lundi 7 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai des souvenirs de ces journées passées a bambocher un peu partout hé oui! Mon bureau c’étais la brasserie et la nuit la piste de danse a danser le go-go… Je descendais toujours plus bas et la folie m’a accroché, pendant que la gang se rangeait, je prenais le chemin des soins psychiatriques. La dernière fois que je les ai vu c’était au vingt-cinquième anniversaires de l’école secondaire. J’en ai envoyé promener quelques un plus fou que moi, j’ai pas pensés à leurs faire amende honorable. On ne me visite plus, le fait est qu’on ne m’a jamais rendus visite sauf comme un point de départ pour une saoulerie. À soixante ans cette tribu là c’est étrange que j’y pense encore… C’était tellement lourd cette solitude maladive, j’étais dans la rue avec les voyous. J’en suis sortis, j’habite pas un château mais c’est juste assez grand pour l’ordinaire et le nécessaire, me suis arrêté au bas de la pente, ai planté mes deux pieds et je me rétablis. Quelques manies aussi comme d’attendre impatiemment le facteur, mais ça vous le savez merci à Monsieur Le Lièvre le regretté. Hier à la télé y’avait Biz de Loko Locass qui expliquait que vivre tabletté, juste faire acte de présence c’est très difficile, c’est vrai étrangement j’ai jamais tant travaillé depuis que je suis invalide, c’étais ça où la mort. Parfois je me perd entre mes quatre murs je préfère ça a être coloc… Je regarde les voitures passées pense aux vieux ivrognes qui sirotent leurs bières à la brasserie là aussi maintenant je préfère être chez moi. Retraité la vie passe et je n’aurai été… Y’a un voisin qui re gardais dans sa boîte à lettre, y’a pas de courrier. Je dis bonjour aux nouveaux lecteurs, lectrices… J’entends l’eau couler quelqu’un prend sa douche. Comme je disait souvent c’est pas de travailler qui me tue c’est tout ceux qui entourent le travail. Des bêtises, je vous écris que des bêtises. « La maudite machine qui m’a avalée à marche en câline faudrait la cassée »-Pierre Flynn. Je me suis perdus, j’ai pas toujours été chômeur mais j’ai longtemps voulu mourir pour m’aider un beer buddy m’avait dis d’y aller de me tuer, méchant fou, plus que moé. Le directeur de la chorale ancien directeur d’école se demandait où j’étais passé, ici monsieur! Ici dans le goulag occidental. Comme rarement on est au milieu de l’après-midi, je préfère vous écrire que de m’allonger sur le sofa. Dehors le ciel est gris, c’est aussi difficile de passer de bum à écrivain que de bum à travailleur. J’ai mal, pense à ce millwright qui avait prédis ce que je deviendrais. Pourtant maintenant j’essais de vivre honorablement, de pas faire de mal. Ce sont des souvenirs, c’est préférable pour moi de vivre le moment présent. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

dimanche 6 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je reviens dans le goulag occidental mon patelin. Mais je dois vous dire tout de suite que la photo a été prise à Central Park New York. Aujourd’hui il fait très beau c’est ensoleillé et la neige fait mal aux yeux. Dimanche, je prends mon temps… Je mange des pommes et des clémentines. Je me sens pas mal ce midi, me souviens de l’antédiluvien terminus d’autobus de Laval au milieu du boulevard Henri-Bourassa dans Ahuntsic. Je me rappelle un soir ce gars étendu sur un banc avec un sac en papier pour sniffer de la colle. J’ai eu peur, je crois que le dernier départ pour Terrebonne était à minuit                quinze. Je le ratais souvent prenais l’autobus Gouin pour me rendre au Pont Pie-IX où je faisait de l’auto-stop, c’est étrange j’avais pas peur. Pourtant sous le pont y’avait le Belhumeur un night club mal famés et un bar de danseuses dont je me rappelle plus le nom, c’étais vraiment pas un endroit pour traîner la nuit. J’avais de la famille qui habitait près du pont des deux côtés. Celui de ma mère au sud et celui de mon père à Saint-Vincent-de-Paul au nord. Je les ai jamais dérangé pas par vertus mais parce que j’y pensais pas. Tout à coup j’ai envie de vous écrire sur la photo du Fauconnier une sculpture de Georges Blackall Simonds (octobre 1843-décembre 1929) un sculpteur anglais directeur de la brasserie H&G Simonds, le fauconnier est un bronze coulé lost wax. L’original a été créé pour la ville de Trieste Italie. Le marchand Georges Kemp aimait tellement la sculpture qu’il en a commandé une réplique à l’échelle pour Central Park. C’est un bronze que l’on retrouve west 72nd street ses   dimensions sont une hauteur de 12 pieds par 2 pieds 6 pouces de largeur. Le moule est de 1871 et dedicated : 31 mai 1875. La fonderie est Chevalier Clemente Pape, Florence Italie. Il y a une deuxième réplique à Lynch Park, Beverly, Massachussetts. Après ça je reviens à mon senti en essayant de construire quelque chose avec… Me souviens de ces dimanches d’enfance où j’avais déjà commencé à m’ennuyer ayant finis de lire les bandes dessinées des petits journaux. Je pense que j’étais déjà malade mental, c’est difficile à détecter chez un enfant mais j’avais des vertiges, des étourdissements sans oublier les démangeaisons que me causaient l’eczéma. Je reviens à maintenant, j’aime beaucoup ce que je fais et j’espère que vous appréciez. Ça sonne comme une fin de blog mais il me reste encore de la place pour quelques mots. C’est ça mon bonheur vous écrire en sachant que quelques un d’entre vous sont là. Je suis pas cynique j’aime pas ça j’essais d’écrire sans malice j’y arrive pas toujours. Je termine… Je sais pas si je termine, je trouve pas les mots pourtant c’est toujours les mêmes, merci d’avoir lu jusque là!!! Et pourquoi pas je vous aime beaucoup de lire ça!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 5 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis un peu découragé, je devrais écrire des livres de recettes, y’a plus de monde qui me lirait. Cet après-midi j’ai marché pendant une demie- heure trois quart d’heure. Je suis rentré chez moi j’étais en sueur, ai fermé le chauffage et ouvert la porte, me suis acheté un roman noir, il est quatorze heure trente. Je sais pas pourquoi le temps est si important. J’ai marché sur les pas de mon camarade il a ralentis, ne parle plus seul et est maintenant barbus… Ai réchauffé une quiche pour souper, comme toujours je cherche l’émotion… Je suis encore dans mon cahier et ici. Cet après-midi RDI présente pas le journal de France2. Je pense à la Provence où j’irais bien.  J’ai fait un somme, une sieste, de l’émotion! Je veux de l’émotion mais tout est dans ma tête comment traduire ce discours innommable ultra-présent. Je me souviens de ces samedi où avec l’ami on faisait les tavernes de Laurentide-Lanaudière on se rendait même chez les indiens à Saint-Michel-des-Saints… J’avait le côté affectif dérangé j’abordais les gens sans leur demandés leurs avis. Viens un moment où au bar tu a tout raconté, rien de nouveau, et tu délire a te rendre saoul. Je vous en parle souvent ça a longtemps fait partie de ma vie. Je courais chez moi après avoir acheté du pain et du rôti de porc, je soupais prenais une douche et partais sur la rhumba comme disait le waiter. Je sais pas si avec moins de difficulté je serais devenu autre chose si j’avais eu toute ma tête? Ce fut de longues années… Je cherchais toujours une copine souvent je me retrouvais avec des lesbiennes, c’est un de mes problèmes j’aime bien les femmes aux femmes comme certaines femmes aiment bien les homosexuels. J’aimerais bien trouver la bonne mélodie sentimentale quoi que les rockeuses aiment pas ça. « It’s only rock’n’roll but I like it ». Le samedi soir c’est toujours plus tranquille on se remet du hangover du vendredi. J’essais de bâtir quelque chose quand j’écris… Tiens! Y’a toujours la schizophrénie bête et dérangeante. J’ose plus sortir même dans les endroits sains, de ce temps ci je suis seul ça me tente pas d’aller regardé les murs d’un café… Le téléphone a sonné c’est un ami je crois l’aider quand je l’écoute mais lui aussi m’aide c’est un échange. Je cherche de nouveau propos, j’en trouve pas, je serai allé au bout du monde pour me renouveler et je radote la même chose. Y’avait ces soirées passées chez Mama Leone je crois vous en avoir déjà parlé. À force de me répéter comme ça je vais vous faire peur et vous allez cesser de me lire. J’ai commencé sur ce thème là, le manque de lecteur et j’y reviens. Quelques mots encore pour terminer, je crois en voir assez dis pour ce soir et je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Et comme toujours au revoir!!! Ciao!

Bernard

vendredi 4 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je m’y mets très tôt cet après-midi. Il fait un temps radieux mais froid. Je pense à tous ceux qui ont des relations épistolaires. J’arrive pas à vous écrire sur mon monde intime, on me demande des textes pour une autre production. J’ai rien écris pour ça, j’ai pas été inspiré. Ça me fait de la peine d’avoir rien produit. Je me souviens de ces hivers glacial au bord de l’eau, les mains sur le métal froid des bateaux, le vent qui souffle, on gelais… Aujourd’hui je reste au chaud, je pense encore aux moments où je cassais de la glace aux habitations olympiques, je me gelais les pieds. C’est ça l’hiver le travail au froid. C’est le mois de mars le temps devrait devenir plus doux, je parle de la météo je suis pas Saint-Denys-Garneau. Des jeunes filles passent sur le trottoir devant chez moi. J’essais de trouver un angle d’attaque pour vous écrire mon intimité… Je m’étends sur le sofa et j’essais de dormir, je ne fais que des demis rêves éveillés… Ça fait beaucoup de tentatives, je me souviens du poète Gilbert Langevin qui marchait dans le quartier latin… Je sais pas si je réussis à évoquer quelque chose mais du temps de la dope on rabaissait tout le monde quand les trous-du-cul c’était nous… Encore une journée qui file et on en meurt de trop vivre… J’ai peur du jugement sur ce que j’écris cette torture pourtant… Vendredi la jeunesse, si c’est encore comme dans mon temps, va sortir prendre un verre voir des shows c’est attrayant parfois cet univers mais j’ai assez payé. J’ai gardé peu d’ami de cette époque, je radotais seul et saoul. Les gens sérieux travaillent même le vendredi soir, je pense aux hôpitaux, aux commerces… Je regarde passés les autobus pense à mon lecteur chauffeur. Je réussi pas à refaire mon univers je continue ma vie le désir mortifère est disparus. Je suis bien chez moi ça fait combien de fois que je vous l’écris. Ce soir pas d’appel au 911 pas d’ambulance vers l’urgence je me rétablis. L'ambulance c’est rien de très poétique pas plus que de marcher entre les voitures rue Notre-Dame en espérant se faire frapper. Le soleil éclate sur le blanc de la neige, quelqu’un disait de l’édifice où j’habite que c’est un bloc de lesbiennes, drôle de préjugés. C’est terrible d’entendre l’ignorance des gens pour ce qui est différent leurs incapacité à concevoir que quelqu’un peux vivre seul. Les journées s’allongent, il fait clair plus tard. Je sais c’est prosaïque ce que j’écris et encore c’est pas la prose de monsieur Jourdain. Mais non j’irai pas perdre mon temps devant le miroir du bar. Je pense au staff de l’époque d’après moi ils sont tous malades, ils avaient de l’argent étaient jeunes et à la mode, ils ont perdus leurs vies au bout d’une MTS. Je dis une prière pour eux. Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 3 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce soir je recommence a taper mon texte à nouveau. Une pub m’a ému un jeune migrant qui joue du cricket à qui on offre une paire de patin et qui compte un but sur la patinoire. Vous êtes pas supposé le savoir que je recommence, je remercie l’édimestre des humeurs culturelles pour son bon mot. Coucher de soleil d’hiver, orange et bleu, la nuit s’en viens. Me semble que je vous écris ça souvent. Je tripe toujours sur les avions. Mais oui aujourd’hui j’ai quitté le goulag occidental pour me rendre dans mon ancien quartier de Villeray, me suis rappelé des cousins cousines qui habitaient rue Boyer et de la fois où à dix onze ans je m’étais perdus coin St-Hubert et Jean-Talon, tante Gisèle avait envoyé le cousin me chercher. C’est le mois de Mars le parfum de sapin est disparus du parc Lafontaine, sur un côté plus intime le savon est trop parfumé ça me donne des démangeaisons. Ce soir j’ai mangé l’excellent spaghetti que ma lectrice de Deux-Montagnes m’a donné. Je pense que les snowbirds ont changé de terrain de camping aujourd’hui. Je cherche une émotion à vous faire vivre, je trouve pas, j’aimerais bien avoir le type d’écriture brute sorties des ornières du sentier de la folie. Méchante phrase de fou! Le ciel est turquoise c’est beau… J’ai juste maudit grand fou dans la tête, ça résonne et raisonne mal. La voisine continue de se promener sur la passerelle heureusement à part ça elle est tranquille. L’ami m’a rappelé qu’en dedans, en prison, les psychiatrisés on appelle ça des soucoupes. Je lui ai raconté que Dieu c’était fait couper le téléphone parce qu’IL avait pris trop d’appel à frais virés et que maintenant les gens étaient obligés de prier. Demain vendredi la dernière journée avant le repos du week-end, vous me direz qu’est-ce que t’en a a faire? Je vous dis que je travaille tout le temps même la fin de semaine. Ce soir je crois que je vais encore illustrer le tout par une image des pays chauds. Je suis pas si tôt revenus que je voudrais repartir. Je sais plus trop quoi vous écrire, pauvre écrivaillon à mon âge je devrais pensés aux choses sérieuses mes lesquelles, la bouffe, la soif, le sexe? En tout cas je crois pas que je brûlerai en enfer je l’ai connus sur terre c’était long et pénible… Ce midi j’écoutais des gens parlé du mal, je sais que ça existe le mal mais viens un temps où on vie sans. Bein non! Bein non! On est pas dans Sélection du Reader’s Digest, je crois que ça existe plus. Comme toujours ces temps ci mes textes sont pas fort. Je remercie mon lecteur de Terrebonne qui a pris le temps de lire mon texte de Cuba. Ce soir j’aime bien mon refuge mon chez moi. J’ai une pensée pour tout ceux qui me lisent. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 2 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Quelle enflure verbale à propos de la tempête à Montréal, c’est à peine si il en a tombé cinq centimètres, on attendait la tempête de la décennie! J’ai écouté une émission où on parlait du passage de l’émotion sur les réseaux sociaux, c’est pas plus simple faire vivre une émotion sur un blog qu’à la radio où à la télévision et je dirais même dans la littérature. Parfois la toile c’est froid et désincarné faut y mettre de l’âme et du cœur, je cherche un exemple de ce qui pourrais vous faire vibrer, un blog émouvant comment vous écrire que lorsque j’écris je bat ma schizophrénie, je l’éloigne même si parfois elle transparait dans une voix qui vous parle et me parle. Je me sent moins lourd de solitude, je ne suis plus seul bien que cette saudite maladie ais des sursauts de temps à autre, voilà… L’angoisse aussi comment les premières années des réseaux sociaux on avait le symptôme du transgresseur comme si d’être sur la toile était illégal. Je vous écris souvent sur ma paranoïa en essayant de vous faire vivre la persécution, le complot que je ressens. Maintenant j’en vie moins c’est peut-être parce que j’ai mis un peu d’humilité dans ma vie. Remarquez que lorsque je marche dehors dans le goulag occidental et que je croise une voiture de police je crois toujours que c’est pour moi pourtant ils ne m’arrêtent pas, si y’avait quelque chose ils viendraient me chercher chez moi. Quand même c’est difficile à vivre, je crois que ce sont des symptômes résiduel de la schizophrénie, je sais pas si ça se dis. Des espèces d’effets secondaires. Là je pense à l’époque où je passais mes après-midi dans un bistro, j’ai rien construit là à part peut-être cette paranoïa… Je comprends que j’étais détestable à moitié saoul, à moitié psychotique et ce frémillement dans les membres, je sais pas comment dire… Non! Je m’ennuis pas de ça, je suis bien chez moi c’est pas parce que Jean-Paul Sartre aimait les bistros que je suis obligés de les aimer. La neige s’est arrêté le ciel s’éclaircis vous voyez bien que je suis fou peut être pas a lier mais a raisonner… Je crois pas réussir à vous émouvoir, ce côté-là c’est souvent l’échec… Je pense à ce refuge la maison Labre où j’allais manger trop dérangé pour voir que c’étais l’aide qu’on donnait aux itinérants, ils étaient tous comme moi seul et sans le sous. Je me déplaçais pour une soupe un sandwich et un fruit combien de centaine d’autre comme moi. Merci Maison Labre! J’avais écris seul et sans le saoul, y’avait de ça je cherchais toujours à me saouler. Je vais terminer ça rapidement cet après-midi je sais pas si je vous ai touché. Si j’étais vraiment humble j’écrirais rien de tout ça. Je me fermerais la gueule et essayerais d’en aider un autre pourtant j’ai laissé mon numéro de téléphone à plusieurs ils ne téléphonent pas. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mardi 1 mars 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! On attend la neige, en pensant aux pays tropicaux. Je sais pas trop ce que je vais vous pondre ce soir. La télé est sur le quiz français Question pour un champion. J’ai regardé les actualités et j’ai retenu que le pipe-line de Trans-Canada, je sais pas trop quoi vous écrire là-dessus, je suis loin du senti. Je crois qu’aujourd’hui je vais placer une photo de plage cubaine. Je lis présentement un roman policier cubain, c’est comme si j’y étais le long du malecon à La Havane. Les Rolling Stones y seront bientôt, j’y serai passé avant eux, mon rock étant pas aussi décadent. Ce soir j’ai mangé un cheeseburger tomate oignon il étais très bon. Il neige pas encore, je pense aux vandales anarchistes d’HOMA, franchement attaqué de pauvres petits commerçant c’est pas fort. J’essais de me souvenir des mots de L-F Céline sur le petit commerce je crois que c’étais pas très flatteur. Souvent les vandales cherchent un endroit, un quartier où consommer, des junks house, piqueries où fumoir name it n’importe quelle façon de se doper. Y’a aussi à Québec le petit fascicule de l’église de scientologie sur la drogue. Cette histoire ils la sortent à tout les ans, la scientologie c’est un lavage de cerveau, je connais pas beaucoup mais ça a tout d’une secte. La matriarche viens de me téléphoner on a parlé bouffe. À la télé c’est le journal télévisé de France 2… Ce soir je danserai pas la samba, on discutais sur cette tempête annoncée comme si on avait jamais eu d’hiver… À la télé le journal parle des délégués syndicaux qui bouffent du patron… Je me rebranche sur mon senti, mes textes sont pas toujours le portrait de ce que je sent. Je trouve ça difficile de pas être inspiré, d’être loin de l’émotion, une émotion ça se crée pas sur commande. J’ai lu quelque part que pour être heureux il faut souhaiter du bonheur à tout le monde. Je vous en souhaite donc… Remarquez que Donald Trump je lui souhaite la défaite pour moi c’est un red neck de premier ordre, tout ce que les U.S.A. ont de détestable. J’ai hate de voir les deals que les américains vont faire avec Cuba, rhum et cigares? Je sais pas si mes amis snowbirds rencontrent des cubains en Floride. Je pense à cette serveuse qui m’expliquait comment ils payaient les études à Cuba. Ils travaillent quelques années pour l’état. J’ai pas tout compris mais je crois quand même qu’il y a des cubains heureux. Les Stones le vingt-cinq mars à La Havane. Publicité fatigante sur et pour les dentistes, j’ai plus une dent, j’ai tellement eu mal aux dents dans ma jeunesse j’en ai pleuré parfois mes dents creuses me manquent. Une rage de dent ça rend fou, la douleur la plus intense que j’ai connus. Bon! Je crois que j’en ai assez écris pour aujourd’hui. Je vous remercie donc d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard