mercredi 14 juin 2017

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce matin on est à Annecy une ville où vécu Jean-Jacques Rousseau le philosophe. Annecy et se ses canaux, j’illustre ça si ma mémoire est bonne avec un endroit où le philosophe fit un séjour. Annecy une sorte de petite Venise avec ses canaux, le palais de l’île un lieu qui fut une prison où séjourna si je me rappelle bien le penseur. Y’a tellement à dire mais je suis pas philosophe, le palais est sur un fleuve au centre d’Annecy. Je crois que dans un blog précédent j’ai fait une erreur j’ai confondu Chambéry et Annecy… Je passe à mon senti à l’époque de ce voyage je me sentais tellement orgueilleux  je me comparais à Jean-Jacques quelle folie! La région Rhône-Alpes j’y ai fait un court séjour mais c’étais magnifique… Ce matin je pense à un rendez-vous demain où j’irai pas, je crois que l’amie est malade. Y’a eu de ces jours comme ça dans mon itinérance, je me rendait en France… J’ai hâte de prendre l’avion pour cet autre pays qu’est l’Espagne. J’essaye de terminer la lecture d’une traduction d’un roman espagnol que j’ai déjà lu. Lentement les journées avancent… Moi j’accumule pas de choses je voyage. L’écran me garde réveillé… C’est la nuit qui finie pour les bars, le centre-ville va se peupler de drifter, je sais pas combien de souffrant la police va ramassé… Aujourd’hui j’ai rien à l’agenda et c’est tant mieux, je vais m’avancer dans mes lectures… J’espère que vous croyez pas que je suis guéris, y’a que le rétablissement qui est possible, parfois chez certaine femmes je vois leurs névroses ça m’irrite. Cette nuit c’est plus frais, faut vraiment avoir rien à dire pour parler de température. À un moment dans ma vie je voulais faire du cinéma et leurs montrer comment ça se passait une vrai bagarre où encore jouer le gars saoul devant une caméra et prendre des médicaments à en mourir. C’est toujours des idioties. Je pense aux rêveries du promeneur solitaire, j’aime bien la marche c’est là que s’arrête ma comparaison avec Jean-Jacques. Je sais pas si je vais dans la bonne direction avec cette écriture, faut que je l’écrive ça aussi ça fait partie de mon senti https://www.youtube.com/watch?v=R76URfXE_ck La nuit je mens une magnifique chanson mais contrairement à lui j’essais de m’en tenir à la vérité. Le regretté Alain Bashung, un artiste immense. Hé oui! La nuit est avancée c’est mercredi, j’espère que bientôt j’aurai le dédommagement en pièces sonnantes et trébuchantes. Il est tant que je termine quand j’écoute le frigo ronronner, j’ai dans le nez un parfum agréable… Dehors un passant parle seul, mais non il a pas de téléphone… J’essaye de vous terminer ça d’une traite, comment souvent j’y vais avec des mots automatiques, cette façon post-moderne? D’écrire, vous voyez bien et quand je pars comme ça sans trop y penser j’ai tendance à me dénigrer, je suis pas seul à être debout. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

mardi 13 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis de retour, j’ai été occupé tout l’après-midi. Sur la photo vous me voyez dans mon jeune temps dans la cour d’un château usurpant la place du châtelain, enfin je crois c’est peut-être la cour et le puit d’un village dont je me rappelle plus le nom. Aujourd’hui je retourne trop en arrière j’écris des bêtises. Je vais comme à l’habitude m’en tenir à mon senti, les ouvriers sont pas passé réparer le robinet…  Dans le journal Le Devoir y’avait un article sur la regretté grande poétesse Josée Yvon, elle disait qu’il fallait tout dire, je suis pas capable de faire ça j’ai reviré de bord. La poésie c’est très personnel, c’est un langage unique propre à chacun, moi je suis plus prosaïque que poétique, j’aime pas j’aime plus employer les mots de la mort, autant laissé ça la puisqu’ils viendront sans me le demander, langage d’un malade vénérien, c’est juste une tentative, j’arrive pas à la botte des poètes sanctifiés. Ça presse pas de mourir, ça viendras bien assez vite… Je regarde de vieilles photos d’il y a à peu près trente ans, des souvenirs de la France… Je réussis pas à écouter mon cœur, j’espère que l’ami historien de l’art a pas trouvé trop « bête » ma description des éléphants, je suis pas très, très, cultivé j’ai des problèmes avec les couverts quand je mange dans les salons. Que voulez-vous j’ai appris sur le tas, et j’en fais un tas d’idiotie, je m’excuse de vous écrire comme ça. Je regrette, je regrette vraiment de vous imposer ça ces photos là sont de l’époque de la moppe, une sale époque, pas longtemps après je ne travaillerai plus, je perdrai ma chambre pour des malhonnêtetés et je me retrouverai à la rue, sans argent, sans logis et dehors à essayer de me geler de me saouler. Maintenant et depuis quelques années j’essais de me corriger ça va mieux… Je trouve pas quoi vous écrire, c’est comme si y’avait que moi qui a été malhonnête, maintenant je suis honnête. Je devrais pas vous écrire ça mais c’est mon senti. Vaudrais peut-être mieux que j’écrive moins, moins de bêtises mais c’est un contrat que j’ai pris avec moi comme ça à tous les jours. Je sais pas quand ce cycle seras terminé quand je devrai cesser de m’écouter et essayer d’imaginer. Aujourd’hui c’est vraiment l’été ça fait longtemps qu’on l’attendait, le soleil brille, je crois que les plages et les piscines vont ouvrir bientôt, je suis pas un fan de ça, je préfère la climatisation des musées. Semble que quand je serai à Barcelone il va faire très chaud, lentement le départ s’en viens… J’arrive toujours à marcher, en voyage je me lève toujours tôt. J’aurai jamais fait tant de lecture avant de partir. J’espère que je vais revenir moins idiot. Voilà où j’en suis ce soir, écris avec un parfum de beigne à l’érable. J’arrête, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 12 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, aujourd’hui il a fait très chaud, le climatiseur a été utile, aujourd’hui j’illustre ça avec les éléphants de Chambéry une œuvre de fonte de fer de Pierre Victor Sappey en hommage au Général de Boigne inauguré le dix décembre mille huit cent trente huit. Y’a longtemps j’ai passé une partie du printemps en province Française. Grosse journée aujourd’hui, matin groupe d’entraide, après-midi participation à une étude qui vise à faire des changements dans le DSM V et en soirée j’ai assisté à la générale de Demain matin Montréal M’attend de Michel Tremblay. Je suis pas critique de théâtre mais y’avait des tableaux réellement touchant, j’ai beaucoup aimé l’éclairage étrangement une note de musique m’a fait penser au Phantom of the Paradise. Je reviens encore cette nuit avec mon senti, la nuit est calme, la rue Sainte-Catherine ouest étais bruyante avec les Francofolies, du rock heavy francophone ça m’intéresse moins maintenant. J’écoute ce que ça dis en moi, je veux pas tout vous raconter, j’ai un peu changé de philosophie à ce propos. J’ai discuté avec les amis de mon voyage à Barcelone, je devrai être prudent. Je pense à ce petit gars en vélo sur le Mall à Washington, il criais « FUCK ALL THIS! » C’est la seule personne dérangeante que j’ai vu à Washington. Je vous en ai surement déjà parlé. Hé oui! J’écris parlé parce que ce que j’écris, la fréquence s’apparente au langage. Je sais pas si avec mon senti j’ai réussis à développer une sorte d’intimité avec vous. J’aimerais ça parfois je vous fait des confidences, cet après-midi je me suis un peu inquiétez pour la matriarche qui ne répondait pas au téléphone, elle était pas chez elle mais à ses activités, c’est une inspiration à son âge et se tenir occupé. Quand j’ai pas d’idée j’ai tendance à me dénigrer, faut pas! Ce soir on m’a demandé de participer à un autre forum santé mentale cet automne, avec un collègue et l’agent de programmation on va parler de notre participation au banquet de la mémoire notre création collective. J’ai recommencé à marcher je vais y aller graduellement, de toute façon j’ai pas de voiture et parfois plutôt que d’attendre l’autobus je marche jusqu’à la station de métro aller-retour ça fait bien trente minutes de marche sans compter la marche du métro jusqu’à l’institut. Je reviens sur mon impatience, j’ai hâte de partir en voyage. C’est un peu un cadeau que je me fait pour mon rétablissement. Parfois je termine des journées comme aujourd’hui et j’ai un peu de bonheur, tant mieux! Je le prends quand ça passe. Ce soir je me suis un peu relu, je crois que maintenant mes textes sont moins touchant pourtant… J’entends une moto qui passe, la nuit est avancée, je sais pas si je vous ai touché où au moins intéressé. Je pense qu’il est temps que je me repose. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!  Ciao!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les bars viennent de fermer certains sont satisfait de ne pas rentré seul. Ils ont trouvé quelqu’un avec qui ils ont des atomes crochus. Quand j’écris comme ça je pense toujours au film « Looking for Mr. Goodbar », une rencontre sordide… Souvenir aussi de ces femmes qui voulaient que je déménage dans un appartement avec un poste d’observation. Elles voulaient que je renonce à ma liberté. Pourtant même en Europe j’ai bu mais pas dans ces dernières années. Mais non j’y étais pas entré dans ce petit bar bucolique. J’avais quand même soif d’alcool et de socialisation, comme un bon alcoolique je spottais les endroits pour boire. Heureusement j’étais pas seul ça me retenais un peu. Je crois que la copine m’auraient bien abandonné là… J’ai parlé avec l’agent de voyage, je devrais avoir des nouvelles dans un mois, me reste que ça à faire attendre. Quand je prends une douche j’ai toujours l’impression de partir en voyage, tellement de souvenirs… J’ai hâte d’y être en Espagne en attendant je vais essayer de me souvenir de quelques notions de langue espagnole, la mère de famille de Cantley doit être nerveuse ses noces arrivent bientôt. Je sais mon affaire c’est pas Saint-Denys-Garneau ni Marie-Claire Blais, je chuchote pas je crie. Je vais essayer de revenir à mon senti https://www.youtube.com/watch?v=4KP9PNSUME4 une toune de nuit torride… Lentement le jour arrive, y’a une odeur de sucre caramélisé, j’écris et après je vais déjeuner. C’est étonnant que dans un beau pays comme la France j’ais pas trouvé autre chose à photographier que l’entrée de ce petit bar, quand je suis passé c’était fermé… Je suis tordu je pense à l’avion qui va me déposer à Barcelone, on m’a dit qu’à l’hôtel je trouverais tous les services pour visiter, j’aurai qu’à demander au concierge. Ce matin j’ai de la peine, j’aimerais bien qu’on me paye mon du cet après-midi, on appelle ça de la pensée magique, j’ai rien demandé je crois pas que ça marche. Ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide. Lundi matin, je vais suivre le cours des choses, j’arrive pas, j’arrive pas à vous dire comme un mauvais bègue, je pense à Plume Latraverse à son Stella Daily breakfeast blues… L’apologie du hangover de l’alcoolisme, j’ai oublié toutes ces chansons malsaines que nous faisaient entendre ces idoles de la chanson. Pauvre fou! Pauvre Fou! Ce qu’on avais en commun c’était la grosse bière à part ça rien… C’étais y’a longtemps, ils entrainaient notre belle jeunesse dans la perversité… Je vois encore ces gens qui veulent m’évincer mais non je ne bougerai pas… Je sais pas pourquoi on s’acharne sur moi, c’est surement ma paranoïa… J’ai pas envie de déménager le premier juillet, la date fatidique. Voilà où j’en suis ce matin. Je termine lentement et après je vais essayer de dormir encore un peu. Quelques mots encore, je crois qu’il tonne… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère comme toujours beaucoup!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 11 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai installé le climatiseur, ce matin je suis allé marcher rue Ontario. Il fait beau soleil, j’aimerais qu’il fasse cette température là pendant mon voyage en Espagne… Je vais vous mettre une photo de ma première rencontre avec rhinocéros. Lentement le studio se rafraichis, j’ai pris quelques photos ce matin. Hier l’ami est passé, il m’a dit qu’il trouvait pas que chez moi c’était le bordel. J’écoute parler les journalistes politique et les politiciens semble qu’il n’y a plus de place pour le cynisme, ça l’air que la terreur fait la job. J’ai vieillis semble que les choses ont pas changés, que le mal fait toujours son œuvre ont peu plus rigoler. Y’a une sorte de gourou sur facebook qui donne des recettes pour réussir sa vie, les gens sont tellement seul ils sont prêt à faire n’importe quoi, le gourou vous dirais le contraire, que sa façon est la seule bonne façon… Bon je le laisse là! Ça m’intéresse pas. Cet après-midi j’ai peur que le climatiseur pète pourtant je l’ai réglé sur auto. Je sais vous voulez toute la poésie de mon senti… Un poète faut que ça sois écologique, que ça écrive sur du papier q. Pas de sucre, végan et les mots toujours de la bonne façon, j’ai peur d’écrire mes niaiseries mon ami historien d’art va se payer ma gueule, lui c’est un vrai artiste, moi j’essaye d’en être un. Je pense que dans la poésie le mot doit être rare. C’est de la prose que j’écris, du babillage. Je sens l’air frais, mon senti est pas dans l’introspection, je meurs un peu à chaque lettre, vous me faites mentir, la résurrection n’auras pas lieu, sacrilège, c’est la fin qu’une fois. Les poètes sont souvent dans les mots d’ivresses, on admire l’alcoolique qui s’exprime et se tue à petites lampées de bière, quand il est plus raffinée il boit du vin, cette torture du senti… J’y arrive pas, juste des mots et des maux faciles, j’aimerais bien m’entendre pourtant je m’étends. Mais non je me dénigrerai pas, les terroristes ont réintroduis le sérieux dans la politique. J’arrête ça là, j’aimerais bien être un homme de lettre mais ma prose est domestique, le mode automatique du climatiseur fonctionne. C’est la prose du quotidien, y’a pas de quoi trouver ça drôle, le texte d’un ouvrier journalier du dimanche… J’arrive pas, je veux aller trop vite, les poètes gagnent des prix moi je suis contre les prix je suis pas à vendre pourtant ce que j’écris ça vaux pas cher, c’est mon senti payé en hectolitres de sueur. Je suis allé dans mes archives pour la photo… J’ai hâte de partir pour l’Espagne, découvrir… Tout ça c’est des pattes de mouches c’est à ça qu’on voie le retour de l’été. Je pense que je dois préciser que le rhino est français. Le type à gauche sur la photo c’est moi dans mon jeunes temps. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 10 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les policiers s’en vont dans Hochelaga, ils vont dans l’est en tout cas. J’arrive pas à être sentimental avec vous tous. Je vous fait part de mon senti en essayant de faire abstraction du mental… Je sais pas pourquoi je pense au directeur de la santé mentale de la province probablement parce que j’ai besoin d’une direction… La travailleuse sociale va me faire un plan de soin semble que dans mon cas c’est obligatoire. Y’a ce rapport avec l’émotion quand quelqu’un est près et me touche. Je crois qu’elle se situe là ma schizophrénie dans ma façon de réagir et de l’exprimer. J’aime pas beaucoup ceux qui défont le langage, j’arrive pas à les suivre du moins j’essais de les tenir loin. J’ai pas mal oublier comment ça se passe entre mes deux oreille, j’entends ces mots qu’on déchire, j’essais d’être clair… Comment vous dire les motos passent, plus tard ce matin je vais marcher… C’est une nuit chaude de grand prix, ce midi ce seras la course ça m’émeut pas à en pleurer, l’écrivain Hubert Aquin était un grand fan de formule un, quoi dire? Il s’est surement pas enlevé la vie à cause des courses de voitures… Minuit quarante-sept les américains sont saouls dans Montréal. Ils sont très heureux de savoir que ça ne prend que dix-huit ans pour entrer dans les bars à Montréal. Je soupçonne Hubert d’avoir été un bipolaire d’avoir vécu entre des hauts et des bas intenses. Le dernier auras été de trop mais tout ça essaye d’être de la littérature… Je pense aux voitures vintage de mon lecteur de deux Montagnes… Moi ce qui me fait tripper c’est plutôt la marche, hier matin j’y suis arrivé. Je crois que je vais pouvoir marcher à Barcelone… À Montréal y’a des céramiques que je veux photographier… Je vais marcher rue Ontario, c’est à la limite est de mon quartier. Hier soir l’ami est passé on a parlé bateau, je vous place une vieille photo égratigné d’une de nos sorties en voilier. Dehors y’en a un qui gueule je sais pas pourquoi, en voilier je suis pas un trop bon équipier je sais pas comment faire des nœuds. Ce soir je vous illustre ça avec ma grosse face… Bon! Je vais défiler ça sans trop faire ma guidoune, encore une heure et demie avant la fermeture des bars mais je crois que pour le grand-prix ils ont étiré ça. Les conducteurs cette nuit se croient au volant d’une formule un, ils rêvent éveillé… Je préfère quand même la voile aux voitures. Cette nuit dehors c’est très vivant, y’a peut être des péripatéticiennes dans le coin… C’est des bums qui profitent de la chaleur de la nuit… Voilà pour cette nuit, je trouve plus quoi vous raconter, l’autobus est passée… Je les entends sacrer et jurer ça m’ennuie avant d’aller au lit… Je pense qu’ils sont sur le toit en face. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce matin j’ai repris avec la marche. Il faisait tellement beau, j’ai marché du coin Frontenac et Sainte-Catherine pour me rendre Saint-Denis et Mont-Royal, j’ai vu que je suis encore capable. J’y retourne demain c’est un réchauffement pour mon voyage à Barcelone et à Madrid… Je suis content de mon samedi, je vais comme toujours vous écrire sur mon senti, la marche c’est pas un grand sport mais pour moi c’est le minimum. Je vais peut-être aller vers l’est demain au marché Maisonneuve, la fenêtre est ouverte je profite de la chaleur… Je me calme un peu à propos de mon voyage, l’ami me dis que ça va bien aller, c’est encourageant, j’ai regardé les vidéos sur les musées que l’ami historien de l’art m’a prêté, c’est très beau comment dire? Je vais essayer de pas rater ça, en attendant je regarde les œuvres du bas de la ville de Montréal. La fermière d’Alfred Laliberté est très intéressante. J’ai l’impression de me répéter, je crois qu’à l’époque c’était la ville de Maisonneuve… Je ferai pas mon savant à soir, j’écoute comme toujours ce que mon cœur dis… Je préfère l’est et le goulag occidental à l’embrouillaminis de l’ouest la rue Crescent piétonne… Je cherche le calme j’aime pas, j’aime plus les foules, le matin c’est bien pour marcher. Je serai pas longtemps en Espagne mais assez pour gouter un peu à la culture catalane… Touriste, pourquoi pas? À mon âge on attend pas la noce pour voyager, je partirais jamais… Je crois qu’il y a les Francofolies, ça aussi j’y vais pas, j’aime pas être seul dans la foule. J’ai tellement eu froid cet hiver je trouve qu’il est un peu tôt pour installer le climatiseur, ce soir j’aime bien la chaleur. À une autre époque j’étais si malade je me rendais sur la Côte-nord, c’était si triste, en fait c’est moi qui étais triste qui souffrais. Je crois être dans mon rétablissement, ça va mieux… Je réalise pas l’heure qu’il est, tôt encore on est pas dans la soirée… Je dis que j’aime pas les foules mais sur la Rambla à Barcelone il doit y avoir beaucoup de monde. Je suis pas un grand poète, je cherche toujours comment dire mais je suis toujours dans l’urgence. La Fermière je sais pas si c’est assez organique pour appeler cette œuvre de l’art nouveau? Je reviens à l’avion à comment j’ai hâte de m’envoler… Présentement je lis pour la deuxième fois un livre qui se passe à Barcelone et j’en ai acheté un autre une Brique inspiré aussi de Barcelone. Moi j’essaye d’écrire au travers de tout ça. Je sais plus quoi vous écrire, j’essaye de dire sans être trop exalté. Je pense aux corps qui exultent de Brel demandez moi pas pourquoi je sais pas. Mon  désir est mort et je ne m’en porte que mieux, encore une idée de vieux. Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard