dimanche 12 juin 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Semble qu’on en a pas finis avec la cruauté et la connerie encore un carnage aux U.S.A. Je regardais le reportage et j’ai pleuré. Je prie pour toutes les familles des victimes elles avaient le droit de vivre… Ce soir j’ai de la difficulté à écrire. La difficulté de pensés à mon monde intérieur… Je regarde tout ce qui se passe dans le monde comme si on voulait m’empêcher de vivre, religion orientation sexuelle y’a des radicaux qui veulent qu’on sois tous pareil. Je suis pas un rédacteur d’essai, je préfère la prose libre avec un peu de poésie. Je suis pas a rédigé mon examen de BAC de philosophie… Ai regardé les actualités françaises un reportage sur les Hooligans et l’Euro, ils sont tous saouls et se tapent sur la gueule. Parfois je suis fatigué de voir cette violence. Je reviens à mon sentis ce soir c’est gris et j’ai la peur des terroristes maudits, la question que je me pose ça donne quoi toute cette violence? Les terroristes ont certainement pas une grande estime d’eux même, les hooligans pas plus d’ailleurs.  Je rédige encore ce soir, la tête pleine de questions de nos jours y’a plus de grandes causes, je sais pas comment dire l’abus de démocratie, ils ne respectent pas les règles… Je me replie sur des prières des souhaits de bonheur pour tout le monde, mais semble que ça existe pas des terroristes heureux. Je devrais me fermer la gueule tout ça c’est loin de mon sentis, j’ai peur… Je pense aux chauffeurs d’autobus ce lecteur de Mascouche et cet autre retraité de la STM, ils doivent en voir de drôle. Cette semaine je crois que j’ai des réunions qui se chevauchent, je vais voir demain ce que je fais avec ça. Ça me serre dans l’estomac c’est l’angoisse heureusement ça monte pas jusque dans la tête… Je vous écris ça et je dors debout, je veux exprimer mon échouerie, les récifs qui font de moi une espèce d’épave, j’ai envie de me mordre la main une douleur qui ferait que je me sens vivant, mais non! Je me cognerai pas dans le front avec le marteau ce serait trop beau et rigolo. J’ai donc dis je rédige, je dis donc je m’érige… Je fait pas le tri dans ce que je vous fait lire, quand je suis bouleversé comme ce soir c’est jamais aussi bon, aussi intéressant, j’implore votre indulgence… J’ai des brûlements d’estomac je sais ça vous intéresse pas mes petits bobos, « Je reste dans un vieux char qui rouille en Amérique du Nord »-Pierre Harel. Ce vieux char là je l’ai abandonné y’a longtemps à Baie-Comeau sur la côte nord, à cette époque j’étais victime de la folie schizophrénique, je me souviens plus comment j’étais revenus à Montréal. Il faisait à peu près la même température qu’aujourd’hui, déprimant. Bon! C’est assez pour ce soir je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 11 juin 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est étrange comment les artistes techniciens semblent être plus artistes que moi. On me montre de grands peintres qui semblent me dire ferme ta gueule comme si écrire ça allais de soi. Elle est là la difficulté dans la façon d’écrire, je me dis souvent tout le monde est capable de faire ça… J’ai sortis le pot d’eau du frigo… Je suis un bon à rien, c’est pas facile de l’avouer, parfois j’ai envie d’en finir. Quand on écrit ça c’est difficile de continuer c’est une difficulté de plus… J’ai deux activités la même journée j’espère qu’il y en a une le matin et l’autre l’après-midi, ce serait bien. Ai commencé la lecture d’un document sur l’agrément, c’est important ils semblent tenir en compte l’avis de l’usager… Dehors dans le parc des enfants jouent au soccer. Me semble toujours que mes vieux textes sont meilleurs que les plus récents. Je trouve toujours a m’occuper pourtant j’essaye de laisser aller.  J’ai mangé… Je suis un peu jaloux de ma nièce et de de son chum qui sont partis en camping… Me souviens d’un camping à Kamouraska on était arrêté chercher du bois sec dans une ferme, dans la grange d’un monsieur qui avait été très gentil on avait discuté un peu, il avait une collection de casquettes. Me suis étendus ai j’ai dormis, rêvé que j’étais retombé en enfance avec la matriarche qui donnait des ordres d’un ton sec. Nous étions dans le grand logement de Montréal-Nord où je luttais avec mon frère, c’était comme hier pourtant ça fait plus de cinquante ans. Je vais me faire un café, pense au père à la table, il nous racontait ses rêves, maintenant ça doit faire plus de cent ans, il rêvait a des gars qu’il n’avait pas vu depuis des années c’est ce qu’il disait. Je pense au lecteur de Deux-Montagnes propriétaire d’une magnifique Challenger c’est pas vraiment le temps de la sortir, dans la vie de famille à table il était assis à droite de la mère, intelligent c’est un gaucher. Ce soir je suis mélancolique c’est souvent comme ça la fin de semaine, je ne joue pas j’écris, en Angleterre ils célèbrent la reine. Comme souvent j’essais de vous décrire mon senti je me souviens qu’on m’a dis c’est pas tout le monde qui est Proust. Lentement je bois mon café pense à la fin de semaine des grands-parents avec leurs petits- enfants, bien du plaisir pour eux… Un salaud de chien grogne mais c’est pas les chiens c’est les maîtres. Redémarré le climatiseur, je me trouve niaiseux, pense à la photo qui va accompagner le texte. Quelques mots encore, une gorgée de café… Le gars disait que je suis bavard c’est possible quand j’écris mais dans la vie je parle pas beaucoup. Les femmes insensibles disaient c’est que des mots. Qu’est-ce qu’elles voulaient une claque sur la gueule? Voilà j’arrête en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 10 juin 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Lentement le soleil se couche, les journées vont continuer d’allonger jusqu’au solstice d’été le vingt et un juin. J’essais d’écrire ce blog en gardant ce que j’ai de plus intimes… Je prends mon temps tout mon temps, c’est bête j’ai confié mon expérience de cinq cents mots à quelqu’un j’aurais pas du. Comment vous raconter? Je pense aux petits enfants qui se font garder chez leur grand-mère. Je racontais à l’amie ma peur d’être abandonné quand je me faisait garder, je pleurais beaucoup. J’ai toujours été un grand braillard, pourtant la famille a jamais vraiment été brisé, loin, on est resté près, y’en a une qui nous manque mais j’espère qu’elle veille sur nous de là-haut … Mais oui je gagne ma vie faute de la perdre j’utilise souvent les mêmes formules. Je pense que je suis en train de tomber en amour, mon affect me parle il accroche dans ce que me raconte l’amie. J’ai cinquante neufs ans bientôt soixante, les petits vieux comme moi ça joue pas les jeunes amoureux torride. Le ciel est turquoise, ai discuté un peu de ma visite en Guadeloupe, c’était extraordinaire, un jeune homme sur la plage a bien vu que nous venions des pays du nord, du froid. Pour le moment on a pas a se plaindre il fait beau. Je suis un peu mêlé je discutais de La Guadeloupe avec la douce. J’ai bien aimé qu’elle nous appelle les santémentaleux. Ça vaux bien d’autre mots stigmatisants. Je cherche quoi faire pour augmenter l’estime que j’ai de moi. Je crois que faire le compte rendu de la réunion du groupe d’entraide est une façon, faire le café aussi. Ça été long mais j’ai jamais vu la mer aussi souvent… Ai dis à la douce qu’elle pouvait m’appeler quand elle voulait, et c’est vrai… Je sais on est tous occupé à nos créations, on a pas beaucoup de place pour les autres, moi ils sont tous dans ma tête… Je pense à cette bonne femme qui je crois aime pas beaucoup mon écriture elle aime pas beaucoup les écrivains mais elle se rétablie et c’est tant mieux. Je pense à cet oncle qui avais fait un ACV, un homme dur avec qui j’ai jamais pu parler… Pense au scandale des pit-bulls, des chiens assassins moi je préférerais un bouvier bernois qui me fait pleurer juste à le regarder. Ce soir je suis pas beaucoup dans mon senti, essais de lire et de vous écrire ce que j’ai dans le cœur, écrire éloigne un peu la solitude, je veux aussi dire à certains lecteurs certaines lectrices parfois vous croyez plus en moi que moi. Pour tout dire on est tous des migrants y’a longtemps que j’ai rencontré un vrai montréalais une vrai montréalaise. Je crois que ce soir y’en a quelques un qui vont profiter des terrasses. Je vous termine ça la dessus comme une faiblesse maladive. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Comme souvent je suis debout au milieu de la nuit, me suis douché et parfumé, ça fait du bien. Je pense au très inélégant restaurant du nom de À ma grosse truie chérie. Je suis jamais allé ça me fait l’effet d’un repère de motard criminel. Ce soir je veux écrire quelque chose de beau de délicat, je remercie ma lectrice retraitée du cégep de l’Outaouais pour l’envoi d’aide à la participation d’un concours littéraire je pense pas l’utiliser. Je suis incapable d’écrire pour faire plaisir à beaucoup de monde où dans un  ton bien comme il faut… Je vois pas pourquoi gagner le concours un tel m’amènerais plus de lecteurs. Je comprends pas les concours y’a de ça et je veux pas mettre une maudite cenne pour participer. Je reviens à mon monde intérieur désorganisé, semble que lorsque vous signez vos livres dans les salons y’a a peine deux ou trois personnes qui vous reconnait. On est je crois en pleine semaine du Ramadan, c’est la nuit quand j’écris ça je peux manger mais pas de porc… J’écoutais le concierge parler d’un locataire plutôt de dire qu’il est arabe il dis c’est un musulman, c’est avec une ignorance pareille que j’enrage… J’ai souvenir d’une famille dans le ferry pour la statue de la liberté, le père militaire, la femme voilée et un jeune garçon qui semblait très surpris que je l’avertisse de pas rester debout sur le siège au bord du bateau j’avais peur qu’il tombe à l’eau. Musulman, c’est comme si on vous demandait votre religion pour louer un logement. Je mange des pattes d’ours à la mélasse. Mon héros arabe préféré c’est Nadine Hodja dans le Pif gadget de la bonne époque… Cette nuit j’avance très lentement dans l’écriture, je pense aux stagiaires qui m’accompagnait pendant mon hospitalisation il semblait pas savoir quoi faire de moi. On est presque fermé bientôt ce seras le temps de rentré, ça m’a toujours étonné de voir tant de monde prendre leurs voitures à la sortie des bars. Allez! Allez! Allez! Avancez n’ayez pas peur ça va pas vous mangez, j’entends un gars qui passe sur sa planche à roulettes. Je me fais un autre café… J’ai mis l’eau à bouillir, dehors il fait froid j’ai comme un sentiment de départ. J’espère que l’amie de Terrebonne fait un beau voyage, qu’elle me donne des nouvelles… Ai parlé avec l’ami col bleu toujours de bon conseil, il croit pas que je vais me faire enlever à Washington, je suis juste un touriste. Ai finis de lire l’excellent guide du National Geographic  tout ce que j’ai besoin est là-dedans, dehors j’entends une enfant qui crie. Cette nuit je veux pas trop vous étirer ça, c’était un peu mon sentis, étrangement je suis pas anxieux, l’écran est une présence. J’y crois pas mais j’y arrive toujours je pense au cochon en plein ramadan c’est sacrilège. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

 

jeudi 9 juin 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce soir je suis plus calme, j’y vais encore avec mon senti. On a encore besoin de moi à l’institut et au CIUSSS de l’est de l’île de Montréal. J’attends des nouvelles pour la semaine prochaine. Aujourd’hui j’ai bien mangé c’est important pour mon état d’esprit. Ce soir j’écoute, j’entends rien pour le moment présent c’est dans le futur où le passé. La télé est sur RDI, ils parlent des différentes enquêtes dehors ça klaxonne, les gens sont pressés de rentrer chez eux… Je pense aux frontières d’Hochelaga-Maisonneuve disons qu’on les voie près de Viau à l’est Pierre de Coubertin au nord Notre-Dame au sud et la track à l’ouest. C’est là quelle est la misère pas dans le goulag occidental… Lentement le ciel semble vouloir devenir bleu, les pleins parlent de la formule un, moi j’écoute mon âme ce soir, je pense à mon amie danseuse qui travaille fort. C’est les Francofolies je crois dans le quartier des spectacles. Je pense que la rue Saint-Laurent est fermée, je trouve rien de mon monde intérieur qui pourrait vous intéresser. En voilà un sentiment, la culpabilité, je vais essayer de vous dire pourquoi, la culpabilité de ne plus être un travailleur juste une sorte d’artiste de poète méconnus. Quand même je fais ce que je connais le mieux écrire, hier j’ai vu une annonce pour un débaveur un métier que j’ai déjà pratiqué. Maintenant je suis trop vieux je serais plus capable de puncher à shop. J’aimerais ça vous amener quelque chose de plus léger dans ce que j’écris… Je suis lourds, pesant, plate… C’est vrai que je suis pas Fred Pellerin ni Grand Corps Malade. I’ve got no rythm… Le flot d’émotions semble pas s’installé, le poète sans nom a pas de qualité, la foi la foi il faut donner, la peur la peur pitié… C’est facile faire ça mais c’est ce qui traduit le mieux ce que je ressens. Demain je crois que je vais sortir dans le quartier hip de Montréal. Les actualités c’est tout comme si ils répétaient toujours la même chose… Le temps passe et les procès durent… Je pense que je vais trop vite, pas où plus tellement de souvenirs… Me souviens d’avoir joué au ballon-balai de m’être fait péter les dents par un gars de qui je parlais en mal de sa sœur… Le psy dirait que c’était une bonne leçon, pauvre con. J’avance lentement, les phrases sont laides. Je crois que je vais écouter le bulletin des actualités de TV5. Je peux pas avoir le génie à tous les coups. Les amis français sont dans la décrue et Paris est envahis par les rats, les éboueurs sont en grève. Je crois que je me suis rendus à Paris au bon moment y’a quelques années. Je sais pas pourquoi j’ai le mot assassinat qui me trotte dans la tête, c’est ma folie… Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! Au revoir et à bientôt!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Me revoilà déjà! C’est la nuit et j’y vois plus clair. Je pense à ce centre de crise que je visitais quand ma maladie était virulente. Je suis pas mal content j’ai pas besoin de retourner là ni à l’hôpital. J’essais de trouver la raison de cette douleur intolérable, à ce commencent d’écriture qui a eu lieu-là. Je crois qu’Émile Nelligan est mort fada dans les bâtiments de l’institut semble que lorsqu’on le visitait il récitait ses mauvais poèmes… Je crois qu’il faut être fou pour écrire de la poésie pour s’attaquer au sens du monde, lui en donner où le retirer. Maintenant nos poètes ils sont dans l’enseignement s’agis aussi de montrer le sens mais d’une façon moins radicale on a un nom pour toutes ces maladies de l’âme, on se demande si le psychiatre devrais pas nous dire laisse tomber la poésie y’en a d’autre qui l’ont fait et ça ne leurs a pas réussis pourtant le psychiatre quand je lui posais une question il me disait d’aller voir à la bibliothèque. Je sais pas si c’est parce qu’il ne savait pas où il voulait m’occuper. Ouais! Je trouve pas qui a créé les jeux d’eau du parc le Vaisseau d’or près de l’institut, ça semble pas important pourtant celui qui a inspiré cette œuvre est mort dans l’édifice tout près. Je vous reviens avec cette histoire de Nelligan qu’on avait peur de nous enseigner parce qu’on voulais pas qu’on devienne romantique mélancolique pas traitable comme lui. Je sais pas si Émile étais dans le sentis quand il a écris le vaisseau d’or si ça aidé à la création. Fallait qu’il ais un brin de lucidité… Je pense au profond désarroi que j’ai connus à un moment j’appelais les lignes d’aide et j’écrivais des poèmes digne des plus mauvaises opérettes… Ce que j’ai toujours trouvé c’est comment en crise on laisse entré n’importe qui chez soi même les travailleurs sociaux des centre de crise… Bientôt les enfants vont s’amuser dans les jeux d’eau, j’ai beau chercher je trouve pas qui a créé ce jeux d’eau. Dehors quelques passants qui ne savent pas où pieuter pour la fin de la nuit. Je reviens toujours à tous ceux-là qui n’ont plus rien, au vol de ma tablette électronique dans un café… Je vais revenir à mon senti, il y avait les impressionnistes qui donnait l’impression, moi je suis un sentimental j’écris sur mon senti de mental. Je commence une nouvelle aventure « Tu n’étais seulement qu’une aventure sur mon cœur de pierre une égratignure »-Gerry Boulet. Étrangement même si c’est pas chaud j’entends des climatiseurs. Dans ma jeunesse on ne m’a pas laissé faire, je voulais écrire mon prénom avec un soupçon d’exotisme je voulais écrire Bernhard mais le prof sans trop insisté a réussis a me faire changer d’idée. J’aime bien l’idée d’avoir un vrai prénom français.  Ça va être tout pour ce matin. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 8 juin 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Petit temps gris comme il y en a souvent ces temps-ci de l’année. Ça commence pas très fort ce soir, la pluie et le beau temps c’est quand on a rien a dire. Je pense au lecteur de Hull qui travaille à Ottawa, est-ce qu’il a vu le trou? À Montréal on a des nids poules dans la capitale fédérales c’est des nids de dinosaure. Je mange trop de sucré et trop de pain ça m’endort. Pour ceux qui ont lu les blogs précédents disons que je me suis calmé. Ce soir j’ai fermé la télé… J’ai moins mal je suis moins perdus je suis allé à la pharmacie avec l’intervenante, ai photographié une Citroën que mon lecteur amateur de voitures de Deux-Montagnes va surement apprécier. Je voulais pas vous en parler mais j’ai été victime d’une tentative de fraude par des inconnus unilingue anglais qui disait travailler pour Revenu Canada. J’ai vérifié en téléphonant au vrai bureau, comme c’est l’habitude ils m’ont parlé français et m’ont donné leur nom et numéro d’employé, on a vérifié le numéro de téléphone où je devais rappeler ça appartiens pas à Revenu Canada. Bon! Ça finis là… Je sais bien qu’écrire comme ça ça donne de la prise à plein de gens… Je pense à l’amie danseuse qui s’entraîne à tous les jours, c’est un peu ce que j’essais avec l’écriture garder une espèce de forme intellectuelle sans parler de ces longues marches que je fais parfois. Comment vous dire, comment vous écrire, les yeux me ferment … Voilà c’est la différence avec un livre c’est toujours assez difficile de rejoindre l’auteur contrairement au blog où le contact peux se faire à l’instant et parfois par des gens malveillant. De retour chez moi je sais pas pourquoi les gens cognent les portes, ça m’énerve… Mercredi y’en a qui reçoivent leurs paye et vont faire leurs paiement d’autre vont la gaspiller dans les paradis artificiels. Bon! Bon! Bon! Je vais prendre une autre direction, je reviens trop souvent sur ce sujet là. La matriarche viens de me téléphoner on a parlé du temps qu’il fait et du guide alimentaire canadien qui nous énerve, on s’est entendu pour dire qu’une bonne alimentation c’est dans la variété de ce qu’on mange… Pis! D’une façon où d’une autre y’en a qui sont fait pour la santé d’autre pour la maladie, moi pour le moment je suis pas malade à part le mental, mais personne veux entendre parler de ça la maladie mentale, bein non! Les fous sont plus tous à l’asile. J’espère que l’amie va me téléphoner, je sais qu’elle est très occupée et je veux pas lui raconter mes niaiseries ma folie… J’ai plus de souvenirs je l’écris souvent quand il fait ce temps-là ça me rend triste. Les gars racontaient que les écrivains ce sont de beaux chiens sales… C’est possible. Me voilà à la fin comme souvent j’ai manqué d’inspiration. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard