lundi 11 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai pas regardé les actualités françaises, j’ai plutôt joué aux cartes, au Toc… J’arrive pas à me faire une routine qui a du bon sens pas plus que j’arrive a écrire avec ce même bon sens… C’est vraiment dans le néant tout ça. Je travaille en fou… Ça me désole j’ai plus de souvenir, peut-être ce grand cousin avec qui on jouais aux escadrilles de l’air quand les parents étaient partis. Ça se passait au deuxième sur la photo et je vous ai surement écris quelque part que mon lecteur de Mascouche dans son enfance jetais les chats par la fenêtre de ce même appartement. Ça a beaucoup changé, à l’époque c’était pas un restaurant mais une pharmacie. Rien de neuf là dedans… J’essais de me souvenir combien de temps on a habité là, quatre où cinq ans, en haut dans la photo c’est celle du maire de Montréal… Ce soir comme souvent j’ai de la douleur, peut-être parce que j’ai pas d’affaire a vous écrire et a illustrer ça. Pourtant… On est arrivé là en droite ligne de Dolbeau au Lac Saint-Jean pas longtemps après je crois que pépère pis mémère on suivis, Montréal-Nord ça toujours été une terre d’accueil, y’avais même V.L.B. qui habitais là en droite ligne lui aussi du bas du fleuve, je pense qu’il a compris quelque chose à la ville il est retourné vivre à Trois-Pistoles. Moi je suis retourné parfois au Lac-Saint-Jean mais pas pour y vivre, juste visiter. Ma vie est maintenant toute au Goulag occidental dans la misère du Montréal central, j’ai aussi vécu à Terrebonne mais ça été long avant que je bouge et déménage en ville. Ça fait maintenant plus de vingt ans que je suis au Goulag occidental, « immigré de l’intérieur »- André St-Denis https://www.youtube.com/watch?v=vak8zaa-tLI  Je me calme lentement, les femmes disaient c’est juste des mots elles étaient pas très sensible. Je trouve plus je veux écrire vite parce que je veux regarder un documentaire sur les femmes et Hitler, les femmes dans l’Allemagne Nazi. Faut jamais oublier ce que ces salauds là on fait et croire que ça ne peut être nous c’est ce qui arrive quand on est trop tranquille, maintenant on lutte contre des terroristes d’une autre espèce mais ce n’est guère mieux, c’est moi Ti-Clin qui vous le dis. Quand je pars là-dessus, j’ai de la peine… Je sais pas comment me poser, j’écris comme un faiseur… Quelle urgence de mongol la diffusion d’un documentaire, je me donne des échéances inutiles… J’ai mis la télé en marche, j’écoute en vous écrivant, c’est les petites mains de la mode, les artisans de chez Lesage qu’ils disent… Les jeux informatiques??? Je connais pas ça, je suis vieux je préfère écrire. Encore quelques mots, les amis sont partis en voyage, ce soir je suis seul et j’essais comme toujours d’écrire. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Je termine là-dessus. Je m’en vais aux femmes bafouées.

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour Je pense au Denise dans ma vie, à comment elles sont importantes… Elles ont été présentes dans mon rétablissement. J’ai toujours gardé le contact grâce à ce blog. Je vous dis merci! Le rétablissement c’est un processus dynamique toujours en marche on est toujours appelé a s’améliorer, dis comme ça ça semble facile mais rien n’est moins simple que la pleine citoyenneté, là je pense à la stigmatisation dont souffrent plusieurs comme moi, cette idée du fou furieux, du paresseux… Je dis pas victime j’aime pas me posé comme une victime et j’aime pas me défaire de mes responsabilités parce que je suis « malade »… J’essais toujours d’aider, d’écouter aussi ceux qui souffrent, juste de faire voir qu’ils ne sont pas seul… Je pense aux différentes allocutions que j’ai faite, toujours dans le même but aider et briser le stigma en encourageant mes pairs à sortir de la solitude, de l’anonymat parfois ils ont besoin d’exemple et je met la barre haute en espérant en être un… Je sais, il y a plusieurs défaut dans mon rétablissement ne serait-ce que le côté travail mais j’essais avec ce blog de pallier à ça, y’a aussi l’âge je crois qu’il est important de signaler que vivre avec la maladie à un âge plus avancé est possible, juste de dire que passé quarante ans y’a une accalmie dans les symptômes et de savoir qu’on peux bâtir là-dessus… Je crois aussi que c’est important de faire la différence entre ce qui tiens de la maladie et de l’autre côté du caractère. Il faut aussi ne jamais avoir peur de vérifier et toujours pensés à ce bon vieux « ici maintenant ». Je pense aussi aux médicaments à comment il est important de les prendre comme prescrit pas plus pas moins et ne pas jouer avec la posologie, s’abstenir d’alcool aussi, je vous écris ça et je pense à certains pairs qui boivent pour moi c’est contre productif. L’alcool ça semble si important, dans ma paranoïa je vois plusieurs pairs qui boivent pour moi ce ne sont pas des exemples, l’alcool ça tue, ça me tuerais. Tout à coup j’ai peur de vous faire lire ça, c’est pour dire comment mon rétablissement est fragile. Y’a aussi l’importance de la parole, l’importance du dire, dans mon cas c’est de dire ma paranoïa. Tout ça pour en rire quelqu’un m’a dis y’a pas de monde qui t’aime tu peux pas être paranoïaque pourtant… La peur cette maudite peur, j’ai pas envie de vous écrire un blog de psycho-pop. https://www.youtube.com/watch?v=isCJAxWtreY Serge Lama. Je sais pas quand mon rétablissement va être à son maximum, pour l’instant le groupe d’entraide est en vacance, faut que j’évolue et que je reste conscient aussi que dans ma schizophrénie y’a des hauts et des bas. Voilà la folie c’est pas que des voyages, c’est surtout la peur au quotidien le sentiment de se sentir observé chez soi,Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

dimanche 10 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Le Portugal a gagné l’Euro… J’ai rien à dire là-dessus mais me semble que ça fait longtemps que les français mangent de la merde… J’ai rêvé à un barman qui jouais du drum y’a longtemps… J’étais chez lui c’était remplis de livres et y’avait des peintures obscures… Ce gars là ça fait presque trente ans que je l’ai pas vu, c’étais pas un ami. Vous voyez j’écris dans la durée en pensant à avant… Je suis fatigué c’est dimanche, aujourd’hui j’ai parlé à personne… Ai bu une orangeade, la pub de budweiser sans alcool est attirante, mais faut pas que je joue là-dedans de la bière sans alcool j’en ai déjà bu ça m’amenait rapidement à l’alcoolisée. Vous voyez je tombe toujours dans la même thématique… Un alcoolique ça consomme pour ceux qui en prennent vraiment une où deux, je buvais sans arrêt je ne sais combien… Je cherche quoi vous dire, ces entrées par la ruelle dans des junks. Rien mais rien ce soir, je me sent lourd, je sais pas quoi manger, je crois que je vais faire comme les gens dans le C.H.S.L.D. et manger des pogos… Ça se bouscule dans ma tête. Je pense que demain il va faire chaud… Le graffiti « T’est pas tannée de lire les graffitis » y’en a un qui avait trouvé ça brillant, je sais pas… On auras pas les résultats du match sur TV5, les actualités françaises, y’a un trop grand décalage. Parfois je crois que c’est la quantité de ce que j’écris plus que la qualité. Faut que j’y aille avec parcimonie, ça fait pas de très belles phrases c’est un problème. J’ai une odeur de peinture dans le nez, je sens et ressent la fatigue… Les copains de mon enfance je crois qu’ils rient de moi, ils se sont jamais battus contre le courant pourtant… C’est une question de valeurs je crois, eux avaient placé l’argent avant et écouté ce que disaient leurs parents… C’est bien ça on a pas le bulletin de nouvelles de France 2, ils sont écrasés par la défaite… Y’a des gens qui vont pleurer… Je suis endormis, engourdis, ici ce printemps les Canadiens ont pas fait les séries éliminatoire et y’a pas longtemps ils ont échangés leur défenseur étoile, c’est la business du sport. Je sais pas où je veux en venir, peut-être à ce que disait Pierre De Coubertin l’important c’est de participer pourtant les losers les gens aiment pas ça, je sais je suis un loser. Demain c’est lundi je crois qu’il y a des gens en vacances. Moi je fais pas la différence, vacance pas vacance j’écris quand même… Je sais pas pourquoi et à quel moment je me suis laisser emporter, je fréquentais des infréquentables et me détruisais lentement. Vous voyez j’ai pas de bon sens mais ce soir je reste chez moi en pensant à tous les amis qui sont passés par là. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, il fait chaud chez moi. Ai dormis un peu, vais prendre une douche… C’est fait du coup j’ai retrouvé une chaussette que je croyais disparue, volée elle était dans la pile de serviette… Je sens meilleur malheureusement j’ai plus de parfum, je vais me rasé… Me suis parfumé à l’after-shave, je rote le chorizo…  Ai démarré le climatiseur dehors c’est frais à l’intérieur il faisait chaud. C’est le goulag occidental… Je pense que la photo cette nuit va plaire à ma lectrice retraitée de la C.S.N. c’est une œuvre qu’on peut voir rue Maisonneuve tout près de la caisse solidaire Fondaction C.S.N., un monument inauguré le 5 et 11 mai 2010 conçu par Michel Dallaire designer industriel et concepteur, Bixi entre autre. Étrangement j’ai plus sommeil. Je reviens sur les niaiseries de mon senti… Senti on pense au parfum mais c’est ce que je sens dans mon âme dans mon cœur, ma position est vraiment débile, je travaille aux mots sans savoir si un jour y’auras un lectorat, j’aime bien le suffixe rat, ils sauront bientôt lire, les rats de la finance feront autre chose que compter, je crois qu’ils se permettront d’être ému… Lentement la pièce se rafraîchis… Je crois que j’ai déjà utilisé la photo mais j’avais pas écris les références. C’est la nuit de samedi, les gens sont gelés et éblouis dans les boites de nuit… Le monde virtuel a aussi ses arnaqueurs faut se méfier. Me suis versé un verre de limonade… Cette nuit je dors debout en cherchant une photo… Le temps passe je cherche ce que j’ai d’important a faire, c’est l’angoisse, l’anxiété, la peur de savoir que je m’en vais vers la mort. Ça sent bon, je me place les doigts sous le nez et y’a cette fraîche odeur d’after-shave… Je sais vous feriez pas ça écrire, votre affaire c’est le bénévolat. Vous vous payez ma gueule pourtant j’écris pour l’équilibre que ça me permet. Le climatiseur s’est arrêté… C’est important d’écrire ça chasse une forme de stress… Les bars viennent de fermer certains ont fait des rencontres d’autre rentrent seul étrangement y’a un parfum de cigarettes. Vous deviez l’attendre celle là https://www.youtube.com/watch?v=pvOcRPw9X0o  Vivre dans la nuit, ça me fout les bleus. J’étais si poqué si malade… Je pense pas que les gens sérieux se promènent dans les rues la nuit. Me souviens du barman Jean-Claude, je crois que dans la dizaine d’années où j’ai bu là c’est beau si il m’a dit deux phrases et je crois que la maison m’a payé une fois une bière… Misère!!! Faut pas que je regrette ni que je recommence j’ai plus d’affaire dans ces lieux là et je veux pas me développer une cirrhose du foi. Vous voyez c’est toujours la nuit, on est pas où les gens souffrent, à l’hôpital, certains dorment malgré le bruit feutré que font les infirmières, il faut qu’elle les gardes en vie. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

samedi 9 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je me détend toujours en lisant une bande dessinée, un recueil du magazine Spirou, ça me casse pas la tête ça m’amuse… Mon nom c’est pas Jean-Paul Sartre, l’enfer c’est les autres a déjà été écris. Pour illustrer je vous met un dessin d’Alain Henriet. Hier j’ai souper avec l’amie, j’ai mis au clair notre relation… Je vous l’ai déjà écris. Je me répète c’est fatigant… Quand je lis la bande dessinée j’ai des émotions d’enfance, je sais pas comment nommer ça. J’étais si heureux de lire, j’essais de comprendre pourquoi les gars appelaient le document de cessation d’emploi, le livre de comics. Peut-être parce que le chômage donnait plus de temps pour lire? Aujourd’hui il pleut et moi je vais mieux, c’est sombre je crois que le soleil seras pour lundi. J’écoute cette voix qui me demande comment je me sens. J’entends les moteurs d’un avion qui passe… Je pense aux bricoleurs la fin de semaine moi j’ai jamais aimé bricoler… Je brisais les choses plus que je les réparais, me souviens d’avoir fait du plâtre sous une baie-window c’était pas beau. Je sablais replâtrais et re sablais. J’ai pas de métier, j’essais de m’en faire un avec ce que vous lisez, soixante ans il est un peu tard… Pauvre fou! Je suis un pauvre fou, voilà je recommence à me dénigrer. Je crois quand même que je suis pas si mal pour écrire… Je pense aux gens sérieux qui travaillent le week-end… Je crois que bientôt ce seras les vacances de la construction. Moi j’ai terminé mes comités pour l’été… La bande-dessinée ça jamais été un art, ils appellent plutôt ça un roman-graphique, pourtant certains dessins sont tellement fin c’est artistique… Pour les critiques les peintres sont sérieux pas les bédéistes y’a aussi les illustrateurs qui font dessins et affiches je pense à Toulouse-Lautrec… Notre lecteur designer à la retraite a je crois tâter de ce métier là.  Moi j’ai eu ma période snob où je ne lisais plus de B.D. on appelle ça bouder son plaisir. La B.D. c’est aussi intéressant pour la recherche graphique chose que j’avais oublié dans ma recherche du « grand » art. Je vous dis pas grand-chose sur mes émotions aujourd’hui, je suis pas un scénariste ni un metteur en scène pas même un comédien. Je crois qu’au printemps prochain on va encore faire appel à mes talents d’écrivain, je vais commencer par essayer de me rendre là un jour à la fois. Je vous parlerai pas trop de la danse de ces pistes où y’avait des mains baladeuses qui brisait la bulle personnelle, c’étais difficile. Je reviens à comment j’ai hâte de prendre l’avion pour Washington, je vais essayer de bien me préparé… Je sais pas pourquoi j’ai toujours admiré les plus vieux, maintenant c’est moi le vieux, je veux être un exemple c’est pas facile, je veux pas faillir. Encore une fois j’arrive à la fin. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

vendredi 8 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Déjà debout… Cette nuit je me pose la question de l’utilité de tout ça. J’irai pas jusqu’à dire que c’est de l’art, de la littérature… Y’a des gars qui m’ont déjà envoyé me pendre avec une plume, un stylo dans le rectum… J’aimerais bien garder ça noble. Je me questionne sur quoi écrire après ça http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnier  Je croyais pas avoir autant écris, sans parler de ce blog… J’ai pas beaucoup d’imagination c’est toujours ce que je ressens. Je pense au poète José Corti à d’autres poètes aussi morts dans l’oubli, la poésie c’est souvent au goût du jour, le dernier cri comme on dis, « Question d’aventure »-Claude Dubois https://www.youtube.com/watch?v=t1MyTbou1ww  J’ai le souvenir de cet homme qui se vantais de connaitre toute la communauté artistique et qui avais pas une once d’humilité, il trouvait son réconfort dans le whisky. Y’avait cet autre aussi qui croyais pas au pouvoir évocateur des mots il me faisait réciter le bottin téléphonique… C’est de la rancune tout ça, je prend pas ce chemin là… Je sais bien pour eux ce que j’écris c’est essentiellement du copier/coller. Mais non y’en auras pas d’histoire d’amour je ne suis que son ami. Je crois que émotivement c’est mieux comme ça… Je me gratte le dos avec un couteau… Souvenir de la pièce « Appelez moi Stéphane », j’avais peur que le cabaret poétique ne tourne comme ça, https://www.facebook.com/OTTITIservices/posts/1080919251950192  Heureusement on a eu affaire à des gens sérieux. Y’avait aussi la comédienne au poignet amoché qui semblait pas se souvenir d’une conversation qu’on avait eu y’a longtemps sur « L’Actors Studio » pas très très gentil je me payait sa gueule parce qu’elle voulait y aller. J’étais qui moi, personne, et aujourd’hui elle est une excellente comédienne et moi je suis qu’un écrivain faux jeton. Là c’est terrible tout ce qui me passe dans la tête je l’ai déjà écris « Partons la mer est belle » https://www.youtube.com/watch?v=bKvhriAlqD4  pour les amis des îles de la Madeleine. Ce soir je vous illustre ça avec une autre Madeleine, de Verchères celle-là, elle veille sur le fleuve, une héroïne de la Nouvelle-France… Bon! Je pense au bleuet que je suis et la première mer qu’il a vue c’est le Lac-Saint-Jean… J’ai de beaux souvenirs. Je pense à Sainte-Monique-de-Honfleur je crois qu’auparavant c’était Péribonka, non c’est pas ça, mais Péribonka est tout près. J’entends une moto ronronner dehors comme souvent. Je pense à l’amie… Je pense au film Delivrance à comment j’ai eu peur d’aller dans le bois… https://www.youtube.com/watch?v=myhnAZFR1po  Tchèquez le gars qui gigue dans la vidéo il est aussi bon que moi… Comme disait l’autre « Faute de combattant la guerre cessa ». Cette nuit ce que je vous écris ça a ni queue ni tête, pas d’histoire juste des flashs qui me passent dans la tête. J’ai toujours de la difficulté a terminer, j’aime bien les commentaires de ma lectrice de l’Outaouais. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai dormis toute la journée, je suis fatigué d’entendre les nouvelles sur cette fusillade et sur cet autre carnage. Je suis content pour mon lecteur qui s’est trouvé un terrain de jeu à sa mesure aux îles de la Madeleine. J’ai quand même hâte d’aller à Washington. C’est pas évident d’écrire comme ça à tous les jours. Je suis tout décalé dans mes heures de sommeil, cet après-midi c’était plus frais j’ai quand-même démarré le climatiseur… Je bois un café tranquillement… Je pense que mon histoire avec la douce est terminée, c’était impossible. J’arrivais pas à la comprendre en tout cas si elle téléphone je vais répondre… J’arrive pas à vous écrire mon senti, hier j’étais tout dans la douleur cet après-midi je suis vide. Les policiers de Montréal ne commentent pas le drame. Ouais! Je me relis et je suis dans l’incapacité. C’est difficile de vous écrire dans cette solitude quotidienne. Personne à mettre en scène juste mon narcissique moi, mon je comme toujours. Je ressens l’humidité, c’est collant… Je suis confus dans cette relation qui se développait. Je n’écris pas tout avant j’avais cette fâcheuse manie de tout écrire sans égard à ceux que je pouvais blesser. Je suis pas docteur, ni médecin et je courre après la notoriété avec l’idée que ça pourrais remonter l’estime que j’ai de moi. Pourtant je crois que l’humilité peut-en faire plus. Aujourd’hui j’ai parlé à personne, y’a que la télé qui parle et je peux pas lui répondre. J’étais dans l’erreur la douce m’a téléphoné pour un piquenique ça me réjouis. Arrive de piqueniquer avec l’amie, on s’en tient à ça amie pour le reste y’a d’autre femme… Je lui ai raconté ma paranoïa sur la poignée de toilette que je croyais brisée selon moi quelqu’un est entré et l’a cassé, c’est de la folie… Mais oui! Une amie pas une blonde! Y’a des voitures où le conducteur est assis, stationné sur du Havre… Là est aussi ma paranoïa j’ai cru voir un psy que je connais. J’ai expliqué à l’amie que ma paranoïa se passe souvent quand je suis en relation, comment écrire cette folie ça aussi c’est mon senti. Je sais pas si je vais arriver à vous faire un texte, encore ce soir j’ai mal j’ai froid… Mon handicap il est mental, j’essais toujours de vous en faire part, cette folie me fatigue elle me lâche pas… Je me vois qui sort par la fenêtre de la chambre au sous-sol et je rampe dans le gazon pour que personne s’aperçoive que je suis sortis, cette peur d’il y a longtemps me fait toujours mal… Je suis sortis de la cour y’a longtemps, il s’est passé plein de choses et je suis toujours vivant… Maintenant je suis chez moi j’essaye de raisonner ma paranoïa… C’est pas ma volonté c’est la volonté de Dieu. Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! Je rajoute quelque mots ça m’apaise. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard