mardi 31 mai 2016

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui on a une pensée pour nos amis français inondés, je l’aime bien La France je pensais même retourner à Paris mais je pense qu’il y a trop d’agitation sociale de grèves. Je regarde quand même le journal de TV5 et ça me donne des flashbacks. J’ai eu la chance cet après-midi de prendre un café avec une chorégraphe amie, c’était bien quoi d’autre pour vous remonter le moral que la compagnie d’une jolie femme. Même la Seine à Paris est en crue, ici c’est sec et grand soleil… Juin qui arrive, les enfants vont terminer l’école. Je me rappelle que le soir je jouais sur l’asphalte coin Saint-Vital et Monselet à Montréal-Nord c’était devant la pharmacie qui n’y est plus . Récemment je suis allé faire un tour dans ce coin là c’est terrible comment les distances diminuent à l’âge adulte… Étrangement comme souvent je pense à ma rue préféré de Paris la rue Mouffetard, j’y retournerai… Je cherche ce que ça me dis au fond de mon âme, je sais vous devez me trouver barjo d’écrire ça à tous les jours mais on m’a dit que c’était bon pour ma santé mentale d’écrire… Ce soir dehors y’avait beaucoup de policiers, contrôle routier moi j’ai pas besoin de permis pour porter mes chaussures si vous voulez les essayer vous avez qu’a demandé vous marcherez pas un kilomètre. J’écris ça pour pas être jugé pourtant l’écriture ne demande que ça un jugement de valeurs. Je racontais a l’amie comment c’était dans cette petite chambre rue Lucien L’allier, l’enfer je vous dis l’enfer, la comparaison est comme si je vivais maintenant dans un château. Je veux pas déménager même pour l’amie chorégraphe… Je suis toujours étonné quand je rencontre de nouvelles personnes comment elles ont beaucoup de voyages beaucoup de vécu, moi j’ai passé une grande partie de ma vie dans les bas-fonds de Montréal, les copains quittaient et moi je paranoiais en fait j’avais vraiment peur, je fuyais je me cachais, maintenant on me fera pas bouger d’ici sauf peut-être pour des vacances à Paname, j’oublie que l’amie c’est moi qui l’ai invité, y’a pas de complot du moins je crois pas. Je pense à Yves Duteuil à sa chanson « la langue de chez nous ». Je sens parfois qu’on veut me pousser à la porte de chez nous. « Knock, knock on heavens door »-Bob Dylan. J’ai je crois plein de choses à vous écrire, je fait le tri les synapses et les neurones se promènent, déjà elles sont moins agitées quand j’abuse pas du café. C’est assez étonnant comment je me donne de délais pour vous écrire ça après j’irai dans le cahier… Encore quelques mots on est pas à Matignon plutôt dans le goulag occidental un endroit très francophones fréquenté par quelques rockers de l’ouest du pays. Même si vous n’aimez pas ça je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

 

 

 

 

lundi 30 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive d’une soirée au resto en l’honneur de mon amie psychologue. C’était bien, plein de gentilles personnes. Y’a juste une chose j’ai oublié de payer mon addition pourtant la lasagne était succulente et c’étais pas trop cher. Le restaurant s’appelle les cabotins c’est dans l’est dans HoMa sur Sainte-Catherine juste un peu à l’ouest de Viau. Ce soir je pense à tout ce monde qui travaille dans le système, système que le gouvernement a par ailleurs changés et dont je crois que la santé mentale est devenue le parent pauvre…  Je crois que l’amie psychologue quand elle était à la direction mettait la personne en premier avec le concept de pleine citoyenneté… Je lui redis merci et je m’en vais vers mon senti, je suis, je crois honnête c’est important pour moi, il y va de ma santé mentale, c’est la soirée, avant de partir j’ai discuté un peu avec mon amie des communications, elle m’a fait de beaux compliments ça va bien avec mon idée de cesser de m’auto-dénigrer. Je crois que l’institut étais partis dans une bonne direction, j’ai été privilégié d’assister à des moments historiques pour la pleine citoyenneté. Évidemment qu’il y a quelque chose après le rétablissement, un cabaret poétique par exemple qui n’aurais pas vue le jour n’eut été du support de l’amie. Comment je me sens ce soir? Je suis heureux d’être chez moi, heureux tout simplement et pourquoi pas? Je me suis pris à essayer d’expliquer une de mes hallucinations fréquentes, en anglais ont dit delusion, je crois le mot meilleur, c’est vrai que c’est un peu comme tout le monde mais c’est plus intense ce sentiment d’être envahis par quelqu’un qui déplace les objets. Le mieux c’est d’en rire… Je pense à la directrice du TNM une autre personne que j’apprécie. C’est vrai derrière la technologie y’a toujours l’être humain, c’est pour ça que j’écris sur le blog pour qu’il ait plus d’humanité, qu’il y ait plus d’humanité sur le web… J’espère que la lecture va toujours rester vivante. Je pense à mon beauf qui est grand-père une quatrième fois et à son fils qui est heureux comme un roi d’être père, je leurs dis bravo! Le climatiseur fonctionne très bien… Il a fait chaud comme en été pourtant c’est encore le printemps… Maintenant on m’invite dans des soirées qui ont du sens, ça aussi c’est une chose qui me fait réfléchir. Effectivement je réfléchis et j’attends que ça monte. J’ai parlé un peu jazz avec le directeur des communications. Ascenseur pour l’échafaud et Kind of blue de Miles Davis un grand créateur, le jazz a évolué mais ces deux disques restent très actuel, ils vieillissent bien. Je trouve pas qui avait le pouce en l’air et comme toujours je cherche le nom de cette fleur, la lavande ça sent tellement bon. Je vais terminer comme à mon habitude en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt, encore six mots, arrivederci, ciao!!!

Bernard

dimanche 29 mai 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’arrive pas a me décider à vous écrire, c’est dimanche j’ai lu mon guide sur Washington, ai regardé sur la toile le trajet entre l’aéroport et l’hôtel. Tout est calme, demain j’ai une journée d’information sur la toxicomanie… Y’a des gars qui jouent au foot dans le parc, je cherche un chemin vers une nouvelle thématique mais il s’agit toujours de moi et de mon senti… J’ai eu des dimanches beaucoup plus tristes que celui-ci, l’ébriété était toujours là, ça coutais cher me demandez pas pourquoi, l’alcool on la donne pas. J’ai été heureux d’apprendre que les barmaids étaient pas là pour discuter mais vendre de la « boèsson ». J’y arrive pas, c’est omniprésent cette présence alcoolique.  Avec une puissance supérieure je devrais pas me sentir si seul, je suis heureux d’être chez moi de pas sentir ce besoin de substances. Y’avait ce désir de mort dans ma consommation j’étais et je reste suicidaire mais c’est moins présent je me place pas en danger, je crois que je me rétablis. Je crois que j’ai pas mal fait le tour de tout ça, je vous l’écris vaux mieux que vous le sachiez. Quelle mauvaise conjugaison! Je vous ai pas beaucoup écris sur cette expérience de Cabaret Poétique, c’était du travail mais ça été magique, on m’aurait dis que des textes que j’ai écris serais joué au TNM je l’aurais pas cru. J’arrête là mon propos je vous l’ai déjà écrit. Je sais pas comment me placer pour écrire du vraiment neuf. La muse est silencieuse, muette c’est plus qu’être zen, c’est ça je crois qui me manque une femme inspirante… Je cruise pas sur le blog c’est pas le bon endroit c’est trop virtuel quand même la télé nous envoie consulter sur internet et eux sont incapable de diffuser. Avec les réseaux sociaux on peut réagir tout de suite et créer quelques choses. Je vous envoie mon inspiration quotidienne c’est difficile, je pense au bébé qui est déjà sur la toile, je suis venu au monde et c’est tout juste si la télé existais, les enfants grandiront avec l’informatique. Je règle le climatiseur pense à tous ces chanceux qui ont une piscine, j’entends un skateboard qui passe. Je réfléchis, je réfléchis veux pas écrire trop d’idiotie pas de musique, pas de bruit, j’arrive pas à ce qui suit, difficile pas permis et je rie je rie toi tu souris pourtant j’ai toujours dis j’ai pas le sens de l’humour, c’est pas drôle ce que j’écris. Il manque je ne sais quoi pour le beat, j’aurai essayé, « This is not street » je veux atteindre le peak sans que ça prenne une week. C’est pas fort c’est weak… Rentre où sort dis moi que t’est pas mort, mon hip-hop est dehors, c’est raté comme poésie je l’aurai quand même écris à vous de lire d’avoir de l’esprit. Je termine donc ici en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 28 mai 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Suis finalement debout, me croyais lundi mais c’est que dimanche. Hier j’ai réparé le bouton à la taille d’un pantalon, ça tiens… On économise jamais assez sur les petites choses, il est une heure du matin. Je pense à Christine Angot à l’autofiction, c’est un peu ce que j’essais de faire avec ce blog ça me gêne de le dire mais je crois que c’est de la littérature authentique, véritable, j’ai pas de place pour les dentelles du mensonge. Parfois j’attends que se précipite quelques mots, mais non je ne changerai pas l’humanité c’est juste une écriture du soigné, une  sorte de « guérison » de libération… Mon blog c’est ma tribune, je sais que je pratique pas un genre littéraire accepté. Quand je l’écris je vois pas le temps passés. Je reviens avec la poète Josée Yvon qui disait qu’il fallait tout dire. Je me répète souvent… Non! C’est pas une écriture de femme si y’a quelques choses c’est probablement la plus virile des écritures celle qui permet de devenir un vrai homme, je vais l’écrire même si ça vous intéresse pas j’ai des démangeaisons rectales, c’est fatigant… Je crois toujours que quand j’en suis à mon monde intime les choses vont changer… Je peux pas écrire le brou-ha-ha de la nuit y’en à pas. Je me tiens loin des intoxiqués de tout acabit. C’est calme dans l’édifice, hier matin j’ai croisé deux motards avec des casques allemands sur de vieux choppers Harley Davidson ça pétaradait, des motos où la production était pas fiable. La mécanique toujours à refaire. Cette nuit j’entends une voiture ronronner, je pense à la Challenger de mon lecteur de Deux-Montagnes un beau bolide. J’écoute ce qui se passe en moi, pas de discours juste des mots épars que j’écris, qui me disent de continuer a écrire. C’est une tragi-comédie ce que j’écris. J’ai oublié de remercier la directrice du TNM pour avoir mis en scène mon texte. Si jamais elle me lis où que vous la connaissez faite lui part de mes remerciements. Non j’élague pas la réalité le permet pas, mon corps crie la nuit, je cherche pas la porte de sortie. Tout-à-coup je m’arrête me relis pense à la poésie qui n’est pas ici. Je pli, je pli devant les mots maudits, mes actions de tout acabit. Tout ce que je fait c’est pour écrire parfois chasser le mal¸ la douleur, l’ennuis… Y’a rien de construit dans ma tête c’est comme un maëlstrom de mots, la folie qui essais de s’organiser. Lentement j’avance en pensant au regretté Gaston Miron et à son Homme rapaillé, c’étais lui, moi je suis l’homme pété, éclaté, séparé. Comme toujours… Finale sans dessus dessous, une dernière petite pensée pour le goulag occidental, la nuit les gars passent en parlant tout seul… Je me sent toujours bien quand je vous en ai écris un, c’est pas magique s’agit de le faire. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’en commence un autre pour mon public en délire où bien c’est moi qui délire?  Avec le climatiseur c’est plus confortable. J’ai beaucoup aimé l’émission Thalassa sur les vacances et la suivante À pleine dents avec Gérard Depardieu ça donne juste envie de manger la charcuterie provenant de cette race de cochon basque. Ai baissé d’un degré la température, ça fait à peine deux heure que j’ai dormis et là je suis debout à vous écrire ceci… Je vais peut-être me rendre dans une exposition de sculptures au jardin botanique. Je veux aussi prendre des photos ce matin. J’ai aussi appris qu’on nomme taon le même insecte qu’ici me souviens des terreurs de ma mère et mes sœurs  quand y’en avait un dans les parages. Je vous quitte pour quelques instants je vais essayer de dormir et puis non… Ai dormis ,je sais pas trop quoi vous raconter, c’est ça le défi. J’ai pas de gens a interviewer, ça reviens toujours au même l’exploration de mon  intérieur. Après ça je crois que je vais marcher, bloqué je suis bloqué j’arrive pas a trouver quoi vous écrire c’est rare curieusement je pense à la toxicomanie ce désir que j’ai de pas retourner dans ces mondes là.  Je me construis j’ai arrêté de me débâtir parfois c’est douloureux mais j’y arrive un jour à la fois… Je pense à cet îlot où on servait la draught à la brasserie, la bière pression. Avant mon rituel du samedi c’était à la taverne de l’hôtel Central ça n’existe plus… Je suis un concombre ça les a bien fait rire que je dise ça, j’ai dit que je préférais les pickels dans le vinaigre. Je crois que je vais me rendre sur le plateau pour quelques photos. Je veux nécessairement vous parler de mon sentis, le matin c’est bien de ce côté-là, je me prépare un autre café. J’ai pas pris mon petit déjeuner, je cherche un être extraordinaire de qui vous parler, j’en trouve pas pourtant y’a plein de gens qui font des choses magnifiques. C’est pas bon ce que je vous écris aujourd’hui. J’ai lu un court article sur l’auto-fiction semble que ça a pas de bon sens d’écrire comme ça, on aime pas beaucoup lire le monde intérieur des gens, toujours, toujours la même chose mon manque d’imagination, la croyance que toute les histoires ont été écrites, sauf la mienne ma vision égocentrique. « Oui mais tout ça ça se passe quelque part dans l’espace, sur une boule qui roule dans l’infinis »-Daniel Lavoie. C’est ensoleillé le ciel est bleu, j’essais de terminer cette niaiserie et j’y vais… Le matin après le sommeil on est reposé y’a donc moins de place pour s’agiter, la journée est pas commencée on la prépare. J’essais de vous terminer ça en beauté encore quelques mots sur cette âme qui règne au froid. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là, j’arrive pas a vous terminer ça comme du monde, à la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 27 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ouais fait pas mal chaud, y’a une veille d’orages violents. Ai installé le climatiseur vite fait, ça rafraichis le studio de quelques degré. Je suis allé faire quelques courses je suis épuisé… La voisine marche sur la passerelle comme dans une wing de prison. Dehors y’a des éclairs et du tonnerre… Je crois que je vous en ai écris deux hier, me souviens plus… Ai acheté du rôti de porc frais à l’ail tout pour me boucher les artères, la télé diffuse les actualités… Ils ont ouvert le chalet en fin de semaine passée, ce week-end ils vont essayer d’en profiter mais il y a toujours quelques choses a faire quand c’est pas la visite qui se présente sans avertir. Je vais me faire un café. J’aime beaucoup les publicités de Woods à la télé, ça donne envie de marcher dans le bois, dehors y’a le vent. Dans l’autobus les gens s’engueulaient, un vieux bonhomme la langue sale qui parle de ses couilles et des designers de bus, y’a aussi Linkln qui m’offre des jobs sur mesure je sais pas où ils prennent leurs renseignements, comptables! C’étais mon père c’est pas moi, j’ai toujours dis que je sais pas compter. La matriarche viens de me téléphoner, on se parle on se rassure de s’entendre c’est bien. Ce midi me suis rendus à l’institut ai rencontré du beau et du bon monde, on m’a parlé du cabaret poétique, la jeune fille a trouvé ça émouvant. Lentement j’avance au travers des mots qui se garrochent dans ma tête. Je pense aux « vrais »  écrivains eux qui sont publiés dans de vrais livres dans des maisons d’éditions avec des directeurs de collections et qui parfois écrivent à quatre mains et à je ne sais combien de langues. J’écoute distraitement la télé, y’a rien de bien intéressant… À propos c’est toujours de savoir comment je me sent, je sais pas si la police de Toronto a eu affaire avec des psychotiques de la marihuana ils sont descendus dans des pot shops et on saisis bien du stock moi je trouve que c’est tant mieux. « Mais nous on fabrique des bombes de plus en plus de bombes on peux en tuer des millions à la ronde »-Michel Pagliaro. Je me souviens au bar on buvait un mixed qui s’appelait B52 ça vous faisait exploser ça portais bien son nom. C’est toujours et encore comment je me sent, depuis que j’ai démarré la rédaction de ça il fait frais chez moi je suis bien. Parfois je raconte des choses à la matriarche, j’ai un peu peur qu’elle me dénigre avec ça mais c’est pas le cas. « Si k’on a des tempêtes »-RDI, régime estival il a fait 32 avec un humidex de 38. Bon! Je suis presque dans un délire météorologique. Je vous termine ça avec pas grand-chose. Je me sent pas si mal. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! Bon week-end!!! Je reviens demain!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 26 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous écris ceci dans la nuit. J’ai aucune idée où je vais. Hier j’ai regardé un documentaire le Rhône, le fleuve en France c’est magnifique. Ce qui est regrettable ce sont les manifestations partout en France, les grèves aussi ça coupe l’envie d’y retourner. Cette année ce seras du côté des U.S.A. Je pense à mes voyages précédents quand je suis passé à Venise en train, le service des trains Italiens est superbe. Je pense à l’ami directeur du programme des personnes âgées au C.I.U.S.S. de l’est de Montréal, il était là mais dans ses anciennes fonctions. C’était un voyage de travail, la section psychiatrie de l’hôpital de Trieste étais vide, le Docteur Rottelli successeur de Basaglia qui nous accueille et nous dis que nous allons réussir a fermer les hôpitaux psychiatrique, c’est déjà de la vieille histoire. Je pense à toutes ces psychoses qui mènent à des gestes malheureux, violence, suicides on a le devoir d’aidé ces gens là et je déteste cette expression, ces gens là, je pense à la magnifique chanson de Jacques Brel… Ce soir je vais essayer de me centrer, d’écrire sur mon senti, il est deux heure quinze du matin je suis bien réveillé, le voisin a installé son climatiseur je trouve qu’il est un peu tôt. Il vas y avoir d’autre journées fraîches. J’écoute ce que mon âme dis, je laisse couler ce flot de mots, de pensées, la cuisse me pique, je fais un exercice de méditation devant l’écran, c’est de la folie, ça se peux pas… Je vous mentionnerais bien tout un chacun mais je suis pas certain que vous aimeriez ça. C’est le grand cri pas le dernier, pense à la stakause ce que j’écris y’a que moi qui en suis responsable, lentement je m’avance vers vous je sais pas pourquoi j’écris ça vous êtes loin. Votre opinion m’importe beaucoup, autant que ça c’est pas sain. J’arrive de la salle de bain ça sent bon. Je veux pas revenir à ma mauvaise habitude de m’auto-dénigrer… Je pense à cette écrivaine anglophone que j’ai croisé deux où trois fois elle se faisait un devoir de me faire sentir comme un pourris, elle avait un gros ego comme on dis. Y’a des choses que j’arrive pas a mettre en mots parce que c’est pas le moment je crois. C’est la nuit je regarde le nombre de mots utilisés jusqu’à maintenant. J’y arrive, j’y arrive mais à quoi, quand je termine y’a un doux parfum de savon, tout à coup la circulation automobile s’est arrêtée, c’est calme. Parfois quand j’écris c’est comme si il s’était jamais rien passé dans ma vie c’est probablement parce que je suis bien branché sur le moment présent, le ici maintenant. Je pense à mes finales à comment c’est jamais l’apothéose. Reste que quelques lignes encore et je finis tout petit en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! J’étire encore je vous promets pas de surprises. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard