lundi 17 octobre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai passé une belle et bonne journée. Un petit mot pour ma lectrice puéricultrice de Cantley en Outaouais, je vais bientôt avoir une autre bande dessinée pour l’ami Antoine. Je finis mes lectures et je lui poste… J’ai l’humeur plus légère, je pense que c’est parce que je fais ce que j’ai à faire. J’ai quand même de gros défauts je juge et pourtant ce serait normal que je donne une chance à mon prochain… Y’a toujours l’écriture comme une sorte d’échappatoire mais s’évader du goulag occidental c’est impossible faut dire que depuis le temps j’y suis bien. Y’a tellement de travaux les rues sont embouteillées, embouteillées! C’est un bon mot pour les automobilistes qui ont soif et qui vont peut-être s’arrêter au bistro en attendant que ça passe. Je pense à Tiger Nain qui conduisait fatigué, repose toi! Je veux te voir bien en vie et j’irai peut-être manger ton jambon et ton smoked meat maintenant que tu travaille dans une institution de Terrebonne. Ce matin je me suis levé avec un mal de tête ça s’est vite passé… C’est pas égal ce que j’écris j’ai toujours les avions en tête, je me demande ce seras quand mon prochain départ, je pense pas que j’irai seul sur la plage ça me prendrais de la compagnie en plus j’ai vu hier qu’il y avait des requins blanc sur la plage à Cape Cod. Avion, plage voilà des images… Lentement les piétons passent on en voie plus jouer avec leurs chiens dans le parc…Allez! J’y vais! Je vous écris ça d’une traite au son de la circulation en regardant les cyclistes rouler à contre-sens, ce matin j’ai rencontré un psycho-sociologue à qui j’avais donné un texte mais qui l’avait trouvé trop répétitif. Je pense qu’en général on aime bien les beaux petits textes à consonances mielleuses, qui nous fait « grandir ». Je prendrai pas cette voie là… Ça roule! Ça roule! Je pense au motel sur la rue Jarry ça me tentait pas d’habiter là quoi que maintenant je suis entre la rue Sainte-Catherine et Notre-Dame du traffic y’en a et ça jamme. Ce soir y’a un parfum de soupe, j’ai tout mangé la mienne. Toujours souvenir des soupers en famille, le patriarche arrivait parfois un peu tard nous on avait mangé me souviens plus où était ma sœur, disons que j’étais trop occupé à agacer. Je vais juste vous mentionner que la voisine se promène sur la passerelle moi je trouve qu’elle sait pas vivre, la passerelle c’est pour les urgences. Ouais! Pour l’instant j’ai de la difficulté avec ce texte, vous allez dire c’est toujours comme ça, t’est vraiment mémère!!! Moi ma tribune c’est ça, le blog toujours, le blog sur le goulag occidental bien que ça fasse pas beaucoup de sens… Je vais arrêter de chercher et écrire comme toujours avec un questionnement. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! À bientôt!!! À la prochaine j’espère!!! Demain même heure même poste.

Bernard

dimanche 16 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis tellement cave que je me rappelle pas ce que j’écris. Désolé pour le bôf mes pensées sont avec tous les siens. Ce dimanche c’est vraiment l’automne, il pleut et il fait frette. Je crois que ce printemps je vais me rendre à Prague, ma lectrice secrétaire retraitée de L’Outaouais me dis que c’est une bonne destination, elle est toujours de bon conseil. Je vais revenir avec mon senti. Je me répète, je vais peut-être arrêter tout ça à moins que je demande à la Sainte-Vierge de m’inspirer. À Prague on peux voir la Maison à la Vierge Noire, un édifice cubiste construit au début du vingtième siècle, y’a aussi Le Petit Jésus de Prague, https://www.youtube.com/watch?v=0uBDZDcC6Pw  une prière que d’autre diraient en cachette, mais les prières y’en a jamais assez… Ma foi comment vous écrire à vous que je sais dans les épreuves. Je veux pas faire le faux-prêtre, je me rappelle ma regretté sœur comment elle engueulait les gens du culte, ça lui a pas rendu la vie plus facile… Le ciel se dégage, j’ai pris une pause de la TV, l’ICON c’est un hôtel à Prague, les icônes j’essais de voir si y’a pas un rapport avec Prague, je crois que oui parce que je crois que les habitants sont de foi orthodoxe faut pas mélanger avec la vierge noire de CZETOCHOWA en Pologne. Quand j’ai rien à écrire sur mon senti j’écris des choses pareilles qui n’intéressent personnes. Je sais, qu’aujourd’hui les icônes c’est la bande dessinées. Je me souviens de Vaillant qui véhiculait de bonnes valeurs, c’était y’a plus de cinquante ans. Je pense aux religieuses Vierge Marie la Consolatrice, des orthodoxes grecques à Brownsburg , je suis tout mêlé parfois la prière me démêle, comment? Je sais pas c’est un mystère. Y’a aussi la cathédrale Saint-Guy à voir dans la république Tchèque. Non! Non! Non! Vous avez pas affaire à une vocation tardive ça s’adonne que souvent les arts religieux sont les plus vieux… Pour un autre sujet, les gens mangent le fromage fêta des sœurs, le chocolat des moines et le poulet d’Angèle avec un menu pareil on va vivre vieux, des aliments bénis… Je pense à Mario Tremblay qui parlait du petit Jésus de plâtre pas de Prague… C’est baroque ce que je vous écris ce soir ça respecte aucune délicate façon d’écrire. J’ai la toune de Dire Straits dans la tête Money for nothing https://www.youtube.com/watch?v=iwDDswGsJ60 . Je pense au psychédélique délirant psychotique on est loin du spirituel, moi je suis pas très humble je fais rire personne. Je vais essayer de vous écrire une belle finale sans trop penser juste un premier jet écris à la va comme je te pousse gros jean comme devant. La bêtise la voilà toute unique et seule à dire le non-sens, vous voyez ma paresse à travailler ce blog c’est quand même pas évident. Le bout des doigts me brûle. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 15 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je reviens avec cet espèce de feuilleton qui n’en est pas un. Aujourd’hui j’ai fait des courses et la lessive pour le moment l’eau courante est coupée, pas d’aqueduc… J’ai sommeil, lentement la nuit arrive ils ont interdit les Samsung sept dans les avions, c’est bien. Je vais essayer d’aborder mon senti, l’ami m’a téléphoné et réconforté notre amitié tiens bon.  C’est toujours étonnant cette façon d’imaginer les choses, je pense qu’il y a un peu de schizophrénie là-dedans mais je m’en sers pas comme excuse.  Aujourd’hui j’ai rangé les vêtements dans les tiroirs et dans la penderie. Dans mon senti je pense souvent à la France,  à Besançon et à Paris. J’ai toujours le désir de partir, j’aime bien les publicités de La Guadeloupe à TV5 c’est aussi ça la France. Je crois que nos snowbirds vont bientôt partir, le bôf a travaillé sur sa roulotte parfois je pense à m’acheter un petit camper mais j’ai pas mon permis de conduire et je crois pas avoir les moyens pour l’essence. Je partirai moins longtemps et plus léger, l’avion, l’hôtel un pack-sack pour deux semaine aujourd’hui je lisais dans LaPresse+ que Barcelone était la destination la plus achalandée je crois que je vais laisser tomber et peut-être pensés à Prague pour ce printemps. J’aime voyager voir les choses autrement qu’à la télé, les choses en vrai… Ce soir le goulag occidental est assez tranquille, y’a des voitures au pot d’échappement qui ronronne mon lecteur de Deux-Montagnes aimerais ça… Je   pense toujours aux « amis » du premier voyage à Besançon. Je les ai perdus de vue. Rien n’empêche je crois être plus citoyen même si j’ai encore bien du chemin à faire. Je me rétablis lentement, je crois que je dois penser à donner plus qu’à recevoir… Ça a l’air facile comme ça mais c’est pas simple… Je pense aussi à ma lectrice puéricultrice de l’Outaouais qui a beaucoup de peine suite au départ d’un être cher. Je suis de tout cœur avec elle et j’espère que si elle me lit ça va la distraire un peu, je crois que sa grande famille a besoin d’elle. Moi je suis pas très comique, j’arrive pas  faire des jokes… J’écris toujours sur les harleys qui pétaradent dans le goulag occidental. La nuit est tombée, le samedi c’est le hockey pas loin à la limite du quartier y’a les péripatéticiennes qui pratiquent. Y’a longtemps que j’ai pas parlé d’elles je trouve pas qu’elles sont très intéressantes… Ça fait longtemps que je vie ici, ça s’est gentrifié, y’a des AUDI et des BMW de stationnés. J’ai plus sommeil, je crois que la lumière de l’écran me réveille. J’espère que j’ai toujours mes fidèles lecteurs, lectrices… Je vous écris ceci et après je retourne dans le cahier, je suis toujours à chercher… On entend les sirènes les voitures, une overdose peut-être mais y’a tellement de malaises qui ont besoin de l’ambulance. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard           

vendredi 14 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas certain que je vais arriver à vous écrire quelque chose aujourd’hui. Je suis fatigué, je crois que je m’en vais vers la dépression. J’ai ouvert la boîte de biscuits Ritz, on m’a dit que j’avais le droit de ressentir tout ce que je ressent, trompez-vous pas c’est pas du ressentiment, c’est du senti… Moi qui d’habitude prend tant de plaisir à vous écrire, je pense à ma toxicomanie à comment je ne consomme pas pour aujourd’hui… Je prie, je prie puisqu’il le faut pour éviter les ennuis. Ce soir je cherche à vous dire mon imperfection et comment vivre avec… Je crois que c’est mieux de me tenir loin des gens qui consomment… Parfois y’a des gens qui réalisent pas, qui mettent la charrue en avant des bœufs. Je me suis promis de vous parler de moi. J’ai aucun pouvoir sur mon prochain… L’hiver arrive ça va être difficile de rester dehors… Je  l’entends dire comment il est bien là où il est pour apprendre quelque semaines plus tard qu’il est rendus dans un refuge, c’est exactement ce que je ne veux pas vivre. J’arrête ça là c’est pas de mes affaires je suis incapable d’aider. Dans ma paranoïa  je pense qu’on a mis quelqu’un après moi pour me faire la peau… J’en profite pour saluer ici l’amie danseuse, moi aussi je l’ai pas oublié, un flash tout-à-coup. Ça me tue j’arrive pas à penser à autre chose qu’à eux, comme on dis c’est « vivre et laisser vivre ». Je sais pas quoi faire pour me rétablir un peu plus. Je salut mon lecteur de Deux-Montagnes et sa nouvelle acquisition, un beau station-wagon wood, il est constant il reste dans la même ligne, bravo! Je vous parlerai pas de voitures je connais pas ça. Je suis plus dans l’introspection, c’est comme je vous disais au début je suis dans la déprime ça m’arrive souvent l’automne. Je sais pas si un voyage dans le sud m’aiderait. Je peux pas écrire et faire abstraction de ce qui se passe dans ma vie. Il se passe pas grand-chose vous allez dire mais c’est ça pour le moment un conflit avec les amis. Je me suis éloigné de mon intérieur, de mon senti viscéral et ça rien donné de bon. Difficulté à vivre le moment présent, je me projette dans l’avenir, demain et ça à rien de bon. Je pense à tous ces gens qui ont voyagé et qui me diminuent parce que je voyage maintenant. C’est comme la matriarche dis y’en a qui sont fatigant tellement ils connaissent tout. Bon! Faut pas que je me pense trop smatte… L’humilité c’est ce que je dois rechercher, je vous avoue humblement que c’est difficile, plusieurs des personnes que j’ai essayé d’aider sont encore dans la consommation faut croire que je suis pas un bon exemple pourtant je fait de mon mieux. Je vous laisse, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 13 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi j’ai pas envie de regarder les actualités. Le temps est gris, je crois que j’ai perdu un ami… Je vous écris plus tôt qu’a l’habitude. Je lui ai fait des reproches à l’ami, j’aurais pas dû… Comme toujours j’y vais avec mon senti, les reproches que j’ai fait ils partaient de moi, j’avais pas à faire ça. Enfin c’est fait, toutes mes excuses. C’est trop personnel pour être dans un blog… Pourtant je suis pas sûr que j’ai tort, c’est son ami pas le mien. Le goulag occidental est occupé par des pelles mécaniques… C’est quand même mon choix, j’ai peur de ça… Je suis à boutte , je devrais comprendre qu’écrire c’est pas juste se faire des amis pourtant il me semble que j’ai parlé des « vrais » affaires. Ce soir comme toujours la circulation est dense, je pense à la danseuse aphasique. Je suis un pauvre… Je me dénigrerai pas ça donne rien. J’ai fait une erreur. Cette histoire la ça occupe toute la place et là c’est comme si je jetais de l’huile sur le feu. Je pense que je dois laisser passer le temps. Je suis pas parfait… C’est possible qu’une amitié se termine, je regrette un peu mais c’est comme ça, c’est pas la première fois que des amis sortent de ma vie. J’arrive pas à écrire autre-chose, j’ai beau dire, j’ai beau faire c’est comme ça, au fond l’ami je le comprend pas… Une amitié qui se termine c’est toujours désolant… Je vais attendre il va peut-être me téléphoner, ça me fait mal d’être seul d’y penser. Ce soir je vire à vide c’est que des ennuis… La solitude est très présente… Pourtant j’ai pas inscrit son nom c’est presque de la fiction. Je pense au copain qui avait essayé de faire la livraison dans un dépanneur, il se perdait dans les rues. Me souviens aussi des potagers dans les ruelles de la petite Italie c’était magnifique, en ce moment je crois que c’est la vente des raisins pour le vin. Y’a quand même quelques vignobles autour de Montréal, ça prend des vignes robustes. J’ai de la peine! J’ai de la peine! J’ai de la peine! Quand je raconte mes conneries, le vin je connais pas ça j’en bois pas et je serais incapable de me pencher pour faire les vendanges… Je vais y arriver à vous écrire malgré tout. Dehors sur le trottoir une jeune fille lançait un sac de cannettes vides à son compagnon. C’est toujours comme je pense dans la durée et la persévérance, les gens passent la démarche chambranlante, les chèques de chômage sont sortis on en profite pour… Je vais pas dans mon thème de prédilection. C’est presque la nuit, je vous aurai encore une fois écris. Je ne suis pas une vedette juste un humble « écrivain » à la petite semaine. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je sais pas si vous allez revenir mais à la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 12 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir la fenêtre est ouverte, y’a plus de climatiseur et on entend les passants parlé seul. Toujours un discours de paranoïaque, comme quelqu’un qui se faisait soigner mais qui a arrêté son traitement. C’est ça aussi le goulag occidental, assez de fou pour avoir peur. J’ai souvenir de ces moments où je quittais l’appartement en ambulance et où je me faisait hospitaliser, y’a longtemps que ç’est pas arrivé, merci mon Dieu! Y’a l’église tout près, qu’on a clôturée, je crois qu’elle tombe en ruine et j’ose pas imaginer le coût de l’entretien… C’est assez terrible d’entendre tous ces passants qui parlent seul et dans un langage incompréhensible mais à qui parlent ils ? Leurs ennemis? Je me vois psychotique entendant ces voix qui viennent de nulle part c’est assez pour décompenser. Je pense à ces cérémonies religieuses où on imposait les mains et la personne parlait en voix, des voix incompréhensibles mais sacrées selon le pasteur. Disons que je suis pas un spécialiste de l’araméens… J’ai une photo où je suis avec l’amie psychologue, la photo est bonne je suis en tuxedo mais y’a une bretelle qui dépasse, c’est pas grave la photo aurais été trop bonne sans ça. Je crois que Céline Dion se tape encore une chanson à succès. Dans le parc en face un gars pousse le ballon, c’est pas Central Park on peut y jouer le soir… Bon on va faire une petite exception pour l’actualité, le morron à Trump semble avoir fait des attouchements à deux femmes, j’ai jamais vue une campagne électorale aussi basse… J’en parle pas plus ça vaut pas la peine, parfois on se dis que c’est ce qu’il veux faire parler de lui par tous les moyens. http://ici.radio-canada.ca/emissions/le_15_18/2016-2017/chronique.asp?idChronique=418783 . Je vous reviens avec ça au cas où vous l’auriez raté . Moi je me présente pas à la présidence, ça va peut-être vous distraire de cette campagne électorale américaine. Je vois une voiture avec une remorque, je pense à la remorque du patriarche qui m’avait à l’époque aidé à déménager… Comme souvent je cherche à vous dire mon senti, une voiture klaxonne, une moto passe, là nuit est là, les oiseaux nocturnes vont se garrocher dans les bars et n’y trouveront que névrose, psychose et dépression rien de très réjouissant. J’y vais maintenant sans trop y penser, les gens sérieux étudient le soir où travaillent ils s’amusent pas, je sais pas pourquoi j’ai toujours ces thèmes là c’est peut-être le regret de ce que j’ai pas fait, pour le moment je suis pas équipé pour écouter les lunatiques qui parlent seul. Ça m’a interrompus, moi aussi quand je vous écris ça c’est un langage solitaire… Je pense à ce gars avec une énorme balafre à la joue droite c’était épeurant, je pense que c’est un gars qui avait fait du temps. Lentement j’approche de la conclusion pour ce soir, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je vais essayer d’en écrire d’autre. À la prochaine!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 11 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Grosse journée sur les réseaux sociaux, mon interview à Radio-Canada semble avoir plu à plusieurs d’entre vous. Ce soir je suis un peu fatigué, l’insomnie me rattrape toujours et je veux pas prendre de somnifère. Je sais pas si vous saviez que dans le goulag occidental je suis voisin des petites sœurs de mère Thérésa. Elles sont surement pas là parce que c’est le quartier le plus riche. Cet après-midi j’ai enlevé le climatiseur, la météo télévisée parlait de la neige avec le sourire mais c’est pas pour demain. Je suis content de vous écrire… Je vais voir si je peux toujours vous parler de mon monde intérieur. Le directeur de la santé mentale rencontré dans un lancement de livre me disait que c’était bien d’être un exemple, c’est ce que j’essais d’être mais pas vraiment pour le ménage et l’entretien ménager… Je pense aux deux frères juïfs qui distribuaient et assemblaient des portes d’acier, j’avais pas perdus de temps pour m’ouvrir la trappe et parler syndicat à l’employé latino, le lendemain j’étais à la porte, à la porte vraiment dehors!!!  Je sais pas pourquoi je vous parle de ça, je sais qu’il y en a d’entre vous qui me trouvent tannant avec mon blog mais je préfère faire ça que de m’écraser devant la télévision. Hier en marchant sur la Catherine je regardais dans la vitrine d’un bistro un gars seul assis à une table qui buvait un verre de vin blanc, ça avait l’air plate, mais plate, je le faisais avant je regardais les gens passés… Hier une couple d’heures avant l’entrevue, chez moi, j’ai eu une barre à l’estomac, je crois que c’était le trac mais c’est partie aussi vite que c’est venue. Tiens tout à coup j’ai de la peine, je sais pas trop pourquoi des fois ça me fait ça quand j’écris ça remonte et je perds l’esprit… La matriarche ce matin me disait que parfois elle écoutait l’émission littéraire à Radio-Canada, elle m’affirmait qu’il y avait beaucoup plus de monde qu’on pense qui écoute ça. Je la crois. C’est l’automne j’ai toujours ces souvenirs où adolescent je trainais dehors le soir, c’est pas comme ça qu’on débute de grandes carrières encore faut-il vouloir faire carrière. J’ai tant essayé de m’accrocher à quelqu’un à quelque chose, j’y suis pas arrivé, je suis devenus fou et aujourd’hui la folie… Hier j’ai croisé une animatrice, producteur populaire à la radio et à la télé, j’ai pas osé la salué, elle me connais pas j’étais gêné. Ce soir je peux dire que j’ai mis les pieds à Radio-Canada, c’est impressionnant… J’étais loin des quartiers industriels de Saint-Léonard et de Ville d’Anjou. Je veux pas retourner là ça va me foutre la déprime quoi que… Bon! Ce soir j’y arrive encore une fois. J’ai comme toujours essayé avec mon senti. Je sais pas comment terminer. J’ai aucune idée. Je vous laisse donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard