Bonsoir!
Bonjour! Je viens d’arriver pour souper ce seras une poitrine de poulet à la
provençale et des pommes de terre. J’arrive d’un focus group sur l’électro-convulsivothérapie,
les ECT… C’est assez épeurant heureusement j’ai pas eu a passé par là… Demain j’ai
autre chose et après ça devrais être tranquille. Ces jours ci j’aime bien la
climatisation chez moi mais dehors c’est quand même bien de voir les femmes pas
trop habillé. Je surveille les pommes de terre sur le rond j’ai pas envie qu’elles
prennent au fond. Je suis loin de mon sentis, j’essais de vous dire, je crois
pas être tapette je sais on n’utilise pas ce mot c’est dénigrant mais comme il
s’agit de moi… Ce soir comme souvent je suis dans la solitude, j’ai beaucoup
parlé aujourd’hui j’espère que j’ai aidé. Ça y est j’ai mangé c’étais succulent
et pas compliqué, quand je mange je vais mieux, reste que la vaisselle a
lavée. C’est la canicule demain ça
devrais se rafraichir, dans le moment il fait toujours chaud… T’attend ton
train… C’est pour les gens de la banlieue. Vous voyez le réservoir d’histoires,
de mots et de souvenirs commence a se vider… C’est plus l’époque du snack-bar
Gagnon où mon père voulait pas que je traîne… J’aurai perdu mon temps dans tous
ces lieux de perditions n’empêche dans mon bout y’est pas sortie de grand
génie. Ce soir si c’est chaud comme ça y’a des amérindiennes qui vont se
saouler. Je reviens encore avec ce thème là comme si il n’y avait que ça. À
part le sweat lodge je connais pas de coutumes autochtones. Je suis toujours
dans le goulag occidental, la haine, la haine, la haine et on s’endort dessus
pourtant ça sert à rien. Je me souviens être parfois sortis avec ma sœur et mon
bôf pour aller entendre un groupe musical de copains qui jouaient dans une
école à Mascouche, il étaient bons. Je crois qu’aujourd’hui c’étais le solstice
d’été, la journée la plus longue mais je vous l’ai déjà rabâché… Bientôt c’est
la fête à Baptiste on a pas encore eu sa tête, il donne plus dans le mouton…
Les écoliers vont être en vacances
quelque chanceux vont aller dans un camp de vacances d’autre vont faire le camp
de jour dans les parcs du Goulag occidental. Parfois les scouts préparent des
excursions et nous beaucoup plus vieux on couchait dans une boîte de Pick-up au
Mont-Tremblant. Parfois on partait manger de la route une bouteille de fort
entre les jambes et il ne se passait rien. Je cherche, pense à Ti-Tom l’artiste
peintre, il se tenait dans le parc avec nous… L’été on niaisait là parfois on
partait pour une virée dans le bazou de l’un où de l’autre, beaucoup de parfois
pour montrer comment c’étais pas régulier comment j’étais instable. Ce soir je
suis en panne d’inspiration. Je réussis quand même à vous écrire ceci. Je
termine, merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
lundi 20 juin 2016
dimanche 19 juin 2016
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Je dis merci à tous les pères avec qui j’étais aujourd’hui, y’en avait
un nouveau de moins nouveau et un grand. Le mien est plus là mais comme je dis
souvent je préfère avoir eu ce père que pas du tout. Merci aussi pour la ride à
celui qui va se reconnaitre, j’apprécie aussi ses commentaires. À la fête des
pères faut pas oublier les mères qui organisent tout ça… J’écoute ce que j’ai
dans le cœur ce soir, on a parlé de la famille élargie des cousins de papa, c’était
drôle… Parfois dans les réunions de famille je parle pas beaucoup, c’est pas
parce que j’aime pas les gens je trouve que vous avez ce don plus que moi… La
photo ce soir c’est pour quelqu’un qui va se reconnaitre… En bon paranoïaque
dans le métro y’avait deux jeunes noir qui me suivaient, c’est drôle à dire ils
me suivaient mais marchaient en avant, j’ai rencontré un ami à la station d’autobus
ils sont disparus. J’espère que ça va bien aller à Washington, j’ai un peu peur
mais un lecteur me dis que c’est normal… Demain c’est lundi, l’été semble
commencé mais la température va baissée, plusieurs d’entre vous vont rentrer au
travail d’autre profitent de leurs retraite et là je baille, je reviens à l’écoute
de mon « cœur ». J’écris ce soir un peu tard, j’arrive pas à vous
dire ce que je cherche dans l’écriture, c’est l’expression je crois les mots
sont ma pâte à modeler, ma plasticine, parfois j’en fait des pizzas bleu in-mangeable,
vous rappelez vous de l’odeur de cette pâte pour ceux qui ont de petits enfants
c’est plus qu’un souvenir… J’ai beaucoup aimé jouer avec les petits gars, le
ballon et l’appareil photo, je les amuserai un peu plus la prochaine fois. Je
remarque aussi que je suis beaucoup dans ma tête, je pourrais dire que c’est la
schizophrénie mais j’aime pas me servir de ça comme excuses j’ai un sale
caractère de cochon c’est tout faut que je travaille là-dessus… Mais oui tout
ça c’est un journal pas intime puisque je le partage. Madame Lupien l’experte
sur le stress et les mammouths nous dis qu’écrire est une bonne façon de
combattre le stress, voilà une des raisons de m’avoir là, encore une phrase
laide… J’y arrive j’écoute ce que ça dis dans ma tête, ça raconte de pas tout
vous écrire… C’est un peu comme à la guerre au front y’a des choses qu’on peut
pas raconter, ma tête de fou se laisse pas dire comme ça sans résister. Ma
famille c’est du beau monde en santé ça me frappe toujours quand je reviens de
ces longues balades dans la nature en voiture le goulag occidental et la misère
omniprésente, les gens qui parlent tout seul, les quêteux et toute la cohorte
de miséreux j’ai de la difficulté a me voir comme ceux-ci où ceux là. Je
termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine!!!
Bernard
samedi 18 juin 2016
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Aujourd’hui on va se promener en Outaouais avec le temps ça semble
moins loin. On a un petit bébé a aller voir… Je sais pas si je vous ai déjà
raconté mes visites aux exilés de la Gatineau. J’y allais parfois en train à l’époque
où y’avait un wagon restaurant c’était un bel endroit pour boire de l’alcool ça
donnait moins de courbatures que l’autobus. J’y suis même déjà allé en vélo,
deux fois une journée et demie a pédaler c’était bien, c’était le temps des
copains… Ça me rappelle cette revue Salut les copains qui parlait des vedettes
pop de l’époque que j’aimais bien lire. Je trouvais toutes sortes d’information
que je racontais justement aux copains de la mort de Claude François au mariage
de Johnny Hallyday, inutile de vous dire c’était les vedettes françaises du
temps un peu avant l’invasion du rock français, Cabrel, Higelin, Renaud,
Lavilliers,Bruel et beaucoup d’autre. La musique francophone avait retrouvé ses
lettres de noblesses on disait plus que les musiciens français savaient pas
jouer. Y’a tout mon amour pour la France là-dedans, les Trenet, Aznavour,
Montand, Nougaro, Jonaz, lors de mon premier séjour en France quand je me suis
promené en province en voiture, je croyais que j’entendrais de la vieille
musique française des familles mais non! C’était all american un peu irritant
même. Pas fort pour la musique radiophonique les français mais magnifique pour
la rénovation de leurs infrastructures. Je pense à eux présentement victimes
des inondations c’est triste, ils vont perdre beaucoup de reliques, de
documents historiques conservés dans les caves… Je vous écris de Montréal, dans
le goulag occidental, les bars sont encore ouvert y’en a qui vont s’amuser. J’ai
déjà eu du plaisir comme ça avant que l’alcool ne devienne un esclavage. Je
sais pas pourquoi mon inconscient me ramène toujours à la bibine comme le père
d’Achille Talon, ça aussi la bande dessinée française j’aimais bien. J’ai
appris a lire avec ça mes héros préférés y étaient, Le magazine Tintin le
souvenir remonte c’est touchant, le journal de Mickey récupéré chez Emmaüs,
Spirou, Pilote, Charlie mensuel et plus tard Hara-Kiri. Je peux pas dire que la
France m’a rien apporté, c’est ma langue maternelle et j’y tiens, y’avait aussi
les revues Best et Rock’n’Folk. Je ne sais pas si Montréal est toujours la
deuxième plus grande ville française au monde, je regrette un peu qu’ils
appliquent pas la loi sur l’affichage. J’écris tout de même pas en chinois. Mes
psychoses se passaient en lisant les dictionnaires français, y’a longtemps que
je l’ai pas fait et je suis plus tellement capable d’écouter la télévision en
anglais. Je regarde France Direct et RDI. Les actualités ça me regarde même si
la France est pas ma voisine, j’aime bien TV5 aussi. Dans les bandes dessinées
j’ai oublié le journal « communiste » Pif-Gadget. Toutes ces années à
lire je continue… Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! Je vous
dis au revoir!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Au présent
Bonjour!
Bonsoir! Aujourd’hui je me sent mieux, c’est l’été à la télé ils parlent des
chiens moi je crois que c’est comme les armes à feu, c’est pas le chien c’est
le maître. Je regarde dehors . Je prends mon temps pour vous dire… Vous dire
quoi justement? Cet après-midi comme souvent je suis seul, j’ai cherché l’image
qui accompagnera ce bout de texte. La télé diffuse dans le vide… Hier soir j’ai
passé un mauvais moment, je pense à une amie… Le climatiseur est bien pratique
dans ces chaleurs. Ai trouvé une photo, fermé la télé, ça m’occupe tout ce
temps là… « Quand je pense à la mer et à l’orage ce jour là »-Daniel
Lavoie. C’est la ville mais je pense au camping à cette façon de se tenir
tranquille avec de la lecture, une tente sur le sable, un terrain en pente et
un matelas de foam… J’aimais aussi ces salles de danse sur le terrain, j’y
allais le jour le soir je dormais j’étais trop jeune. C’est loin tout ça, je
pense aux enfants de ma nièce qui vont peut-être revivre des choses semblables
le contact avec la nature. Pour l’instant je suis toujours dans le goulag
occidental, l’oppression urbaine, un rien éclate et c’est l’émeute je vous
avouerai que j’ai peur des foules. Je suis un peu trop vieux pour ce genre de
chose. Je pense que le camping dont je me souviens le plus c’est le camping
Kelly sans parler de cette mémorable tournée de la province en passant par l’Abitibi
jusqu’à Chibougamau pour redescendre au Lac Saint-Jean, à l’époque y’avait pas
beaucoup de gens qui faisaient du camping. Nostalgie! Plus tard la ville m’a
avalée j’étais toujours avec des gars et je me cherchais une blonde j’en ai
jamais trouvé c’est venu plus tard et j’étais très malheureux. Je réfléchis c’est
des confidences que je vous fais, l’amour! L’amour! L’amour! Comment vivre ça?
Y’a plusieurs sortes d’amour dirais le curé… Je vous écris ça et je me fait
mal, une douleur abdominale comme si je me rentrais dedans parce que je suis
seul et que maintenant je vie des vrais valeurs. Lentement, lentement Montréal
tu m’avale et je m’empale, je suis pâle et je râle, ça fait mal, ça fait mal
tout s’étale et encore je râle, je râle, c’est sale, c’est sale comme une balle
dans la tale d’une épave à fond de cale, et je m’en jetais dans la dalle mon cœur
se soulevait comme une galle dans les halles en pensant à Pigalle, mais non c’est
Montréal ses femmes et leurs châles. La Médine du chitral. Tout ça c’est
instrumental écoute je suis mâle et je cherche l’animale. Les rimes comme ça,
ça mène à rien c’est une vieille façon d’écrire faute de dire. Je vais essayer
de terminer de belles façon, je sais pas pourquoi je pense à mon bôf que je
vais voir demain. Voilà! Merci de m’avoir lu jusque’ là!!! À la prochaine j’espère!!!
Ciao!
Bernard
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Cette semaine j’ai été heureux d’avoir une journée de deux cents hits
sur mon blog. Là ce matin je dors debout. J’ai hâte d’avoir des nouvelles
de la douce amie aphasique… Y’a une voix qui me dis va te coucher l’autre écris
me suis couché y’avait plein d’histoires qui me montaient à la tête une fois
debout elles sont disparues. Je mange des biscuits feuilles d’érable me semble
qu’il y a longtemps que j’ai pas eu une nuit de sommeil. Ai démarré le
climatiseur. Comment je me sens? Tout simplement endormis et j’ai pas d’endroit
a fréquenter la nuit, hier j’ai reçu un courriel frauduleux J’en ai envoyé une copie à ma caisse et je l’ai détruis. Je
pense à l’ami qui veux s’établir sur une île en périphérie de Montréal, je
crois pas que ce soit possible les agents de la faune le laisseront pas faire.
Je l’invite à me contacter… Ça a pas de maudit bon sens je me réveille
lentement toujours avec le flow santé mentale c’est comme si je travaillais
vingt quatre heures sur vingt quatre… Je salut l’amie coordonnatrice en santé
mentale qui prends sa retraite. J’ai hâte de partir pour Washington, écrire et
prendre des images de la capitale américaine. Je pense à la photo qui va
illustrer ce blog, celui-ci que vous lisez présentement. Je vais probablement
utilisez une photo de New-York… Je pense à ce voyage organisé j’étais quand
même bien dans ma chambre d’hôtel. Je vous écris les doigts dans le nombril en
me demandant si c’est épistolaire… Ça se bouscule dans ma tête contrairement à
avant j’écris pas tout ce qui y passe… Comme un gros lard je me flatte la
bedaine en pensant à Bukowsky. Ma folie est pas ordinaire c’est la maladie ça
me disqualifie pour les contes. Je vois le bar miteux d’ici la jeune
strip-teaseuse qui fait la barmaid, les coquerelles qui se promènent sur le
bar, le vide de cet endroit qui a surement déjà vécu de bons moments. Je
reviens encore à ma thématique alcoolique… L’angoisse est plus tellement
présente comment vous écrire? J’ai des brûlements d’estomac, je parlais de la
publicité avec un ami à comment ça me touchait pas je crois que je l’ai blessé
malgré tout on est tous des clients potentiels le gars disait « There’s a
sucker born every day » où à peux près. Je suis somnambule je peux me
réveiller en train de fouiller dans des boîtes, ça vous dis quand même pas
comment je me sent, j’espère que ça transparait dans le texte. La photo ce
seras celle du hall de la gare de New-York, y’a pas a se gêner parce qu’on
parle pas trop l’anglais, je pense à la serveuse de la brasserie qui me donnait
du honey gros comme le bras. Parfois c’est positif ce que j’entends des commis
et des serveuses. Je termine donc sur une note positive en vous remerciant d’avoir
lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
vendredi 17 juin 2016
Au présent
Bonjour! Bonsoir! Les motards se paient la traite, il
fait très beau… J’ai plus rien a écrire pourtant, je me souviens que je
niaisait au parc des Canards à Terrebonne. À midi je voyais les employés de
chez Moodys rentré chez eux pour le dîner. Les gars retiraient leurs assurances
chômages et faisaient le tour de la ville en moto. Moi j’ai vécu de l’aide d’assistance
de toute sorte je me souviens avoir été incapable de m’acheter du papier
hygiénique, c’est des mauvais souvenirs. À une époque y’avait des projets
fédéraux du nom de Perspective Jeunesse, des emplois d’été pour les jeunes ça a
fait un temps ensuite je suis passé aux programmes de subventions a l’emploi du
gouvernement fédéral ça a jamais rien donné. Je suis loin de mon senti avec ça
c’est très administratif, je vous écris juste des affaires de grand bum… J’ai
quand même finis par atterrir par me faire un chez moi. Dans le ciel y’a des
cumulus, j’ai mangé tous mes bonbons… Quand j’étais sur le chômage je téléphonais
à leur bureau à tous les deux mercredi pour savoir si ils avaient posté le
chèque. Rien de glorieux, un chèque à toute les deux semaines c’est mieux qu’un
par mois. Je suis jamais arrivé à m’entendre avec un employeur, je finissais
toujours par prendre la porte, parfois l’entreprise fermait tout simplement.
Dans le goulag occidental y’a tellement de circulation, je vais dire comme le
bonhomme, « qu’est-ce qu’ils font ils travaillent pas! ». Cette
température là ça donne un break aux itinérants, ils peuvent rester dehors sans
geler certains essayent de trouver de l’argent pour une bouteille, pour de la
bière qui va les calmer momentanément moi à l’époque je me calmais avec du vin,
ça bois et ça rêve de motos de grosses cylindrées de Harley pourtant plusieurs
ont de la difficulté a tenir debout et son trop endetté pour boire et se payer
un loyer. La hiérarchie chez les motards
commence par les japonaises et quand on a gradué c’est les grosses américaines
et parfois des choppers. La voisine, je reviens toujours avec elle, se promène
sur la passerelle elle passe devant chez moi comme si c’était chez elle. Pour l’instant
je me sens bien, je pense aux copains du temps, à un employeur pour qui je
faisais le ménage après qu’ils aient installé de nouvelles portes et de
nouvelles fenêtres, il est surement à sa retraite. La job c’était parfois de
monter des portes patio au troisième étages c’était lourd. Laissez-moi vous
dire qu’il y avait pas vraiment de place pour le senti, pour l’émotion, c’était
juste la force des bras, il a finis par me remplacer avec le temps passé je
trouve que c’est mieux comme ça. Je vous défile ça, ça ressemble à un
documentaire, une énumération des différentes jobs que j’ai occupé sans parler
des loisirs à la brasserie avec les motards. Je termine comme ça avec quelques
mots pour vous remercier d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine J’espère!!!
Bernard
Au présent
Bonsoir!
Bonjour! Depuis longtemps je suis entouré d’artistes, danseuses, chanteuses,
comédiens, comédiennes. Peintres, écrivains qui réussissent plus où moins quand
ils réussissent ils restent pas longtemps dans mon décor… Moi je persévère dans
l’écriture, l’écriture du bas de la ville du goulag occidental. Ce matin je
croyais pas être déjà vendredi… Je prends mon temps pour vous écrire, j’ai
redémarré le climatiseur… Ai vu l’annonce de Louis Janelle Bluesman, il joue à
l’escalier ai pas pu m’empêcher de pensé à l’incendie du Gargantua et tous ces
morts y’a longtemps. http://ville.montreal.qc.ca/sim/histoire/incendie-au-bar-gargantua Allez y quand même voir le show, moi je suis
trop vieux, le blues je l’ai y part plus http://www.louisjanelle.com/musique.html Ces gars là ils étaient encore dans leurs
couches je me promenais de bar en blues… J’en suis sortis de cet univers de
blues alcoolique, je vous en parle souvent c’est comme si j’avais connus que
ça, je sais pas si y’en a qui se rappellent Uncle Charlie c’était un bassiste
que j’aimais bien entendre… Pour m’en sortir j’ai du cesser de boire et ne plus
fréquenter les clubs. Maintenant je reste chez moi et je suis moins déprimé n’empêche
je regrette tout ce temps perdus a assister à des shows. Je pense que je vais
mettre la photo d’un autre bazou du voisinage, le blues ça se vie souvent en
voiture dans les temps gris, le blues gris ça vous fait pas rire? Combien de
fois l’été arrivé on a entendu Summertime de Ghershwin https://www.youtube.com/watch?v=u2bigf337aU on s’y croyais vraiment dans le sud profond
et torride des U.S.A. Y’a quelqu’un qui me souhaitait du bonheur dans le moment
présent c’est ce que j’essais de faire… N’empêche lundi je dois me rendre à
Laval et je pense à l’ami qui veux aller coloniser les ilots près de Montréal.
Parfois je me demande pourquoi la vie est si dure avec certain et moins avec d’autre
je crois que c’est une question d’apprentissage. Y’a l’émission de radio Folie
Douce http://radiocentreville.com/wp/304-2/ qui je crois aurais besoin d’un bon coup de
balai, ça fait vingt cinq ans de
production sur la santé mentale. « Je suis un nègre blanc aigre doux »-Stephen
Faulkner. Après avoir gaspillé sa paye dans l’alcool et la drogue il est sortis
dehors d’une démarche vacillante, trop tard plus d’autobus reste qu’a s’asseoir
et attendre le bus de nuit, c’est long et l’alcool m’a endormis je vais m’étendre
mais pas ici. Je me souviens être entré chez des inconnus sans savoir ce que je
faisait là. Cette nuit j’ai pas une très belle tonalité dans mon écriture. Je
vous ai pas parlé de mon senti, je sais pas si je peux écrire qu’il est
éclectique. Je mélange les personnes je passe de la troisième personne du
singulier à la première. Je pense trop, c’est d’écrire qu’il s’agit pas de
penser. J’arrive presque à la la fin, vingt cinq mots pour une conclusion qui a
de l’allure. J’arrête donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la
prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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