jeudi 23 février 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens d’arriver de mon atelier d’exploration et d’écriture, c’est difficile, je croyais avoir perdu mon stylo, je l’ai retrouvé quant à la plume au sens figuré, je l’ai bel et bien perdus. J’essaye encore ce soir en sachant très bien que le blog c’est pas une belle pratique. Y’a déjà longtemps que j’ai « travaillé » en groupe ça me fait voir un peu le travail que les artistes professionnels mettent dans une production, ça me rappelle aussi y’a longtemps mes rencontres avec les étudiants de l’option théâtre à Sainte-Thérèse… On dirais que j’ai pas appris le monde artistique c’est pas pour moi, je sais pas pourquoi je répète ces expériences là. Malgré tout je suis rentré chez moi sans faire de détour, me suis préparé un café et à souper… Ce soir j’écris pour rien, c’était une journée douce de février, la semaine prochaine j’ai une réunion du groupe d’entraide et un conseil d’administration pour Antenne communication quand je suis fatigué j’ai un déjà vu. Je veux pas trop développer ici, la mémoire c’est la thématique du show. Quand je suis fatigué je veux démissionner  mais on a un break de trois semaines, j’ai le temps de voir venir. Je crois qu’encore ce soir je vais réussir à vous écrire. Je me demandais si le margarita de ma lectrice de Deux-Montagnes présentement en Floride est un drink alcoolisé? C’est pas grave ça me regarde pas… Y’en a surement de vous qui ont remarqué que la mise en page du blog précédent étais différente c’est parce-que je l’ai fait à partir de ma tablette électronique ça a bien fonctionné mais c’est très demandant d’écrire correctement sur une mini tablette électronique. Le souper est près, je vous écris en mangeant, c’est loin de mon senti encore ce soir. Je crois que j’arrive trop tôt aux ateliers, je sais pas pourquoi je suis toujours en avance à mes rendez-vous. Dans mon cas c’est premier arrivé premier partis. Je vous aurai écris tout ça et j’aurai rien dis Mais au moins je suis pas tombé dans mon thème de prédilection. J’essaye que ça sois pas trop long à lire, ce matin j’ai marché sur la Catherine y’a longtemps que j’ai fait ça. Dans la vitrine de la librairie y’avait plein de livres sur Saint-François-d-Assise et sur le Moyen âge c’était intéressant ça me donne l’envie d’y retourner. C’est lecture ça m’aiderais peut-être à situer Bernard de Claivaux dans le temps, François d’Assise c’est cent ans après, j’aimerais quand même que ces deux Saints m’aident dans ce que j’entreprends. Vous allez me trouver rigolo mais y’a des moments où il ne me reste que la prière et ça marche. Je sais je suis un pauvre fou qui n’a que la parade de lettré, l’apparence d’un homme de lettre mais pas d’étude et un peu d’érudition. C’est une drôle de finale ce soir, la fin d’un pauvre cave. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vais essayer de vous écrire un texte plus consistant. Je viens de passer près de la main. Il en reste plus rien côté ouest, y’a que l’enseigne du Cléopatre qui est encore là. L’histoire est finie pour ce coin de la vile. Là je suis vraiment assis au TNM près de la salle de répétition. Je suis anxieux, l’animatrice de l’atelier devrais lire un extrait de ce que j’ai écris. J’ai enlevé mes bottes, Ville-Marie est en construction. Je crois que je vous en ai assez écris pour aujourd’hui. Merci d’avoir lu!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du A&W dans le quartier gay. Ce matin c’est doux.

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Suis dans la nuit, essaye d’écrire pour le cabaret poétique. Je pense au musée Courtauld à Londres, aux impressionnistes. J’avais l’habitude de dire j’ai l’impression, j’ai cessé, ce ne sont pas des impressions que j’ai mais bel et bien des hallucinations quoi que ça fait longtemps que j’en ai pas eu… Hier aux nouvelles télévisées ont montrais le quartier de la dope qui est pas très loin de chez moi, bon j’arrête là, on connait tous ces histoires sordides. Je pense au rétablissement, aux implications citoyennes, à ce que ça coûte versus une hospitalisation, aux supports de ses pairs. Le système veut absolument qu’on devienne rentable mais si par contre on coutais moins cher, faut pas oublier qu’il y a des jobs et des milieux pathogènes, c’est pas beau, c’est pas bon. Je pense aux détenus qu’on libère après une lourde  peine à toute cette réhabilitation qu’il a à faire… J’arrête ça là c’est un monde que je connais pas… Pas plus que le monde des étudiants en chimie en physique, les hommes entre autre qui vont devenir médecin et même psychiatre. J’aimerais bien connaitre leurs parcours. On sait que nos ministres et notre premier ministre sont des médecins, je crois qu’il y a des députés qui le sont aussi… Je sais pas trop ce que je veux vous dire avec ça. Je comprends que ça tourne autour des soignées, comment les femmes sont soignées, à les entendre, avec délicatesse et les homme d’une façon plus rustre comme si on avait pas le droit d’être malade. J’arrive jamais à écrire un texte cohérent, c’est toujours fantaisiste mais l’excuse c’est que ça tourne autour de mon sentis. J’ai pris une douche me suis parfumé, hier dans la journée j’ai beaucoup dormis cette nuit je suis bien réveillé… Je sais pas si c’est parce que je me rétablis mais y’a beaucoup plus de choses qui m’intéressent, mes journées et mon chez moi tournent plus autour de la pornographie. Je crois que ma dernière humeur culturelle est au mois de mars, j’aurais bien aimé continuer mais semble que les budgets le permettent pas. Voilà Johnny et son Hôtel des cœurs brisés, https://www.youtube.com/watch?v=S5dfBTj1RhU  version française mais pas piqué des vers de Heartbreak hôtel. Johnny il se démode pas on peut même dire qu’il a rattrapé la mode. J’aimerais beaucoup être capable d’écrire quelque chose de construit mais j’oublie souvent qu’il s’agit de mon sentis qui est souvent inégal, qui se promène à gauche à droite en haut en bas… Je sais vous allez me dire que je sais pas écrire mais je fais ce que je peux avec ce que j’ai. J’entends le voisin qui ronfle, y’en a qui dorment dur, moi je suis très réveillé même si c’est le milieu de la nuit. Je vais essayer de vous terminer ça en beauté, pensez que je me suis parfumé que l’odeur de cigarette ça n’existe plus. Je termine donc comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 22 février 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me revoici, je suis un peu plus dans mon horaire d’écriture habituelle… Semble qu’en Floride il pleuvait aujourd’hui, ici c’était doux… J’ai dormis un peu allongé sur le sofa, je veux pas écrire n’importe quoi surtout pas la chanson du regretté Roger Tabra. Aujourd’hui dans le courrier une lettre du propriétaire pour nous aviser de faire le ménage avant une inspection, ça m’énerve, chez moi y’a pas de vermine je pense que c’est O.K. Je vais essayer d’en faire un peu, c’est pas facile pour moi. Ai ouvert la porte, fait bouillir de l’eau pour me préparer un café, milieu de semaine comme je l’écris souvent quelques un reçoivent leurs paye aujourd’hui. Je crois que par ce doux temps quelques bars vont ouvrir la terrasse… Quelques tables des chaises et on va discuter devant une bière. Mars bientôt, je pense à quand je faisais la tournée du papier recyclable à travers Montréal, à l’époque c’était très artisanal on ramassait dans des sacs de jute, le papier informatique, à l’époque c’était de grosses rames attachées, à part de l’autre papier, on faisait le tour de la ville, de différents bureaux gouvernementaux. Semble qu’il y a une alerte à la qualité de l’air aujourd’hui on voie pas vraiment le nuage. Faut dire que dans le goulag occidental entre les rues Notre-Dame et Sainte-Catherine c’est souvent comme ça y’a tellement de circulation. C’est du smog qu’ils appellent ça je crois, ça va me faire de beau poumons heureusement que je ne fume plus. Le bonhomme regardait la circulation et demandait « qu’est-ce qu’ils font ces gens là? Ils travaillent pas? » Ce soir je mange des saucisses en croute, j’ai ouvert le four. J’ai un peu mal à la tête. Aujourd’hui j’ai pas parlé beaucoup, c’était silencieux, j’écoute plus de musique. Je sors plus beaucoup, fréquente plus les cafés, la dernière fois j’ai mangé un burger une frite et une rootbeer pour la suite j’ai oublié ce que je voulait vous écrire. Ai mis les saucisses au four… Le soleil perce un peu, faut pas partir en peur l’hiver est pas finis c’est qu’un redoux, je sais pas si les érables ont coulés. J’ai quand même hâte que ce soit vert, les snowbirds en Floride en profitent, je sais qu’aujourd’hui il pleuvait, je sais pas si ils sont sortis quand même. Moi je crois que je vais aller voir l’exposition Chagall au musée des Beaux-Arts de Montréal. Je songe à la Provence je crois que Chagall y a peint, je veux aller me gaver de couleurs. Demain j’ai une exploration et de l’écriture je vais chercher à m’inspirer. Ce soir j’y arrive dans les temps, j’ai un peu peur de me faire juger pour ce que j’ai écrit pour le cabaret poétique enfin advienne que pourras. C’est très différent de ce que vous lisez ici. Je pense aux accords du participe passé. À la difficulté. Je vous laisse donc en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je reviens ce matin je vous laisse pas de chance. Je me cherche une thématique. Les camions de Gaz Métropolitain sont très bruyant. J’écris aussi pour mon second cabaret poétique, l’animatrice devrait en lire un court extrait dans l’atelier de jeudi. J’ai la trouille je m’y révèle pas mal. Presque quatre heure c’est silencieux, c’est un bon moment pour écrire, je crois pas que je me ferai  déranger. Je vous parle pas des bateaux ni des autos moi ce qui me fait tripper c’est les avions, les aéroports aussi à la télé y’a une émission sur l’aéroport de Dubaï, c’est extraordinaire, même si Heatrow est dure à battre avec le métro qui arrive droit dedans. Je me répète, j’aime bien être assis et attendre mon vol, même si je suis dans la zone hors taxe j’achète rien, je bois pas d’alcool. D’habitude j’enregistre mes bagages et j’en profite pour me promener en attendant. Je me souviens d’avoir fait un transfert à Amsterdam pour Montréal à partir de Milan, on avais attendus assez longtemps, j’étais avec deux collègues, on en a profité pour prendre un peu de distance. Ça a passé tellement vite c’est comme si j’arrivais aujourd’hui. Je sais pas si je vous ai déjà raconté l’histoire de la bouteille de vin grand crû que j’avais pété à mon arrivé à Montréal, la première fois y’a longtemps, où je suis partis avec une copine pour la France. C’est tout bête la ganse du sac à cassé tout de suite après avoir passé les douanes, le sac est tombé par terre et la belle bouteille s’est brisée. Je pense aux aéroports ça me fait tout drôle, ce matin j’aimerais me retrouver là partir pour la Chine dans ce fameux voyage organisé qu’ils annoncent tant à la télé. Je vais attendre pour booker quelque chose, j’ai du boulot… Bien aimé la Ford Mustang décapotable de mes snowbirds en Floride… Je pense que je force trop pour partir ça va se faire d’une façon naturelle, le voyage va se présenter de lui-même. Je pense à tous ces voyages fais avec et pour l’institut ça m’a fait énormément de bien, je crois que c’est à partir de là que j’ai vraiment commencé à me rétablir. Je sais pas ce qui coute le plus cher des journées de voyage où d’hospitalisation? J’aime bien les amis français de la psychiatrie citoyenne. Je sais pas si y’en a de vous qui lisent mes Humeurs culturelles sur le site de l’institut, ça se termine bientôt et je vous invite à me suivre sur le goulag. Je vous invite aussi à signaler votre appréciation au responsable lui signifier que vous aimeriez que l’expérience continue. Demain c’est l’atelier d’exploration et d’écriture au TNM, ça m’inspire c’est pas une dépression collective bien que parfois j’ai de la difficulté à ne pas pensés à la pièce « Appelez moi Stéphane ». Je pense que c’est tout, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

mardi 21 février 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens d’arriver d’un conseil d’administration du comité des usagers. Encore entendu le mot le plus couru quand on parle d’administration, coupure! Ce soir je suis vide, c’est difficile d’écrire sans blesser personne, je m’excuse auprès des membres de mon groupe d’entraide. C’est beaucoup plus facile de laisser aller son fiel, que de réfléchir et d’être positif. Devant un écran je me trouve bein intelligent, mais parfois je fais du mal. Ce soir je pense arrêter l’écriture de ce blog mais je sais pas comment je vais le remplacer, y’a des mots qui sont vraiment juste pour le cahier. Je dis merci aux amis d’être indulgents avec moi. Ce soir je pleure, mais non mon univers s’écroule pas… Je sais pas, je sais pas où je vais? Où je vas? Je prends mon temps, des textes je peux en écrire tant que je suis vivant, l’ami avec raison disait « c’est pas de l’or, c’est pas de la merde ». Je veux souvent écrire des textes forts, mais la seule force que je connais c’est de demander de l’aide, quelquefois pour arriver à quelque chose faut rayer des mots. Je sais plus où j’ai lu que pour être un bon écrivain faut être un parfait chien sale, d’autre disent que les gens compliqués font des textes simples et les gens simples font des textes compliqués. Je sais pas si c’est vrai ni où je me situe là dedans, disont que je suis un gros bêta… Les pompiers passent c’est la nuit. Je prendrais bien l’avion, je ne sais pour où, c’est pas une très belle phrase mais j’imagine que vous avez pas besoin de mon autocritique. Je veux dire à mes snowbirds que lentement ici ça se réchauffe, c’est pas la Floride mais on vas y arriver. Je pense à mon entourage, pourquoi je suis le seul à tenir un blog? Si vous me lisez et que vous en tenez un vous aussi, faite moi signe. C’est probablement une façon que j’ai d’aller chercher de l’amour. J’ai regardé la fin du match, on, on étant le Canadien de Montréal, a gagné! Je suis mêlé pour l’heure ça fait longtemps que j’ai écrit à cette heure-ci. Je sais pas si les petits gars de ma nièce puéricultrice jouent au hockey, nous on jouait dans la rue c’était presque une pièce de théâtre on prenait le nom et le style de notre joueur préféré. J’irai bien une bonne fois en Floride, je suis pas plus cave que les autre, je le sais bien qu’on me prend pour un Elvis Gratton mais je porte pas des culottes en macramés. Ce soir j’ai vécu toute sortes d’émotions, les amis sont très compréhensifs. Je sais pas si je vais faire une grande « œuvre ». J’aime pas dire que je crée je trouve ça prétentieux, les mots ont déjà été utilisés. J’y arrive quand même sans trop me battre. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard