mercredi 6 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Encore debout dans la nuit. Je vais essayer d’être intense bien que lorsque on l’écrit on y arrive pas souvent. Voilà une chanson, one hit wonder https://www.youtube.com/watch?v=97wvwuHUMCw  c’est un peu pour souhaiter la bienvenue à tous ceux qui viennent de déménager dans le goulag occidental. C’est très malade l’état d’esprit une fois intoxiqué on se trouve très intelligent, pourtant… Je me souviens d’un restaurant avec une plaque portant le nom du client à une table, qu’est-ce que je faisais là je sais pas. C’était idiot. Je crois que http://www.camuz.ca/article/fermeture-des-bobards-une-certitude-et-des-points-dinterrogation le dernier bistro brasserie sur Saint-Laurent est fermé. La question que je me pose c’est où a migré toute cette clientèle. J’ai pleuré au bar de ce débit de boisson la barmaid m’appelait « le pur ». Je pense aux guides de voyages qui évaluent les quartiers selon le nombre de bistro, le plateau auras toujours le gros numéro. Je reviens à mon senti, je trouve ça cave de toujours traiter du même thème… Vous voyez bien que je vie dans un univers assez fermé c’est le goulag occidental… Souvenir de ce gars qui habitait Outremont et qui voulais jeter de la poudre aux yeux… Parfois on me demandait de réciter un poème mais j’y arrivais pas, le gérant m’expliquais ce qu’est un lapsus et une métaphore. La brasserie ça fait dur comme école… Dehors les voitures passent elles ont toutes différentes musiques. Me souviens d’une époque où la paye étais le mercredi j’y arrivais pas je rentrais chez nous en taxi toujours saouls. Parfois je laissais vingt dollars chez moi pour le transport… Hier on s’est promené dans les ruelles du goulag c’est un beau quartier malgré tout, je pense au petit parc Magnan. Je me souviens de cette femme qui me traitais de suceux de cul, de profiteur et ça sans arrêt ça me faisait très mal je devais le mériter… Et cette autre aussi à qui j’avais demandé de s’occuper de ma « carrière littéraire » elle avait refusée. Tout ça, ça vous dis pas la douleur que j’ai. Je pense à la douce qui m’a confié avoir pleuré hier pour elle c’est un signe de faiblesse, n’importe qui dans son état sangloterais longtemps mais elle dit vouloir être une femme forte… J’entends l’horloge le temps qui fuit, je suis un peu prisonnier de cette façon d’écrire comment on dit en latin? Tempo fugit? Je crois que plusieurs incapable de rester dans leurs logis torride se promènent en voiture les vitres ouvertes pour se rafraichir, on peux appeler ça cruiser dans les coins chauds. Je vais maintenant vraiment vous dire comment je me sent j’ai sommeil. C’est de la folie écrire comme ça… Le balai brosse passe dans la rue pour l’atmosphère on repasseras. https://www.youtube.com/watch?v=gxEPV4kolz0 Petit détour par le piano bar, c’est probablement ça dans plusieurs bars d’Amérique. Je trouve ça touchant ça me rappelle, hé oui j’ai de la nostalgie, des foules de soulards. Voilà je termine et vous remercie d’avoir lu jusque là!!!

Bernard

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Ai pris une petite marche dans le goulag occidental où si vous préférez au cœur du Centre-Sud pas loin du théâtre Espace Libre. Chaleur torride cet après-midi, le climatiseur est très utile. On en vois toujours un qui passe avec sa caisse de bière en après-midi, ça semble pas les complexés, je vais les laisser vivre… Je suis mémère c’est pas de mes affaires. C’est pas très bien rédigé aujourd’hui… Je vais sur mon senti depuis que je suis à jeun les gens sont gentils avec moi faut croire que je demande moins… J’essais d’éviter les troubles je crois que ça tiens de la pleine citoyenneté des devoirs que je remplis. Ça fait presque autant de temps dans ma vie à ne pas consommer qu’a consommer. Je crois que j’ai bu pendant vingt trois ans et ça fait a peu près la même chose que j’ai arrêté, c’est juste pour aujourd’hui… J’ai souvenir de la shop, de l’huile et du compound qui collait à la chemise dans la sueur, les lunettes qui me tombent sur le nez pendant huit heures à bosser… Fait frais chez moi, c’est bien, me souviens de cette chambre où y’avait pas d’air, de ce temps où je plaçais la radio dans la fenêtre pour faire profiter les voisins, les passants de ma « belle » musique… L’alcool c’est pas de la romance, la décadence c’est pas agréable. Vous voyez c’est encore mon sujet de prédilection ça m’a marqué. À tout prendre je préfère beaucoup l’eau froide, ça me désaltère vraiment. Abstinent je me sauve la vie. Dehors j’entends les grosses motos, la musique des Harley-Davidson, c’est plus des gens que je fréquente, j’aime pas tellement leurs images, leurs iconographies leurs tatouages. Je suis rafraichis mais je fais pas mon frais… étrangement j’ai une pensée pour ces cousins les fils des frères de mon père. Je sais pas pourquoi, peut-être que eux ont eu une vie qui a du sens. J’ai toujours en mémoire cet oncle qui me demande si je suis encore capable de me torcher… Je suis arrêté je pense à ce que je vais vous écrire, un autre souvenir de ma sœur décédé qui parfois était méchante. Je veux pas blesser personne ni tomber dans le drame, les émotions c’est parfois difficile de les traduire en mots. S’agit de vivre, de l’écrire… Je pense à l’argent à comment on valorise ceux qui en ont, à comment pour moi c’est pas une valeur essentielle, je préfère les gens pauvres mais vrai… Une vie parfois ça fait pas de cadeau pourtant j’ai toujours réussis à m’en sortir jusqu’ici… La ville, le goulag occidental parfois dévore ses habitants, les laisse au bord du trottoir, je pense à ces filles qui font le tapin, c’est pas évident… J’aurai écris en direct de l’enfer sans pensés à le quitter. Je termine bientôt, le goulag est pas rigolo. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Encore quelques mots, au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!


Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Mon ordi plante encore. Je lis les bandes dessinées, c’est pas très sentimental un peu loin de mon senti. Je pense aux muralistes ceux qui peignent des murales. Un vieux pros disait qu’il y a plus tellement de place pour les nouveaux bédéistes. Je crois que maintenant ils peignent des murales. Je pense à cet artiste à Trieste qui travaillais dans un atelier, une sorte de coop. Je sais pas comment il faisait, le décor étais superbe. Ce soir je crois que je vais vous illustrer ça avec le cheval de la désins… J’essais de m’inspirer de la bande dessinée où de ces illustrés qu’il y avait avant, une image, une page et un texte dessous. Cette nuit je suis heureux je me sent bien. J’écris un peu pour les insomniaques dans mon genre. Je pense à la douce ça me réjoui toujours de l’écouter… Ça me tue y’en a toujours qui essaient de défaire ce que l’ont fait avec la meilleure volonté du monde… Je lisais y’a pas de succès sans adversité, c’est vrai. J’écoute ce que mon âme me dis… La rancune très peu pour moi. Je passe mon chemin et je continue à faire ce que je fais bien et à le faire mieux. La douce c’est une danseuse une personne très spéciale, elle bouge toujours, je crois qu’elle aime beaucoup la vie. « Hier encore j’avais vingt ans »- Charles Aznavour https://www.youtube.com/watch?v=cErkj9P0EPM  parfois je me rappelle ma jeunesse, beau et fou, la bière à la main avec les copains. C’est terminé tout ça et tant mieux… La douce s’en va à Vancouver bientôt, c’est pour une chorégraphie… Moi au mois d’août c’est Washington… Cette nuit comme souvent je suis vide, émotionnellement je suis à zéro. J’ai beaucoup moins peur que dans ma paranoïa aigue. « Personne ne m’aime, personne ne veux m’aimer »-Capitaine Nô https://www.youtube.com/watch?v=pPEYr13jj6s  comme souvent je vous écris de mes insomnies. Je pense à une prière qui m’inspirerais, la prière de Saint-François est magnifique, « comprendre plutôt qu’être compris ». Je vous l’écris pas toute juste ça pour vous donner une idée. Vous voyez je mélange tout, les chansons et la prière, je sais pas si c’est sacrilège… Mon âme que j’avais vendue au diable est maintenant dans la spiritualité, le diable m’a lâché et c’est Dieu qui m’accompagne quotidiennement, d’athée je suis devenu croyant mais parfois quand même je manque de foi. Je me souviens quand même que les écrivains que j’admire écrivait la nuit, je crois qu’elle est propice à la pensée à la réflexion… Je sais pas pourquoi je pense à Hubert Aquin et à la Suisse… Je connais des noms comme ça et un peu leurs œuvres, il a fini avec sa vie… Il faut toujours continuer aller le plus loin possible, écouté ce puissant soliloque et en faire quelques chose, de l’humilité aussi, beaucoup… Voilà j’y suis-je vous aurai donné ça encore cette nuit. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 5 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Me suis acheté de la lecture très légère, un recueil du magazine Spirou, ça me détend de lire ça. Pour mon senti c’est des sentiments pour l’amie. Je viens de regarder les actualités comme toujours je suis ému, tous ces morts, tous ces attentats j’ai envie de pleurer. Ce soir dans le goulag il fait très beau et très chaud. Malheureusement parfois je suis paranoïaque avec l’amie, pourtant elle est très gentille, ma paranoïa c’est la peur de déménager. Auparavant y’a longtemps j’ai eu une relation avec une femme où je me suis fait évincer, j’en garde un souvenir douloureux… C’est des vieilles histoires tout ça, la douce a pas à subir ça… Le pain a moisi, j’en ai jeté une tranche, j’essais de vous amener un peu dans mon univers schizophrénique parfois quand j’écris je suis un autre de là tout l’importance du je, c’est moi, moi qui pleure, moi qui rie, moi qui conte et raconte mais ici chez moi. Je vais essayer d’être un peu plus drôle avec la douce je sais qu’elle aime rire et sourire malheureusement j’ai pas un grand sens de l’humour… Je pense au cirque du soleil, j’ai jamais été très loin de ses artisans on m’en a parlé souvent, étrangement je suis jamais allé voir ces spectacles… Je me vois pas faire un show, le même à tous les soirs c’est comme puncher à la shop… Y’a un peu de ça quand j’écris mais j’essais de faire différent chaque fois… Une voisine est venue m’emprunter du lait, on a pas toujours envie d’aller au dépanneur… Le soleil entre chez moi à pleine fenêtre, c’est beau, c’est bon. Dans mon âme c’est le silence aujourd’hui encore je crois avoir fait de mon mieux plus que ça je suis pas capable. J’aimerais ça écrire de belle poésie comme le faisait les notables y’a cent ans. Un diplôme de poète ça existe pas, l’inspiration me laisse tomber… Deus ex machina, Dieu issu de la machine, j’ai jamais cru ça la machine elle est pas divine, elle est juste ce qu’on en fait… Ça m’amène à l’esprit à la spiritualité sauté, une prière, un mantra et on se calme. Vous croyez peut-être que comme plusieurs j’ai voulu travailler pour le Cirque du Soleil. Mais non! Moi la seule chose que je sais faire c’est écrire mais je suis incapable de faire un script. Je vous écris et je sais pas pourquoi je me sent comme dans une course pourtant c’est pas le tour de France. Je crois que c’est pour saisir rapidement ce qui se passe dans ma tête, en voilà une autre folie, j’ai tout mon temps. Je pense à ce film dont j’ai oublié le titre, un écrivain juif montréalais qui se battais avec sa machine à écrire tellement il voulait réussir. C’est le lot de plusieurs qui comme moi se battent avec l’ordinateur. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Jolie soirée avec la douce hier, ce matin je vais m’acheter un recueil de bandes dessinées. Je place la photo d’un bazou que mon lecteur de Deux-Montagnes en voyage dans les iles saura reconnaitre. Je sais il n’aime pas que je le mentionne mais c’est pour la bonne cause. Je crois bien que cette nuit je faisais des cauchemars… Je reviens avec mon senti, c’est angoissant pour moi d’avoir une femme dans ma vie, ça me rend paranoïaque, parfois je me demande ce qu’elle me veux… Elle semble vivre beaucoup dans sa voiture ça m’inquiète bien que j’ai vu sa chambre… Ai démarré le climatiseur… Hier elle est venue chez moi et a fait la sieste dans mon lit, mes relations qui démarrent sont toujours dans la peur de me faire embarquer dans quelque chose. J’ai envie de lui demander ce qu’elle veut de lui donner et après qu’elle me laisse tranquille… Mais je ferai pas ça c’est trop goujat… Je pense à ce voyage que j’ai fait à Baie-Comeau avec une voiture que mon père m’avais vendu, je l’ai jamais payé elle ressemblait à celle sur la photo… Pourquoi Baie-Comeau parce que c’est là qu’elle est tombée en panne. Je l’ai donné. J’avais couché dans une maison de thérapie trop innocent, trop perdu pour rester là. Je réalisais pas où j’étais. J’avais quand même couché dans de beaux draps frais. Je m’y sentais en sécurité… Là aussi pendant ce voyage c’est la peur qui menait… Plus de job, plus de chômage, plus de chambre je devais penser à démarrer dans la vie, j’étais bien mal partis… Je le répète la photo elle est pour mon lecteur de Deux-Montagnes http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnier  Je place encore ça la en espérant que ça va vous faire des lectures de vacances. En ce moment je suis très réveillé, c’est la nuit dans le goulag occidental ai souvenir d’avoir lu quelques un de mes textes sur une scène… Je cherche quoi écrire c’est calme entre mes deux oreilles… Je me vois déjà à lire les bandes dessinées… J’ai toujours souvenir d’avoir eu peur de ce bonhomme qui lisait dans sa voiture… Encore aujourd’hui quand les voitures ralentissent et m’observent j’ai peur… Samedi on est revenus à l’heure des feux d’artifices les dames s’étaient habillé sexy pour l’occasion, en profiter pour faire un où deux clients? Les talons et les jambes étaient très longues… Ce matin je vais aussi acheter un petit cahier… Lentement le goulag occidental deviens plus habitable « Je veux savoir, tu veux savoir, pourquoi les trains, t’envoyent la main dans ton miroir »-Robert Charlebois https://www.youtube.com/watch?v=F4PzBWkaPrY . J’étais jeune j’étais fou, je suis vieux et encore plus fou. Me prépare un autre café. Encore quelque mots de votre neurasthénique préféré, l’eau bouille… La douce c’est quand même moi qui l’ai invité pour un café je devrais pas trop m’inquiéter. Je vous termine ça de la façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

lundi 4 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai dormis… Je crois que dans l’édifice quelqu’un va pas bien mais ça me regarde pas. Me fait un café, changé deux fois de pantalons. Je vais où aujourd’hui, je pense que pour souper je vais manger un pâté poulet et champignons. Je me sent coupable d’avoir rêvé… Parfois les gens s’ennuient tombent psychotiques et vont passer des heures à l’urgence de l’hôpital. J’essaye de me souvenir de mon état quand j’étais hospitalisé, le temps voulait pas passer, des journées a attendre le psy avec des gens qui comme moi délirais… Je voulais pas mourir je voulais arrêter de souffrir. Y’a longtemps de ça, dehors par-dessus la circulation on entends les marteaux-piqueurs . Hospitalisé je faisais les cent pas dans le corridor incapable de regarder la télévision brouillée dans la salle menée par le chef des préposés. Un ami m’a dis qu’il en voulait au système psychiatrique, je crois qu’il valait mieux qu’il soit là qu’en prison. Parfois j’avais des stagiaires avec moi mon cas devait pas être si lourd on m’a toujours bien traité. La psychiatrie, les soins de l’âme voilà un de mes thèmes de prédilection, ce gars un  soir où je venais d’arriver à l’hôpital me disait qu’à me regarder c’étais pas ma place qu’il me voyait plus dans les corridors d’université. J’ai jamais réussis à y aller comment dire j’avais pas les moyens financiers d’étudier c’étais plutôt être enfermé. Me souviens d’une rare fois où j’écoutais la télévision une interview avec l’écrivain Christian Mistral, l’infirmière m’avait conseillé de lui écrire. Je l’ai fait plus tard par courriel j’ai eu qu’une réponse laconique. Parfois j’allais à l’hôpital de jour en ergothérapie, j’écrivais des poèmes avec des rimes faciles. Je sais pas si on peut dire que j’avais le syndrome Émile Nelligan c’est pas à l’hôpital que je devais soumettre mes textes c’est à un éditeur. Plus tard j’ai eu quelques poèmes publiés dans différentes petites revues et ici http://editions-hache.com/parauteur.html#saulnier  ça commence a faire beaucoup de mots… Maintenant je crois pas que je gagnerai jamais ma vie à écrire. Je reste tranquille chez moi, je vous écris ça chaque jour. Je sent pas le besoin d’avoir des soins plus prononcés. Je pense à ce vieux bonhomme incontinent perdus en psychiatrie. À cette chambre dans une sorte de mouroir où chacun s’intoxiquait à mort. J’en suis sortis je veux plus mourir mais maintenant je suis presque vieux… Ces dernières années j’ai quand même mieux vécu… Non! Pas de crise d’épilepsie mais un peu de Parkinson quoi que ça a beaucoup diminué. Je pense aux lecteurs en Europe de l’époque de Hache… Si c’était a refaire cette vie d’alcoolique toxicomane malade mental j’arrêterais de consommer avant… J’ai eu si peur de Parthenais, l’édifice de la police provinciale. Je me répète je vie dans son ombre et je me sent en sécurité… Voilà pour moi aujourd’hui y’avait un peu de senti et la mémoire de ce que je faisais dans ma schizophrénie. Merci d’avoir lu jusque là!!!

Bernard

dimanche 3 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai la chanson du film culte Phantom of the Paradise dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=2n5qVJEg3qA  en bon rocker que j’étais j’aimais bien ce Faust revisited. Je sais pas combien de fois je l’ai vu mais j’ai toujours les airs dans la tête… Ce soir je suis debout, le seul contrôle que j’ai c’est sur ma machine… J’ai souvenir de la comédienne au cabaret poétique qui a donné de la vie à mon texte, on est un peu dans le Phantom of the TNM… Je veux pas me coucher, j’ai cette niaiserie dans la tête qui dis que dormir c’est perdre son temps… Me semble que les bons poètes écrivent pas des textes aussi longs, ils y vont avec parcimonie… Je vais essayer de vous écrire mon senti cette nuit… Encore debout pourtant je suis pas angoissé… Je vais me faire un café, la douce m’a parlé de gens qui font bouillir de l’eau dans une casserole pour le café, ils veulent pas acheter de bouilloire, on dis bien qu’il y a pas de petites économies… Juillet déjà, c’est la fête des américains, par la culture des U.S.A. ce devrais être tous notre fête https://www.youtube.com/watch?v=IsbEkQBYZPQ  Je sais j’ai pas toujours aimé les U.S.A. mais bien m’est forcé de constater que dans la culture qu’elle soit rock où autre ça vient souvent des américains. Au mois d’août je vais voir de visu avec mon voyage à Washington… Je regarde l’heure de mon vol pour Toronto et ensuite Washington. Je vais prendre le premier métro pour arriver tôt à l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. Samedi on parlais de café de vasodilatateur contre la migraine… Je sais pas pourquoi je vous écris ça c’est sans queue ni tête  https://www.youtube.com/watch?v=dw1oM7LBbxE  Parlant de culture américaine Billy Idol était tout un missionnaire. Je l’ai écouté et j’ai dansé sur sa musique pendant des années, musique sulfureuse… Je pense à New-York la ville monde, la ville où on croise tous les univers, c’est connus, tous les gros producteurs sont à New-York. Bon! Là je vous raconte des histoires et je m’en raconte, des gros producteurs y’en a partout dans le monde. J’en ai pas besoin je fais pas dans le show-bizzness. Je crois avoir lu que l’écrivain Paul Auster vivait maintenant à Toronto, il avait une routine à New-York je sais pas si il en a une là où il est… https://www.youtube.com/watch?v=-OJIUuyXkGs  Ouais! Être un artiste… Disons que c’est ça le thème je suis pas businessman… Je salut ce lecteur de la DSC qui reviens au travail aujourd’hui, je sais pas si il me lit encore mais je lui souhaite quand même bon retour. Bon parfois j’étire la sauce, c’est pas toujours intense, j’aimerais bien, en vieillissant je mets moins mes tripes sur la table quoi que… Le temps passe tellement vite je vous vomis des mots vers, une phrase très artificielle https://www.youtube.com/watch?v=-UovEBjLQ4s  Une découverte en faisant ce blog, voilà de la vrai poésie. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard