mercredi 27 janvier 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Encore l’insomnie, pourtant j’ai dormis de huit heures à minuit. C’est quand même pas mal la nuit, c’est tranquille, hier soir j’avais les larmes aux yeux… J’écoute mon corps comme disait la thérapeute, il gueule pas trop, ça fait partie du sentis. Je m’entends respirer par le nez, j’ai l’après un rêve de Fauré dans la tête et des tounes de l’excellent Gordon Lightfoot, un bijou canadien. Le goulag occidental dors, cette nuit même si c’est très narcissique, j’aime bien mon odeur, ça m’aide à vivre, étrangement en vieillissant j’ai plus conscience de vivre au Canada. J’ai perdus l’espoir que le Québec devienne un pays, maintenant j’aimerais savoir ça m’avancerais à quoi l’indépendance, je suis vire capot. Je reviens comme toujours à mon senti, mon ventre gargouille pendant que ma tête cherche quoi vous écrire. Ça sille dans mes oreilles, c’est pas très important ce que j’écris des petites chroniques à la va comme je te pousse… C’est difficile d’écrire ce qui me passe dans la tête ça semble être sans intérêt… J’aime bien Étienne Boulay comme porte parole de On cause pour la cause, en voilà un qui a des couilles, qui est allé chercher de l’aide, c’est ça la force. Parfois je me demande ce qu’aurais été ma vie si je m’étais pas battu avec toutes ces maladies, tout ces tracas… Aujourd’hui je suis quand même heureux d’être comme je suis. J’essais de pas faire de scénario pour la journée c’est jamais bon. Je crois que c’est l’anxiété qui fait faire ça… Je pense au disque vulgaire du poète Claude Péloquin ça avait tout pour plaire à l’adolescent que j’étais maintenant je préfère même si on en entend plus parler le MC KCmnlop… Ta gueule vie ta vie… Je regarde l’heure en pensant à combien de temps ça prend pour les vols d’avions. Faut se présenter trois heure d’avance à l’aéroport la journée est bouffée, j’ai donc hate de reprendre l’avion… Je pense à la réunion de ce matin, je vais essayer de trouver des réponses aux questions. Je termine en vous présentant cette magnifique sculpture bleu turquoise de Patrick Bérubé, ça s’intitule nos bergers c’est en résine et aluminium on pouvait la voir sur la rue Sainte-Catherine l’été 2015. Je vous laisse comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui c’est la journée On cause pour la cause de Bell. Moi je veux pas vraiment dire qu’il suffit d’en parler et que tout va bien allé, la maladie mentale, la schizophrénie c’est pas juste un problème d’expression, de communication c’est une partie mais c’est pas le tout, la psychose c’est complexe, ce qui me viens à l’esprit c’est l’anxiété fois cent. La peur aussi… Comment éteindre les démons une fois par mois avec une bouteille de vin. Vivre avec cent cinquante dollars par mois pour après se résigner a demandé un papier de maladie au psy ou c’est inscrit schizophrénie. On reviens jamais vraiment de cet autre grand mal, vous me lisez ici ça contribue à mon rétablissement. Je croyais que les camions freinaient dans ce hurlement mécanique à cause de moi. J’essais de me souvenir de ce monde d’hallucination, de nuits d’ivresse ou j’ai faillis perdre la vie.  Je vous écris de mon tranquille après-midi d’hiver, il fait soleil mais froid. Je reviens à mon sentis l’angoisse est maintenant moins présente, faut pas voir l’écriture comme un anxiolytique, j’y prend quand même plaisir. Je cherche quoi vous dire, les poètes attendent des heures pour un mot plusieurs endorment la voix à coup de bières. Je crois pas que je réussirais à la faire taire avec l’alcool, c’est l’expérience qui parle. Oui l’expression est urgente mais les résultats sont loin. Dans ma folie y’avait quelque chose de l’ordre de l’affect pourquoi j’entretenais ces mauvaises amitiés? Je parlais à coups de jurons, maintenant des souvenirs montent en moi, elle avait raison de croire que j’étais un fou perdus, le personnel d’un bar, d’un bistro est pas là pour discuter mais servir. Je me vois pas victime vous me jugerez quand vous aurez marché dans mes bottines, voilà encore un cliché… Une réunion a été déplacée, je crois que c’est un comité qui est… Je pense que l’expérience du cabaret poétique va parler. Je puais ai pris une douche et mis un peu d’eau de toilette. J’ai pensé au chanteur Renaud qui se rétablis, bravo! Je comprend un peu l’enfer dans lequel il est passé. La photo c’est la murale de céramique de Laurent Gascon en hommage à la chanteuse Marjolaine Morin, ça s’intitule J’lâche pas C’est une façade de 150 pieds carrés sur l’édifice de la Boîte à Musique sur Ontario entre Fullum et Parthenais ça a nécessité  250 heures de travail et ça été inauguré le 6 septembre 2012, à l’inauguration on a dis qu’on voulais faire la leçon aux graffiteurs pour dire qu’il y a d’autre façon de s’exprimé. Je suis pas d’accord je trouve que les deux peuvent cohabiter en 2012 un budget de $179,000.00 était accordé à la création de fresques à Montréal. Voilà c’est tout pour maintenant, je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

 

Bernard

mardi 26 janvier 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je me demande ce que ça donne écrire. Ça meuble la solitude, étrangement je prends mes médicaments et ça me réveille, une autre défaite du Canadien ce soir. J’aimerais ça vous montrer que je suis un être sensible, hypersensible même parfois ça me fait mal… Ai  finis de lire la série des Robots d’Asimov, assez étonnant… Je regarde l’écran, je vois des taches jaune c’est ma vision. Je veux toujours la poésie mais j’y arrive pas, la slush est moche, c’est le goulag occidental l’hiver ça rien à voir avec la jungle de Calais ici c’est tout confort on en est pas à la survie, on peut avoir des états d’âme. Ça reviens souvent à ça, faut savoir aussi que le désoeuvrement ça tue. Je veux que ça bouge sur mon blog le 27 février c’est la journée on cause pour la cause, 5 cents pour un tweet un texto un appel interurbain qui vont directement à la cause de Bell. Lentement j’ai comme la tête dans la ouate, je veux pas me coucher, les journées sont trop courtes… Je réfléchissais dans le lieu d’aisance, février bientôt, la cause vous l’aviez compris j’espère c’est la santé mentale. Votre humble serviteur en est un de ceux-là schizophrénie paranoide avec de l’anxiété par-dessus ça c’est un beau combo… On arrive dans la vrai nuit, minuit, à une époque je finissais de travailler à cette heure-là, j’aimais pas ça,  parfois les jours de paye j’arrêtais au bar, je me saoulais et je rentrais pas le lendemain. Je vous le raconte je l’assume la job étais assez plate… L’ordinateur est très silencieux, je baille… Je suis inquiet je perds des lecteurs c’est pas grave combien d’écrivain ont écrit dans le vide. J’espère quand même que ça fait son chemin mes écritures. Quand je me rétablis de la maladie mentale d’autre bobos physique ceux-là font leur apparition, mal de dos, de genoux et de jambes. J’arrête de chialer je vais continuer à marcher et parfois monter les escaliers du métro à pied, c’est bon pour le cardio. Je pense à toi le prof de design retraité, j’espère que tu me lis encore, peut être auras tu plus de temps en Floride. Ce soir l’œuvre photographié par moi c’est une Libellule de Daniel Vincent Bernard (13/2/1956) elle est de 2010 sur un édifice rue Pontiac face au métro Laurier. Le sculpteur a utilisé des câbles coaxial et de l'uréthane.  J’espère que je radote pas trop, au forum citoyen cette semaine j’ai parlé à beaucoup de monde, je racontais pas mal la même histoire à des gens différents. Ça m’a donné des vertiges et dans ces altitudes je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!


Bernard


 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis à boutte, mon chauffeur d’autobus technicien informatique m’a dis que j’étais dans le champ avec une imprimante que j’ai retourné, ça me prenait un câble USB. Ça me fait de la peine, je préfère toujours m’en tenir a faire ce que je sais faire écrire. Aujourd’hui c’est mauvais temps il pleut. J’essais de me concentrer sur ce que je vous écris. C’est sombre et nuageux, mon duvet est tout mouillé j’ai transpiré, moé je suis toujours le bonnâsse qui a tort. J’ai un pincement à l’estomac, c’est l’angoisse je crois… Les gens veulent toujours que leur ordi opère vite, moi j’essais de faire du contenus, même si le blog ça commence a être vieillot… Je prend mon temps le poète disait, question de prendre tout son temps, oui! Mais il passe vite, l’amour de la vie ça prend… Vous le savez je suis pas un incorrigible optimiste. Je crois que j’écris trop j’ai pas assez d’inspiration, gros niaiseux! Et la l’angoisse fait que je me met a chercher un câble, il est trop tard, je me pendrai pas avec… J’ai tout bousillé ma routine, la voisine fume et tousse, je suis heureux d’avoir arrêté de fumer, cet après-midi j’ai vu mon ami qui parle à ceux qui le suivent, il marche très lentement, il semble s’être calmé, il a une grosse barbe, c’est un personnage du goulag occidental. Je crois que je m’en demande trop. La soirée s’en viens, la douleur à l’estomac est là. J’ai couru dans le goulag, métro, autobus, comme un chien fou. Je crois que je vais hurler… J’arrive pas a écrire ce que je veux vous dire, les lampadaires viennent de s’allumer faute d’être une lumière on profite de celle là. Aujourd’hui la photo a été prise à Boston, c’est le Old State House au 206 Washington st. Ouvert en 1904 les architectes sont Isaiah Rogers, Georges Albert Clough, c’est le siège du gouvernement datant de 1713, c’était le plus imposant bâtiment de Boston, le centre de la ville coloniale. On y a lu la déclaration d’indépendance pour la première fois en public depuis son balcon. En face une plaque commémorative marque le site du massacre de Boston ou cinq bostoniens furent tués par des soldats britannique. Bon c’étais le moment culture, je vais me coucher moins ignorant ce soir. Je remercie tout ceux qui ont lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens plus tôt aujourd’hui, je fais de l’insomnie je crois que vous le saviez déjà.  Je pense à ma journée d’hier à comment les gens étaient gentils. Il  est cinq heure du matin j’ai pris un café. Je sais pas comment les caractères sortent chez vous, j’imagine que c’est o.k. Me suis préparé un autre café. J’écoute ce que ça dis en dedans, y’a pas de tumulte, ce matin je vais magasiner une imprimante, ça vous intéresse pas. Quand je me lève tôt le matin j’ai toujours l’impression de partir en voyage, j’ai un déjà vu comme si j’avais déjà fait tout ça au 911 il dirait que c’est une hallucination. Hier ils m’ont pas dit que le 811 c’est info-santé je l’ai réalisé un peu tard… Ce matin le frigidaire ronronne, plus tard j’irai à la boutique électronique d’à côté pour voir le prix de ce que je veux. J’entends quelqu’un tousser, un fumeur, une fumeuse, les publicités sur le tabac sont maintenant virulente avec raison. Je veux pas vous voir dans votre boîte en bois. J’ai appris hier que dans l’est on vivait neuf ans de moins que dans l’ouest, de Montréal s’entend… Mon écriture c’est un peu un exercice zen je m’assois là et j’écoute. Je lis je relis c’est toujours la nuit à cette heure y’a des gens qui partent travailler Hier j’ai parlé à beaucoup de monde j’avais de la difficulté à me rappeler ce que j’avais dis, quoi à qui? Maintenant je suis vraiment fou… Dehors les voitures passent, je vais pas loin je reste ici. Voilà c’est laconique, je sais les gens ont peur de l’institut. Je compte mes mots comme si c’était la manne. Je veux pas vous étirer ça, la photo c’est l’École de Technologie Supérieure sur la rue Notre-Dame ouest, les architectes concepteurs sont Régis Côté et associés ça été construit en 2002 au centre-ville arrondissement Ville-Marie. J’ai changé ma méthode j’ai perdus mes repères, je sais pas vraiment la longueur de mes blogs comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 25 janvier 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Grosse journée, un forum citoyen et un C.A. J’écoute ma voix intérieure. Je souhaite du bonheur à tout le monde… Je regarde pas le hockey, c’est la soirée, dehors c’est noir. Je veux pas répéter, je suis fatigué quand j’utilise le je comme ça c’est ma fatigue. Y’a un de mes lecteurs qui nous a abandonné je crois. Je suis très conscient que ma prose est parfois endormante mais dites vous que vous êtes pas chez Marcel Proust du côté de chez Swann. Quand je pense à Swann je pense aussi au film culte Phantom of the Paradise… Comme souvent je dois replonger dans mon monde intérieure, c’est l’hiver j’arrive pas a arracher la mauvaise herbe. Je cherche mes défauts je crois que je suis misanthrope… Ça vous dis rien sur mon étât d’âme, une job pour dire que tu travaille c’est pas bon, faut que t’ais une forme de passion. Quand je suis avec les gens je veux pas raconter n’importe quoi c’est la même chose ici. Le Canadien a perdu cinq deux. Aujourd’hui l’œuvre d’art public est au parc Lafontaine et s’intitule  le proliférateur, l’arbre qui plantait des arbres une collaboration de Melsa Montagne et Nicolas DesOrmeaux c’est un hommage à l’œuvre de Frédérick Back L’homme qui plantait des arbres. C’est pas terrible ce soir. Je vous quitte donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

 

dimanche 24 janvier 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est un dimanche d’hiver assez sombre.  Je suis un peu perdu aujourd’hui je retrouve plus mes vieux passeport et je croyais avoir perdu mon linge à lunette. Je l’ai retrouvé. Je fouille dans mon sentis pour savoir ce que je vais vous écrire, disont que l’illustration du lion c’est un peu ma force… Le lion c’est mon signe astrologique parfois je me crois faible pourtant avec la spiritualité j’ai une force certaine. L’après-midi tire à sa fin, je préfère écrire que regarder le sport à la télévision… J’ai lu LaPresse+ et je termine les Robots d’Asimov c’est comme si je retournais dans mon adolescence. Parfois j’aimerais bien me retrouver seul dans le fond des bois, chauffé le poêle et me laisser calmer par le vent qui siffle et souffle. Malheureusement je suis pas Walt Whitman, j’ai un gôut de fromage en grain dans la bouche. J’ai le souffle court je m’entend respirer pendant que les portes claquent. Parfois le football à la télé c’est comme la vieille joke je crois que dans le caucus ils parlent de moi, paranoia! Mon lecteur chauffeur d’autobus viens de me téléphoner, tout semble O.K. sur ce que vous lisez maintenant. Je retourne à mon sentis, mon ventre gargouille et ma tête me parle, j’ai mal c’est un peu idiot parfois je suis au neutre, je ressent rien j’ai beau m’écouter… Je pense à la matriarche elle est en forme. C’est certain que ce que je vous écris ça pas d’immense proportion, c’est écris humblement. C’est vide, vide, vide ce soir, demain les gens rentrent au boulot moi  j’ai un forum citoyen on vas essayer de se rétablir dans la pleine citoyenneté. Je vais vous écrire d’où ça viens ce lion, c’est le lion de la Feuillée une œuvre de René Dardel de 1831 elle est au Jardin Botanique dans Rosemont-La Petite Patrie c’est de la fonte aux dimensions de 2,10x2,30x40 m elle a été initialement créé en 1831 pour orner le pont de La Feuillée à Lyon, elle a été offerte par la ville de Lyon à Montréal à l’occasion du 350ei anniversaire de sa fondation. Merci à la liste d’art public Montréal. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard