lundi 5 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Journée plate, on se demande quand ce seras ensoleillée. Je vais y aller comme toujours avec mon senti. Cet après-midi j’ai envie de démissionner de toutes mes implications, ma lectrice retraité d’Aylmer semble croire que mon implication est essentielle dans un peu plus de douze mois ça va faire dix ans que le groupe existe et que je m’implique à travers lui. Je crois que l’institut veux changer la garde, avoir du nouveau sang nous ne sommes plus que deux membres fondateurs. Aujourd’hui à la réunion j’ai mentionné que je partais pour l’Espagne ça a pas plus à certain… J’ai deux implications avec les ergothérapeutes, deux autres au forum de santé mentale et une participation d’une journée à un atelier sur la stigmatisation qui ont pas été indemnisé, j’attends. Semble qu’il manque la signature de quelqu’un, je sais bien je devrais pas vous parler de ça mais ça avance pas. C’est mon senti dans l’attente cet après-midi. C’est un peu la raison de mon désir de démissionner. Étrangement je pense à mon enfance, à mon arrivée à Terrebonne ce gars avec qui je jouais et que ces jeux tournaient toujours en bataille. Je sais pas pourquoi… Je pense que je suis pas correct, la pluie me donne froid. Juste d’avoir un passeport ça me rassure, ça me dis que j’ai pas un passé criminel. Je pense aux différents boulots que j’ai eu, certain, je crois, me rendait malade… C’est pas correct de mettre la responsabilité de la maladie sur le travail, je me callais dans des activités alcooliques. Encore mon thème de prédilection… Je sais pas trop ce que je vais manger pour souper, j’ai des brûlements d’estomac. Je veux démissionner parce que je veux éviter, je sais qu’on pourras très bien me remplacer, j’ai un peu peur si je quitte de tomber malade. Je crois qu’en ce moment l’administration nous considère pas beaucoup. Ce serait intéressant de rédiger une histoire du groupe Reprendre Pouvoir. Moi pour l’instant je peux pas le faire, je rédige autre chose… Lentement, je meurs à ma prose, je sais pas pourquoi j’écris ça, peut-être que ça me tue d’écrire pourtant quand je termine je me sent grandis. Je regarde dehors, aujourd’hui en attendant l’autobus un jeune homme que je ne connais pas m’a dit bonjour… Il m’a peut-être pris pour un autre, avec cette pluie là ça peut pas faire autrement que verdir. Je sais y’a des lecteurs qui vont me trouver insignifiant, je l’écris souvent. J’essaye, j’essaye toujours en écrivant vrai je crois, vous savez mieux que moi ce que mon senti apporte… Bientôt ça iras mieux! J’attends juste mon départ. Je sais pas si les autorités avaient prévue qu’il y aurait autant de circulation. C’est la soirée qui débute au goulag occidental. Comme vous voyez je continue mon écriture mais je me questionne sur l’utilité de tout ça. Je pense que je vous en ai assez dis pour aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
 

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Viens de finir mon petit déjeuner, lundi matin, je peux pas m’empêcher de vous écrire. Plus tard j’ai une réunion de mon groupe d’entraide. Je pense que la réceptionniste de la ressource m’aime pas beaucoup. Je vais faire attention à ce qu’elle me dis. Pour l’instant c’est la nuit et j’ai chaud je vais ouvrir la fenêtre. Ma voisine accueille beaucoup de monde, je crois que ce sont des itinérants, des vrais, qui couchent un peu partout. Je crois aussi que ce sont des toxicomanes qui se servent de son appartement. J’entends une voix dehors qui me traite de tata pourtant encore aujourd’hui je fais ce qu’il faut et de mon mieux… On est le cinq du mois et plusieurs sont déjà obligés de quêter, de chercher un abri, la dope ça coûte cher, je sais comment les toxicomanes et certains malades mentaux dénigrent leurs semblables. Je crois que j’ai raison de continuer à écrire et à ne pas boire… Ce matin je vous illustre ça avec le marché de l’est. La dope ça donne tellement une fausse impression d’estime de soi, je dis pas que je suis mieux qu’eux mais au moins j’ai pas leurs soucis. Je crois qu’ils sont jaloux… Quand on est brisé on s’accroche au mal… La voisine, je sais pas, peut-être qu’elle fait des prêts sur gage. Je crois pas qu’elle va habiter ici longtemps, elle cherche toujours à vendre et à acheter. Je me prépare un café, je dois aussi vous dire que j’ai peur ces gens-là ont pas beaucoup de scrupules. Me semble que dans le monde de la consommation on a parfois des remords mais je sais pas trop pourquoi on reste en colère si longtemps, colère qui n’est bonne qu’à nous détruire. Cette nuit c’est un drôle de senti. Tout à coups je pense à l’Espagne, à Barcelone au parc Guell à Gaudi. J’ai hâte d’y être, de m’inspirer d’autre chose, aujourd’hui je vais m’acheter un calepin de notes. J’ai commencé déjà… Je prends mon temps, c’est pas un voyage de noce que je vais faire, c’est un voyage de vacances je pars seul. Je crois que ça va être bien. Il est presque quatre heure, toute la ville dors, y’a plus grand monde dans les rues… C’est une longue attente à peu près deux mois encore avant de partir. J’ai hâte d’avoir des nouvelles de l’agent de voyages. Je vais essayer de revenir sur mon senti, sur ces sentiments crû qui m’habitent et comment leurs expression me libèrent. Lentement le matin arrive on entends des oiseaux qui chantent. J’aurais apprécié qu’à l’école secondaire des profs m’aident moi je savais pas trop j’étais déjà dans la dérive. La sœur qui enseignait la géographie disait que le chant d’un oiseau était « Bois pourris! Bois pourris! » Je crois que c’est moi qui est pourris depuis le temps. En attendant je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!


Bernard

dimanche 4 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Lentement le temps se couvre. J’ai terminé la lecture du recueil de magazine Spirou, c’est léger ça fait du bien. Les enfants jouent dans les balançoires ils crient aussi, ils ont du plaisir… Le temps passe aujourd’hui ça ressemble à l’été. Maintenant tout est vert… J’essaye de charger des photos sur l’ordi, j’y arrive pas… Finalement j’ai réussis, ce soir pour dire la vérité je m’ennuis. Je pense aux amis disparus je dis une petite prière pour eux. C’est pour ça que j’écris pour me distraire et dire… et dire… L’ami viens de me téléphoner pour confirmer la réunion de demain matin. Je viens d’avoir la confirmation qu’une canadienne est morte dans les attentats du pont de Londres. Je devrais pas écrire là-dessus ça contribue à la peur. Deux jeunes filles passent avec leur chien. Je sais pas comment m’y prendre pour vous écrire de façon moins sérieuse, on a pas finis de rire mais la journée se prête mal à ça. Je reviens toujours sur mon voyage j’ai hâte de partir, je demande à ma force supérieure de me protéger… Viens d’essuyer la vaisselle c’est toute une aventure… Lentement l’autodénigrement apparait je vais lui dire d’aller se coucher. Ce soir y’a beaucoup de motos, maintenant je suis un petit vieux qui a de la difficulté à marcher, je prends l’autobus, mais en voyage je compte bien marcher. Je prends mon temps pour vous écrire voilà peut-être quelque chose qui va vous faire rire https://www.facebook.com/gilbert.dumas.98?fref=pb&hc_location=friends_tab&pnref=friends.all  J’espère que l’ami sera pas fâché. Ce soir je sais pas pourquoi je suis brûlé, ça m’arrive souvent c’est l’âge je crois soixante ans. Je croyais pas que ce serais comme ça. Heureusement je masque plus la fatigue avec du mauvais alcool à l’hôtel. Comme vous voyez je reviens avec mon thème de prédilection, la boèsson, je pense aux shows de lumière ça à bien changé, disons que le centre Bell est dur à battre, laser ect. J’arrive pas à vous en dire plus, j’attends un peu d’argent bientôt, j’ai toujours eu beaucoup de difficulté avec ça, à l’époque je délirais toute la nuit dans les bars mais ça vous le savez, je sais pas si vous connaissez la mentalité alcoolique, une fois qu’il a bu il se trouve bein smatte mais après il se sent comme de la m… ça lui en prend encore pour remonter et ça pas de fin… Ce soir c’est rien de très édifiant quoi que j’ai laissé mes béquilles d’alcool, y’a rien de comique là-dedans. Je reviens avec mon senti et le désir d’avoir votre approbation, c’est puéril je suis pourtant plus un enfant. Je suis pas très inspiré mon histoire je commence à l’avoir assez raconter. Mais quand je change de public les gens aiment bien l’entendre. Pourtant quand je la raconte je peux pas m’empêcher de pleurer à certains endroits. Voilà c’est finis pour l’instant. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!! Encore merci!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai dormis quatre cinq heure, je reviens comme toujours juste avant la fermeture des bars. La semaine prochaine je vais manger dans un restaurant à tapas de Montréal pour me donner un avant-goût de Barcelone et Madrid. Je crois que j’ai une autre grippe, j’ai eu deux cycles de sommeil. J’essaye comme toujours de vous traduire mon senti, le café est noir et très chaud. Je suis réveillé pense à ceux qui ont passé la nuit à chanter au karaoké… Souvenirs d’une chanson, je voudrais voir la mer, je m’étais planté la metteure en scène étais furieuse. N’empêche c’était pas comparable au Banquet de la mémoire, une lecture… Dehors ils repeignent la signalisation sur l’asphalte… Je me sent mal de vous écrire à propos de ce ratage de l’interprétation de la chanson de Michel Rivard. Ça fait plus de vingt-cinq ans tout ça… J’ai toujours hâte d’être à Barcelone, de voir l’architecture de Gaudi, ses bancs de céramique. Je pense au coq sur la table de cuisine de mes lecteurs d’Aylmer. Dans le goulag occidental y’a des céramiques représentant différentes vedettes de la chanson. Je crois que sur la Rambla à Barcelone y’a une céramique de Miro. Je vais essayer de mettre un peu de fioriture dans mon écriture, je me trouve un peu crû dans ma façon de vous écrire, le style, le style c’est ce qu’il y a de plus difficile… Comme toujours j’ai les avions en tête. J’ai mangé une banane, y’a rien de très intéressant dans cette phrase là. La semaine passée à l’atelier sur la stigmatisation ils semblaient étonnés d’apprendre que j’essayais d’avoir la discipline d’écrire cinq cent mots par jour. Je cherche toujours le nouveau que je peux vous raconter mais y’a que du vieux comme la tabagie où on jouais au pool dans mon adolescence, pool et machine à boule pour le petit bum que j’étais. Je pense à la voiture MG qu’un gars s’était acheté, il est devenus mécanicien… J’aime pas beaucoup les femmes qui ont peur de moi. Je  trouve rien à rajouter, l’avion dans deux mois, je veux pas parler de l’actualité je sais qu’il y a eu un drame sur le pont de Londres. Six morts et les terroristes abattus voilà! Je suis triste, je veux pas trop parler de ça, les forces de l’ordre doivent se concentrer sur les terroristes du web. Maintenant c’est la nuit. Ce matin je vais acheter du lait, ça me fout la trouille ces attentats on frappe des innocents… Je vais faire une prière pour eux, ça répare rien mais mes pensées sont avec les familles. Je termine ça et je retourne me coucher, on veux pas de policiers lourdement armés à Montréal c’est tant mieux, j’espère qu’ils vont bien nous protéger… J’ai écris que je parlerais pas beaucoup de l’actualités, c’est déjà trop… J’espère que mes lecteurs de Hull on fait une belle vente de garage. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
 

samedi 3 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai avertis les voisins qui passent devant sur la passerelle, ils continuent quand même, je sais pas ce que ça leurs prends… Je vais essayer d’être tolérant. Le soleil semble vouloir percer, on entends la musique qui joue dans les automobiles. J’essaye de dormir j’y arrive pas, déjà aux actualités ils parlent des fraises qu’on pourra cueillir bientôt. Je crois qu’ils vont accueillir des mexicains pour la grande récolte. J’ai pas le pouce vert, je sais pas où en sont rendus les potagers… Plusieurs ont sortis leurs campers, j’aimerais bien campé et passé les soirées autour d’un feu. Malheureusement le goulag occidental est dans le centre-ville et demain on va encore nous écoeurer avec le tour de l’île à vélo. Je sais pas ce qu’ils diraient si des milliers de cyclistes se réunissait et allait se promener dans les rues résidentielles de Laval et Duvernay… Enfin, là aussi je tolère. Souvenir du potager de la douce, j’y ai arraché quelques mauvaises herbe ç’est à peu près tout, c’était des potagers écologique sans engrais chimique, mais la terre était pas très belle elle avait besoin d’être travaillé et labouré. Ça fait déjà quelques années, des étés à semer éclaircir et désherber, j’étais pas fort là-dessus… L’agriculture biologique c’est une science avec ses bouquins de spécialistes qui indiquent quelle plante pousse auprès de qu’elle autre plante. J’étais pas très fort sur le social autour de ça, je suis un vieil ours mal-lèché… J’aime pas beaucoup le principe de la campagne à la ville. Bon! J’ai réussis à me réveiller, je pense au potager de mes lecteurs d’Aylmer, il va être beau j’en suis sûr comme tout ce qu’entreprend ma lectrice. Mon lecteur à sortis sa chainsaw et à buché, étonnant… Les cadets de la police passent en vélo, c’est bien de service. Cet après-midi j’ai besoin d’air j’ai ouvert la fenêtre et le vent pousse l’air frais dans le studio. Je regarde mes activités, lundi j’ai une réunion plénière du groupe d’entraide le matin, mercredi j’ai une réunion du conseil d’administration d’Antenne Communication, vendredi je rencontre la travailleuse sociale et lundi le douze j’ai une rencontre de recherche à une heure. Je me dis toujours ça va finir mais y’a toujours quelques choses. Je suis pas indispensable… Juste ordinaire comme beaucoup d’autre. J’ai quand même hâte d’avoir le dédommagement. Je sais pas qui fait la faveur à qui, je fais la faveur de participer où on me fait la faveur de m’inviter. Est-ce que c’est des activités gagnant-gagnant? Je sais pas trop comment terminer, j’essais de voir y’a une de ces circulations dans le goulag occidental. Je sais pas si les travaux ont repris même si les ingénieurs sont en grève. Les gars de la construction vont tomber en vacance au mois de juillet là aussi je sais pas si ça va retarder les travaux, de toute façon ça me regarde pas. Voilà pour aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sais pas si c’était une arnaque mais y’a des centaines de gens qui vont plus sur mon blog… Je sors de la douche et je me suis parfumé le temps passe bientôt si tout va comme prévu je vais prendre l’avion. J’ai pas grand-chose à vous écrire, hier j’ai dit aux voisins que j’étais tanné de les voir passés devant chez moi sur la passerelle. Me revoilà devant mon écran. Ce matin le jus d’orange me fait penser au petit déjeuner à l’hôtel… J’arrive attendez je vais vous décrire mon senti… Je pense à mon logis j’ai jamais habité aussi longtemps au même endroit. J’aime pas beaucoup quand mes voisins bousculent mes habitudes. J’ai mangé une banane ça m’avance à rien de vous écrire ça, j’entends les camions au moteur bruyant. Je pense à la pipe de Magritte… Y’a tous ces dédommagements qu’on me dois pour différentes activités à l’institut, ça semble pénible pour eux de remplir leurs part du contrat à date quand on m’a demandé j’ai dit oui et je suis allé j’ai pas manqué une seule fois et je crois que j’ai livré la marchandise. J’attends, j’attends toujours. J’ai mis mes jeans parfois les gens vont passer un week-end à Québec moi je le fait pas ça me rappelle trop de mauvais souvenirs du début de ma schizophrénie, cet immense sentiment de solitude que je ressentais et la peur… Je pense à ce gars qui est devenus journaliste à Québec, l’idée de partir qui me faisait mal, je suis toujours resté dans la région de Montréal, je m’ennuyais quand même quand la vie a bouffé les copains. On a tous pris nos chemins, le mien passait par l’hôpital j’étais si malade, une injection d’antipsychotique retard à toute les trois semaines c’était pénible, heureusement j’en ai finis avec ça. Je traitais mon corps comme une poubelle, j’absorbais toutes sortes de cochonneries et je croyais pas être très malade mais je l’étais… J’ai envie d’écrire que je me décomposait vivant, heureusement y’a un bon Dieu pour les malheureux j’ai réussis à me rétablir maintenant je vais mieux je prends mes médicaments comme prescrit et j’ai arrêté la boisson et la drogue, ça va mieux… Ça fait presque vingt-cinq ans de ça, je suis beaucoup moins angoissé, j’ai plus besoin de me rendre à l’urgence de l’hôpital, je suis pas guéris mais je me rétablis. C’est mon senti pour cette nuit… Les bars sont maintenant fermés les avinés rentrent lentement à la maison, j’entends les voisins qui ronflent, souvenir d’une voisine à Rosemont sur la neuvième qui gardait son fils à coucher sur le sofa, c’était l’époque du petit chèque d’aide-sociale. J’ai un peu peur de vous écrire ça, je vie quand même mieux, j’ai vieillis, je peux dire que j’ai mûris… Voilà! Lentement je termine je vais retourner me coucher après ça. L’ami m’en voulait de l’avoir oublié. Mais enfin!!! Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 2 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Toute mes excuses pour le texte d’hier mais j’étais désemparé. La fatigue me fait délirer. J’aime bien les voitures de mon lecteur de Deux-Montagnes, j’espère qu’il a gardé son Challenger. Moi tranquillement je vois mon voyage arriver. J’ai hâte de voir la Sagrada Familia. Je suis un peu perdu j’ai plein de rendez-vous… Je croirai que je pars quand je serai assis dans l’avion. Je vais essayer d’écrire sur mon senti mais un peu plus doucement qu’hier, j’ai bien apprécié les commentaires de mon lecteur de Repentigny. Cet après-midi je suis calme, je reste chez moi j’ai pas envie de sortir, hier quand même je crois avoir eu des commentaires positifs sur ce que je fais. Je vais ralentir le rythme, cinq cent mots à tous les deux jours peut-être? Je sais pas si je vous ai raconté que j’ai retrouvé mon couteau de poche, je suis très content. J’essais de rester tranquille de m’apaiser en regardant tranquillement passé la journée. Je reviens sur le stigma, je tiens pas la société responsable de ce que je suis devenus. Aujourd’hui je suis content d’être ce que je suis mais y’a toujours place à amélioration, comme je l’écris souvent je fait de mon mieux… Je trouve pas d’anecdote sur mon passé à raconter. Je pense à Trump qui crois pas au changement climatique, qui va détruire une partie de son pays et empoisonner ses concitoyens. Dans le goulag occidental où j’habite, les hommes meurent beaucoup plus jeunes à cause de la pollution automobile, on vit pas à la Maison Blanche. « Make America great again » il va plutôt en faire un enfer et je m’abstiens de parler du racisme et des prisons, des condamnations à mort. J’ai dis au début que je serais plus doux je vais essayer. Dans mon rétablissement je devrais pas argumenter sur des thèmes pareils… Je pense aux voitures électriques, à mon lecteur collectionneur de voitures, c’est la liberté… Je peux pas trop parler de pollution automobile, moi je prends souvent l’avion et je sais pas comment ça pollue un avion… Tout ce que je peux dire c’est qu’il faut vivre malgré tout et faire ses choix. Moi, je choisis les choses simples mais je suis pas granola, on a beau me dire qu’on rase les forêts pour nourrir les bœufs, j’aime bien la viande. Je veux pas faire de polémique… Remarquez que ce soir je mange du poisson avec des pommes de terre et des carottes rien de trop nocif. Je crois que même ceux qui habitent la campagne vont au supermarché. Les produits du terroir c’est bon mais ça coûte cher. Je suis pas capable de construire un discours écologique et de m’y tenir. Je veux bien le retour à la terre y’a personne qui est contre la vertu mais je psychanalyserai pas des poules pour manger, le trauma du poulet ça change quoi au B.B.Q. Voilà ce que c’est pour aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard