lundi 12 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, aujourd’hui il a fait très chaud, le climatiseur a été utile, aujourd’hui j’illustre ça avec les éléphants de Chambéry une œuvre de fonte de fer de Pierre Victor Sappey en hommage au Général de Boigne inauguré le dix décembre mille huit cent trente huit. Y’a longtemps j’ai passé une partie du printemps en province Française. Grosse journée aujourd’hui, matin groupe d’entraide, après-midi participation à une étude qui vise à faire des changements dans le DSM V et en soirée j’ai assisté à la générale de Demain matin Montréal M’attend de Michel Tremblay. Je suis pas critique de théâtre mais y’avait des tableaux réellement touchant, j’ai beaucoup aimé l’éclairage étrangement une note de musique m’a fait penser au Phantom of the Paradise. Je reviens encore cette nuit avec mon senti, la nuit est calme, la rue Sainte-Catherine ouest étais bruyante avec les Francofolies, du rock heavy francophone ça m’intéresse moins maintenant. J’écoute ce que ça dis en moi, je veux pas tout vous raconter, j’ai un peu changé de philosophie à ce propos. J’ai discuté avec les amis de mon voyage à Barcelone, je devrai être prudent. Je pense à ce petit gars en vélo sur le Mall à Washington, il criais « FUCK ALL THIS! » C’est la seule personne dérangeante que j’ai vu à Washington. Je vous en ai surement déjà parlé. Hé oui! J’écris parlé parce que ce que j’écris, la fréquence s’apparente au langage. Je sais pas si avec mon senti j’ai réussis à développer une sorte d’intimité avec vous. J’aimerais ça parfois je vous fait des confidences, cet après-midi je me suis un peu inquiétez pour la matriarche qui ne répondait pas au téléphone, elle était pas chez elle mais à ses activités, c’est une inspiration à son âge et se tenir occupé. Quand j’ai pas d’idée j’ai tendance à me dénigrer, faut pas! Ce soir on m’a demandé de participer à un autre forum santé mentale cet automne, avec un collègue et l’agent de programmation on va parler de notre participation au banquet de la mémoire notre création collective. J’ai recommencé à marcher je vais y aller graduellement, de toute façon j’ai pas de voiture et parfois plutôt que d’attendre l’autobus je marche jusqu’à la station de métro aller-retour ça fait bien trente minutes de marche sans compter la marche du métro jusqu’à l’institut. Je reviens sur mon impatience, j’ai hâte de partir en voyage. C’est un peu un cadeau que je me fait pour mon rétablissement. Parfois je termine des journées comme aujourd’hui et j’ai un peu de bonheur, tant mieux! Je le prends quand ça passe. Ce soir je me suis un peu relu, je crois que maintenant mes textes sont moins touchant pourtant… J’entends une moto qui passe, la nuit est avancée, je sais pas si je vous ai touché où au moins intéressé. Je pense qu’il est temps que je me repose. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!  Ciao!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les bars viennent de fermer certains sont satisfait de ne pas rentré seul. Ils ont trouvé quelqu’un avec qui ils ont des atomes crochus. Quand j’écris comme ça je pense toujours au film « Looking for Mr. Goodbar », une rencontre sordide… Souvenir aussi de ces femmes qui voulaient que je déménage dans un appartement avec un poste d’observation. Elles voulaient que je renonce à ma liberté. Pourtant même en Europe j’ai bu mais pas dans ces dernières années. Mais non j’y étais pas entré dans ce petit bar bucolique. J’avais quand même soif d’alcool et de socialisation, comme un bon alcoolique je spottais les endroits pour boire. Heureusement j’étais pas seul ça me retenais un peu. Je crois que la copine m’auraient bien abandonné là… J’ai parlé avec l’agent de voyage, je devrais avoir des nouvelles dans un mois, me reste que ça à faire attendre. Quand je prends une douche j’ai toujours l’impression de partir en voyage, tellement de souvenirs… J’ai hâte d’y être en Espagne en attendant je vais essayer de me souvenir de quelques notions de langue espagnole, la mère de famille de Cantley doit être nerveuse ses noces arrivent bientôt. Je sais mon affaire c’est pas Saint-Denys-Garneau ni Marie-Claire Blais, je chuchote pas je crie. Je vais essayer de revenir à mon senti https://www.youtube.com/watch?v=4KP9PNSUME4 une toune de nuit torride… Lentement le jour arrive, y’a une odeur de sucre caramélisé, j’écris et après je vais déjeuner. C’est étonnant que dans un beau pays comme la France j’ais pas trouvé autre chose à photographier que l’entrée de ce petit bar, quand je suis passé c’était fermé… Je suis tordu je pense à l’avion qui va me déposer à Barcelone, on m’a dit qu’à l’hôtel je trouverais tous les services pour visiter, j’aurai qu’à demander au concierge. Ce matin j’ai de la peine, j’aimerais bien qu’on me paye mon du cet après-midi, on appelle ça de la pensée magique, j’ai rien demandé je crois pas que ça marche. Ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide. Lundi matin, je vais suivre le cours des choses, j’arrive pas, j’arrive pas à vous dire comme un mauvais bègue, je pense à Plume Latraverse à son Stella Daily breakfeast blues… L’apologie du hangover de l’alcoolisme, j’ai oublié toutes ces chansons malsaines que nous faisaient entendre ces idoles de la chanson. Pauvre fou! Pauvre Fou! Ce qu’on avais en commun c’était la grosse bière à part ça rien… C’étais y’a longtemps, ils entrainaient notre belle jeunesse dans la perversité… Je vois encore ces gens qui veulent m’évincer mais non je ne bougerai pas… Je sais pas pourquoi on s’acharne sur moi, c’est surement ma paranoïa… J’ai pas envie de déménager le premier juillet, la date fatidique. Voilà où j’en suis ce matin. Je termine lentement et après je vais essayer de dormir encore un peu. Quelques mots encore, je crois qu’il tonne… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère comme toujours beaucoup!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 11 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai installé le climatiseur, ce matin je suis allé marcher rue Ontario. Il fait beau soleil, j’aimerais qu’il fasse cette température là pendant mon voyage en Espagne… Je vais vous mettre une photo de ma première rencontre avec rhinocéros. Lentement le studio se rafraichis, j’ai pris quelques photos ce matin. Hier l’ami est passé, il m’a dit qu’il trouvait pas que chez moi c’était le bordel. J’écoute parler les journalistes politique et les politiciens semble qu’il n’y a plus de place pour le cynisme, ça l’air que la terreur fait la job. J’ai vieillis semble que les choses ont pas changés, que le mal fait toujours son œuvre ont peu plus rigoler. Y’a une sorte de gourou sur facebook qui donne des recettes pour réussir sa vie, les gens sont tellement seul ils sont prêt à faire n’importe quoi, le gourou vous dirais le contraire, que sa façon est la seule bonne façon… Bon je le laisse là! Ça m’intéresse pas. Cet après-midi j’ai peur que le climatiseur pète pourtant je l’ai réglé sur auto. Je sais vous voulez toute la poésie de mon senti… Un poète faut que ça sois écologique, que ça écrive sur du papier q. Pas de sucre, végan et les mots toujours de la bonne façon, j’ai peur d’écrire mes niaiseries mon ami historien d’art va se payer ma gueule, lui c’est un vrai artiste, moi j’essaye d’en être un. Je pense que dans la poésie le mot doit être rare. C’est de la prose que j’écris, du babillage. Je sens l’air frais, mon senti est pas dans l’introspection, je meurs un peu à chaque lettre, vous me faites mentir, la résurrection n’auras pas lieu, sacrilège, c’est la fin qu’une fois. Les poètes sont souvent dans les mots d’ivresses, on admire l’alcoolique qui s’exprime et se tue à petites lampées de bière, quand il est plus raffinée il boit du vin, cette torture du senti… J’y arrive pas, juste des mots et des maux faciles, j’aimerais bien m’entendre pourtant je m’étends. Mais non je me dénigrerai pas, les terroristes ont réintroduis le sérieux dans la politique. J’arrête ça là, j’aimerais bien être un homme de lettre mais ma prose est domestique, le mode automatique du climatiseur fonctionne. C’est la prose du quotidien, y’a pas de quoi trouver ça drôle, le texte d’un ouvrier journalier du dimanche… J’arrive pas, je veux aller trop vite, les poètes gagnent des prix moi je suis contre les prix je suis pas à vendre pourtant ce que j’écris ça vaux pas cher, c’est mon senti payé en hectolitres de sueur. Je suis allé dans mes archives pour la photo… J’ai hâte de partir pour l’Espagne, découvrir… Tout ça c’est des pattes de mouches c’est à ça qu’on voie le retour de l’été. Je pense que je dois préciser que le rhino est français. Le type à gauche sur la photo c’est moi dans mon jeunes temps. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 10 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les policiers s’en vont dans Hochelaga, ils vont dans l’est en tout cas. J’arrive pas à être sentimental avec vous tous. Je vous fait part de mon senti en essayant de faire abstraction du mental… Je sais pas pourquoi je pense au directeur de la santé mentale de la province probablement parce que j’ai besoin d’une direction… La travailleuse sociale va me faire un plan de soin semble que dans mon cas c’est obligatoire. Y’a ce rapport avec l’émotion quand quelqu’un est près et me touche. Je crois qu’elle se situe là ma schizophrénie dans ma façon de réagir et de l’exprimer. J’aime pas beaucoup ceux qui défont le langage, j’arrive pas à les suivre du moins j’essais de les tenir loin. J’ai pas mal oublier comment ça se passe entre mes deux oreille, j’entends ces mots qu’on déchire, j’essais d’être clair… Comment vous dire les motos passent, plus tard ce matin je vais marcher… C’est une nuit chaude de grand prix, ce midi ce seras la course ça m’émeut pas à en pleurer, l’écrivain Hubert Aquin était un grand fan de formule un, quoi dire? Il s’est surement pas enlevé la vie à cause des courses de voitures… Minuit quarante-sept les américains sont saouls dans Montréal. Ils sont très heureux de savoir que ça ne prend que dix-huit ans pour entrer dans les bars à Montréal. Je soupçonne Hubert d’avoir été un bipolaire d’avoir vécu entre des hauts et des bas intenses. Le dernier auras été de trop mais tout ça essaye d’être de la littérature… Je pense aux voitures vintage de mon lecteur de deux Montagnes… Moi ce qui me fait tripper c’est plutôt la marche, hier matin j’y suis arrivé. Je crois que je vais pouvoir marcher à Barcelone… À Montréal y’a des céramiques que je veux photographier… Je vais marcher rue Ontario, c’est à la limite est de mon quartier. Hier soir l’ami est passé on a parlé bateau, je vous place une vieille photo égratigné d’une de nos sorties en voilier. Dehors y’en a un qui gueule je sais pas pourquoi, en voilier je suis pas un trop bon équipier je sais pas comment faire des nœuds. Ce soir je vous illustre ça avec ma grosse face… Bon! Je vais défiler ça sans trop faire ma guidoune, encore une heure et demie avant la fermeture des bars mais je crois que pour le grand-prix ils ont étiré ça. Les conducteurs cette nuit se croient au volant d’une formule un, ils rêvent éveillé… Je préfère quand même la voile aux voitures. Cette nuit dehors c’est très vivant, y’a peut être des péripatéticiennes dans le coin… C’est des bums qui profitent de la chaleur de la nuit… Voilà pour cette nuit, je trouve plus quoi vous raconter, l’autobus est passée… Je les entends sacrer et jurer ça m’ennuie avant d’aller au lit… Je pense qu’ils sont sur le toit en face. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce matin j’ai repris avec la marche. Il faisait tellement beau, j’ai marché du coin Frontenac et Sainte-Catherine pour me rendre Saint-Denis et Mont-Royal, j’ai vu que je suis encore capable. J’y retourne demain c’est un réchauffement pour mon voyage à Barcelone et à Madrid… Je suis content de mon samedi, je vais comme toujours vous écrire sur mon senti, la marche c’est pas un grand sport mais pour moi c’est le minimum. Je vais peut-être aller vers l’est demain au marché Maisonneuve, la fenêtre est ouverte je profite de la chaleur… Je me calme un peu à propos de mon voyage, l’ami me dis que ça va bien aller, c’est encourageant, j’ai regardé les vidéos sur les musées que l’ami historien de l’art m’a prêté, c’est très beau comment dire? Je vais essayer de pas rater ça, en attendant je regarde les œuvres du bas de la ville de Montréal. La fermière d’Alfred Laliberté est très intéressante. J’ai l’impression de me répéter, je crois qu’à l’époque c’était la ville de Maisonneuve… Je ferai pas mon savant à soir, j’écoute comme toujours ce que mon cœur dis… Je préfère l’est et le goulag occidental à l’embrouillaminis de l’ouest la rue Crescent piétonne… Je cherche le calme j’aime pas, j’aime plus les foules, le matin c’est bien pour marcher. Je serai pas longtemps en Espagne mais assez pour gouter un peu à la culture catalane… Touriste, pourquoi pas? À mon âge on attend pas la noce pour voyager, je partirais jamais… Je crois qu’il y a les Francofolies, ça aussi j’y vais pas, j’aime pas être seul dans la foule. J’ai tellement eu froid cet hiver je trouve qu’il est un peu tôt pour installer le climatiseur, ce soir j’aime bien la chaleur. À une autre époque j’étais si malade je me rendais sur la Côte-nord, c’était si triste, en fait c’est moi qui étais triste qui souffrais. Je crois être dans mon rétablissement, ça va mieux… Je réalise pas l’heure qu’il est, tôt encore on est pas dans la soirée… Je dis que j’aime pas les foules mais sur la Rambla à Barcelone il doit y avoir beaucoup de monde. Je suis pas un grand poète, je cherche toujours comment dire mais je suis toujours dans l’urgence. La Fermière je sais pas si c’est assez organique pour appeler cette œuvre de l’art nouveau? Je reviens à l’avion à comment j’ai hâte de m’envoler… Présentement je lis pour la deuxième fois un livre qui se passe à Barcelone et j’en ai acheté un autre une Brique inspiré aussi de Barcelone. Moi j’essaye d’écrire au travers de tout ça. Je sais plus quoi vous écrire, j’essaye de dire sans être trop exalté. Je pense aux corps qui exultent de Brel demandez moi pas pourquoi je sais pas. Mon  désir est mort et je ne m’en porte que mieux, encore une idée de vieux. Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

vendredi 9 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je viraillait dans mon lit, je me suis levé je préfère vous écrire. La peur commence à me prendre à propos du voyage, j’ai beau me dire j’ai rien à craindre, je deviens anxieux. Je pense à mon lecteur chauffeur d’autobus qui me dis que chaque fois qu’il part en voyage, il a peur mais il faut la dépassé cette peur. L’illustration ce soir c’est un commerce dans une ville du Rhône y’a plus de trente ans de ça, une époque difficile où je croyais « guérir » en voyageant. J’avais oublié qu’en France le vin était bon et pas cher. Je reviens à mon senti, j’ai pris ma médication, aujourd’hui je disais à la travailleuse sociale qu’il y a pas un toxicomane qui donnerais une cenne pour ces médicaments. Je pense à un voisin qu’on ne voie plus depuis qu’il s’est fait opéré pour le cœur… On m’a conseillé d’aller faire prendre ma pression et mes prises de sang. Pour l’illustration, je me demande qu’elle espèce de Français fou avait décidé de nommer son commerce comme ça… J’ai pas réussis à dormir pour le senti c’est pas pire, ceux qui veulent des récits de pêche qu’ils lisent ça http://www.quebecpeche.com/forums/index.php?%2Ftopic%2F253073-sortie-du-5-mai-faisait-fret%2F  C’est le lecteur ami de la Rolls-Royce… Ouais! Je suis très réveillé demain c’est samedi, je vais marcher jusqu’à la librairie, ça aussi c’est une chose que je dois faire marcher, en Espagne ça me dis que je vais beaucoup marcher, je veux voir l’architecture… J’essais de pensés où je vais mettre mes médicaments dans mes bagages à main ou de soute, à date j’ai pas eu de problème… Pour ce qui est de mon senti je vais essayer de pas consommer aujourd’hui… Un autre vingt-quatre heure qui commence… Je me vois sur le gros nerf dans un bar, j’entends les gens qui jacassent qui parlent fort. Je sais pas combien ont vraiment du plaisir, y’a un moment dans l’alcool et la drogue où t’a tout dis, tu répète ad nauseam tes niaiseries… Bon c’est samedi, j’écris ça et après je retourne au lit. Je me souviens de cette tension, mes amis de l’époque étaient pareil comme moi ils s’apaisaient avec un verre de bière pour ensuite se remonter avec une ligne de coke et ils pouvaient répéter ça des nuits durant. Moi j’étais itinérants je couchais chez l’un et chez l’autre… C’est finis tout ça, le monde de la nuit c’est maintenant chez moi… Je regarde sur le toit de l’édifice en face si y’a pas une carabine pointée sur moi, paranoïa! Je vous disait que j’avais peur de partir mais c’est important je sais pas si je vais réussir à renouveler ce que j’écris. Reste encore pas mal de temps avant de partir, je vais réfléchir y’a une difficulté qui s’ajoute je parle pas espagnol. Je vais essayer de me débrouiller. Ça parais que c’est le Grand-Prix les voitures sport sont bruyantes. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce matin c’est le petit moine de je ne sais plus où en France. La guide me prenais pour un américain de ceux qui achètent les monastères pour les ramener aux U.S.A. elle a fait une impression marquante sur moi, je me rappelle encore trente ans après. Parais que cette sculpture est célèbre à travers le monde, La pièce où il apparait, sur wikipédia on dis que c’est un corbeau, je suis pas sûr. Peut-être que mon lecteur designer à la retraite pourrais m’éclairer… Semble que ce moine à résisté aux différentes révolutions… Vous voyez j’ai pas de vocabulaire, je pense qu’on peut les appeler des iconoclastes… Ce matin un sale type a jappé à ma fenêtre, il essayait de me faire peur. Je prie mon petit moine à qui on a pas fait de mal depuis des siècles… Je retourne en arrière avec ces photos qui ont plus de trente ans… Je me souviens que l’abbaye était dans un très bon état, la guide par contre semblait de celle pour qui on devrais jamais manquer la messe dominicale malheureusement on a pas tous les offices monacale tout près. Je sais pas si c’est un monastère cistercien, bénédictin où chartreux. J’aimerais bien croire que ce sont des cisterciens fondé par mon Saint-Patron Saint-Bernard-de-Clairvaux. Par contre je vous prierais de noter que je suis pas un réformateur, je suis pas dans les ordres. Un jour j’irai en retraite fermée dans un monastère d’ici. Je serais en forme pour assister aux matinales et après déjeuner. Je suis souvent debout au petit matin… En ville on est réveillé par les oiseaux, me prépare un café, je sais que mon ami historien de l’art trouve ça comique quand je mentionne ça. Je sais pas si ça parais mais j’aime écrire, dehors les gens profitent du beau-temps. Je pense aux amis itinérants qui vont pouvoir respirer un peu même si c’est pas agréable de se réveiller dans l’humidité d’un parc au petit matin. Y’a aussi les migrants à la frontière qui se sont gelés les doigts et qu’on a été obligé d’amputé, je sais pas si y’en a plus qui vont essayer de passé. J’écrirai pas beaucoup là-dessus c’est une réalité que je connais pas faire des milliers de kilomètres pour aboutir à Montréal. Même si il est tôt dans le mois plusieurs sont fauchés plusieurs vont aller au Mont-de-piété. En attendant je mangerais bien du gruau avec les moines après avoir écouté des chants grégoriens Je pense qu’on parle pas et pendant qu’on mange un moine lis les épîtres. Mon petit moine sculpté c’est de l’art sacré. Je crois qu’au musée National d’art de Catalogne je vais en voir beaucoup… J’aime les belles choses, les beaux objets, les œuvres d’art en somme. Je regarde le guide de Barcelone et j’essais de situer les musées. J’y arrive… Je m’arrête en pensant à vous qui rentrez d’une bringue, vous pensez qu’à dormir. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard