insomnie somnambule je cherchais un réglage qui n’existe pas. Parfois je bave c’est fatigant, j’ai pas hâte qu’on me place dans un CHSLD, je vais démarrer le climatiseur… La nuit comme ça je suis plus en contact avec mon senti… Ce matin je sais pas pourquoi j’ai peur d’écrire… Je sais que mon voyage en Espagne vous intéressait mais j’ai beaucoup d’autres souvenirs de voyage… Ce que je fais avec mon blog pour moi c’est l’équivalent de ceux qui bâtissait des miniatures avec des cure-dents, mais c’est me dénigrer que d’écrire comme ça. Ce que j’écris c’est digne d’une scolarité de deuxième secondaire. Je vais essayer de pas trop vous impliquer dans la rédaction, je vais être plus général. J’ai de la peine, je sais pas ce que c’est une écriture sérieuse… Je veux écrire comment je me sens en-dedans pas vraiment un malaise mais la peine d’un pauvre bougre qui s’échine et s’acharne à écrire… Quand je termine je suis heureux… Ce matin les activités reprennent, j’ai une réunion de mon groupe d’entraide, ça risque d’être amusant de revoir les collègues. D’arc à arche je sais pas si on peut appeler ça un glissement sémantique?... Je me fais des idées je crois avoir plusieurs lecteurs-trices quand en fait j’en ai que deux ou trois hier j’ai lu un article sur la différence entre l’illettrisme et  être analphabète… Moi si j’avais pas su lire je serais pas devenus vieux, je trouve que la lecture c’est important c’est une sorte de refuge… Je sais aussi que c’est pas tout le monde qui est d’accord avec ça mais c’est toujours intéressant d’être en contact avec d’autre univers. C’est toujours la question de l’autre qui c’est? Et d’arrêter à des vécus différents des nôtres…  Écrire dans la nuit au son du frigidaire, je pense aux malheureux assis au bar sur des sièges inconfortables à se regarder la tronche dans le miroir au travers des bouteilles. Voilà mon sujet de prédilection qui me reviens, je pense à l’ami décédé qui buvait au Queen’s Elizabeth c’étais peut-être le luxe immobilier mais dans le fond son âme étais malade. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vais vous parler d’un autre arc, peut-être le plus célèbre, l’arc de triomphe de l’étoile à Paris. Sa construction a été décidé par l’Empereur Napoléon premier, débuté en dix-huit cent six et achevé en dix-huit cent trente-six sous Louis-Philippe. Il est d’un style néo-classique. Son architecte est Jean-François Thérèse Chalgrin, il est d’une hauteur de cinquante mètres, d’une longueur de quarante-quatre point quatre- vingt-trois mètres et d’une largeur de vingt-deux point deux mètres, son ouverture à eux lieux en dix-huit cent trente-six avec comme destination initiale, la commémoration de la bataille d’Austerlitz, sa destination actuelle  commémore la première guerre mondiale avec le tombeau du Soldat inconnu. Si vous voulez en savoir plus vous pouvez visiter ce site  http://www.paris-arc-de-triomphe.fr/ . Je reviens avec mon senti, quand je vous écris ça va mieux… Je veux pas vous écrire sur l’ouragan ici il fait très beau… Quel est mon état d’âme? J’hésite à entrer en contact avec les amis, parfois c’est comme ça que ma journée se débine… Mais oui y’a quelques années j’étais allé à Paris, j’avais adoré m’y promener et boire des cafés au bistro, je crois qu’ils réparaient l’arc de triomphe quand je l’ai pris en photo… Je sais ma recension des arcs ça fait beauf mais j’aime bien ces monuments… J’arrive pas à vous écrire, j’ai la tête vide en ce dimanche, un peu d’angoisse aussi… Comment ont dit? Veni, vidi, vici, je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu c’est très exactement les arcs. Mais oui j’ai vaincu la peur maladive que j’avais auparavant, je pense à ce commandant de bord qui me dis adios d’une façon impressionnante… Mon arc à moi il est tout intérieur, je célèbre ma liberté décomplexé. Me suis ouvert une boisson à l’orange, je préfère ça à l’alcool, ça aussi c’est une victoire. Plus je vous écris cet après-midi je sens une sorte de bien-être s’installer, c’est pas toujours comme ça mais en ce moment ça occupe mes pensées. Parfois la schizophrénie est presque absente, je vous écris en paix pourtant je sais que la souffrance va revenir plus ou moins intense, mais aujourd’hui j’ai une espèce de sérénité difficile à garder. Je sais c’est juste pour aujourd’hui, la culpabilité disparait parfois elle aussi. Je réfléchis à tout ça. Tiens! J’y vais sans justement trop réfléchir en rafale, je m’arrête… Dimanche! Je prie un peu même si ça vous fait rigoler. Bein non! Je vais pas à la messe même si parfois je me dis que je devrais. Je veux pas écrire des bêtises… Comme à l’habitude j’ai de la difficulté pour terminer, je vous demande de me pardonner, je pense à vous mes lectrices adorées. Comme toujours j’essais de tout donner, de pas faire l’excité de pas trop philosopher. Je sais j’ai démarré sur les chapeaux de roues mais je termine comme une tortue, lentement lentement dans le sable des idées perdues. Enfin! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

samedi 9 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Encore un autre arc cette nuit celui de Barcelone, un arc de triomphe aussi de style moderniste catalan, néo-mudéjar. L’architecte en est Josep Vilaseca i Casanova. Il est fabriqué de briques de céramique et de pierre artificielle de faïence. Il a été construit pour l’exposition universelle de dix-huit cent quatre-vingt-huit sa hauteur est de vingt-neuf point huit mètres  sa longueur de douze point quatre mètres, sa largeur de vingt-sept point sept mètres. C’était la porte principale de l’expo universelle de dix-huit cent quatre-vingt-huit considéré maintenant comme une décoration monumentale urbaine au « Passeig de Llurs Companys » les sculpteurs en sont  Josep Reynés, Josep Limona, Antoni Villanova, Torquat Tasso, Manuel Foxà, Père Carbonell. Voilà pour l’arc, je vais maintenant vous parler de mon senti avec une introduction pareille qui célèbre le triomphe comment écrire sur mon senti qui est souvent perdu, toujours en lutte pour triompher de la maladie mentale. On ne gagne jamais cette bataille mais on se rétablis… Je sais pas si j’ai envie cette nuit de vous parler de mon senti de loser si il serait pas préférable d’essayer de triompher dans le silence, d’abandonner la bataille, le combat, d’éteindre la voix et d’aller au-delà, je sais que parfois les gens me croient pas quand je dis que je suis schizophrène, on rajoute même que je ne suis pas fou! Mais non pas fou mais malade, je me demande où en étais les soins de santé mentale en dix-huit-cent-quatre vingt-huit… Le sanatarium pour ceux qui avaient les moyens, les autres erraient un peu partout. Je pense à l’histoire de la folie de Michel Foucault que je devrais relire. Ces itinérants, ces mendiants aujourd’hui encore on les cache loin de la victoire sur ces maladies sociales Non! La rue ne m’appartiens pas on érigeras pas un arc quand on auras triompher de la folie. La vie serait trop uniforme, les différences ma différence est nécessaire… Ça me prend tout mon petit change pour vous écrire cette nuit. Souvenir de cette employé de l’institut Pinel qui m’interviewais de temps à autre, y’a longtemps que je l’ai vue… Je crois que le prochain arc dont je vais vous parler seras celui de Paris en France, le plus symbolique le plus remplis d’histoire à mon sens… J’irai dans d’autres villes pour essayer de trouver d’autre arc, je vais laisser mon instinct me guider, il est pas question de partir pour l’instant… Je pense au conducteur désigné à comment ça doit être plate d’être en compagnie de personnes saoules… J’essais sans y arriver de vous nommer mon senti, c’est un échec. J’aimerais vous faire des phrases poétiques à propos… Vous le savez je me répète, les mots sont pas suffisant pour dire ma détresse psychologique, c’est ça détresse pourtant j’ai pas envie de poser de geste grave. Mon blog ressemble de plus en plus à une machine à boule. Je termine, je vais en profiter pour méditer. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je poursuis avec L’Arco della Pace, L’arc de la paix, dessiné par l’architecte Luigi Cagnola, commencé en dix-huit cent sept à l’époque Napoléonienne achevée en dix-huit cent trente-huit après la mort de Cagnola en dix-huit-cent trente-trois les architectes Francesco Londonio et Francesco Peverelli continuent les travaux. Situé dans Piazza Sempione, haut de vingt-cinq mètres et large de vingt-quatre de style néo-classique décoré par des bas-reliefs statues et chapiteaux corinthiens de marbre, bronze, bois et stuc. Quatre jours après la bataille de Magenta le huit juin dix-huit cent cinquante-neuf Napoléon trois et Victor Emmanuel deux entrent triomphants à Milan en passant sous l’arc. Bon! Voilà pour l’histoire, moi je triomphe à chaque jour où je ne consomme pas quand j’offre ma journée à ma puissance supérieure. Pour ceux qui se demandent encore cet arc est à Milan. Je reviens toujours avec mon senti parfois je me sens moins que rien. Ai discuté avec l’ami de ces artistes qui produisent dans l’ivresse et parviennent quand même à être génial… Moi je suis incapable de « travailler » alcoolisé… Je préfère vous écrire à jeun que de me faire mal ivre. Quand je vous écris je me sens moins lourd… Bien que mon affaire ça donne pas dans la légèreté  comme on dit en anglais, j’ai été là j’ai fait ça… Voilà! J’ai de la difficulté à vous écrire mon senti je veux pas me dénigrer les autres le font assez bien merci. Je viens d’apprendre que Tex Lecor est décédé, j’aimais bien sa peinture et l’époque où il faisait des insolences au téléphone… Me semble qu’il y en a plusieurs grands qui partent… J’ai toujours les mêmes mots qui me trottent dans la tête, j’offre mes sympathies à toute la famille de monsieur Lecor… Pour revenir  sur un sujet plus léger, il fait plus frais chez moi, je suis bien,  pour ce post j’ai quitté Barcelone pour revenir à Milan c’est un peu différent mais ça reste l’Europe remplie d’histoire. Je me rappelle au secondaire j’avais fait un travail sur Napoléon trois, je m’étais documenté dans l’encyclopédie illustrée Tout Connaitre, on s’intéressait à Napoléon premier et second mais selon moi y’avait plus personne pour s’intéresser au troisième. Aujourd’hui je me suis levé très tard, j’avais besoin de sommeil c’est plus une question de décalage horaire c’est juste mon insomnie ordinaire. Je me sens mieux, j’ai moins mal… On nous conseille souvent de fermer la télé c’est ce que je fais. Je préfère écrire pourtant je suis pas scripteur, ni romancier, j’écris que mon état d’âme, ma littérature d’affamé parfois je cherche l’image à vous donner… Je redémarre pour vous amener dans une finale triomphante, je réussis malgré tout à faire une thématique de ma vie d’ermite, l’arc c’est l’orgueil et si l’humour c’est l’humilité je suis pas très humble. Y’a rien de drôle c’est difficile d’être comique. Riez pas! Je n’arrive qu’à ça. Voilà! Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

vendredi 8 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à dormir quelques heures ce soir. Je vous illustre ça avec l’immeuble baroque contemporain du ministère de l’agriculture à Madrid. J’ai pas d’autre renseignement. Je trouve les sculptures sur le toît à l’entrée superbe, il est situé Paseo Infanta Isabel à Madrid. J’ai pas trouvé l’architecte… Je vais essayer d’y aller avec mon senti encore cette nuit… Dans la nuit de vendredi à samedi y’a beaucoup d’action, les alcooliques veulent en prendre une dernière et recommencer leurs vie mais c’est pas comme ça que ça se passe, pour le mieux ils vont se retrouver saoul et seul chez eux et au pire sans connaissance dans une ruelle… Y’a une moto japonaise qu’on entend à des milles, le motard a certainement une sensation de puissance avec le bruit qu’il fait… J’arrive pas à dormir ça fait deux fois que je me couche, y’a des intoxiqués qui parlent tout seul et marchent sur la rue ça me dérange… Je mange des barres granola… Y’a ce petit pusher à qui on avait volé le stock, il pleurait parce qu’on lui avait enlevé sa business mais à qui allait il se plaindre? Mais non, je sors pas cette nuit, les femmes intéressantes sont toutes occupées par leur boulot. J’ai passé l’âge d’attendre qu’une barmaid me parle. Je me suis recouché j’ai dormis un peu sans trop rêver… Hier je me suis recouché en suçant un bonbon mais je me suis mordu la lèvre au sang… Me pensait vendredi, je croyais partir en voyage avec les voisins!  Cette semaine j’ai expliqué à un gars pourquoi j’aime les vieux pays certainement à cause des vieilles pierres, l’histoire toujours l’histoire. Ce matin je croyais avoir de la compagnie, mais non! Me souviens quand le neveu était plus jeune et qu’il venait passé des week-ends avec moi maintenant il est père de famille, je lui dis bravo! Je sais plus trop comment vous écrire mon senti, c’est toujours la nuit faut croire que j’en ai vu d’autre j’ai plus peur la nuit… Je sais où il ne faut pas aller et surtout ne pas consommer pour tenir loin la psychose. C’est étrange, j’ai encore ce senti de départ… Ça me tiens en vie je veux revivre, j’ai des notes de basse électrique dans la tête, un peu capoté!!! Je sais pas trop si je vais sortir ce matin, je pense à cette phrase « Tu sors-tu? » que demandent les prostituées. Mais non, inquiétez-vous pas je vais pas jouer par là. Un peu de difficulté à écrire ce soir j’en bave… Je reste patient, j’écoute ce que mon âme dis, pense à ceux qui ne croient pas avoir une âme, des fous violents. Je suis content de me rétablir sans avoir besoin de l’institution…Je suis allé en Espagne parce-que je voulais oublier le monde de la santé mentale, seul sur la rue ça va mais quand je suis assis à une terrasse ça ne vas plus. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je gosse sur l’ordinateur pour mettre en marche un dézippeur de fichiers. Je crois que c’était déjà fait ça fonctionne, je peux voir les photos prise en studio. Je sais pas trop de quoi vous entretenir aujourd’hui. Je vais y aller avec mon senti et vous donner un petit break question art. Cette semaine je suis allé enregistrer deux chroniques radiophoniques pour l’émission Folie Douce. Je me suis planté on a été obliger de reprendre mais c’est pas grave. Aujourd’hui Montréal a un ciel de Londres nuageux avant la pluie. Je veux pas commencer à m’auto-dénigrer je vaux autant que n’importe qui… On commente toujours ce que je fais en restant assis dans une chaise, les gens ont de la difficulté à faire des critiques constructives. J’ai eu la réponse pour mon dézippeur j’en avais pas besoin. Je pense à Londres où je suis pas resté très longtemps, je vous ai écrit que je vous parlerai pas d’art mais tant qu’à être dans les souvenirs parlons de Marble Arch à Londres en marbre blanc de Carrare près de Speakers’ Corner au nord-est d’Hyde Park à l’extrémité ouest d’Oxford street à Londres, une arche de triomphe construite en dix-huit cent vingt-huit par l’architecte John Nash sur le modèle de l’arc Constantin à Rome, érigé à l’origine à l’extrémité ouest du Mall pour servir d’entrée triomphale au nouveau palais de Buckingham (reconstruit par Nash) Mais en dix-huit cent cinquante et un la reine Victoria qui la trouvait hideuse la fit déplacer à son emplacement actuel. Ouais! Des arches ont en vois un peu partout dans les grandes villes d’Europe. Moi je triomphe à tous les jours quand je me laisse pas aller à mes vices. Vendredi début du week-end, on s’est habillé relax pour le bureau, le vendredi en fin de journée y’a pas beaucoup de dossiers important. Il fait frais c’est finis pour la baignade, le vendredi après-midi parfois les helpers de camionneur se font déposer directement à la taverne, ils ont soif le reste attendras pourtant dans nos vieux débit de boisson c’est désespérant, la bière vous déprime… Je n’y vais plus à la taverne, au pub, au bar je reste chez moi et je vous écris. Va s’en trouver pour commenter ça négativement comme j’ai écrit précédemment comme si c’était impossible de « créer » sans alcool. J’ai souvenir d’une sorte de happening rue Ontario à l’édifice Vanier où j’avais dus acheter une caisse de bière même si j’en bois pas… En ce moment y’a un parfum d’encens… Je pense toujours repartir mais pas tout de suite… Lentement je médite sur l’odeur de sueur et d’alcool, de cigarettes aussi quand on consomme on a pas idée de notre odeur. J’aime bien vivre sans maux de têtes et avec un chez soi au loyer payé. Tiens! Je reviens dans mon thème de prédilection, heureusement j’ai presque terminé. Je veux pas vous embarasser. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard