dimanche 11 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il est treize heures quarante-cinq. J’ai souvenirs  de longues attentes à l’urgence de l’hôpital Quand on veux mourir vaux mieux pas appeler au neuf un un dans le temps je téléphonais souvent à Suicide action c’est grâce à eux que vous pouvez me lire aujourd’hui. C’est stigmatisant ce que je vous raconte là, on est pas supposé le dire qu’on utilise les lignes d’aide. J’écris ça ici si quelqu’un à des pensées mortifères qu’ il se donne une chance, appelle! Donne toi une chance! Je crois qu’aujourd’hui ça fait quinze ans que les twins towers se sont écroulés malgré toutes les controverses mes pensées vont aux familles des disparus. Hier j’ai regardé une vidéo d’il y a quarante ans sur les jeunes et le retour à la terre. J’y ai jamais cru je suis un bouffeur de burger. On aimait me surnommer Wimpy dehors c’est l’orage et il tonne .

 Ce que vous voyez là c’est mon portrait, le king des fast-foods, j’aimais bien avec les copains parcourir la campagne à la recherche du meilleur stand à patates comme on l’appelait et déguster un cheeseburger tomates oignons. Je pense à la Patate Marco à Chertsey, un haut lieu du fast-food avec un service  buzzer à l’américaine. Ce matin je suis loin de mon senti mais y’a de l’Amérique dedans. L’Amérique elle s’est faite avec des burgers, une nation est bâtie sur cette nourriture grasse mais efficace. J’ai passé le cap du sommeil je suis bien réveillé me demande qui a créé Wimpy c’est Elzie Crizler Segar. J’avais oublié qu’en français il s’appelle Gontran un prénom qui évoque la puérilité. C’est toujours la nuit au goulag occidental pour les burgers des familles on a toujours chez Philippe sur la rue Amherst, le goulag occidental a aussi son Lafleur un lieu où on peut rencontrer parfois notre ami lecteur chauffeur d’autobus de Mascouche. Pour un repas bourratif je vous conseille de prendre une poutine avec votre cheeseburger, c’est terrible je commence a avoir de l’appétit en pleine nuit me demande si le A&W est ouvert et en même temps pense au célèbre DicAnn’s… Je sais les femmes aujourd’hui sont orientés grano quand elles sont pas carrément végétarienne quand on est chanceux certaines suivent le guide alimentaire canadien. Vous remarquerez dans les comptoirs que je vous ai nommé ce sont surtout des hommes qui les fréquentent parfois y’a des madames un peu grosse qui viennent se défouler sur une poutine. Il tonne toujours https://www.youtube.com/watch?v=mqb33EeQhFg j’aime bien les publicités de A&W. Je me souviens quand j’allais à la petite école y’avait une roulotte à patate et je vous parle pas du rêve de Galarneau le héros de Godbout. Je crois que le burger dans la « gastronomie » c’est un peu plus bas que la cuisine grecque. Les bars viennent de fermer quoi de meilleur qu’un cheese et une poutine après avoir éclusé quelques bières. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

 

samedi 10 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce matin y’avait une jeune fille dans le parc du goulag occidental. Je crois qu’elle y avais passé la nuit. Cet après-midi un gars est venue la ramasser, seule et souffrante les écouteurs sur les oreilles et quelques babioles soigneusement rangé le long de la clôture. Je pense aux femmes itinérantes qui passent d’un sofa à l’autre, se disent qu’elles vont s’en sortir seules loin des refuges… Je sais ce que c’est couché sur un sofa, les gens qui entrent et qui passent, t’est jamais chez vous. Une autre fille ce matin qui voulais monter dans l’autobus sans payer, le chauffeur a refusé, la fille s’est fâché elle a dis « tu va me laisser monter si je te suce » le chauffeur a dis non, la fille a donné un coup de poing dans la porte et est descendue. Les passagers se sont mis à la dénigrer et à rire d’elle parce qu’ils faut se le dire c’est une prostitué toxicomane. J’y ai pas pensé sur le moment j’aurais du payer son passage mais encore elle aurais cru que je lui demande quelque chose en échange. C’est le genre de chose qui arrive l’automne dans le goulag occidental les filles prennent la rue, y’a plus de place elles sont battues. Je crois qu’elles n’aiment pas les refuges et leurs règles, leurs règlements souvent ce sont des filles qui ont une longue histoire d’abus. Quand elles commencent elles sont jolies mais la dope et le sexe sont souvent dévastateur, elles développent des MTS, le virus d’immuno déficience acquise, on en parle plus de celui-là il y est toujours, on se protège mesdames et messieurs… Je pense aux fumeurs de crack à comment ils se détruisent la bouche les dents qui se déchaussent et qui jaunisse sans parler de ceux qui se piquent et se ratent dévellopant des plaies. C’est vrai je suis pas médecin, je pense au docteur Thomas à la clinique l’Actuel http://cliniquelactuel.com/ . J’ai peur de ça, je suis abstinent là aussi et je m’en porte pas plus mal. Dans mon quartier y’a des rencontres insolites sous le viaduc du CP, les trains… Tout ça c’est aussi une question de consommation, la fille se gèle pour faire des clients et elle fait des clients pour se geler sans parler des pimps qui n’attendent que l’argent… Je reste tranquille dans tout ça, je joue pas au sauveur, je m’évite une couple de claques sur la gueule. C’est peut-être ma libido qui a baissé mais ça me dérange pas, ma vie sexuelle est arrêté et c’est tant mieux. Je sais je devrais pas parler de ça mais c’est mon senti ça aussi. Je pense à Armistead Maupin et ses Chroniques de San Francisco, j’écrirai pas les Chroniques du village disont que pour les saunas je passe mon tour. Comme d’habitude c’est tout mêlé et j’ai terminé. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Je reviens pour aujourd’hui j’ai terminé!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Suis debout à vous écrire un autre blog. Je m’endors encore, rêve à ces capitales que j’ai visité, au centre de Washington on trouve plus de Starsbuck’s que de McDonald c’est surement à cause des « bus food ». Je pense au National World War II Memorial c’est magnifique. J’en finis plus de ce voyage, d’avoir été là. La semaine prochaine j’irai à la radio on m’a invité a participer à l’émission Folie Douce. Les yeux me ferment tout seul, c’est la nuit les bars sont fermés les plus alcoolique d’entre nous vont se trouver un endroit pour boire après les heures. J’écris ça lentement sans trop réfléchir, Montréal a pas d’immense monument comme Washington. Je pense à Ottawa humble petite capitale du Canada. Ai ouvert un emballage de gaufrettes à la vanille. Quand j’ai sommeil comme ça, mon senti se tiens tranquille. Je pense à cet ami que, pensant bien faire, j’avais essayé d’aider. Je crois qu’il est décédé prisonnier de l’alcool et des drogues… Y’a aussi la poétesse de qui je n’entends plus parler elle corrigerait certainement ma prose de prolétaire mal-aimé… Ouais! Il est neuf heure trente je sors du lit me souviens pas de mes rêves. Hier soir j’ai regardé le football. Je me sens débile pas à peu près quand je termine de regarder ça. Ce matin je me sens mieux mais puisqu’il s’agit de vous savez quoi je survie. Je baille, ce matin la journée semble superbe, étrangement je me sens encore en voyage. Ai démarré le climatiseur… J’y arrive pas, j’y arrive pas, ma tête est dans un silence angoissant, mon écriture veux pas dépeindre ça, veux pas y plonger dans cette anxiété matinale étrangement j’ai des émotions parisiennes des souvenirs de café dans un bistro. Je me souviens dans ce bistro de la rue Beaubien on se la jouait française c’était ridicule. Je reviens là-dessus je sais pas pourquoi ça fait des années… Je m’invente des urgences d’écriture. J’en veux pas à personne, j’en veux plus. Je raconte toujours la même histoire surtout le matin Légères je dirais de mes angoisses qu’elles sont légères, ça se raisonne dirais le psy… Y’a des gens qui sont plus discret que moi dans la fréquentation de la psychiatrie. Moi à l’époque j’étais saoul avec le parkinson et je disais à tout le monde que j’étais schizophrène ce qu’il ne faut pas faire, je pense à cette femme qui me méprisait avec raison elle était travailleuse sociale. J’ai tellement eu d’injections dans la fesse j’en ai encore mal… Mais c’est finis tout ça je reste tranquille me dévoile pas où il faut pas, ici ça va. Je sais pas trop ce que je vais faire aujourd’hui, souvenir de samedi à la taverne c’étais pas le meilleur endroit pour se faire une copine, y’avait un immense urinoir contre le mur et on pouvait jouer à la roulette. Voilà! C’est tout pour ce matin. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 9 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi c’est tranquille, parfois je trouve foudroyante la montée de certaines personnes dans l’échelle sociale. Je crois que je suis jaloux pourtant je m’en tiens à l’écriture et je crois que c’est bien. Mon rétablissement passe par l’écrire… Je sais que j’ai pas la formation académique exigé pour certains postes. Faut pas que j’oublie aussi que j’ai soixante ans, les jeunes ont de la difficulté à s’identifier, comment dire? Pépère rajeunis pas. Je suis toujours dans le goulag occidental, je comprends les jeunes de vouloir bâtir quelques chose dans la vie, quelques chose comme une famille. Je leurs dis bravo ça montre qu’ils ont de belles valeurs. Moi j’étais pogné dans l’enfer des petites jobs et de la consommation. Je suis responsable de ces endroits où j’étais et du mal que je faisais. J’essayais de vivre comme un européen au bistro, pourtant y’avait pas plus américain que moi. Depuis ces moment-là j’ai voyagé un peu plus et j’ai bien vu que les gens travaillaient même à l’étranger que le bistro ils y passaient très peu de temps et s’empressaient de rentré. Aujourd’hui j’aime bien ma vie, je pense à ceux qui se font des amis dans les cafés, les bars et les bistros, j’ai jamais été capable… J’en ai pas des centaines d’amis mais ceux que j’ai je les apprécie, on se parle et on est sur la même longueur d’onde. Oui! Oui! J’ai vécu la dépression et la psychose toxique et alcoolique c’était il y a un bon bout de temps maintenant je vie un jour à la fois et j’essais de ne pas fréquenter les endroits où le paraitre est omniprésent. Je disais travailler dans la construction j’étais plutôt dans la rénovation et encore je faisais le ménage après les installations, le gars qui m’engageait était bien bon. Tout ça pour vous dire que votre moineau c’est pas un docteur, juste un journalier à la semaine… Tout à coup j’ai mal de vous raconter ça, je travaillais pas beaucoup dans mes lendemains de brosse, c’est gênant mais j’étais fou et je savais pas ce que j’avais, un pauvre type, c’est un peu mon mea culpa. Aujourd’hui je vais essayer de ne pas boire, de me tenir loin de la détente artificielle que procure l’alcool. Je pense à un pub que j’ai vu à Londres j’y suis pas entré mais l’édifice est superbe. L’humilité c’est pas un chemin facile, y’a de l’orgueil dans mon écriture pourtant les gens compliqués ont l’écriture la plus simple et les gens simple comme moi ont l’écriture la plus compliqué… J’essais d’aligner les sujets verbes complément et parfois réussir à faire une belle métaphore, c’est rare. Y’a du soleil en ce moment dans le goulag occidental. Je pense aux amis disparus j’espère qu’ils veillent sur moi et leurs dis merci d’avoir été là. Je termine là-dessus en souhaitant rester humble et en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Je vais continuer. Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!

Bernard

jeudi 8 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je m’y met encore et c’est la nuit, pense à cette amie qui enseigne les maths en quatrième secondaire. Me suis jamais rendus là pour moi c’est de la grande science pourtant l’université de la vie m’a appris plein de choses, un apprentissage douloureux qui m’a couté cher. Cette nuit vous risquez de voir une photo d’un avion où prise d’un avion. Les avions c’est une autre de mes passions, je pense aux fils de la lectrice enseignante qui ont un atelier d’usinage… Je crois qu’ils usinent des pièces d’avions un peu comme mon père et mes ongles dans notre famille y’a que mon frère qui travaille encore dans ce domaine à la Rolls-Royce… Je crois que bientôt vous allez avoir un nouveau texte sur mes Humeurs culturelles http://www.iusmm.ca/humeursculturelles.html  surveillez ça. J’ai toujours ce souvenir où vers minuit je sortais dans un bar pour essayer de chasser la solitude, j’y arrivais jamais je m’enfonçais plutôt dans la dépression. Ai dormis une grosse heure et me voilà qui vous écris, je rôte et je pète heureusement que je suis seul suis pas Rabelais. « On m’a oublié »-Richard Desjardins https://www.youtube.com/watch?v=FFX3gn2WKFA  Je suis le kid dans la ruelle entre les mains d’un psy. Tout ça me parle de la vision qu’on les gens de ceux qui se font traiter par un psy, les psychiatrisés qu’on nous appelait. Je préfère de beaucoup, les patients partenaire où les personnes en rétablissement pourtant on reste stigmatisé y’a quelques choses dans notre manière d’être qui attire les quolibets. Je suis pas la petite madame dépressive de Rosemont, je suis atteint de schizophrénie paranoïde parfois faut nommer les choses. J’ai l’impression que je me plante un clou dans le pied. Je me rétablis y’a des années que j’ai pas vu un psy. Parfois je croise des gens qui souffrent et qui ne veulent pas consulter à cause de tout les préjugés, ils préfèrent s’enlever la vie http://www.aqps.info/journeemondiale/ . J’arrive à raisonner mes pensées mortifère je demande de l’aide quand ça va pas et je passe de bons moments quand la crise est terminée. J’essais de pas rester assis chez moi à jongler comme on disait dans le temps malheureusement la maladie mentale c’est pas aussi simple. Je vous parle pas des gens dénigrants que j’entends, c’est pas des voix c’est des vrais personnes ignorantes et méchantes. Elles tombent et veulent m’amener avec eux dans le gouffre. Je dois rester loin de ces personnes parfois elles font en sorte que j’ai pas envie de sortir. Je vous mets pas de référence scientifique c’est trop difficile. J’accepte quand même de jouer mon rôle de fou qui questionne les mauvaises valeurs des gens. Je vous demanderais de pas confondre paranoïa et homosexualité bien que parfois les deux sont associés… La psychose c’est pas de l’ordre de l’orientation sexuelle. Je sais pas comment vous décrire ce grand mal d’être douloureux. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernardu Hhhhhhhh

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est un temps gris cet après-midi. J’ai dîné. Je trouve pas de quoi je pourrais vous entretenir. J’attends une émission de télé sur une maison de thérapie pour alcooliques et toxicomanes. Moi j’en suis à ma vingt-troisième années sans consommer je suis beaucoup plus heureux comme ça… Ma nuit de consommation est terminée, je suis maintenant en plein jour et sobre. Ce que je vous écris c’est à jeun… Mes finances vont bien je veux pas trop vous parler de ça, les vieux avaient pas l’habitude de parler de leurs paye, de leurs revenus, c’était comme se mettre à nu, se faire déculotté…  Pour revenir à la consommation je comprends la difficulté des jeunes à arrêter, ça m’a pris beaucoup de temps avant de pensés à adhérer à une fraternité. La vie sans alcool pour moi ça semblait impossible, maintenant les choses se font beaucoup plus facilement. J’ai jamais pensés réussir à faire tout ce que je fais présentement. Je vous dévoile des choses mais si ça peut aider quelqu’un tant mieux. C’est vrai que mon humeur est pas toujours égale que la paranoïa et la schizophrénie sont pas complètement disparues mais j’arrive à vivre avec sans que ça me fasse trop mal. Y’a longtemps que j’ai pas fait de psychose. Je crois avoir abordé le sujet précédemment. J’oublie pas que c’est grâce à vous tous qui me lisez que je me rétablis. Y’a le programme aussi que j’essaye de vivre un jour à la fois. Je trouve plus ça beau les décors et les éclairages de boîtes de nuit, les boules miroir c’est vieux et les danseuses nues c’est pas dans mes valeurs. C’est des thèmes que j’ai de la difficulté à aborder tous ces flas-flas pour vendre de la bière que j’aime pas. J’entrais au bar après le travail les jeudis de paye et j’en sortais saoul à sept huit heure ma journée étais faite. Je me rappelle un couple dans un bistro qui m’avait demandé plutôt que d’écoeuré les gens d’organiser des soirées de poésie. Je sais pas pourquoi j’avais dit non souvent quand on savais pas quoi me dire on me disait que j’avais une gueule de poète, j’ai acheté ça. Faute d’avoir le talent j’ai l’apparence, pourtant les poètes ont l’air de n’importe qui parfois la barmaid m’appelait le pur, je sais pas pourquoi. Faut pas que j’oublie qu’il y en a trois ou quatre pour cent qui se sortent de l’alcoolisme et de la toxicomanie. Une journée à la fois je continue à ne pas boire. Je le fait pour moi. Je sais pas trop comment terminer, je brise mon anonymat mais je suis certain que plusieurs ont vu la différence avec avant. Je voulais pas vivre près de Parthenais j’y suis et c’est pour le mieux. Je vous ai certainement écris là-dessus. Je fais la prière de la sérénité… La sagesse d’en connaitre la différence, voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 7 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir, cette nuit? Ai reçu une pile de livres sur la tête pendant une phase somnambule de mon insomnie. Je vous amènerai pas loin juste dans mon senti du goulag occidental. Fait frais, le climatiseur s’est arrêté, j’ai eu un déjà vu qui tournais autour du steak dans le frigidaire… Je me demande comment ça se fait que j’ai le bédéiste Robert Crumb sur Facebook. Je vais me préparer un café. Il est pas encore minuit j’ai dormis un peu. Pense à la magnifique et extraordinaire murale en hommage au vétérans dans le mall à Washington. Je me demande si c’est un sacrilège de publier la photo sur mon blog. https://www.youtube.com/watch?v=MKvnQYFhGCc  Jimi Hendrix. Depuis le Vietnam je me souviens pas d’un moment où les U.S.A. ont été en paix quand au Canada y’a plus beaucoup de casques bleu on fait vraiment la guerre. Avec tout ça je suis bien loin de mon senti qui ressemble parfois à un traumatisme de guerre, faut que je dise que tant que je me suis battus dans les bas fonds alcooliques c’étais vraiment la guerre. Je me prenais pour une poubelle… Le café me réveille mais non je suis jamais allés à la guerre, je pense à ce lieutenant-colonel que j’ai rencontré y’a quelques années il s’occupait de santé mentale des traumatismes de combat en fait on parle de stress post-traumatique, c’est heavy. Je pense au film le Retour un film d’une belle sensibilité qui montre que rien n’est facile après faut le voir et le revoir pour la scène finale. Je reviens à maintenant ma sensibilité du moment, les Français et les Américains qui se battent contre le terrorisme faut pas oublier que tout ça a commencé avec l’effondrement des tours du World Trade Center. Je regarde la télévision et j’ai peur, c’est là où les terroristes réussissent, on va la gagner cette guerre parce qu’on ne peux pas la perdre, un pléonasme oui mais qui peux pas mieux dire, mes excuses à ma lectrice de L’Outaouais. Cette nuit c’est café et biscuits pendant que dehors quelqu’un crie… Le gars me racontait avoir arrêté de consommer parce qu’il ne bandait plus, une raison en vaut une autre. Il est maintenant passés minuit certains inventent des choses dans les bars salon. Y’a un parfum de fumé, hier sur la rue Mont-Royal j’ai vu un terrain libre je crois que l’édifice a passé au feu. J’ai laissé tomber mes enquêtes sur les incendies. J’imagine la valeur du terrain dans ce quartier c’est pas achetable. Cette nuit je reste dans mon senti guerrier, Apocalypse Now! https://www.youtube.com/watch?v=wRwwUZLV-IE la guerre que les américains ont perdus, the End. Comment les mères, les épouses se sentent quand elles voient leurs fils, leurs maris partir à la guerre? Les patriotes disent qu’ils y vont pour protéger nos valeurs mais ça deviens de plus en plus difficile… Dans le moment y’a un parfum de bacon. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!!

Bernard