dimanche 27 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ai dormis une bonne partie de l’après-midi. Je pense à l’anniversaire de l’école secondaire à sa date de fondation. J’ai rêvé à une copine que j’avais, elle était en robe de chambre blanche et avait les cheveux tout mouillés. Les rêves ça dis pas grand-chose… J’essais de voir mon inconscient, j’y arrive pas. Hier soir les Canadiens ont gagné le match… À la télé ce sont déjà les publicités de Noël. Je manque d’inspiration, c’est pas grave, les muscles semblent vouloir me lâché, j’ai mal, j’espère que ça dureras pas… J’irais bien au bord de la mer, manger du poisson dans les Caraïbes, des accras en Guadeloupe où du poulet B.B.Q. à Cuba. La télé est sur TV5, un jeu questionnaire, pendant ce temps-là c’est un dimanche de travail dans les pays pauvres. J’écoute la voix qui me dis c’est des conneries ce que t’écris. Je m’étais dit j’arrête d’écrire en signe de deuil pour Castro, mais c’est quand même pas un de mes proches. J’attends le bulletin de nouvelles français ce soir c’est France3. C’est la nuit, quand même je vous dirais que je m’ennuis c’est pas très utile, ces quelques mots ce sont mon défi quotidien étrangement je pense à Pierre Foglia le chroniqueur retraité de LaPresse. J’écoute, j’écoute, j’écoute, y’a rien,en anglais j’entends selfish. Je  m’accote sur mon bureau le nez dans l’écran et je regarde les mots qui sont apparus. Je pense au Malecon de Cuba à l’écrivain Pedro Juan Guttiérez et à sa Trilogie sale de La Havane, à lire où à relire… J’ai remarqué que dans certaines séries télévisées le langage est de plus en plus vulgaire. Ça me dérange pas mais je trouve ça facile. Demain matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide, j’ai une invitation à faire pour le vernissage d’une copine peintre. Comme toujours je pense à l’hôtel Inglaterra, c’est pas la première fois que je le mentionne. J’ai l’impression que les gens vont se tanné d’entendre parler de Cuba. J’y participe, ça se calme à Miami, la haine ça donne pas grand-chose. http://ici.radio-canada.ca/emissions/le_15_18/2016-2017/chronique.asp?idChronique=418783 Je vous place une entrevue que j’ai donné à Radio-Canada. Je crois qu’il y a des lecteurs qui ont apprécié. Je pense que ça rapport avec le selfish de tout à l’heure. D’autre problèmes, les actualités françaises sont toutes pour la primaire et l’élection de François Fillon le moins qu’on peux dire c’est qu’il a de grandes ambitions pour la France. Bon je vous termine ça avec la Coupe Grey à Toronto, j’espère qu’Ottawa va gagner. Je me promène entre l’écran d’ordi et celui de la télé… Moi la télé ça me gèle, j’ai des émotions mais j’ai pas le temps de les exprimer, j’écoute et je vous écris faire deux choses à la fois c’est pas très utile. Je vous ai rien raconté sur mon senti, ce soir je pleure je sais pas pourquoi. J’arrête là en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 26 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Comment vous dire les vieux communistes disparaisse. Castro c’était un dictateur mais pour moi c’est un homme qui a sortis son peuple de la misère, comme dictateur communiste fou je pense à Ceaucescu en Roumanie, je crois pas que Castro étais comme ça… Le communisme c’est une belle idée pour Castro la révolution étais permanente si je le comprends. Je comprends aussi que l’exploitation de l’homme par l’homme est inévitable mais pour moi les gouvernements doivent réguler tout ça. L’idée de la commune du partage ça bien été essayé mais ça a pas marché. Je pense à notre « social-démocratie », ce que je trouve étrange c’est les anti-castristes américains qui voient pas la corruption et la pauvreté aux U.S.A. Je crois qu’à Cuba tout le monde mange et les études sont vraiment gratuites. Je me souviens plus vraiment ce qu’est le communisme. Y’a trop longtemps que j’ai lu le capital de Marx. Castro c’étais quand même pas Staline et des dizaines de millions de mort. Remarquez que je suis allé qu’une semaine à Cuba, j’ai vu La Havane on y faisait des travaux d’infrastructures et les vieux tacots semblent bien entretenus. C’est pas pendant un court temps comme celui-là qu’on connais un pays. J’ai compris dans un documentaire que Varadero c’est sur une péninsule et qu’il y a qu’un pont qui y mène, les cubains peuvent pas traverser. Y’a aussi les « casa particular » à La Havane, la communauté cubaine américaine doit se faire une joie de la disparition du lider maximo. Y’a une ouverture qui semble se faire du côté Américain j’espère qu’il y auras des échanges économiques. Les sentiments vis-à-vis Castro sont paradoxal pour certains c’est un monstre pour d’autre un révolutionnaire visionnaire. Je sais pas… Je pense aussi à José Marti un penseur de la révolution, le Che aussi que commandante avait éloigné mais rapatrié pour lui faire des hommages nationaux à sa mort. Je suis pas certain que c’est plus facile de vivre dans la Petite Havane à Miami. Je sais pas si certains de ces exilés vont retourner dans leur pays. À une époque pour un jeune québécois y’avait quelques chose d’admirable dans la révolution contre Batista, c’était une aventure… Ici on a nationalisé y’a longtemps Hydro-Québec, Loto-Québec, la S.A.Q sans parler de la caisse de dépôt et de toutes les autres institutions nationale. Je suis pas économistes, je crois que les cubains de Miami sont d’anciens supporteur de Batista. Y’a quand même des gens qui pleurent sa mort. Bourreau? Tyran? Dictateur? C’était un ennemi de l’impérialisme américain, il en reste bien peu, le communisme faudrait peut-être l’aménagé. Castro on peux dire ce qu’on veut mais c’est un personnage historique. La vérité c’est que je sais pas si les cubains mangent à leurs faim mais y’a personne qui est mort de faim à Cuba on le saurait. Ça me donne des flashbacks tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 25 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi c’était cinéma, le film L’Arrivée un film de science-fiction de Denis Villeneuve. Touchant et intelligent disais mon lecteur chauffeur d’autobus sur la rive nord, je suis d’accord. Quelqu’un a sonné à ma porte cet après-midi, on à pas laissé de message j’étais partis. Je croyais que c’était la livraison d’une bande dessinée mais je me suis rappelé que j’ai croisée le facteur en sortant. Viens de me souvenir que c’était les policiers qui ont sonné dans la nuit. Une salle de cinéma ça me calme, j’y vie de belles émotions. Je vous parlerai pas du black Friday ça me touche pas. Il est seize heure trente il fait déjà noir. Je respire par le nez. Je cherche au fond de moi ce que je pourrais exprimer, au cinéma j’écoutais une dame parler à son enfant c’était du charabia parfois c’est pas la sonorité c’est la schizophrénie. Je suis maudit, http://www.lapresse.ca/videos/actualites/201604/29/46-1-les-poetes-maudits.php/10b0145470df4f3cbe73dbace3ebe89a Je reviens avec mon vieux stock. J’aime pas ça être vide comme ça, mon âme est dans le silence il serait temps que je meuble ce que j’ai entre les oreilles où peut-être écouter la folle du logis. Le temps passe… Voilà un billet sur un film que je suis allé voir précédemment http://www.iusmm.ca/institut/humeurs-culturelles/billets-2016/hacksaw-ridge.html  c’est pas de la grande littérature mais je crois que c’est du grand cinéma. Je suis chez moi, je crois que c’est bien, j’espère que mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes va lire ce que j’ai écrit sur ce film et que ça va l’encourager à le voir. Bon! Ce soir j’ai un peu plus la foi. Je me demande ce que ça donne toute cette écriture, c’est un peu absurde.  J’aime le français ma langue maternelle mais je peux pas être plus français que les français. Vendredi soir c’est le week-end y’a des gens qui vont aller manger au restaurant et des femmes qui vont demander à leurs chums d’aller danser dans une boîte de nuit. À l’époque le staff de la discothèque m’appelait le paquet, la moppe. Y’a longtemps de ça. https://www.youtube.com/watch?v=WPFfxi8_5uk Voilà une très belle version du succès de Stephen Faulkner Je suis fauché. J’écoute ce que ma petite voix dis, vous en avez une vous de voix? À la télé c’est la chronique économique je vous parlerai pas de mon état financier. Parfois je m’ennuis des visites que je faisais chez ma lectrice de l’Outaouais mais je comprends ,sa famille s’agrandis elle est grand-mère et il faut qu’elle s’occupe de ses bouts-de-choux. Je trouve plus je suis vidé, j’essaye de trouver un angle sur lequel terminer. Étrangement je pense au patriarche à l’époque où il travaillait dans le bois, j’étais petit gars et parfois la fin de semaine on le voyait pas, il restais sur le chantier et nous on allait chez pépère et mémère Côté à Normandin. On y allait en autobus de Dolbeau à Normandin. Parfois avant d’aller aux vêpres avec Maman on s’arrêtait chez tante Émilie. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ciao!!!

Bernard

 

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Avant de me coucher je me suis dis je me lève cette nuit et j’en écris un… Je suis debout mais je pense juste à manger. Me suis fait des tartines au beurre d’arachides et la police a sonné à ma porte pour entrer dans l’édifice, y’a peut-être un itinérant dans le corridor, les escaliers. Je peux penser ce que je veux c’est pas de mes affaires. Viens de me relever il est quatre heure vingt trois, y’a pas eu de bagarres. Mon café est très chaud, je crois qu’aujourd’hui je vais aller au cinéma. J’aime bien m’asseoir dans une salle vide et attendre qu’on projette le film. Ce matin je vous place une photo d’une sculpture très phallique qu’on retrouvais dans le village cet été surtout allé pas croire. Ma crise d’hémorroïdes semble passé je remercie pour ses conseils le lecteur de Repentigny. Je sais ça l’air vulgaire ce que j’écris là mais c’est des conseils médicaux. C’était la première fois que je souffrais de ça et j’ai pas l’habitude de jouer dans cette partie de mon corps. J’ai peur que vous me jugiez, c’est assez intime ce que je vous partage là… Je pense à ce gars avec qui j’avais été prendre une bière, c’était y’a longtemps, il voulait m’entré un doigt dans l’anus, je sais pas et je saurai jamais ce qu’il croyais. Je suis très rectal aujourd’hui… J’aime pas vraiment ces pratiques homosexuelles, la vérité c’est que j’y connais rien et que je veux rien connaitre. C’est toujours la nuit j’ai chaud, je termine mon café comme toujours j’écoute la voix, vous vous en avez pas de voix? Y’a qu’a l’hôpital qu’ils traitent ça, faut faire la navette entre le goulag occidental et l’hosto. Mon goulag à pas l’immensité du goulag original, on y enterre personne mais plusieurs désoeuvrés affamés y souffrent. Y’en à plusieurs qui migrent en ville croyant améliorer leurs sorts mais n’arrivent qu’à souffrir un peu plus. J’ai terminé mon café, je veux pas être immoral les jeunes adolescents ils sont bien là où ils sont, je sais que quelques un font de la prostitution, c’est sans le vouloir pas mal gay mon texte. Il faut que je décide si je vais vous le faire lire, je crois pas beaucoup aux inédits. Je compte mes mots comme si il ne m’en restais pas assez étrangement je pense à l’Oratoire Saint-Joseph à monter les escaliers à genoux on appelle ça je crois se mortifier, je crois pas que ce soit très bon pour l’estime de soi. Ça fait bien des choses pour lesquelles j’ai pas la foi. J’affirme pas souvent c’est difficile je suis plutôt dans le doute. Je confond l’amoraliste et l’immoraliste d’André Gide. Faut pas se respecter beaucoup pour fréquenter des jeunes hommes indolents. Je préférerai toujours les jeunes filles aux éphèbes. Je sais pas si vous avez aimé ce blog ce matin j’ai donné tout ce que j’avais. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

jeudi 24 novembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Viens de terminer la rédaction du compte-rendu de la réunion de mon groupe d’entraide. Comme toujours je pense que j’y arriverai pas, aujourd’hui c’est gris mais le parc est enneigé. J’ai pas lavé la vaisselle, je crois que les écrivains snobs font pas ça ils dînent à tout les jours au restaurant et écrivent leurs plus beau flash sur une serviette en papier, voilà pour le cliché. Je pense encore à cette époque où je passais mes journées au bistro c’était pas vraiment différent de la brasserie. J’étais incapable de gagner ma vie. Je la gagne pas plus aujourd’hui pourtant je suis plus heureux. Je me souviens la propriétaire du bistro me montrais la porte quand elle en avait assez c’est à ce moment-là que je partais errer dans le bas de la ville, me souviens de cette taverne gay j’étais pas trop dérangé, là ils m’acceptaient. J’ai jamais rien construis, quand j’écris j’essais de faire une œuvre de ma vie… Ce soir les gens sérieux s’occuperont de leurs enfants pendant que les solitaires… Au fait qu’est-ce qu’ils font les solitaires? Ils rentrent à la maison et s’écrasent devant la télévision. Je pense toujours à ces saloperies que je faisais quand je consommais, je volais mes amis… Aujourd’hui j’ai pas le choix je me dois d’être honnête il y va de ma survie. Je pense aux Journées d’Amérique de Richard Séguin https://www.youtube.com/watch?v=Q86SdmnoH38  Je me reconnaisait dans cette chanson là. L’errance, la solitude, y’avait aussi Life in a Northern Town https://www.youtube.com/watch?v=9wLQNrr15sA  Dehors un chien jappe, la nuit s’en viens lentement. Je pense à l’œuvre équivoque de Guillaume LaBrie «  s’en tenir au cadre », je sais pas si j’aurais aimé être cadre. Les artistes ont tous des démarches, moi c’est d’écrire malgré, c’est court mais ça dis bien ce que je fait, écrire plutôt que mourir comme ça j’en aurai jamais finis. J’ai fait de la publicité avec Facebook sur mes blogs ça a pas l’air de donné grand-chose. Je me souviens je jouais au billard j’étais pas très bon sur la dernière boule, les gorgées de bières m’empêchaient de trembler, parfois je gagnais une où deux parties, j’essayais d’intimider l’adversaire. Je pense au Montreal Pool Room, celui qui n’existe plus l’original qui était toujours plein de monde le midi et la nuit. Les choses ont changées en deux jours on a deux édifices du patrimoine montréalais qui ont brûlé. Dans le goulag ils ont remonté la façade de certains édifices, ils ont fait des corniches, des bordures à moulures. Mon lecteur designer à la retraite saurait surement comment nommer ça. La nuit est arrivée, les gens rentrent chez eux comment vous dire que parfois je me faisais harcelé quand je travaillais. Je devais oublier, fallait oublier mais un jour l’alcool a plus fait la job. J’arrêtais où je crevais. Non je suis pas une victime, je choisissais mal et ça donnais de mauvais résultat. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 23 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je cherche une thématique pour aujourd’hui. Je viens de souper c’est pas facile de vous écrire ça à tous les jours aujourd’hui je suis pas sortis. Je lis un roman d’Henning Mankell, intitulé Les chaussures italiennes ça s’adresse aux gens de notre âge, peut-être que ma lectrice secrétaire retraitée de l’Outaouais aimerais. J’écoute la voix qui me parle, c’est silencieux, j’arrive à rien pas même à faire surgir un bavardage intérieur. C’est pas le Sélection du Reader’s Digest, ce matin Facebook fonctionnait mal. Aujourd’hui j’ai envie de vous parler de la station de Métro Papineau quoi dire d’autre qu’ils vont mettre vingt-trois millions de dollars pour améliorer le service. J’écoute, j’attends que ça me parle, ça c’est le fantôme qui m’habite c’est pas un ami imaginaire souvent il veut mon mal. Je me demande si vous allez lire. Dans le goulag occidental y’a des travaux routiers on détourne les autobus. Ce qui fait les manchettes aujourd’hui c’est les repas dans les CHSLD, j’espère me ramasser là le plus tard possible et voilà je viens de l’entendre, manger mou! J’essais de varier l’horaire à lequel j’écris. J’ai chaud ai ouvert la fenêtre, ces voix que j’entendais c’est une des raisons pour laquelle je buvais. Je voulais les faire taire mais d’une fois à l’autre j’y arrivais plus j’étais encore plus fou. J’aimerais vous faire plaisir et écrire nos souvenirs communs, il est un peu tôt pour parler du punch que le patriarche préparait dans le temps des fêtes. Je les ai tous raconté mes souvenirs, y’a pas longtemps un joueur d’accordéon se moquait de moi parce que je connaissais toutes les mauvaises chansons qu’il jouait. Les gens aiment pas quand on chante des chansons quétaines, c’est comme si déjà on avait été abusé. Y’a des chansons que je me souviens j’étais petit garçon, j’avais vingt ans, la dame en bleu, sans toi, et plusieurs autre, https://www.youtube.com/watch?v=ZVcvzGJ027M



 Je sais ça fait un peu pédé mais moi je les chantais pour écoeuré. Je sais pas où ça va me mener ces confidences dans le milieu où j’étais on préférait et de beaucoup Frank Zappa, y’a encore des gens qui croient que ces vieilles chansons vont revenir à la mode. Je pense à ce copain que j’avais qui jouais du sax et de la guitare, il avait tous les talents je sais pas ce qu’il est devenus. Les mercredis comme ce soir y’avait des jam sessions au G Sharp, j’allais les écouter et parfois on me laissait délirer sur la scène jusqu’au moment où dans mes abus on me barre. Je m’ennuis pas de ça ce que je vous écris là c’est la voix qui me le dicte. Je pense au bar Taboo où je suis jamais allé c’est un bar de danseurs nus pour hommes, ça m’attire pas vraiment, voilà pour aujourd’hui je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Tout à coup il me manque des mots, je termine un peu plus mal.

Bernard

 

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je croyais que le blues c’était une mode mais j’ai jamais vu autant de gens apprécier et  jouer ce genre de musique. C’est un peu ça que j’ai cette nuit le blues https://www.youtube.com/watch?v=TECHTM5clpw . À l’époque les groupes anglais s’imposaient avec leurs façon de faire du blues, les Yardbirds, Led Zeppelin, John Mayall, Rolling Stone  et bien d’autre ont connus du succès. Les puristes du blues américain aimait pas beaucoup ça, on appelait ça la british invasion. https://www.youtube.com/watch?v=mdrAdcxFB9c  Moi ceux que je préférais c’était Led Zeppelin https://www.youtube.com/watch?v=w4THXeOD-Dw  Je les ai toujours trouvé génial ils avaient des versions bien personnelles de certains blues. Jimmy Page à toujours été un maître à la guitare qui se mariait puissamment à la voix de Robert Plant sans parler des lourds et magistral eux aussi John Bonham à la batterie et John Paul Jones à la basse, ils avaient une sorte de son sale mais beau https://www.youtube.com/watch?v=g41q_OqwKHk  Ils se sont appropriés le blues noir pour en faire une version dure à l’anglaise c’est devenus des classiques. Je me souviens avoir eu l’album deux et son Whole lotta love avant le premier qui étais magnifique, à l’époque j’étais adolescent et on écoutais tous ça en plus je voulais avoir une crinière à la Robert Plant, j’ai jamais réussis. https://www.youtube.com/watch?v=nmO0OZC6Ifk  Y’avait aussi Jeff Beck avec Jimmy Page et John Paul Jones qui avaient le génie de se trouver là où il fallait. Mon blues semble vouloir passer, les anglais auront beaucoup marqué la musique, j’écris pas pop parce que c’est pas de ça qu’il s’agit cette musique ce blues était un art de vivre que toute la culture américaine avait acheté, on a ramené les Robert Johnson, Willie Dixon, B.B.King et tous les bluesmen que les puristes disaient authentique. Y’avait aussi les Cream qui nous ont fait découvrir Éric Clapton et leurs version de Crossroads https://www.youtube.com/watch?v=PE9HvSdcaL4 . C’est un classique de Robert Johnson pour ceux qui se retrouvaient à la croisée des chemins. Cette nuit c’est très musical je voulais vous faire partager ce blues, cette douleur bleu langoureuse traduite par des Wasp amoureux des racines du Missisipi, de la Nouvelle-Orléans et de Chicago des endroits qui ont fait survivre le blues. On a tellement discuté de ces guitares, de la distorsion ou pas, lentement on s’en allait vers le jazz, le Kind of Blue https://www.youtube.com/watch?v=FEPFH-gz3wE de Miles Davis, c’était déjà vieux mais pour nous ça restait intemporel voilà un autre monde musical qui s’ouvrait et dans ce temps-là je m’enfonçais de plus en plus dans l’alcool avec le Câline de blues de Pierre Harel. J’ai le blues et je gèle, ai mis le chauffage… Le blues c’est ce qui nous a amené le rock’n’roll d’aujourd’hui, les guitares électriques, Jimmy Hendrix… Hendrix ça vieilliras jamais ça va rester l’idole de certains toxicomanes, y’a ça aussi dans le blues les down de dope mais c’est un autre sujet. Je vous laisse merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Salut!!! Ciao!!!

Bernard