jeudi 22 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est jeudi soir, la semaine prochaine je passe à l’institut. En me regardant dans une vitrine j’ai remarqué que je suis pas très élégant. J’ai envie de manger des chips. Ce soir j’attends l’inspiration, dehors passent les camions… Je croyais avoir oublié d’éteindre le four quand je suis partis, mais non! J’écris mots à mots… Je remercie ma puissance supérieure j’ai pas bu aujourd’hui. Ça on m’a dis de garder ça dans l’anonymat, mais c’est le mien je ne nomme pas personne d’autre, c’est pas une question de pouvoir mais d’expression, juste dire que c’est possible d’arrêter de consommer… Certains oublient parfois que nous ne sommes plus dans les années quarante, que les asiles n’existent à peu près plus, on mise beaucoup sur le rétablissement certains qui ont besoin de plus de support on de l’aide dans des foyers de groupe et différentes ressources. Je sais que dans ma dégaine mon côté pas normal parait… Les restes de mes multiples psychoses, les résultats de ces injections d’anti-psychotique retard. « Que sont mes amis devenus »-Rutebeuf interprèté par Léo Ferré le regretté https://www.youtube.com/watch?v=27PU0qYEMpU . C’est touchant cette chanson je pense à tous ceux-là qui sont passés dans ma vie pour mon mal, pour mon bien… À ceux que j’aime encore qui sont si loin, si loin…  La folie n’est plus celle du Moyen-âge, c’est une folie faites de psychose de toxicomanie et parfois on voie de ces beaux fous purs qui n’ont jamais bu, jamais utilisé de produits toxique ceux pour qui vraiment on arrive pas à comprendre, ceux pour qui si ils n’étaient pas ce qu’ils sont ce serait pas eux, une folie toute personnelle. Ouais! Je suis quand même toujours dans le goulag occidental et je pense comme souvent à mon bôf, je sais pas pourquoi d’ailleurs, il répare sa roulotte pour encore faire le snowbirds cet hiver. Ce soir je suis passé devant son alma-mater le cégep Ahuntsic je crois aussi que ma lectrice de L’Outaouais y a travaillé dans les débuts de sa vie active. Moi j’ai pas de souvenirs de cégep dans ma jeunesse, je me débattais de boulots en boulots pour payer la pension. « One bourbon one scotch one beer »- John Lee Hooker interprété par Georges Thorogood  https://www.youtube.com/watch?v=--AvCsh48bk . Moi je sais pas ce que je serais devenue si y’avait pas eu de musique, même dans ma plus terrible dérive y’avait de la musique, je crois qu’il y avait un côté schizophrénique là-dedans. Ce soir c’est vraiment l’automne, il pleut, il fait frais et jours après jours octobre arrive. J’ai souvenirs de ces kiosques dans le parc où on trouvait abris, c’est là que ma vie de bum à commencé, faisait pas chaud mais ça nous tenais à l’abri du vent, de la pluie… Voilà c’étais ça mon université, le parc, la rue et les amis aussi malheureux que moi. Je termine lentement en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que vous allez apprécier. À la prochaine j’espère encore!!!

Bernard

mercredi 21 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je file, je file et c’est pas de la laine. Je sais pas pourquoi je regarde la télévision, j’imagine que c’est pour me distraire… Je crois que je devrais donner dans la fiction mais avant j’ai le souvenir de m’être fait pété les dents au ballon-balai. On me les avait arraché sous anasthésie, « Anastasie l’ennui m’anasthésie ». J’ai souvenir aussi d’une dent creuse c’est idiot parfois je regrette de ne pouvoir jouer dedans. C’est une chronique pour un dentiste et un denturologiste… J’aime pas beaucoup les auto-proclamés poètes, ceux pour qui la poésie c’est les nuages, pour moi c’est la dureté de la vie et j’aimerais bien être poète, voilà deux ou trois mots écris ici et là et on est poète! La poésie ça a parfois a voir avec l’étymologie, la sémantique et la sémiologie parfois certains qui se rendent là mettent fin à leurs jours. J’essais de m’en tenir au lexique… Je sais pas si je vous ai déjà écris sur mes lectures du dictionnaire, je cherchais la définition de mots qui me passaient dans la tête des espèces de voix…  Sémiologie ça a à faire avec semence, la mienne a jamais servis à rien… Semé voilà ce que j’essais de faire ici mais la récolte seras mince. C’est difficile écrire là-dessus, je pense à Foucault, à Lacan… Y’a des fois que le silence parle plus, tout ça après une claque sur la gueule… Je me souviens du pusher qui m’avait donné les livres comment écrire un scénario ça a détruit mes rêves de cinéma… Y’a la sémiotique aussi, je sais pas où je vais avec ça… Je vous écris avec en bruit de fond les publicités télévisuelles, côté sémiotique dans les sports on a pas grand-chose de sexuel, vous savez quand parfois certaines conversations prennent une tournure sexué. J’ai pas à faire mon frais, c’est une histoire de cochon, de porc comme quand on utilise le verbe mettre comme dans se mettre d’une façon crue et sans érotisme. J’étais jamais allé dans ce sens-là sur le goulag. C’est un blog pour adulte de toute façon c’est tellement mêlé un enfant y comprendrais rien. Oui! Oui! Les boxeurs sont toujours abstinents à l’entrainement quelques semaines avant un match, après gagne ou perd ils tombent dans la débauche… Là je pense aux cheer-leaders du football on est pas supposé y voir rien de sexy. Je pense qu’à mon âge avec ma bedaine j’ai plus grand-chose de séduisant, j’aime quand même bien les jeunes filles. « Il suffirait de presque rien » une chanson de Jean-Marc Rivière interprété par Serge Reggiani https://www.youtube.com/watch?v=FqaSdy3lR7Q . Je sais c’est pas très romantique ce que je vous écris ce soir. Quand je vous écris comme ça la fatigue s’en va, le vieux fou que je suis y trouve un certain repos dans l’expression. J’ai finalement trouvé à vous raconter, c’est pas ce qu’il y a de mieux, c’est mon expression. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mardi 20 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai des problèmes avec le câble télé, ce soir j’ai beaucoup de difficulté à vous écrire. Je veux écouter le hockey mais le canal semble pas branché. Je pense… Finalement ça marche. Le mot qui me viens en tête c’est névrose, viens de regarder une magnifique version de Creep de Radiohead  https://www.facebook.com/nbc/videos/10154084312154760/ . La soirée est pas mal avancée, l’équipe canadienne de hockey à gagné. Je pitonne sur ma télé essais de voir les stations à lesquelles je suis abonné. C’est pas très beau comme phrase. Je mange quelques biscottes, je suis à bout de cette écriture, j’ai tout écris à propos de mon senti, cette démarche « littéraire » ne m’auras mené qu’à un cul-de-sac une impasse. J’ai plus de souvenirs, j’ose pas vous dire que j’avais fait pleurer le patriarche à mon entré et à mon expulsion du collège. Plus tard l’oncle voulait m’aider à m’inscrire pour des études en éducation spécialisé, le patriarche l’avait pris personnel, l’oncle lui en avait pas parlé… C’est des vieilles histoires tout ça, je radote. J’ai soixante ans je peux pas recommencer ma vie, plus je vieillis plus le temps passe vite et je suis échoué sur les haut-fond du goulag occidental, ma coque prend l’eau je coule mais je m’accroche au bastingage en attendant les gardes côtes, tout ça pour dire que la vague quelle qu’elle soit ne m’auras pas mené loin juste sur de la pierre au ras de l’eau, le moteur étouffé, le mat brisé et les voiles déchirées c’est pas fort comme métaphore, une épave ça écris pas comme les grands hommes de lettre, ma vie c’est un peu la fin du vingtième siècle, le début du suivant qui a vu naitre la terreur, mais oui j’ai peur, maintenant que ça s’approche je veux plus mourir. Ce soir j’essais de tout vous donner, limité par le peu de verbe que je sais utiliser, laissé mon senti approché du votre ce ne seras que ça un rapprochement sans faire de mal par un déjà vieux prestataire qui s’est toujours battus avec la misère. Je courre à la mère et dans la mer de sentiments méchants je me perds comme souvent, voilà voilà tant de temps qui m’arrache gros jean comme devant. Je sais pas trop ce que ça veux dire, peut-être une autre façon de dire ma perte, ma malédiction, vous en ferez de belles phrases moi tout me mène en rond. Les filles disait c’est que des mots, oui mais les miens je les ai appris dans la douleur et le mal, j’écris pas avec mon sang parce que c’est trop clair trop évident, ça saigne et vous me rentrez dedans. J’y arrive et je pense comme souvent à Jos et son Boubla du Race de monde du grand V.L.B. Voilà! Voilà! Voilà quelques mots encore que je vous prie de me pardonner, j’ai pas d’échelle je peux pas grimper. Je vous laisse merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Me revoilà! J’ai un peu peur de Trump candidat à la présidence. J’essais de trouver quelque chose de positif à raconter. Je pense que je vais placer la photo d’un portrait de Christopher Reeves, Superman, il est décédé et ne souffrait pas de paralysie cérébrale comme je croyais mais étais tétraplégique à la suite d’une chute de cheval. Je  pense que Reeves a marqué le rôle, il faisait un Superman crédible si ça se peut.  Je crois qu’on le voyait plus se changer dans une boîte téléphonique, elles deviennent de plus en plus rare et on permet l’utilisation des toilettes dans les restaurants seulement aux clients. En tout cas à Montréal je sais pas ce qu’il en est de Métropolis. Je reviens à mon senti cette nuit, le  goulag occidental est tranquille c’est un peu épeurant. J’entends une voiture qui passe viens de voir l’autobus de nuit y’avait qu’une cliente, qu’un passager. Déjà mardi je cherche comment vous exprimer mon senti souvent j’ai honte de vous en parler c’est un peu pornographique et j’ai pas le talent de Philip Roth où d’Henry Miller pour exprimer la sexualité crue, comment vous dire que souvent je me fais ami avec des relations stériles les femmes sont lesbiennes. Je dirais aussi que parfois je sais pas parce que j’ai plus de vie sexuelle… http://usineapaysage.blogspot.ca/2008/05/bernard-saulnier-lusine.html Voilà un texte d’il y a longtemps, on m’y avais dérobé mon portefeuille, le  temps passe vite ça fait déjà huit ans… Après le sexe je sais plus quoi dire, j’ai la tête vide… Les choses artistiques on voie souvent ça comme de l’enfantillage. Je  pense que parfois les enjeux sont pas assez grand, pas assez sérieux… Donné à lire voilà ma mission, j’aspire même pas à la poésie elle est trop éthérée, j’espère resté dans le concret une poésie du quotidien, je me lève prépare un café m’assois devant l’écran en espérant de tout cœur pondre quelque chose. Pour le sens on repasseras parfois y’en a tout simplement pas. Cette nuit je roule  à vide, pense encore à Christopher Reeves comment c’est triste pour un homme qui a incarné Superman de finir ses jours faible et paralysé. Ça m’a quand même fait plaisir de voir cette toile, souvenir de superhéros, de vilains et de kryptonite…  Clark Kent et Lois Lane quel beau couple, j’aimais bien les épisodes où Lois ne savait pas que Clark était Superman. Clark était un peu délicat et disparaissait on ne sait pourquoi si on se prêtais au jeux.  C’est quand même un peu mon senti tout ça, c’est ce que je ressent à la pensée, à la vision de cette peinture… Souvenir de comics books dérobés chez le marchand de journaux, le vice commençait là à huit neuf ans à lire en anglais les pages couleurs sur du mauvais papier. Voilà je vous ai fait un aveux, je sais pas ce qu’ils sont devenus ces comics books. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 19 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer de vous en pondre un cette nuit… Je pense partir encore je sais pas vers où, ça commence à être dangereux partout. La terreur fait sa job, dans le goulag occidental quelqu’un fouille dans les bacs à poubelles… Étrangement je suis réveillé dans la nuit, les voitures qui passent sur la Catherine vont vite. Ce matin plusieurs d’entre vous s’en vont à l’ouvrage, moi j’ai une réunion où je vais comme souvent parler de mon vécu, de mon senti… Je pense à J.F. le propriétaire du bistro où j’avais mes habitudes y’a longtemps, un été je lui avait prêté la maison que j’avais loué à la campagne dans ces années là j’étais plutôt itinérant, ça fait presque trente ans. Viens de me taper les magnifiques harmonie vocales des sœurs Roches, https://www.youtube.com/watch?v=6-LJX9IXiio . C’est un copain du temps qui avait ramené le disque d’une virée au New-Jersey… Je pense à la maison de chambres, non je veux pas y retourner, je me rappelle avoir trouvé une bicyclette que j’avais monté sans l’inspecter, la chaîne avait pété je m’étais presque cogné les couilles sur la barre horizontale… Je pense au Quiconque meurt meurs à douleur de Robert Morin https://www.youtube.com/watch?v=vNtMMnCW3Hk . Je sais pas pourquoi je vous met ça là peut-être à cause des explosions à New-York. La police va surement faire des perquisitions. Je vous écris ça je vois pas le temps passé, je me couche je vous reviendrai… J’ai passé droit, je suis resté couché. Me revoilà! J’arrive de ma réunion dehors c’est chaud et humide c’est difficile d’écrire sans faire de mal à personne, fait mon lit, bue un verre d’eau. C’est terrible ce vide intérieur et ce qui est étrange ça fait pas mal. J’ai démarré le climatiseur, il est midi vingt-cinq c’est rare que je rédige mon blog à cette heure. Peut-être que quelques un d’entre vous vont me lire sur leur heure de diner. « J’irai jamais sur ton island » une chanson de Michel Grisolia interprété par Fabienne Thibeault https://www.youtube.com/watch?v=WB6pN5r4ZZU . Je reste chez moi sur la mienne d’île dans le goulag occidental. Je me râfraichis c’est assez insignifiant ce que je vous écris aujourd’hui, je pense à tous ces virus informatiques qui infectent la machine, pour l’instant je suis épargné. Mon lecteur qui travaille au conseil du trésor me fait peur il a une barbiche de motard. C’est difficile d’arrêter et de reprendre cette écriture. Je pense aux petits gars de mes nièces qui sont à l’école, je leurs souhaite du succès, moi au primaire j’avais de la difficulté avec ce qu’ils appelaient les réglettes je vous écris et je me sent comme à ces moments de petite école. Dans la famille de ma lectrice à la retraite de l’Outaouais y’a des bébés, c’est bien mais chez nous du côté paternel y’a qu’un neveu, on pense à lui dans sa cuisine. Je m’arrête et je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

 

dimanche 18 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ai regardé l’émission Thalassa c’était très intéressant ça se passait en partie en Thaïlande, une région que mon lecteur chauffeur d’autobus de la rive-nord connais bien. Ça donne envie d’y aller mais les endroits les plus intéressants sont interdits aux touristes.  Je sais pas pourquoi, maintenant j’ai toujours le désir de partir c’est probablement parce que je me fais vieux et que je veux pas mourir avant d’avoir rien vu. « One night in Bangkok » http://www.dailymotion.com/video/x2wcy_murray-head-one-night-in-bangkok-19_music .  Je vais essayer de vous parler de mon senti cet après-midi, survivre dans le goulag occidental c’est assez simple, j’ai dû faire différent métier pour manger et j’y suis arrivé mais quand je suis tombé malade tout m’a parue impossible. La folie paranoïaque s’était emparée de moi, maintenant elle est moins présente… Je crois que j’ai moins d’ennemis… Je remercie et je prie ça me garde loin des ennuis. Je respire aussi par le nez ça coupe l’anxiété, tout ça je vous l’ai déjà raconté. En vous écrivant comme ça c’est une façon de faire ma part pour la communauté sans parler des groupes que je fréquente et où j’écoute les autres moins chanceux. Je suis toujours dans mon cahier je prépare un autre texte pour les humeurs culturelles… J’ai téléphoné à la matriarche elle est pas revenue de sa fin de semaine au chalet. Je cherche comment dire le bonheur, le fait d’être heureux puisque c’est de ça qu’il s’agit… Le problème c’est que ça dure pas y’a toujours une pensée négative qui apparait et qui fait mon malheur. Je veux pas faire de psychologie comme dans les livres de psycho-pop, c’est surtout sur la spiritualité que je mise me semble qu’un peu de foi ça peut pas faire de tort.  Je calcule le temps que je prends à vous rédiger ça après je veux regarder les actualités à la télé… Je sais pas si je vous ai écrit à ce propos, j’ai rencontré un végétarien et lui ai dit que j’étais pas fort là-dessus, il prête des pensées humaines aux animaux moi je crois pas à ça, un animal ça raisonne pas ce n’est qu’instinct, lui se demande de quel droits les humains tuent et mangent des animaux me semble que c’est vieux comme le monde, l’homme est toujours allé à la chasse à longtemps été éleveur, la viande c’est toujours dans le guide alimentaire canadien, ça me choque les végétariens j’ai pas les moyens de faire mes courses dans le rayon bio… Je pense aux repas que j’ai mangé à l’hôtel, la viande étais très bonne j’ai encore la saveur dans la bouche. Je sais que pour nourrir le bœuf y’a beaucoup de déforestation mais y’a surement une façon écologique de faire. Je pense que si j’achetais mon bœuf sur ses pattes çe serait mieux… Je suis carnivore que voulez-vous! Le goulag occidental est pas fait pour les granolas. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, j’espère que tout s’est bien passé pour le scan de mon lecteur de Deux-Montagnes. J’ai dormis maintenant je vous écris. J’ai pas d’inspiration. Cette nuit je cherchais un livre sur le rétablissement dans la schizophrénie, j’ai pas trouvé… J’entends pas de voix juste une sorte de discours dans ma tête, c’est aussi ça mon senti. J’aime bien cette solitude dans la nuit, dehors il pleut « Trouvez mieux » une chanson de Robert Charlebois https://www.youtube.com/watch?v=ZD7Ciqgqa5U  Je suis bien réveillé, cet après-midi je vais regarder l’émission télévisée « Des racines et des ailes » https://www.youtube.com/user/DRDAfrancetv  une très bonne série documentaire… Je crois que je vais manger… Deux tartines au beurre d’arachides. Je me souviens du Vieux-Montréal dans les années soixante-dix, j’avais dix-huit ans, la majorité… Lentement je perdais l’humour de la vie, je pense à ma névrose qui pour me faire plus mal s’est transformée en psychose… Assez fou pour attendre le pusher et fumer son mix de drogues. https://www.youtube.com/watch?v=3XqyGoE2Q4Y . Je me souviens d’une époque, une trentaine d’années à peu près où j’avais peur dans ce que je n’avais pas encore baptisé le goulag occidental. Le last call approche https://www.youtube.com/watch?v=xuZA6qiJVfU  du New Wave y’avait quand même une belle sensibilité dans cette vidéo qui montre un peu comment on se rendais fou à consommer dans les bars « Looking for Mister Goodbar » https://www.youtube.com/watch?v=fp1Lb694uag  un autre film qui montre les dangers de la nuit. Mais tout ça parlais de moi de ce que je cherchais dans ces virées nocturnes et ne trouvait jamais, une femme, une fille qui veux bien rester avec moi. J’ai jamais connu le succès dans cet univers noir… J’ai envie de vous placer « Saturday night fever » https://www.youtube.com/watch?v=u1qN6gLbUMw Un film un peu moins noir sur le night life. J’aurais aimé ça vider une piste de danse parce que je dansait trop bien mais tout ce que je réussissais a faire c’est me faire traiter de moppe à cause de la sueur que je dégageais en dansant. « Barfly » à la fin de mon monde de consommation ça ressemblais plus à ça https://www.youtube.com/watch?v=E5OLViof8ho  et là tout à coup je pense au film « La femme qui boit » de Bernard Émond, la solitude et la folie https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Femme_qui_boit  et là je me vois après plusieurs scotchs m’endormir au bar mais y’avait toujours quelqu’un pour me tenir éveillé. Je détestais l’alcool mais j’ai attendus trop tard pour arrêter. Tout ça pour raconter qu’avec l’alcool on nous vend aussi des rêves de show-bizzness et voilà une publicité d’une bière qui n’existe plus, je pense que c’est de la pub « sociétale » https://www.youtube.com/watch?v=0FAQ5naycAw  Là c’est le vrai last-call ça fait vingt minutes que les bars sont fermés, j’espère vous avoir fait dériver une partie de la soirée. J’étais loin de ce que j’appelle mon sentis c’était un peu mes humeurs nostalgiques d’alcoolique abstinent. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!! Bye!!!

Bernard