mardi 27 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Les arbres commencent à changer de couleurs… Je me rappelle je rentrais à la shop la mort dans l’âme. La vie était dure et longtemps à part ça. Me souviens de l’émission radiophonique Bouchées doubles animée par les regretté, Jean-François Doré et Chantal Joli, que de plaisir j’avais à les écouter ces deux là, http://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/7508023  c’est tout simplement de la nostalgie, j’avais pas commencé à vivre, dans une vingtaine idiote qui ne voulais pas quitter la maison paternelle. Je me rappelle plus du nom, je l’ai retrouvé j’étais un Tanguy. Le patriarche en a eu assez de me voir étendu sur le sofa du sous-sol et de me laisser vivre, la folie commençait à s’emparer de moi. Ça peut sembler rigolo mais c’est presque tourné dramatique. C’est des souvenirs et je suis heureux d’être sortie de ça. Cet après-midi la voisine s’amuse avec les gratteux… Souvenir aussi du poèle à bois et du mur de brique derrière, l’hiver je chauffait, le patriarche avait pris un contrat du Bell pour assembler des chaînes qui soutiennent les bottins téléphonique. J’aurais pu en assemblé plusieurs mais pour moi ça faisait pas de sens. Je crois que je vous ai déjà raconté ça ailleurs. On refait pas une vie… Bon! J’y vais sans trop y pensés dans le goulag occidental la circulation est dense encore des souvenirs de psychoses sur le boulevard Pie IX, heureusement tout ça m’a quitté. Je délire, je délire toujours les mêmes choses, les mêmes mal… J’ai sortis les biscuits salés, si au moins je pouvais vous écrire sur la mythologie inventer un nouvel Atlas, pauvre ignorant que je suis, j’ai lu quelque part qu’au Québec y’a pas de mythologie et que sans mythe on fait pas un pays… Disont que Ti-Mé Paré comme mythe c’est pas fort, on est toujours dans la dérision, pour avoir des mythes encore faut-il savoir lire, mais on préfère souvent les criminels des nouvelles télévisées. Je pense à la vision du commun qui fait de la littérature un objet pour les efféminées. On semble pas croire que la lecture ça sauve des vies.  Aux livres on choisit souvent les sports mais le mieux je crois c’est de marier les deux. Je sais pas pourquoi je pense au métis Louis Riel, peut-être un certain rapport avec la mythologie mais il a perdu on l’a pendu, nous sommes un pays bâtis sur la défaite, ça non plus c’est pas fort… Votre Ti-Coune sait pas où il s’en va avec ça, je veux pas me faire mener politiquement par ceux que je vois, je trouve qu’ils ont des sales gueules et c’est suffisant pour pas les aimer, je suis un peu comme les madames et la coiffure des politiciens qui lui gagne des votes. Y’a toujours l’argent cette valeur qu’on nous enfonce bien dans le crâne. Ceux qui disent que c’est pas nécessaire sont toujours pleins. Je sais y’a plusieures fausses notes mais je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 26 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est la soirée du débat aux U.S.A. semble que la terre entière va le regarder émotivement ça me dérange pas beaucoup. Cet après-midi j’ai dormis, ce soir j’ai chaud. Ai mangé une pizza pour souper j’ai la bouche qui goûte le sel. Je suis pas allé jouer aux cartes, j’étais trop assommé. J’attends pour voir la dernière de la série Stalingrad sur la bataille du même nom. Je sais pas trop quoi vous raconter, cet après-midi je suis allé voir le médecin pour un petit problème pas très grave mais irritant. J’essaye en même temps que j’écris ce blog d’écrire un texte pour les humeurs culturelles . Je veux rester près de moi, c’est la soirée et dans le quartier gay les gars continuent de s’embrasser. Lundi soir y’a rien a faire. Je me rappelle du temps où j’allais au bar il étais vide. Le seul endroit où y’avait du monde c’était aux soirées thématique du Café Campus sur la rue Descelles sur la montagne. Je trouvais moyen de me saouler même le lundi soir. Me suis toujours questionné sur les pourboires et le salaire d’un serveur d’une serveuses. J’étais longtemps seul dans mes virées à la fin j’étais toujours cassé. Viens de boire une boisson organique mangue orange. J’ai jamais revue le waiter qui me servait pas plus que la barmaid, j’étais une tache, le dernier bar de cette époque, Le Bobard a fermé. Sur Fairmount côté nord est y’a un petit bar d’habitué qui désemplit pas c’est dire comment tout ça c’est une question de mode y être resté je serais mort. «  Quand monsieur Gobeil s’en va travailler le matin que c’est bien, que c’est bien »- Jean-Pierre Ferland http://listenmusicfm.net/track/Monsieur-Gobeil-by-Jean-Pierre-Ferland-with-lyrics-2967957 . Souvenir d’après les virées nocturnes où on allait déjeuner sur la rue Notre-Dame dans Saint-Henri. Aujourd’hui je vois bien que j’en ai perdu un bout de ma vie de toute façon j’ai jamais su vivre l’angoisse était toujours en moi. Je vous l’ai déjà écris je crois, que mon ambition de fou c’était de boire dans tous les bars de Montréal. Un moment j’avais cessé d’aller veillée, un an a passé les soirées chez moi, la matriarche dans sa grande sagesse m’avait dis d’aller boire j’étais malheureux comme les pierres, j’ai donc poursuivis ma descente dans les enfers de la drogue et de l’alcool. Je racontais de la bullshit, j’étais perdus couchais où je pouvais avec les rats et les coquerelles. Maintenant c’est terminé, je suis stabilisé, je reste chez moi j’ai vu beaucoup de choses et j’en verrai encore mais à jeun. J’étais pas dans le jet-set juste un toxicomane parmis d’autre. Je sais je devrais pas vous avouer ça mais j’en ai finis pour aujourd’hui. Les choses ont changés je suis presque vieux, je m’ennuis plus la nuit. Je développe encore autour de mon thème de prédilection, l’alcool. J’ai plus grand-chose à écrire ce soir. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce matin odeur assez toxique de javel et de savon désinfectant. J’en ai mal à la tête mais au moins l’odeur d’urine est disparue. Je fais bouillir de l’eau pour le café… L’entretien ménager voilà une autre chose que je déteste, c’est pas que je suis incapable de me torcher comme disait l’oncle c’est que j’aime pas ça, tout ce que cet oncle avait trouvé à me donner comme travail c’est justement ça le torchage de son usine, passons à autre chose c’est de l’histoire ancienne il est plus là pour en parler. Hier j’écoutais TLMEP ils y avait comme invité un milliardaire québéquois moi l’argent c’est pas dans mes valeurs, je préfère Saint-François D’assise mais ce serait assez difficile de l’accueillir à cette émission, on invite pas non plus les petites sœurs de La Charité elles sont pas assez sexy je crois. Je me demandait pourquoi j’écoute cette émission, j’en parle à personne c’est pas de ma classe sociale.  Ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide et après je vais voir le médecin. Je prends mon café lentement, c’est la nuit et je suis victime de mes obsessions du senti, comment vous écrire avec humilité? Trois heure du matin j’ai mis la télé sur France 24 ça me donne des souvenirs de voyage. J’aime bien les actualités vue de loin, un autre point de vue. Je sais pas comment pensent les migrants, ils veulent travailler en Grande-Bretagne moi je crois pas qu’à faire des petits boulots ils vont s’en sortir mais je comprends qu’ils fuient la guerre et les bombardements. Encore cette nuit je suis loin de mon senti, dans le goulag occidental c’est tranquille on entend les voitures qui passent. Je ferai pas comme la semaine passée j’abandonnerai pas le texte avant de l’avoir terminé après je retourne au lit. J’ai sommeil, je me demande comment il se fait que plusieurs sont devenus pair aidants rapidement et d’autre ont été laissé à eux même. Ce que je souhaite c’est me rétablir en ayant pas à faire appel à un pair quoi que mon groupe d’entraide c’est un peu ça. Je pense que plusieurs croient qu’ils sont guéris quand ils deviennent pair-aidants, c’est faux y’a toujours beaucoup de chemin à faire ne serait-ce que soigner sa névrose. Je sais pas ce que j’écris pas plus que je sais ce que les pairs-aidants ont à m’offrir, j’écoute, j’écoute ce que mes collègues ont à dire. Je me rétablis toujours en pensant à la pleine citoyenneté… Je rêve encore d’avion de départ j’irais bien visiter les amis de Lille et de Dijon avec toujours dans l’esprit la notion de devoir qui prime sur les droits. Je pense au vieux psychiatre de Trieste qui parlais avec justesse de Liberté, Égalité, Fraternité à la fin de cette semaine on devra faire son premier devoir payer le loyer, c’est important la rue pardonne pas. Je vous laisse là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 25 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Dimanche superbe, beau temps pour le marathon et pour les moins sportifs la cueillette dans les vergers, j’essaye de pas trop pensés aux traces que laisse l’être humain sur la planète… L’espèce de métal qui sert a faire les écrans de mobiles et de tablettes, je laisse ça là comme on dit rien ne se perd rien ne se crée. Je reviens sur mon senti, celle-là je suis certain de vous l’avoir jamais raconté, elle est scatologique, j’étais dans l’avion entre Paris et Montréal assis au centre entre deux autres passagers. Je parlais à celui qui étais sur le bord de l’allée chaque fois qu’il ouvrait la bouche ça sentais la merde, mais c’était seulement quand je tournais la tête vers lui. Depuis j’ai fait quelques vols et je sais maintenant que l’odeur venait des toilettes défectueuses… Un vol de merde, j’en ai jamais refait. J’essais de connecter avec mon senti… J’y arrive pas je m’occupe du senti des autres à la télévision, si j’avouais que c’est parce que je me sent bien mais y’a toujours une odeur de détergent par-dessus mon odeur de merde, mon senti c’est pas ce que je sens mon parfum mais c’est ce que je ressens. C’est comme je vous racontais à propos de la schizophrénie, je pue et je vais bientôt prendre une douche et me parfumer. Je pense à ce « collègue » avec qui j’ai voyagé en France à Besançon. C’est pas devenu mon ami et c’est o.k. quand je suis partis c’était pas vraiment important. Y’a le directeur adjoint du SAPA à l’institut avec qui j’ai fait plusieurs voyage plusieurs activités. Je dirais que c’est presque un ami quoi que maintenant je suis trop jeune pour participer à ses programmes. Non! Non! Je suis pas incontinent, je sais pas pourquoi je vous raconte ça. J’écris pas pour faire l’intéressant, y’a trop longtemps que je veux écrire, je laisse pas passé ma chance. C’est vrai que je pourrais me contenter de mon cahier mais j’aime bien l’idée d’avoir un ou deux lecteurs. J’ai des reflux gastriques je sais pas pourquoi, je suis probablement trop nerveux j’ai mal à tous les trous. Une émission sur les véhicules récréatifs, je pense à mes snowbirds, l’entretien de leur véhicule, je crois que le bof est capable de s’occuper de ça. Encore une fois je m’éloigne de mon senti, ça me tue quand ils disent qu’il faut que tu dépense pour économiser. Pour revenir aux snowbirds c’est certainement moins difficile de vivre dans un V.R. qu’en camping dans une tente quand même j’aimais beaucoup camper, parfois ça me manque, un feu le soir, le bois la campagne, je suis loin de ça dans le goulag… L’automne dans le bois c’est aussi beau. Je suis pas un chasseur mais je comprends pourquoi on peut aimer ça. Un chalet et un poêle à bois c’est aussi agréable. Je termine en vous souhaitant un bel automne. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 24 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Belle journée, cet après-midi j’ai dormis j’ai laissé la télé fermée. Je survivrais si je vous écrivais pas mais ça me donne un sentiment d’accomplissement. Je sais pas si je vous crée un stress numérique avec mes écrits mais c’est pas le but. Ai sortis les vidanges comme pôpa et j’ai rencontré le copain de la voisine que j’ai salué. C’est pas simple écrire à tous les jours, ce matin j’ai marché jusqu’à la librairie et j’ai acheté un roman de poche. J’essaye de nommer ce que je sent. Je pense à Georges et à Johnny les copains belge de mon enfance. Ils sont pas resté leurs papa a décidé de retourner en Belgique. J’écoutais ma sœur et sa copine Aline parler des gars, j’aurais aimé être un de ceux-là. Dans une maison quelque part y’avait surement des filles qui parlaient de moi, je sais pas qui, je sais pas où mais je crois. Un autre souvenir de mon père qui voulait acheter une porte de garage pour la shop, j’en fabriquais justement mais le patron oncle a décidé de pas en acheter une où je travaillais. Il a préféré une porte en métal à une porte en bois, c'étais pas important de me donner du travail, d’acheter où je travaillais. J’ai encore ces frustrations là en tête… et je suis partis j’étais déjà fou. Je me souviens avec la gang le soir en regardant les étoiles je leurs racontais qu’une fois partis de chez mon père je ferais de gros party c’est jamais arrivé. Ça me fait mal de vous raconter ça, les gars m’ont laissé tombé et y’en est resté que un, que j’apprécie toujours. Y’avait toujours ces gars qui en voulait à mon argent, j’étais pas riche mais j’en avais de côté les caissières de la banque le savait… Me souviens aussi d’avoir refait le solage en pierre d’une maison, les gars étaient correct ils me donnaient du travail pas longtemps après ça je suis tombé malade, j’errais, j’errais seul et en peine dans la ville a cherché du travail. J’ai longtemps voulu revenir en arrière et tout recommencer mais c’était impossible. J’étais battu mais battu pourtant j’ai pas compris ça a pris beaucoup de temps avant que j’arrive à me rétablir. Comment vous dire que matériellement je suis pas nantis mais y’a des choses que j’ai acceptés et ça va mieux. Je regrette, j’ai de la peine et je regrette pourtant j’essaye de faire de mon mieux. Soixante ans et j’aurai pas accomplis grand-chose à part ça cette écriture où j’essaye de vous dire en m’arrachant le cœur.  J’avais un chien Anak qu’il s’appelait, tout ce que j’avais réussis à lui montrer c’est de sauter au bout de mon bras, c’était une chienne elle étais folle mais je m’amusais. L’automne je me souviens pas d’avoir ramassé les feuilles, je laissais ça à mon père, lentement les arbres changent de couleur, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je regardais une émission sur l’art au vingt-et-unième siècle. Des sculpteurs féminins qui disaient que lorsqu’elles exposaient leurs œuvres fallait qu’il se passe quelque chose. De l’animé dans le géologique. Je peux pas m’empêcher de pensés au Nénuphar d’Alexander Calder une œuvre exposés au Smithsonian c’est un stabile par opposition au mobile. Je suis peut-être dans le champ mais j’y vois une évocation du déjà vieux art nouveau. L’organique Nénuphar, les feuilles qui se réflètent dans l’eau leurs évocation puissante. C’est aussi l’évocation d’une vie dans la marre, les feuilles poussées par le vent et les oiseaux qui volent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Calder  J’ai toujours été fasciné par Calder lui qui avec les parents qu’il avait ne pouvait être autre chose qu’un artiste. Il semble que ses stabiles sont tous en acier peint en noir. Sauf celui de l’exposition internationale de 1967. J’ai aussi vu son mobile dans l’aile est de la National Gallery of art, une œuvre haut perché depuis les rénovations, les galeries étaient fermées. https://www.youtube.com/watch?v=IhGkuj5f2rI . Je me demande ce que valent ces petites lignes d’écriture c’est la seule matière que j’ai l’espace et les moyens de travailler… L’abstraction en écriture j’y arrive pas et malheureusement je suis pas Marcel Duchamp. Je sais pas pourquoi je vous parle de ça cette nuit peut-être à cause des œuvres noires… Je vous écris ça pendant que les américains sont au bord de la guerre « civile ». Les bars viennent de fermer quelques tueurs casse-cou klaxonnent. Je sais que parfois la nuit après son quart de travail mon lecteur chauffeur d’autobus viens manger une poutine et un burger au fast-food du goulag occidental. J’essais de réfléchir à ce qu’étais la vie d’un célibataire au début du vingtième siècle, pas de télévision, un peu de radio et l’internet on y pensait même pas. Je dis ça parce que je suis seul et je trouve le moyen de m’activer autour de la technologie… La télé est sur France vingt quatre, j’aime bien cette chaîne. J’enregistre une émission sur une autre chaîne. Je sais pas si vous avez remarqué j’aime bien la sculpture mais la seule chose que j’ai jamais sculpté c’est une cuillère  et j’ai jamais été capable de faire des châteaux de sable. Je suis quand même fasciné par la présence des arts dans notre vie de tous les jours. Je pense à mon lecteur designer à la retraite qui pourrait me parler de ça. À ce rythme d’écriture là je vais être muet bientôt. C’est toujours la nuit dans le goulag occidental , le jour arrive ce seras pas long. Étrangement je pense au tour à bois comment les tourneurs sont aussi des artistes, je crois que les tours sont maintenant numérique encore un métier qui se perd… Cette nuit comme souvent je me sent à la veille d’un départ, je crois que c’est la télé qui fait ça France vingt-quatre. Je ne pars pas je reste pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 23 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris avant de souper, la télé est sur les infos… Je crois que vous êtes capables aussi bien que moi de les regarder. J’aime beaucoup le camping que va faire la nièce avec ses enfants et son chum. Je suis allé la semaine passée au verger où ils vont se rendre, Labonté de la pomme http://labontedelapomme.ca/ un endroit extraordinaire avec une équipe superbe. J’y ai mangé une excellente soupe à l’oignon et de bonnes pommes. Je crois que je vous ai déjà écrit à ce propos. Le soleil sort ce soir, j’aimerais comme toujours écrire sur mon senti, la poésie ça peut être ça, les pommes et le miel, le bucolique d’une petite ferme pour les enfants. Ai mangé un pâté au saumon, écouté en rafale une série sur les trains un peu partout dans le monde… Ils parlent de la place que veulent prendre les adolescents, à cet âge-là j’en avais pas de place, c’est les actualités qui parlent des adolescents. Ce soir je suis pas malheureux, suis pas sortis j’attendais le téléphone du médecin, on m’a donné rendez-vous pour lundi après-midi. Bientôt un vol de quatorze heures entre Montréal et Shangaï . J’aimerais ça aller en Chine voir entre autre la mausolée de Mao Zedong même si j’ai plus mon petit livre rouge. Le voyage se ferait en Boeing 787 https://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_787. Je sais pas si mon lecteur qui travaille à la Rolls-Royce a mis la main sur les moteurs de cet avion. Je suis malade de voyages, malade des avions, hier je pensait me rendre en Nouvelle-Zélande, pense aussi à la Corse, des îles. J’oublie pas que le goulag occidental est sur une île. Ça se tiens pas, plus que jamais mon texte. La voisine du dessous est justement partis à Shangaï… Les nouvelles c’est toujours de la magouille et moi j’arrive pas à écrire ce que je ressent. Je reviens sur les voyages en train. J’avais bien du plaisir à le prendre pour me rendre dans la région de la capitale nationale. Je m’assoyais au bar du train, qui n’existe plus, pour écluser quelques bières. J’avais l’impression de faire quelque chose. Ça sert à rien l’alcool est toujours là dans ce que j’écris, je vous parle pas de la première fois que j’ai pris l’avion avec l’amaretto à volonté… Non! Je serai vraiment pas un grand écrivain… Incapable d’écrire quelque chose qui a du sens. J’ai eu qu’une vie mes expériences sont limitées ça donne juste des textes boiteux. Quelqu’un gueule dehors, son chien jappe, rien de très profond ce soir. Je me lance des défis de quelques mots, des instants sans résonnance, juste du vécu passé pourtant ça s’intitule au présent, c’est que j’écris maintenant. J’ai chaud le soleil frappe par la fenêtre, les publicités télévisées sont en bruit de fond, ils vendent des produits absurdes… Le texte tire maintenant à sa fin, je vous parlerai pas des assurances… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard