dimanche 13 août 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Suis de retour de l’extraordinaire noce de ma nièce, beaucoup de monde et beaucoup de plaisir. La cérémonie étais très émouvante et la bouffe était excellente des hors d’œuvre au dessert. J’ai discuté avec plusieurs personnes exceptionnelle et toute la famille étais là. Je me suis sentis bizarre quand je suis arrivé, mon lecteur de la Rolls-Royce m’a laissé à la porte de chez moi je l’en remercie. Maintenant je me prépare pour l’Espagne et Barcelone… C’est toujours intéressant de parler avec le beauf vif d’esprit, retraité du cégep de L’Outaouais. C’était une vrai noce avec le carillon de couvert sur la vaisselle pour que les mariés s’embrassent et à la toute fin les gentils mon’onk qui ont chanté. Ce soir je suis seul chez moi je pense à tout ça, je trouve ça bien que des jeunes s’engagent et forment une famille. Moi vous le savez j’ai pas eu cette opportunité et j’y ai même jamais pensé mais je suis content pour eux malgré tout ils continuent leurs lignées, je dirais qu’on s’est amusée comme on l’a appris autour d’un magnifique feu de camp. Parlant de discussion j’en ai eu de bonnes avec un vieil ami frère du beauf et avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. C’étais plein de vie cette célébration c’est ce qui me fait dire que y’avais plus que de la sympathie mais beaucoup d’amour de tout le monde. Ce soir je vais réfléchir à mon départ et essayer de me reposer. Je reviens dans mon monde pour une couple de jours, cette visite dans l’Outaouais m’a beaucoup plu mais toute bonne chose à une fin, je rentre chez nous et ma folie s’apaise lentement. La matriarche est encore solide elle participe avec allant à toute ces fêtes, je lui dis bravo. J’espère me rendre à son âge… J’ai commencé mes bagages, je vais essayer de ne rien oublier, des bobettes aux bermudas, de la chemise aux t-shirts.  Je vais essayer encore ce soir de vous faire part de mon senti, je suis heureux c’est étonnant je pensais pas écrire ça un jour, mais voilà semble que le bonheur des autres c’est contagieux, je suis toujours étonné de voir toutes l’énergie de ma lectrice secrétaire à la retraite du cégep de l’Outaouais. Sans parler du très rigolo lecteur de Deux-Montagnes. J’y vais lentement bientôt je serai assis dans l’avion, en espérant que les va-t-en guerre se taisent. Mais c’est autre chose, pour un paranoïaque comme moi la peur c’est mortel… Ce soir je vais rester calme y’a beaucoup de choses sur laquelle je suis impuissant, tout le monde m’a dit que je ferais bon voyage et je crois que oui. Lentement le soleil se couche c’est toujours l’été, le vert c’est toujours beau bien que dans le goulag occidental y’a beaucoup d’asphalte et de béton. J’essais de terminer et je fait des félicitations à tout les organisateurs de la noce. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 11 août 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis un peu, je pense au cathédrale à la spiritualité sur internet. Je crois que me dévoilé comme schizophrène avec comorbidité ça me stigmatise doublement, comme j’ai pas d’employeur en vue c’est un faux problème, si je me dévoile c’est pour aider. Je sais très bien que les gens jugent selon ton travail mais mon exemple c’est ma capacité à me rétablir dans des comités de gestion d’exercer ma pleine citoyenneté. J’en ai une à raconter à un moment dans ma vie j’aidais un livreur, sur le bord de la route y’avait un homme aux cheveux peroxydé qui avait l’air bien seul. Le conducteur me l’a signalé en me disant que j’allais finir comme lui si je lâchais la job et c’est presque ça qui est arrivé… Dans mon enfance on se tenais loin des hommes qui lisaient on disait que c’était des maniaques, au sens violent du mot. Se promener en lisant c’est être différent et cette différence là on en veux pas, on préfère le type qui reviens du travail avachis devant son appareil télé la lecture c’est le stéréotype du fou.  Je pense toujours à ces encouragements à lire au nombre d’illettrés, d’analphabète qu’il y a dans la province et contrairement à ce que dis le poète oui je la connais la couleur du bill de vingt. Comme vous voyez je lâche pas mon filon d’écriture… Non! Je me dénigrerez pas, la vérité c’est que je sais pas ce que les gens pensent de moi et que ça me regarde pas… Ce matin je m’en vais dans l’Outaouais à la noce. J’espère qu’il pleuvra pas… Je me souviens dans les films et les bandes dessinées de mon enfance on se compliquais pas la vie, les bons c’étais les Américains, voilà tout! Je lisais ces petits livres brochés, je crois qu’ils coutaient trente-cinq cennes on y voyais les américains dessinés sous leurs meilleurs jours. Y’avait aussi ces publicités dans les D.C. Comics où on pouvait commander un vrai sous-marin, un vrai char d’assaut, le petit garçon que j’étais étais incapable de voir que c’était impossible, ça servais juste à irriter la matriarche. Écrire… Y’a des scripts un peu partout, à la télé, au cinéma, à la radio, on met des paroles dans la bouche des animateurs et là je me questionne sur la véracité de ce que j’écris. Je pense à ce bonhomme hier qui gueulait dans son téléphone portable qu’il allait fréquenter une jeune femme et qui disait à son interlocuteur qu’il lui manquait de respect. C’est l’interlocuteur qui manquait de respect pas la femme. Tout ça c’est la vie au métro Papineau, les camelots, les mendiants, les itinérants et tous ceux qui à l’époque achetait leurs dope sous le pont. J’ai presque terminé, la nuit c’est le royaume des intoxiqués. Ils peuvent faire leurs petits trafic sans trop être remarqué. Je suis encore dans mon thème de prédilection, je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de regarder deux émissions sur la deuxième guerre mondiale, ça m’a fait mal… Je pense à Trump et à la Corée du nord, ça me déprime, pour avoir moins mal j’ai mis la musique du grand Gordon Lightfoot… Le départ approche j’ai un peu peur de ne jamais revenir, paranoïa! Quand même j’ai hâte d’être assis dans l’avion. J’ai commencé mes bagages mais avant de partir je vais à la noce, ça risque d’être sympathique… J’espère que malgré la météo on va avoir du beau temps… J’écoute de la vieille musique plus de quarante ans. Y’a une sorte de nostalgie qui s’empare de moi, c’est pas bon d’être dans cet état faut que je vive le moment présent et le moment présent c’est chez moi à vous écrire cet immuable senti… Ce week-end pour certain c’est aussi la fin officielle des vacances quoi que je sais pas vraiment quand a lieu la rentrée scolaire, encore deux semaines à s’amuser pour les enfants c’est le vingt-huit août… Tout ce qui est politique je crois être impuissant devant ça, je sais on vote mais qui me dis que ce sont les « bons » qui vont rentrer, enfin je suis pas politologue bien que je parle souvent de pleine citoyenneté et de l’exercer cette citoyenneté, dans les gestes banals du quotidien. J’ai pas de job mais je m’implique dans différents comités à mon niveau. Je sais je devrais me taire, j’essaye de vous écrire ce vieux dicton qui dis que dans une démocratie tu peux crier personne t’entend et dans une dictature tu peux pas parler tout le monde écoute. C’est d’autre affaires de paranoïaque. J’ai peur de ça la politique, je sais que les Catalans ont un statut d’autonomie et sont définit comme une nation, je vais voir là-bas comment ils s’arrangent. Enfin je suis là que quelques jours… Le vieux bonhomme pense encore au pays à faire, mais les assistés ont pas voix au chapitre, prend ce qu’on te donne et ferme là, voilà pourquoi je suis stigmatisé, la folie, la maladie c’est difficile de prendre sa place sans compter qu’il y en a de plus durs que moi qui me laissent pas une chance. La peur de se retrouver à la rue c’est fort, et cette idée d’avoir un roulement dans les appartements supervisés, je la trouve mauvaise… Quand parfois j’ai ce désir-là d’être à la rue mais on m’a dit que c’est trop dur que je résisterais pas. Parfois c’est la fatigue qui me fait écrire des mots pareils. Une chose est sure je veux pas faire de mal. Tout à coup un beau parfum  une belle odeur, ça fait du bien ça me rassure je suis pas à l’hosto… J’espère que je me dénigre pas trop, y’a personne de parfait moi le premier. J’essaye de vous terminer ça sur un mot qui a du sens, accepter, puisqu’il le faut bien. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 10 août 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je comprends que plusieurs d’entre vous ont pas de temps pour la lecture préoccupés que vous êtes par la noce. Moi je me prépare lentement à mon départ pour l’Espagne, juste quelques jours encore. Il est presque une heure du matin et mon post d’hier à aucun lecteur. J’ai souvent l’impression que quelqu’un embarque sur mon compte Facebook… Je vous place une photo de bateau en pensant à mon grand chum, les bateaux c’est sa passion. Souvenirs d’un hiver glacial où le patriarche m’avait trouvé une job au port de Montréal. Je me gelais les mains sur la tuyauterie d’un tanker amarré au quai encore là j’ai pas toffé longtemps, je vous écris pas non plus quand je descendais dans la cale pour la nettoyer avec une brosse et une pelle, je me souviens plus de ce qu’il y avait dans ce réservoir, c’était assez épeurant de descendre au fond par cette ouverture. Bon! Je reviens sur mon senti, c’est étrange comme si je réalisais pas mon départ mercredi,  j’ai commencé mes bagages… J’ai aussi hâte à la noce samedi, comme si c’était moi qui se mariais, toute la gang va être là. Chose étrange j’ai pas sommeil. Je sais pas si je vais amener de la crème solaire… Départ pour l’Outaouais samedi, pour Barcelone Mercredi. Je suis étonné de voir comment je réussis à vivre tranquillement, quand le patriarche m’a indiqué la sortie j’ai eu peur, la première fois que je visitais un appart j’y ai trouvé une douille de vingt-deux ça m’a foutu la trouille, j’ai reçu ça comme un message de menace… Cette année là si je me souviens bien c’était un été torride, sans climatiseur, l’air entrait pas dans l’appartement et je respirais les gaz d’échappement des camions dans la circulation automobile. C’est toujours la même tentative, je répète la même histoire… Hier un voisin est passé, il trouvait ça beau chez moi, beau c’est un peu exagéré mais coloré oui. Souvenirs aussi de ces éternel aller-retour à l’urgence de l’hôpital, des différentes hospitalisations. Je suis heureux j’en ai plus besoin, je me rétablis en m’en tenant à de vrai valeurs sans m’intoxiquer. J’essais de me rappeler du discours que je tenais quand je consommais, c’était tout simplement un discours de fou, assez fou en tout cas pour vivre dans un mouroir, une maison de chambres où on crevait. Plus le départ approche plus ça m’excite, tellement excité que j’ai pas sommeil. C’est le silence dans ma caboche des bribes de phrases surgissent… Mon passeport c’est la preuve que je suis pas criminel, on me laisse sortir du pays comme je veux. Ça me rassure, j’ai aussi changé et arrêté des habitudes malsaines qui me donnaient des complexes. Un vieux de la vieille pour les lectrices, Robert DeMontigny dans Pense un peu à moi https://www.youtube.com/watch?v=aAw9PPCznT4 . Je pense que cette nuit je termine en beauté, je vous embrasse toutes et je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’attends des nouvelles de mon lecteur de la Rolls-Royce, il devrait passer me chercher samedi. Je vais y aller encore une fois aujourd’hui avec mon senti, j’ai fait la sieste et j’ai rêvé aux copains de la radio. Pour plusieurs c’est encore les vacances, je sais pas si ça vas être mon dernier voyage. J’écoute ce que ça me dis, je suis calme, pas de voix, je veut pas que ça s’apparente à de la torture. La photo ça vas être l’entrée de l’hôtel Continental à Trieste. J’ai de bons souvenirs mais c’est pour ça que je vais en voyage pour m’en faire d’autre, c’est pas des reportages que je fais ça part toujours de mon senti. L’ami me reprochais d’utiliser les mêmes photos, c’est difficile comme d’écrire autre chose pour vous faire plaisir. Je sais pas si le jeudi c’est toujours jour de paye pour l’ouvrier, je crois que c’est la journée des chèques de chômage, j’en ai vu sur les comptoirs à la caisse. Le chômage, y’a longtemps déjà j’attendais le facteur à toutes les deux semaines, je surveillais la boîte de courrier, je connaissais assez bien le facteur quand j’habitais chez le patriarche, j’ai fait un bout de temps avec les prestations mais à un moment ils ont resserré les règles et j’ai dû recourir à l’aide sociale avec  un certificat d’inaptitude pour réussir à manger et à payer le loyer. Y’a que lorsque la soirée arrivait que je me sentais bien, il devenait trop tard dans la journée pour me chercher un emploi, de toute façon les emplois que je trouvais me permettais pas de vivre. En France ils veulent changer la loi et vous rendre admissible même si vous démissionner, les emplois que j’avais me tuais, me démolissais, je gagnais vraiment ma vie douloureusement. J’abandonnais… C’est des endroits où je veux plus aller, emploi-Québec et le bureau d’assurance chômage, si vous voulez du mépris vous avez qu’à vous rendre là. Je suis trop vieux pour me rendre là… J’ai peur qu’on me coupe mon revenu de dernier recours. Je crois qu’un retour à l’usine me rendrait encore plus malade, huit heures par jour cinq jours par semaine et de retour dans la case folie et maladie… Je voulais devenir écrivain je le fait j’écris mais pour les autorités ça vaut rien… Je suis trop vieux pour être journalier et vous raconter ça m’ennuis. J’aime pas me faire étriver, je suis trop perdus trop fucker. Je suis un écrivain inconnu à la retraite… Bon! J’essaye de terminer sur une note juste, la schizophrénie je l’ai pas demandé je fais ce que je peux avec et je m’en fais pas une défaite. Cet après-midi comme toujours j’essaye de vous donner mon goddam best… Quand je fais ça mon estime monte un peu, je me sent moins assisté. Voilà ce que l’écriture fait pour moi, j’aime bien vous entendre dire que mon écriture vous aide. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour!  Je croyais qu’il était deux heure du matin, il est à peine une heure. Je me suis quand même levé pour vous écrire. La semaine prochaine à cette heure-ci je vais être en avion en route pour Barcelone. Je fais une prière pour qu’il fasse beau à la noce samedi. J’ai terminé mon café, j’aime bien mon odeur… Je vais aussi m’asseoir sur la Rambla… Y’a plein de choses à faire je sais pas si je vais avoir le temps, faut que je m’arrange pour rien saboter inconsciemment… Je crois que je vais aller changer des dollars pour des Euros aujourd’hui. Je pense aux migrants haïtiens qui arrivent par centaine  moi je suis assez drabe quand je les ai dans la tête. Viens de me relever, j’ai dormis encore un peu, c’est toujours la nuit, samedi mon frère devrais passer me chercher pour aller à la noce chez ma nièce. Aujourd’hui l’ami s’en va en visite à Québec. Je me réveille lentement, je travaille fort pour vous écrire un texte inattendu , tout à coup une odeur et une saveur de bonbons de mon enfance, comme si j’avais à peine dix ans. C’est toujours une tentative d’exprimer mon senti, la nuit est économe de mes sentiments. Je pense à Josélito le petit chanteur Andalou https://www.youtube.com/watch?v=RQnSKqZ-XVg  voilà une chose que je connais de l’Espagne, j’aimais bien regarder les films où il chantais à la télé son vrai nom est José Jiménez Fernàndez. On disait de lui l’enfant à la voix d’or. J’aurais aimé que comme lui un manager me découvre et m’amène chanter dans le vaste monde. Je me souviens aussi des histoires de torero dans le Sélection du Reader’s Digest. Déjà jeudi, je crois que le temps va passer vite, j’attends que mon lecteur en vacance de la Rolls-Royce communique avec moi pour me dire à quelle heure il va passer me chercher samedi. Je pense qu’il reste de moins en moins de monde qui a grandis sans télévision quant à l’internet ça s’est bien installé dans nos vies on « communique ». J’entends le bip d’un camion qui recule dans la cour de Gaz Métropolitain. J’ai mis la télé sur une chaîne latino, les actualités parlent de la France. Je pense au regretté Compay Segundo le chanteur Cubain https://www.youtube.com/watch?v=q61JRKpWg-s  Je suis pas en Espagne je suis à Cuba… J’essais de comprendre ce qui se passe au Vénézuela, j’y arrive pas, l’Espagne c’est loin de l’Amérique du sud. Voilà! J’arrive presque à la fin de ce billet, deux jours encore et si tout va bien je serai à Cantley… Comme toujours je vais me rendre tôt à l’aéroport, j’ai souvenir de ce voyage en groupe à Besançon c’était bien, j’ai hâte d’être sur le quai d’embarquement d’avoir passé tous les contrôles. Je veux pas perdre mes bagages… C’est toujours la nuit, y’a pas beaucoup de circulation, je me sens comme à la veille d’un départ mais pas encore. Je vous remercie de m’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!!
Bernard

mercredi 9 août 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai pris un café dans le parc avec mon ami qui a la sclérose en plaques. C’est toujours intéressant de discuter avec ce courageux monsieur, ça fait déjà un bon bout de temps qu’on se connais disons que j’ai pas grand-chose comparée avec sa souffrance à lui. Quand je suis rentré j’ai fait ma toilette, ça me permet de comprendre que c’est un privilège, l’ami dépend toujours de l’aide extérieure. Je devrais me taire et apprécier comment je suis en acceptant ma folie. Je le remercie d’être mon ami, il me sort de ma nuit maladive. Dans exactement une semaine je pars pour l’Espagne, j’ai hâte, parfois je suis tellement heureux que j’en pleure, j’aurais jamais pensé faire tout ça.  Je fais de plus en plus le tri dans ce que j’écris, je veux pas blesser personne, je ne m’en prend qu’à moi. Quand-même j’aime les avions, j’ai le numéro de téléphone de l’agent de voyage tout ce que je souhaite c’est de ne pas en avoir besoin… Je vous écris pas le nom des hôtels, je le ferai peut-être quand j’y serai. Samedi c’est la noce!!! Une grosse réunion de famille… Ça aussi j’ai hâte. J’écoute les actualités, j’ai fermé la télé ça me fatigue… Je pense que l’avion que je vais prendre c’est un Airbus 310-300… Parfois j’ai la tête tellement pleine je sais pas quoi faire avec… C’est une raison pour laquelle je buvais je voulais que ça arrête, maintenant je transforme ça en ce que vous lisez et en prière. Parfois je réussis à taire tout ça, ce bruit cervical. Je sais plus où je vais, j’avais abandonné l’ordi pour regarder les actualités françaises, je peux dire que les français sont jamais tranquille… Je vais en Espagne pas en France, j’espère que tout va bien se passer.  Il est passé sept heure j’ai bien mangé, j’attends que le climatiseur s’arrête, lentement le soleil se couche… J’ai lu une poésie d’un poète anonyme, poésie affichée sur un poteau de lampadaire, j’aimerais bien écrire des choses aussi belles,  poète voilà mon désir pourtant tout m’arrête c’est pire… Voilà encore des niaiseries, pourtant à la télé y’a des airs de fins du monde… Je réfléchis, le psychiatre dit que c’est pas bon de tout écrire ce qui nous passe dans la tête, pourtant je sais pas faire autrement, ça part et j’y vais, je m’emballe jusqu’à la déroute sans tracer de chemin c’est loin des autoroutes de mots et de lettres offertes pour rien. Ça sort comme si c’était les miens et il en fait les siens celui qui plagie pour bien. Mais non je comprends pas… Voilà je termine en vous écrivant n’importe quoi… Je pense à vous qui lisez, j’essais de vous faire plaisir, comme toujours la difficulté c’est de finir, de terminer, mais oui je vais réussir. J’essais d’arrêter. Voilà c’est la fin de celui-ci, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’espère vous revoir à la prochaine!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard