samedi 24 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Belle journée, cet après-midi j’ai dormis j’ai laissé la télé fermée. Je survivrais si je vous écrivais pas mais ça me donne un sentiment d’accomplissement. Je sais pas si je vous crée un stress numérique avec mes écrits mais c’est pas le but. Ai sortis les vidanges comme pôpa et j’ai rencontré le copain de la voisine que j’ai salué. C’est pas simple écrire à tous les jours, ce matin j’ai marché jusqu’à la librairie et j’ai acheté un roman de poche. J’essaye de nommer ce que je sent. Je pense à Georges et à Johnny les copains belge de mon enfance. Ils sont pas resté leurs papa a décidé de retourner en Belgique. J’écoutais ma sœur et sa copine Aline parler des gars, j’aurais aimé être un de ceux-là. Dans une maison quelque part y’avait surement des filles qui parlaient de moi, je sais pas qui, je sais pas où mais je crois. Un autre souvenir de mon père qui voulait acheter une porte de garage pour la shop, j’en fabriquais justement mais le patron oncle a décidé de pas en acheter une où je travaillais. Il a préféré une porte en métal à une porte en bois, c'étais pas important de me donner du travail, d’acheter où je travaillais. J’ai encore ces frustrations là en tête… et je suis partis j’étais déjà fou. Je me souviens avec la gang le soir en regardant les étoiles je leurs racontais qu’une fois partis de chez mon père je ferais de gros party c’est jamais arrivé. Ça me fait mal de vous raconter ça, les gars m’ont laissé tombé et y’en est resté que un, que j’apprécie toujours. Y’avait toujours ces gars qui en voulait à mon argent, j’étais pas riche mais j’en avais de côté les caissières de la banque le savait… Me souviens aussi d’avoir refait le solage en pierre d’une maison, les gars étaient correct ils me donnaient du travail pas longtemps après ça je suis tombé malade, j’errais, j’errais seul et en peine dans la ville a cherché du travail. J’ai longtemps voulu revenir en arrière et tout recommencer mais c’était impossible. J’étais battu mais battu pourtant j’ai pas compris ça a pris beaucoup de temps avant que j’arrive à me rétablir. Comment vous dire que matériellement je suis pas nantis mais y’a des choses que j’ai acceptés et ça va mieux. Je regrette, j’ai de la peine et je regrette pourtant j’essaye de faire de mon mieux. Soixante ans et j’aurai pas accomplis grand-chose à part ça cette écriture où j’essaye de vous dire en m’arrachant le cœur.  J’avais un chien Anak qu’il s’appelait, tout ce que j’avais réussis à lui montrer c’est de sauter au bout de mon bras, c’était une chienne elle étais folle mais je m’amusais. L’automne je me souviens pas d’avoir ramassé les feuilles, je laissais ça à mon père, lentement les arbres changent de couleur, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je regardais une émission sur l’art au vingt-et-unième siècle. Des sculpteurs féminins qui disaient que lorsqu’elles exposaient leurs œuvres fallait qu’il se passe quelque chose. De l’animé dans le géologique. Je peux pas m’empêcher de pensés au Nénuphar d’Alexander Calder une œuvre exposés au Smithsonian c’est un stabile par opposition au mobile. Je suis peut-être dans le champ mais j’y vois une évocation du déjà vieux art nouveau. L’organique Nénuphar, les feuilles qui se réflètent dans l’eau leurs évocation puissante. C’est aussi l’évocation d’une vie dans la marre, les feuilles poussées par le vent et les oiseaux qui volent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Calder  J’ai toujours été fasciné par Calder lui qui avec les parents qu’il avait ne pouvait être autre chose qu’un artiste. Il semble que ses stabiles sont tous en acier peint en noir. Sauf celui de l’exposition internationale de 1967. J’ai aussi vu son mobile dans l’aile est de la National Gallery of art, une œuvre haut perché depuis les rénovations, les galeries étaient fermées. https://www.youtube.com/watch?v=IhGkuj5f2rI . Je me demande ce que valent ces petites lignes d’écriture c’est la seule matière que j’ai l’espace et les moyens de travailler… L’abstraction en écriture j’y arrive pas et malheureusement je suis pas Marcel Duchamp. Je sais pas pourquoi je vous parle de ça cette nuit peut-être à cause des œuvres noires… Je vous écris ça pendant que les américains sont au bord de la guerre « civile ». Les bars viennent de fermer quelques tueurs casse-cou klaxonnent. Je sais que parfois la nuit après son quart de travail mon lecteur chauffeur d’autobus viens manger une poutine et un burger au fast-food du goulag occidental. J’essais de réfléchir à ce qu’étais la vie d’un célibataire au début du vingtième siècle, pas de télévision, un peu de radio et l’internet on y pensait même pas. Je dis ça parce que je suis seul et je trouve le moyen de m’activer autour de la technologie… La télé est sur France vingt quatre, j’aime bien cette chaîne. J’enregistre une émission sur une autre chaîne. Je sais pas si vous avez remarqué j’aime bien la sculpture mais la seule chose que j’ai jamais sculpté c’est une cuillère  et j’ai jamais été capable de faire des châteaux de sable. Je suis quand même fasciné par la présence des arts dans notre vie de tous les jours. Je pense à mon lecteur designer à la retraite qui pourrait me parler de ça. À ce rythme d’écriture là je vais être muet bientôt. C’est toujours la nuit dans le goulag occidental , le jour arrive ce seras pas long. Étrangement je pense au tour à bois comment les tourneurs sont aussi des artistes, je crois que les tours sont maintenant numérique encore un métier qui se perd… Cette nuit comme souvent je me sent à la veille d’un départ, je crois que c’est la télé qui fait ça France vingt-quatre. Je ne pars pas je reste pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 23 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris avant de souper, la télé est sur les infos… Je crois que vous êtes capables aussi bien que moi de les regarder. J’aime beaucoup le camping que va faire la nièce avec ses enfants et son chum. Je suis allé la semaine passée au verger où ils vont se rendre, Labonté de la pomme http://labontedelapomme.ca/ un endroit extraordinaire avec une équipe superbe. J’y ai mangé une excellente soupe à l’oignon et de bonnes pommes. Je crois que je vous ai déjà écrit à ce propos. Le soleil sort ce soir, j’aimerais comme toujours écrire sur mon senti, la poésie ça peut être ça, les pommes et le miel, le bucolique d’une petite ferme pour les enfants. Ai mangé un pâté au saumon, écouté en rafale une série sur les trains un peu partout dans le monde… Ils parlent de la place que veulent prendre les adolescents, à cet âge-là j’en avais pas de place, c’est les actualités qui parlent des adolescents. Ce soir je suis pas malheureux, suis pas sortis j’attendais le téléphone du médecin, on m’a donné rendez-vous pour lundi après-midi. Bientôt un vol de quatorze heures entre Montréal et Shangaï . J’aimerais ça aller en Chine voir entre autre la mausolée de Mao Zedong même si j’ai plus mon petit livre rouge. Le voyage se ferait en Boeing 787 https://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_787. Je sais pas si mon lecteur qui travaille à la Rolls-Royce a mis la main sur les moteurs de cet avion. Je suis malade de voyages, malade des avions, hier je pensait me rendre en Nouvelle-Zélande, pense aussi à la Corse, des îles. J’oublie pas que le goulag occidental est sur une île. Ça se tiens pas, plus que jamais mon texte. La voisine du dessous est justement partis à Shangaï… Les nouvelles c’est toujours de la magouille et moi j’arrive pas à écrire ce que je ressent. Je reviens sur les voyages en train. J’avais bien du plaisir à le prendre pour me rendre dans la région de la capitale nationale. Je m’assoyais au bar du train, qui n’existe plus, pour écluser quelques bières. J’avais l’impression de faire quelque chose. Ça sert à rien l’alcool est toujours là dans ce que j’écris, je vous parle pas de la première fois que j’ai pris l’avion avec l’amaretto à volonté… Non! Je serai vraiment pas un grand écrivain… Incapable d’écrire quelque chose qui a du sens. J’ai eu qu’une vie mes expériences sont limitées ça donne juste des textes boiteux. Quelqu’un gueule dehors, son chien jappe, rien de très profond ce soir. Je me lance des défis de quelques mots, des instants sans résonnance, juste du vécu passé pourtant ça s’intitule au présent, c’est que j’écris maintenant. J’ai chaud le soleil frappe par la fenêtre, les publicités télévisées sont en bruit de fond, ils vendent des produits absurdes… Le texte tire maintenant à sa fin, je vous parlerai pas des assurances… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

jeudi 22 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est jeudi soir, la semaine prochaine je passe à l’institut. En me regardant dans une vitrine j’ai remarqué que je suis pas très élégant. J’ai envie de manger des chips. Ce soir j’attends l’inspiration, dehors passent les camions… Je croyais avoir oublié d’éteindre le four quand je suis partis, mais non! J’écris mots à mots… Je remercie ma puissance supérieure j’ai pas bu aujourd’hui. Ça on m’a dis de garder ça dans l’anonymat, mais c’est le mien je ne nomme pas personne d’autre, c’est pas une question de pouvoir mais d’expression, juste dire que c’est possible d’arrêter de consommer… Certains oublient parfois que nous ne sommes plus dans les années quarante, que les asiles n’existent à peu près plus, on mise beaucoup sur le rétablissement certains qui ont besoin de plus de support on de l’aide dans des foyers de groupe et différentes ressources. Je sais que dans ma dégaine mon côté pas normal parait… Les restes de mes multiples psychoses, les résultats de ces injections d’anti-psychotique retard. « Que sont mes amis devenus »-Rutebeuf interprèté par Léo Ferré le regretté https://www.youtube.com/watch?v=27PU0qYEMpU . C’est touchant cette chanson je pense à tous ceux-là qui sont passés dans ma vie pour mon mal, pour mon bien… À ceux que j’aime encore qui sont si loin, si loin…  La folie n’est plus celle du Moyen-âge, c’est une folie faites de psychose de toxicomanie et parfois on voie de ces beaux fous purs qui n’ont jamais bu, jamais utilisé de produits toxique ceux pour qui vraiment on arrive pas à comprendre, ceux pour qui si ils n’étaient pas ce qu’ils sont ce serait pas eux, une folie toute personnelle. Ouais! Je suis quand même toujours dans le goulag occidental et je pense comme souvent à mon bôf, je sais pas pourquoi d’ailleurs, il répare sa roulotte pour encore faire le snowbirds cet hiver. Ce soir je suis passé devant son alma-mater le cégep Ahuntsic je crois aussi que ma lectrice de L’Outaouais y a travaillé dans les débuts de sa vie active. Moi j’ai pas de souvenirs de cégep dans ma jeunesse, je me débattais de boulots en boulots pour payer la pension. « One bourbon one scotch one beer »- John Lee Hooker interprété par Georges Thorogood  https://www.youtube.com/watch?v=--AvCsh48bk . Moi je sais pas ce que je serais devenue si y’avait pas eu de musique, même dans ma plus terrible dérive y’avait de la musique, je crois qu’il y avait un côté schizophrénique là-dedans. Ce soir c’est vraiment l’automne, il pleut, il fait frais et jours après jours octobre arrive. J’ai souvenirs de ces kiosques dans le parc où on trouvait abris, c’est là que ma vie de bum à commencé, faisait pas chaud mais ça nous tenais à l’abri du vent, de la pluie… Voilà c’étais ça mon université, le parc, la rue et les amis aussi malheureux que moi. Je termine lentement en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que vous allez apprécier. À la prochaine j’espère encore!!!

Bernard

mercredi 21 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je file, je file et c’est pas de la laine. Je sais pas pourquoi je regarde la télévision, j’imagine que c’est pour me distraire… Je crois que je devrais donner dans la fiction mais avant j’ai le souvenir de m’être fait pété les dents au ballon-balai. On me les avait arraché sous anasthésie, « Anastasie l’ennui m’anasthésie ». J’ai souvenir aussi d’une dent creuse c’est idiot parfois je regrette de ne pouvoir jouer dedans. C’est une chronique pour un dentiste et un denturologiste… J’aime pas beaucoup les auto-proclamés poètes, ceux pour qui la poésie c’est les nuages, pour moi c’est la dureté de la vie et j’aimerais bien être poète, voilà deux ou trois mots écris ici et là et on est poète! La poésie ça a parfois a voir avec l’étymologie, la sémantique et la sémiologie parfois certains qui se rendent là mettent fin à leurs jours. J’essais de m’en tenir au lexique… Je sais pas si je vous ai déjà écris sur mes lectures du dictionnaire, je cherchais la définition de mots qui me passaient dans la tête des espèces de voix…  Sémiologie ça a à faire avec semence, la mienne a jamais servis à rien… Semé voilà ce que j’essais de faire ici mais la récolte seras mince. C’est difficile écrire là-dessus, je pense à Foucault, à Lacan… Y’a des fois que le silence parle plus, tout ça après une claque sur la gueule… Je me souviens du pusher qui m’avait donné les livres comment écrire un scénario ça a détruit mes rêves de cinéma… Y’a la sémiotique aussi, je sais pas où je vais avec ça… Je vous écris avec en bruit de fond les publicités télévisuelles, côté sémiotique dans les sports on a pas grand-chose de sexuel, vous savez quand parfois certaines conversations prennent une tournure sexué. J’ai pas à faire mon frais, c’est une histoire de cochon, de porc comme quand on utilise le verbe mettre comme dans se mettre d’une façon crue et sans érotisme. J’étais jamais allé dans ce sens-là sur le goulag. C’est un blog pour adulte de toute façon c’est tellement mêlé un enfant y comprendrais rien. Oui! Oui! Les boxeurs sont toujours abstinents à l’entrainement quelques semaines avant un match, après gagne ou perd ils tombent dans la débauche… Là je pense aux cheer-leaders du football on est pas supposé y voir rien de sexy. Je pense qu’à mon âge avec ma bedaine j’ai plus grand-chose de séduisant, j’aime quand même bien les jeunes filles. « Il suffirait de presque rien » une chanson de Jean-Marc Rivière interprété par Serge Reggiani https://www.youtube.com/watch?v=FqaSdy3lR7Q . Je sais c’est pas très romantique ce que je vous écris ce soir. Quand je vous écris comme ça la fatigue s’en va, le vieux fou que je suis y trouve un certain repos dans l’expression. J’ai finalement trouvé à vous raconter, c’est pas ce qu’il y a de mieux, c’est mon expression. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mardi 20 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai des problèmes avec le câble télé, ce soir j’ai beaucoup de difficulté à vous écrire. Je veux écouter le hockey mais le canal semble pas branché. Je pense… Finalement ça marche. Le mot qui me viens en tête c’est névrose, viens de regarder une magnifique version de Creep de Radiohead  https://www.facebook.com/nbc/videos/10154084312154760/ . La soirée est pas mal avancée, l’équipe canadienne de hockey à gagné. Je pitonne sur ma télé essais de voir les stations à lesquelles je suis abonné. C’est pas très beau comme phrase. Je mange quelques biscottes, je suis à bout de cette écriture, j’ai tout écris à propos de mon senti, cette démarche « littéraire » ne m’auras mené qu’à un cul-de-sac une impasse. J’ai plus de souvenirs, j’ose pas vous dire que j’avais fait pleurer le patriarche à mon entré et à mon expulsion du collège. Plus tard l’oncle voulait m’aider à m’inscrire pour des études en éducation spécialisé, le patriarche l’avait pris personnel, l’oncle lui en avait pas parlé… C’est des vieilles histoires tout ça, je radote. J’ai soixante ans je peux pas recommencer ma vie, plus je vieillis plus le temps passe vite et je suis échoué sur les haut-fond du goulag occidental, ma coque prend l’eau je coule mais je m’accroche au bastingage en attendant les gardes côtes, tout ça pour dire que la vague quelle qu’elle soit ne m’auras pas mené loin juste sur de la pierre au ras de l’eau, le moteur étouffé, le mat brisé et les voiles déchirées c’est pas fort comme métaphore, une épave ça écris pas comme les grands hommes de lettre, ma vie c’est un peu la fin du vingtième siècle, le début du suivant qui a vu naitre la terreur, mais oui j’ai peur, maintenant que ça s’approche je veux plus mourir. Ce soir j’essais de tout vous donner, limité par le peu de verbe que je sais utiliser, laissé mon senti approché du votre ce ne seras que ça un rapprochement sans faire de mal par un déjà vieux prestataire qui s’est toujours battus avec la misère. Je courre à la mère et dans la mer de sentiments méchants je me perds comme souvent, voilà voilà tant de temps qui m’arrache gros jean comme devant. Je sais pas trop ce que ça veux dire, peut-être une autre façon de dire ma perte, ma malédiction, vous en ferez de belles phrases moi tout me mène en rond. Les filles disait c’est que des mots, oui mais les miens je les ai appris dans la douleur et le mal, j’écris pas avec mon sang parce que c’est trop clair trop évident, ça saigne et vous me rentrez dedans. J’y arrive et je pense comme souvent à Jos et son Boubla du Race de monde du grand V.L.B. Voilà! Voilà! Voilà quelques mots encore que je vous prie de me pardonner, j’ai pas d’échelle je peux pas grimper. Je vous laisse merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Me revoilà! J’ai un peu peur de Trump candidat à la présidence. J’essais de trouver quelque chose de positif à raconter. Je pense que je vais placer la photo d’un portrait de Christopher Reeves, Superman, il est décédé et ne souffrait pas de paralysie cérébrale comme je croyais mais étais tétraplégique à la suite d’une chute de cheval. Je  pense que Reeves a marqué le rôle, il faisait un Superman crédible si ça se peut.  Je crois qu’on le voyait plus se changer dans une boîte téléphonique, elles deviennent de plus en plus rare et on permet l’utilisation des toilettes dans les restaurants seulement aux clients. En tout cas à Montréal je sais pas ce qu’il en est de Métropolis. Je reviens à mon senti cette nuit, le  goulag occidental est tranquille c’est un peu épeurant. J’entends une voiture qui passe viens de voir l’autobus de nuit y’avait qu’une cliente, qu’un passager. Déjà mardi je cherche comment vous exprimer mon senti souvent j’ai honte de vous en parler c’est un peu pornographique et j’ai pas le talent de Philip Roth où d’Henry Miller pour exprimer la sexualité crue, comment vous dire que souvent je me fais ami avec des relations stériles les femmes sont lesbiennes. Je dirais aussi que parfois je sais pas parce que j’ai plus de vie sexuelle… http://usineapaysage.blogspot.ca/2008/05/bernard-saulnier-lusine.html Voilà un texte d’il y a longtemps, on m’y avais dérobé mon portefeuille, le  temps passe vite ça fait déjà huit ans… Après le sexe je sais plus quoi dire, j’ai la tête vide… Les choses artistiques on voie souvent ça comme de l’enfantillage. Je  pense que parfois les enjeux sont pas assez grand, pas assez sérieux… Donné à lire voilà ma mission, j’aspire même pas à la poésie elle est trop éthérée, j’espère resté dans le concret une poésie du quotidien, je me lève prépare un café m’assois devant l’écran en espérant de tout cœur pondre quelque chose. Pour le sens on repasseras parfois y’en a tout simplement pas. Cette nuit je roule  à vide, pense encore à Christopher Reeves comment c’est triste pour un homme qui a incarné Superman de finir ses jours faible et paralysé. Ça m’a quand même fait plaisir de voir cette toile, souvenir de superhéros, de vilains et de kryptonite…  Clark Kent et Lois Lane quel beau couple, j’aimais bien les épisodes où Lois ne savait pas que Clark était Superman. Clark était un peu délicat et disparaissait on ne sait pourquoi si on se prêtais au jeux.  C’est quand même un peu mon senti tout ça, c’est ce que je ressent à la pensée, à la vision de cette peinture… Souvenir de comics books dérobés chez le marchand de journaux, le vice commençait là à huit neuf ans à lire en anglais les pages couleurs sur du mauvais papier. Voilà je vous ai fait un aveux, je sais pas ce qu’ils sont devenus ces comics books. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard