mardi 29 août 2017

Schizophrénique à Barcelone et à Madrid 2 partie

On nous a donné de vieux fusils pour se battre… Je comprends que la guerre d’Espagne à été une guerre dans la guerre, les Brigades Internationales versus les communistes qui tous les deux combattent les franquistes. Orwell se battait du côté du Poum, les communistes de Staline ont tenu un congrès culturel où tous les grands écrivains étaient présents. Hemingway était avec les Brigades Internationales, les nationalistes n’étaient pas du même bord  que ceux qu’on retrouve ici, comment vous dire j’essais d’écrire sur la révolution ici dans un pays qui n’a eu d’autre révolution que tranquille… Je vais peut-être acheter la traduction d’un roman espagnol… D’accord je suis pas en territoire hostile ni même à l’époque de la guerre d’Espagne, on y a quand même tué des enfants et en occident présentement les terroristes font un carnage. Je crois pas qu’elle se termine jamais cette guerre de la terreur, on aurait besoin d’un autre Guernica pour dénoncer tout ça, fatwa, terrorisme, on tue pour son Dieu pourtant… Le terrorisme islamique est différent des guerres d’Espagne, je pense aux anarchistes et aux communistes qui se battaient entre eux contre les franquistes c’est compliqué tout ça, je suis à quelques mois de mon départ pour Barcelone… C’est pas sérieux ce que j’écris, l’Europe est une terre de souffrance… Je pense aux révolutionnaires marxistes, à leurs idéal… Les syndiqués qui disent que le seul moyen de protester qui leur reste c’est la grève, d’autre travailleurs qui n’aiment pas les syndicats et traitent leurs collègues de lâches… Je pense aux avions qui amenaient la mort sur Madrid, les bombes allemandes, et aujourd’hui les avions remplies de touristes qui vont faire tourner l’économie Madrilène… Les vieux vétérans avaient raison tu peux pas parler de la guerre si t’a pas été au front… Les enfants bombardés à Madrid à Barcelone… Ai regardé une vidéo sur Barcelone, c’est l’Europe, l’Histoire… Je regarde la carte géographique de Barcelone y’a tant de choses à voir, Gaudi, Miro, Picasso… L’architecture, la Rambla… La terreur toujours la terreur imposée avec des moyens minimalistes, avec les très domestiques voitures et camionnettes, les fous s’imposent… Comment écrire? On croyais qu’après la deuxième guerre mondiale c’était terminé…
 

Schizophrénique à Barcelone et à Madrid 1 partie

Je veux écrire un roman en sachant que c’est pas payant. Je viens de lire un article sur les motivations de l’écrivain faut pas que ce sois l’argent. Cet après-midi j’ai voulu acheter un roman, le bourreau de Gaudi, dans quelques mois je serai à Barcelone. Je veux vous raconter sans trop penser à éditer. J’irai sur la Rambla, pour commencer je vais écrire une page complète sans interligne et y’a Christophe Colomb comment dire que c’est lui qui nous a fait nous a découvert, j’écris pas un roman historique… Comme toujours je croirai partir quand je serai assis dans l’avion en vol pour la ville de l’architecte « fou » mort seul écrasé par un tramway, je pense à la mienne de mort. Gaudi c’était un as de la géométrie et du calcul, moi c’est tout juste si je sais multiplier et question volume je ne connais que la lecture. Catalan!!! J’écris pour me calmer avant de partir, ai retourné un appel pour faire savoir que je suis chez moi. Je connais pas assez l’histoire pour mettre en scène Gaudi, Dali, Miro, Picasso les plus grands feront pas les bouffons pour moi… Ce soir documentaire sur la guerre d’Espagne… Barcelone c’était le bastion anarchiste, Malraux, Saint-Exupéry c’est des grosses pointures… Anarchie et carnage… Les républicains et les libertaires, leur milices désorganisées tuent les religieux franquiste… Les brigades internationales chantent justement l’Internationale. La Russie de Staline s’implique. J’ai peur d’écrire ça je pense à notre gauche québécoise contemporaine. Mauriac et Orson Welles étaient là… C’est idiot d’écrire ça… Franco est mort dans les années soixante-dix… Gaudi a fait comment pour continuer à construire sa Sagrada Familia… Je vous parle de la guerre d’Espagne mais je sais même pas ce que c’est un tapas… On disait que le sort du monde dépendait des Brigades Internationales… Je pense à ceux qui jugent les anarchistes et les cocos… Voilà la première embûche je sais pas ce que veux dire pasadan c’est no pasaran, « ils ne passeront pas » la seconde république Espagnole… Je pense à ces faux républicains américains...
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Lentement je me replace bien que j’ai quelques pensées mortifères en sachant très bien que c’est pas la solution. J’essaye comme toujours de vous traduire mon senti, bientôt je vais vous revenir avec un long texte de voyage en plusieurs parties. Je suis de retour dans mes après-midi désoeuvrés. J’ai pas envie de faire la sieste… J’ai toujours des souvenirs du temps où j’allais au boulot, j’aimais pas ça aujourd’hui je suis « retraité » et j’ai pas envie de sortir… Je vais vous illustrer ça avec l’arc de triomphe de Barcelone… Je pense déjà à repartir je ne sais où même si le décalage « magane » son homme c’est normal. De vous écrire comme ça, ça me calme, dans ma tête j’ai comme une ambiance d’Espagne. Je pense aux agents de bord dans l’avion qui passent dans l’allée et m’accrochent l’épaule, c’est pas grave…  même en première classe je dormirais pas, trop de bruit. Je crois que les avions sont faits pour les petites personnes à l’allée y’avait deux vieilles dames à mes côté et les sièges semblaient avoir amplement d’espace pour elles. Je m’intéresse aux chefs d’œuvre artistique et j’essaye d’aimer mon prochain je pense pas que ce soit antinomique, j’aime quand même bien. Si jamais quelqu’un part en voyage et veux de la compagnie qu’il me fasse signe je suis très vivable. C’est ça mon senti cet après-midi, il fait beau temps. Je repartirai l’an prochain en espérant que la voix ce soit éteinte… Je sais pas pourquoi je regarde les camions et je pense à un ancien copain chauffeur… Tout ça c’est comme si je l’avais vécu deux fois, une sorte d’hallucination, de delusion qu’on dis en anglais. J’essaye de garder les deux pieds sur terre. Je pense à mon chauffeur de Madrid très sympathique même si il ne parlait pas un mot de français ni d’anglais on a réussi à avoir une conversation, si jamais vous voulez avoir un chauffeur de cette compagnie faites-moi signe je vous donnerai le numéro de téléphone de mon agent de voyage. Comme toujours quand j’écris viens un moment où j’ai envie de pleurer… Les enfants sont à l’école et j’ai des souvenirs d’odeur de papier cartonné. J’aimais beaucoup les livres scolaires… Le voisin croyait que les moteurs bruyant des camions c’était pour lui faire peur lui passé un message… Vous voyez bien ça se tiens pas ce que j’écris je passe de Jean à Jacques. J’essaye d’alléger mon senti, voyager à deux ça valide, je pourrais très bien avoir passé dix jours chez moi en vous racontant des histoires mais je crois que c’est un exercice trop difficile. J’y étais à Barcelone pendant l’attentat, j’aurais pu facilement être sur la Rambla. Mais non! Merci mon Dieu! J’écris c’est un refuge, je ferais pas un autre voyage tout de suite. Je pense au film X-Men des Marvels comics, y’a des images magnifiques. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 28 août 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je remercie tout le monde pour les gentils messages. Je vais mieux cette nuit je sais que je ne suis pas seul… Vais essayer de vous illustrer ça avec de l’art moderne catalan. J’espère que ça va plaire à plusieurs moi j’ai trouvé ça magnifique… Je reviens à mon senti cette nuit j’étais somnambule j’ai presque jeté l’ordinateur par terre. Pour le moment la nuit est courte je remercie aussi mon lecteur de Deux-Montagnes pour l’appel téléphonique, la matriarche aussi… Oui! J’ai fait beau voyage, j’en reviens pas comme on dit. Je me suis couché tôt ce soir et j’ai dormis trois ou quatre heures… Je souffre beaucoup, j’ai pas besoin que quelqu’un entre chez moi pour déplacer les choses je le fait moi-même somnambule. Maintenant je suis réveillé, j’aime vous écrire… L’écriture ça me tiens en vie, ça m’empêche de délirer dans la vie de tous les jours… Je pense aux bars ouvert dans la nuit de lundi, je sais pas qui va là pendant la semaine quelques alcooliques? Me souviens des deux bonhommes au bar de la brasserie je crois qu’ils étaient là pour la sécurité. J’écoute ce que ça me dis cette nuit, on arrive à minuit… La chasse et les armes à feu arrivent j’ai toujours eu peur de ça comme j’ai peur de la mort. Je racontais qu’à la magnifique noce de Cantley je regardais pas comment les gens buvaient, ça m’intéresse pas si ils ont du plaisir, c’est quand il y a plus de plaisir que je crois pouvoir faire quelque chose pour eux. Minuit tapant, encore trois heure pour essayer d’arrêter le bruit de fond dans la tête. Je souhaite pas que ça vous arrive c’est très douloureux comment écrire qu’on rentre au boulot endormis dans le métro, ce sont tous de vieux souvenirs… J’essaye encore de vous décrire mon senti, c’est bien quand je suis seul chez moi, j’ai jamais eu de copine que je pouvais réveiller la nuit pour parler parfois maintenant je prie. Quand je m’arrête y’a un silence émotif si ça se peut rien n’apparait de mon monde intérieur… Je bois de l’eau, je m’hydrate c’est bon, je mange un bonbon. J’écoute cette saloperie qui me parle heureusement c’est pas toujours comme ça. Je veux pas trop en faire c’est une question de rythme… Je sors plus la nuit je suis trop vieux, la vie nocturne est pas très intéressante avec son lot de buveurs et de toxicomanes ça vous dis pas comment je me sent en espagnol je dirais « muy bien ». Quand je voyage comme ça et que je visite des musées je suis toujours étonné de voir comment l’être humain est capable du meilleur comme du pire. Je crois que ça prend un peu de confiance pour faire mes voyages… Je reste paranoïaque mais c’est moins intense. Je crois que ce seras ça pour cette nuit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Buenas noche!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai une attaque de folie, un grave sentiment de persécution, c’est mon senti du moment même en Espagne j’avais l’idée que les gens parlaient de moi en me dénigrant pourtant je suis encore plus inconnus là-bas. Quand au sentiment d’envahissement je savais très bien que les femmes de chambre entraient… Cette folie est assez fatigante c’est de la maladie… Quelqu’un a dis à une personne les plus intelligente que je connais qu’elle l’étais pas parfois y’a des gens qui manquent de jugement. Je sais pas comment vous présenter le senti de ma folie, les gens selon moi savent que j’augmente mes revenus ce qui me permet de partir en voyage mais je crois que c’est mon droit… Je suis pas totalement revenus j’ai la tête en Espagne pourtant je bâtis pas de châteaux, je suis pas architecte. Y’a aussi ces voitures de police que je croise ça aussi ça fait partis de la persécution pourtant je me sens pas victime. Vous voyez quand je suis dans cet état je suis parfois plus prolifique mais c’est aussi un sentiment qui m’amène à vouloir mourir à en finir, ça fait mal on me permet pas de vivre différentes expériences, faudrait que je retourne puncher à la shop et encore… Pour le moment ça va un peu mieux je vous la dis ma paranoïa, mon passeport affirme que j’ai rien fait de grave, cet après-midi j’essais de chasser les démons j’ai de la difficulté, je pense à la toxicomanie ça aussi c’est un de mes thèmes de prédilection on va me lâcher quand je serai mort, pourtant je pense à vous tous je vous dois de vivre. Je suis seul chez moi, je leurs ai fait quoi à ces gens là, rien! Maudite folie, souffrance je me rétablis oui mais ma tête paranoïde à traverser la mer pour voir les beautés artistiques espagnoles… Ça aussi ces photos que j’utilise si c’est pas permis qu’on me le dise. Je regarde la date d’expiration de mon passeport j’en ai encore pour huit ans… L’ami lui aussi à l’impression qu’on entre chez lui pour déplacer des choses. Je pense que l’envahisseur entre chez nous et déplace des objets pour qu’on l’ais pas trop facile. C’est assez sordide aujourd’hui mais je vais passer à travers ce quotidien j’y reviens… Je pense à ces gens qui déménagent et mettent fin à leurs jours. Aujourd’hui c’était effectivement la rentrée… J’ai jamais mis le feu, je suis perturbé c’est ça mon senti aujourd’hui répondez moi ça va peut-être me calmer… Le chauffeur d’autobus m’a dis bonjour, bonne journée!!! Je sais pas ce que je suis, je me fait de drôle d’idée à vouloir combattre les stigmates. Je crois être différent et je veux pas faire de mal. Je vais vous illustrer ça avec la fabuleuse maison de Gaudi que j’ai heureusement visité. J’ai de la peine, je vais pleurer. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Au revoir!!!
Bernard

dimanche 27 août 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Nuit de dimanche à lundi, lentement j’arrive chez moi. J’essaye de vous montrer les belles images de mon voyage, si j’y pense comme il faut en faisant abstraction de la maladie j’ai adoré ça. J’ai pas vraiment eu de contact avec les Espagnols mais c’était ça. Voilà une partie de mon senti pour cette nuit, j’ai démarré le climatiseur il fait trop chaud, je vais me faire un café. Je suis très heureux de l’avoir fait ce voyage. Le café est très chaud je sais que vous voulez lire autre chose… Je sais pas avec quoi je vais illustrer ça peut-être l’espèce de lampadaire sculpture très effilé pas loin du Musée Picasso. J’ai bien aimé ce quartier… Cette nuit c’est comme si j’étais mort je n’existe plus, c’est la folie, la maladie. Mon senti déréglé, je sais pas trop où je vais. J’essaye de vous donner quelque chose à lire qui fait du sens, c’est difficile y’a toujours la distorsion de la schizophrénie pourtant je la soigne cette maladie, j’ai pas de psychose mais je reste très fou… Ce matin je vais aller à la caisse changer les euros qui me restent pour des dollars. Vais essayer de placer mon texte schizophrénique à Barcelone et Madrid dans les humeurs culturelles c’est une continuité. Mes nuits d’insomnie sont pas toutes perdues, je vous écris. Je suis quand même heureux d’être de retour chez moi. Je pense aux migrants à ceux qui n’ont pas de chez soi, comment la décision de partir de son pays même en guerre doit être difficile. Ces voyages ça me fait des souvenirs, de quoi raconter pendant les longues nuits d’hiver. Ce que je trouve aussi merveilleux c’est que je fais ça sans prendre une goutte d’alcool, ni consommer de drogue j’ai célébré mes vingt-quatre ans d’abstinence là-bas. Je vous dirais que l’idée de boire est maintenant passée mais je dois rester prudent si je veux pas recommencer à zéro où mourir. J’ai terminé mon café je réalise que je suis un gros gaga… Comment vous dire ce sentiment d’être encore en Europe dans des lieu remplis d’histoire… Mon senti c’est presque toujours la même chose quand je vous écris, ça me donne une accalmie, une tranquillité que je trouve pas ailleurs que dans l’écriture… Je crois que je vais recommencer à marcher dans Montréal. Mon lecteur de Deux-Montagnes me demandait quelle serait ma prochaine destination, je sais pas je vais laisser venir, L’Italie, Rome peut-être mais je vais prendre le temps d’arriver. J’en ai beaucoup à rattraper de cette jeunesse manquée. C’est toujours la nuit, je pense que mes habitudes sont revenues, que j’arrive à écrire la nuit et qu’il n’est plus question de décalage horaire. Voilà mon senti est léger, je suis reposé. Je réalise qu’il y a quand même beaucoup de monde qui me lis, je dois vous ménager. C’est presque terminée pour cette nuit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voici encore c’est la nuit de samedi à dimanche. Je mange un croissant, pense à ce gars qui parlait d’un brun pour un billet de cent dollars. J’ai pris une douche me suis parfumé, j’ai pourtant pas de copine… Viens de faire tomber un haut-parleur de l’ordi par terre. Je pense aux autobus de Madrid à la solidarité que je me dois d’avoir avec les gens de Barcelone. J’ai bu un verre de jus d’orange c’est mon petit déjeuner. Je vais essayer de m’en tenir à mon senti, les voix et les bruits se sont calmés presque disparus, sur la rue y’a toujours des voitures qui passent à une vitesse éclair… Je me triture l’âme pour y trouver de la matière.  Je pense à mes snowbirds de l’Outaouais qui s’en vont bientôt eux aussi en Espagne, je crois qu’ils vont adorer ça on a beau dire c’est l’Europe. Je sais pas si mon ami historien de l’art me lis toujours, je veux juste lui dire que j’ai suivi ses conseils et suis allé au musée Picasso et j’ai vu Guernica au musée Reina Sofia à Madrid mais ce qui m’a beaucoup plut c’est le musée d’art moderne catalan, un petit musée mais une riche collection. Hier avec un ami on se demandait à partir de quand on pouvait parler d’art moderne et on était dans la confusion à propos de l’art contemporain… Je suis loin de mon senti avec tout ça, l’art ça passe pas toujours par la tête mais beaucoup parfois par le cœur . C’est la nuit je reviens à mes habitudes insomniaques qui me font « travailler » sur les mots. Dans mon jeune temps vous m’auriez dit que j’allais voyager comme ça je vous aurais pas cru. Je suis toujours paranoïaque mais maintenant ça me paralyse moins. Dans la tête j’ai ces soldats lourdement armé à l’aéroport de Madrid. Ça déboule dans ma tête je n’écris plus tout ce qui s’y passe, je veux trop faire mon intéressant, tout à coup j’ai un parfum de bacon dans le nez. Mon senti qu’est-ce qu’il dit mon senti que j’ai encore sommeil. Mais j’ai la toune « That’s allright mama » dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=NmopYuF4BzY  un retour sur Elvis Presley qui à une époque me semblait très quétaine. Dehors j’entends une fille qui rie, je sais pas pourquoi j’ai cette urgence d’écrire. Cette nuit tout est calme dans le goulag occidental, à la frontière on construit des abris pour le réfugiés haïtiens tout pour nous faire pensez à des camps de concentration. Je sais c’est pas ça y’a de l’hygiène pourtant… Je réussis pas à réfléchir à ce que je vous écris. Voilà! J’ai décidé pour terminer d’arrêter de me censuré c’est comme ça que mon senti s’exprime. Je suis toujours angoissé mais je veux pas que ça me paralyse. Je vous raconte ça presque à la toute fin. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard