Bonjour! Bonsoir! Ce soir je me sent vide.À la télé
ils parlent des amendements américains qui sont pas à jour pour le port des
armes à feux. Tout le monde me téléphone à la fin de la journée. J'écoute ce que
ma voix intérieure dis.Je suis fatigué d'être fatigué ce soir je vais à une
assemblée pour essayer de me décentrer de mon nombril. Parfois j'ai l'impression
que le monde tourne autour de moi en écouter un ou une parler ça va m'aider je
crois. La télé est sur le bulletin de nouvelles, j'ai souper, la journaliste
parle de La Chine comment ont la connais peu. Je voulais y aller mais vingt six
heures d'avion c'est trop long, on me l'a déconseillé, mon lecteur de
Deux-Montagnes m'a dis que je tomberais malade, je suis d'accords je crois que
oui... Ça fait déjà un an qu'il y a eu les attentats de Charlie-Hebdo, le monde,
l'univers dors pas tranquille, on peut même plus pensée a rêver tranquille sur
une terrasse de café parisien. Je pense à ces quatres jeunes assis à la terrasse
qui ont demandé de changer de place parce qu'ils craignaient que j'entende ce
qu'ils disaient. Je pense aux Invalides à Paris, même si je suis considéré
invalide c'est pas un monument pour moi. Le ronron des nouvelles m'endors. Je
sais pas si j'ai une photo des Invalides, ce soir ça fait vraiment un an pour le
drame des caricaturistes. La télé est sur le jeu questionnaire français, y'a des
questions sur l'amérique du sud, j'aimerais bien y aller... Lentement le temps
passe l'ami col bleu va passé me chercher. Je retournerais quand même à Paris
mais ça me prendrais de la compagnie. Dans le moment j'ai un reflux gastrique,
c'est pas très poétique... Ai vidé un sac de chips. Me promène entre l'écran
télé et celui de l'ordi... De retour d'une sortie enrichissante, j'ai raconté
que je plaçais Dieu de côté mais je demande quand même de faire Sa volonté. Ça
peux vous paraitre étrange ésotérique même mais ça me sauve de beaucoup de
problèmes. Je sais pas trop quel est mon message, çe serait peut être d'écrire
que c'est possible de se rétablir, que les valeurs que j'avais à vingt ans sont
plus les mêmes à soixante, ma vie de fou serait invivable... C'est toujours
difficile de rentrer chez moi mais je ne suis plus seul y'a une puissance
supérieure qui m'accompagne. C'est la nuit, je vous étirerai pas ça, je vais
lire un peu et essayer de méditer. J'arrête donc en vous remerciant d'avoir lu
jusque là!!! Au revoir!!! À la prochaine j'espère!!!
jeudi 7 janvier 2016
mercredi 6 janvier 2016
Au présent
Bonjour! Bonsoir! Les jours s'étirent lentement, le
copain écologiste a le blues, moi aussi, je pense toujours aux attentats de
Charlie-Hebdo. Je suis ému j'ai la larme à l'oeil, le monde seras plus jamais
pareil, dehors un couché de soleil orange c'est beau. J'ai mangé un pâté à la
viande c'étais bon... Un poème violent dans les maternelles, je veux bien mais
les enfants de cet âge là comprennent pas. Ça sert peut être à leur signaler que
le concierge peut être poète. Je vous écrirai pas beaucoup sur la poésie c'est
compliqué... C'est la fête des Rois avez vous trouvé la fève, votre règne a été
court. Presque dix sept heure... LinkeIn m'envois des propositions d'emplois des
postes de cadre j'ai pas les compétences. Didier s'en va au Chelsea FC comme
entraineur. Je retournerais à Milan, la capitale de la mode. J'ai beaucoup aimé
la grande place un peu moins le serveur qui m'engueule parce que je lui laisse
un pourboire. J'ai beaucoup aimé ce mail couvert, je sais pas comment on appelle
ça un marché couvert? Tout ça pour vous dire mon désir de partir. Aujourd'hui
une jeune fille de je ne sais ou m'a écris, j'ai mis fin à la communication. Y'a
un peu de paranoia dans mes relations informatiques. Ce soir je le répète j'ai
de la peine... Je fuis en écoutant les actualités... Vais manger un Mae West...
Ai beaucoup aimé la lettre d'opinion de la patronne de ma lectrice de Cantley,
au fait si elle me lis qu'elle me fasse signe. Je sais qu'elle a pas que ça a
faire avec sa grosse famille que j'embrasse ici. Bon v'là un autre affaire une
bombe H en Corée c'est là qu'il est important de vivre un jour à la fois. Le
bruit de la télé, l'annonceur avec son débit parlé couvre ma tentative de
raisonner. J'entend que sa voix qui se mélange avec celle qui est dans ma tête.
Je réfléchis pourtant y'a jamais de fin à ce soliloque. Le leader Nord-Coréen
c'est un fou furieux. Je sais pas ce qu'il compte faire avec cette bombe.
Parfois j'ai envie de fuir dans le bois mais j'y survivrais pas longtemps pas
plus longtemps que dans la rue. La France en guerre contre les terroristes, ça
aussi ça me fait mal de voir un si beau pays avec tant de difficultées. C'est
toujours le pauvre fou qui vous écris, quand je fais ça j'arrive a une certaine
"sérénité". Tout les soirs j'arrive à ce que vous lisez là... C'est vide, vide,
vide! Ce soir. Je me demande si c'est très important d'être informé, pense à
Baillargeon, à Chomsky... Que de la nuit arrive le repos et qu'on s'étende sur
le dos pas longtemps pas trop et qu'arrive le dodo. Voilà pour ma niaiserie du
jour. Merci d'avoir lu jusque là!!! Au revoir!!! À la prochaine
j'espère!!!
Bernard
mardi 5 janvier 2016
Au présent
Bonsoir! Bonjour! Voilà un an les terroristes ont
tué les compagnons de ma jeunesses, ceux qui m'ont beaucoup fait rire avec leurs
humours décapant. Les artistes du journal Hara-Kiri. Je sais pas trop quoi
dire... J'ai des coups de téléphone pour participé à différents comités, je sais
pas trop si je vais m'engager, tout ça je crois que c'est pour février. La nuit
est tombé, je suis un peu fatigué, j'espère que le président Obama va réussir a
réformer les politiques sur les armes aux U.S.A. plus de contrôle rien ne
justifie qu'on tue des enfants. Janvier avance, comme toujours quand il fait
froid on pense aux amis en voyage dans le sud, j'ai envie d'y aller mais mes
implications me le permettent pas...Les chauffeurs de taxi veulent bloquer les
ponts, on a jamais la sainte paix, les choses se déterriorent tout le temps, on
règle un problème un autre arrive. Je sais pas pourquoi je regarde les
actualités, jamais rien de positif.Je pense à l'hôpital au risque d'y attraper
une maladie mortelle, ce soir je reste chez moi dans le goulag occidental, je
vais pas à l'hôpital j'en ai pas besoin. Je préfèrerais un voyage dans le sud je
pense toujours à la Guadeloupe cette magnifique île. Si jamais vous me lisez et
chercher un partenaire de voyage faites moi signe... Je sais je m'avance un peu
trop quand j'écris ça, je vais peut-être partir quand même au mois de février
c'est toujours l'hiver. Rien a faire les publicités télévisées me tombent
toujours sur les nerfs... Je vous écris ça et j'entend les analystes du bulletin
de nouvelles, j'aurais plus besoin d'un psychanalyste. Ça me détend de vous
écrire ce soir, la journée a été moins vide que je pense. La journaliste parle
et le son est saturé de voix, c'est pas les voix dans ma tête ce sont celles de
la télévision mais c'est quand même assez pour une psychose, on parle
d'immolation par le feu ils sont heavy ce soir. Veux veux pas j'aime beaucoup
prendre l'avion, ça me manque et j'ai toujours le sourire quand je vois un avion
à la télévision. Je vous ai pas vraiment écris sur mon étât d'âme ce soir, j'ai
une boule dans l'estomac, la matriarche dirais j'ai mal au coeur. C'est
l'angoisse qui pèse lourd. Encore ce soir on y arrive sans trop savoir, j'aime
pas trop la publicités qui parle de crottes de nez... J'ai rien écris
d'essentiel ce soir, j'ai pas mis les pieds dehors, y'a une voisine qui a
déguerpis c'est triste ailleurs pour elle ça iras pas mieux on traine toujours
ses problèmes avec soi, ça lui fait pas de bonnes références pour se loger. On
lui a peut être fait une offre mais la maladie elle la traîne avec elle. Ça me
rappelle mes années passés à déménager c'était long c'était dur. Je quitterai
pas avant d'être sur. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!!
À la prochaine j'espère!!!
Bernard
lundi 4 janvier 2016
Au présent
Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui c'étais le vrai hiver
frette, froid pour ceux qui comprennent pas. Moi cette température là ça me
réveille bien que je sois content de rentré au chaud. Le temps qu'il fait voilà
de quoi on cause quand tout va bien. Là je pense au cause pour la cause de Bell,
les publicités sont pas mal, elles essayent de déstigmatiser les maladies
mentales. Bein non!! On fait pas semblant et y'a pas de rétablissement facile,
faut d'abord en prendre conscience et demander de l'aide même si ça aussi c'est
pas facile. Faut essayer aussi de bien s'entourer... Accepter aussi même si ça
semble impossible mais non je préfère pas qu'on me coupe une jambe, on commence
par faire de petites choses, le balai, la vaisselle avant de s'attaquer aux plus
grandes. Moi j'aimais pas la routine mais plus je vieillis plus je m'aperçois
que ça en prend une. Ce que je vous écris présentement ça relève de la
discipline, ça prend un peu de caractère et pensés au rencontre positive faite
dans une journée plus qu'aux négatives du passé. Ce soir je pense aux amis
lecteurs dans le sud, c'est bien pour eux j'espère qu'ils auront pas trop de
difficulté a s'acclimater au retour. Viens de finir de regarder les actualités,
les nouvelles si vous voulez, françaises, les actualités françaises, ça va mal
en France, j'en dis pas plus. Y'a des français qui passent l'hiver au Maroc
comme les québéquois passent l'hiver en Floride, tout ça ça me donne toujours le
désir de partir. Je me vois sur la plage pourtant quand je voyage je sais pas
pourquoi je me sent persécuté, y'a qu'au goulag occidental que je me sent bien.
Vous voyez bien je suis un pauvre fou... "Cette voix que j'ai, cette voix je
vous la donne"- Gilbert Langevin ou Gerry Boulet, je sais plus. Ce soir
l'angoisse reviens, on dirais qu'à cause des fêtes y'a eu une trève. Hier
j'écoutais un psy qui avait pratiqué à New-York et qui disait que les malades
américains voulaient tout tout de suite. Un appartement, un job, une blonde, une
voiture drette là sans attendre puisque pour eux c'est un déshonneur d'être sans
travail. Vous voulez savoir ce que moi je veux c'est la paix, la sainte paix...
Le seul job que je fais bien c'est l'épouvantail, je fais peur aux travailleurs
pour ce qui va leurs arriver si ils font pas bien leur travail. À l'heure le
matin on punch le soir cinq jours par semaine un peu de surtemps tout ça pour
quarante ans et voilà pourtant... Ce soir j'arrête là, je vous remercis d'avoir
lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
dimanche 3 janvier 2016
Au présent
Bonsoir! Bonjour! Michel "les divorcés" Delpech est
décédé. Ça m'a rappelé le waiter Ti-Guy à la brasserie qui aussitôt que son
quart commençais mettais les divorcés dans le juke-box, si comme moi vous
restiez là longtemps vous pouviez l'entendre une bonne douzaine de fois. C'étais
l'époque j'avais pas vingt ans je connaissais rien à la vie, des bières bues à
la brasserie, le staff étais quand même correct je me rappelle de Denis l'autre
waiter qui plus tard l'après midi mettais la télé sur Patof et Mame Thibault ça
réjouissais le grand enfant que j'étais. Le samedi matin c'étais parfois
American Bandstand avec Dick Clark. Y'avait déjà un grand écran mais il étais
flous la technologie étais pas vraiment à point. À l'époque cette brasserie
c'était un peu le bistro on y voyais tout le monde et ça discutais fort. Y'avait
l'ancêtre des jeux électronique le ping pong, y'en a qui étais très bon je me
souviens de Richard "ToTor" il était imbattable.J'ai commencé une bande dessinée
de ma main qui se passait là je l'ai jamais terminé. À la brasserie c'étais
surtout des sportifs, des joueurs de balle et de hockey. Delpech c'est ce monde
là que ça me rappelle, la banlieue...Le vendredi soir c'étais très occupé les
copains s'y rencontraient pour décider ce qu'ils allaient faire du reste de la
soirée, parfois on descendait à Montréal dans le vieux d'autre fois on montais
au Sommet l'hôtel en haut de la côte, mon lecteur designer à la retraite s'en
souviens encore je crois. Ce soir il neige encore sur le goulag occidental, la
brasserie étais fermé le dimanche on allait à l'hôtel Central. Parfois le soir
y'avait un show... Ce sont tous des endroits qui n'existent plus on a migré vers
Montréal, le bas de la ville pas loin du goulag occidental. Y'avait aussi Gérald
qui servait la bouffe à la brasserie on mangeait bien, c'étais bon la cuisine
canadienne. Je sais bien qu'il y avait autre chose a faire que de passé ses
journées à la brasserie mais quoi, j'ai essayé les cours aux adultes mais j'ai
pas réussis. De temps à autre je travaillais ça payait la pension et les timbres
d'assurance chômage. Le soir j'allais m'ennuyer à la brasserie à ce moment là
déjà je buvais trop pour être heureux je devenais down et je pleurais. Ce sont
de vieilles histoires tout ça, j'ai écouté le "Arrête de boire!" de Rock et
belles oreilles et je ne bois plus ça fait un bon bout de temps. Ça me permet de
vous écrire ceci en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! Au revoir!!! À la
prochaine j'espère!!!
Bernard
samedi 2 janvier 2016
Au présent
Bonsoir! Bonjour! Ce soir comme souvent je suis
seul. Dernière fin de semaine après les fêtes, lundi c'est le retour à la
normale sauf pour mes lecteurs de Deux-Montagnes qui seront toujours en
République Dominicaine. Ce soir dans le goulag occidental c'est le concert de
reculons des camions. Je m'ennuis un peu j'aimerais avoir une compagne mais
quand j'en ai une je veux être seul. Je suis instable... Je vous raconte pas
tout, si jamais vous avez dans votre entourage quelqu'un qui veux arrêter de
consommer dites lui qu'il me fasse signe je pourrais peut être l'aider. Vous
pouvez, pour ceux qui me connaissent bien, lui raconter mon histoire pour dire
qu'il y a rien d'impossible. Aujourd'hui je suis sortis que cinq minutes, c'est
pas bon faut que je me remette à l'exercise bien que je monte les escaliers
souvent. C'est rare mais ce soir j'entend la musique des voisins, de la basse.
Je vieillis, je fatigue à pas grand chose suis heureux de ne plus vivre en
chambre. Chez moi c'est pas un château ni une maison mais c'est chez moi, juste
assez grand pour y vivre sainement. J'ai souvenir de ces dames d'un groupe
communautaire en santé mentale qui m'ont beaucoup aidé mais qui se faisait
insulter au téléphone. Je les remercirai jamais assez.C'est le passé je veux pas
que ça se reproduise. Quand je pense à ça ça me rend triste. Je vous raconte pas
tout c'est un bout très plate de ma vie, j'aurais pu y laisser ma peau. Je pense
à tout ça c'est pour ça que je vie un jour à la fois.J'ai pas de sanglot, je vie
ma vie du mieux que je peux. J'aime toujours beaucoup la littérature la poésie
même si j'ai vieillis et j'ai le sentiment que la poésie c'est pour la jeunesse
à mon age y'a une urgence qui s'installe, je réalise que j'ai pas fait le quart
de ce que je voulais faire disont que la paranoïa m'a pas aidée. J'ai fait le
bum dans les tavernes, les bistros et les hôtels ça m'a avancé à rien toujours
un peu plus désespéré, un peu plus fou, un peu plus malade, je pense à ce gars
du magreb que j'avais traité de n....
J'ai jamais pu m'excusé quand tu sait pas vivre, tu
sait pas vivre!!! Depuis j'ai appris un peu ne serais-ce juste de me fermer la
gueule. J'entend une vieille sonnerie de téléphone je sais pas d'où ça viens,
une hallucination? Vous voyez je suis une pauvre cloche qui va d'échec en échec
et qui compile ses délires qu'il voudrait littéraire. Ouais!!! C'est un peu
différent ce soir je crois. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusque
là!!! Au revoir!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
vendredi 1 janvier 2016
Au présent
Bonsoir! Bonjour! Lentement le jour de l'an se
termine et voici venus le temps des résolutions. C'est assez facile d'en prendre
mais les tenirs c'est autre chose. Moi j'en prend pas, je vais faire de mon
mieux plus je peux pas. Je sais pas trop quoi vous écrire ce soir, je suis
fatigué ce matin j'ai pris une marche d'une heure et demie. Je vais m'y
remettre. Dans mon enfance ça fêtais encore le soir du jour de l'an on croyais
que ça finirais jamais que l'année serait faite de fêtes. Je me souviens venait
un moment ou les yeux me fermaient tout seul. Ce matin comme je l'avais écris
j'ai téléphoné à la matriarche. J'ai eu un petit sanglot moi au jour de l'an je
vie ce genre d'émotion, toujours étonné d'être rendu là, cinquante neuf ans
presque soixante... Ce soir le goulag occidental est désert c'est la nuit. Ce
matin les cloches des églises sonnaient, c'étais bien on les entend pas souvent.
Demain les choses reviennent à la normale du week-end. J'en suis aux sixième
tomes des Robots d'Asimov un précurseur qui a inspiré cet autre écrivain Maurice
G. Dantec de la science fiction à son meilleur. Ce soir y'a rien pour s'énervé,
je suis toujours vivant et l'équipe de hockey locale a gagné la classique
hivernale. Bravo! Je devrais moi aussi aller au filet pour scorer. Y'a de la
neige c'est vraiment l'hiver et j'ai une odeur de viande fumée dans le nez, je
sais pas d'ou elle viens...Le journal LaPresse va cesser de publier sa version
papier, y'en auras que le samedi pour le reste ce seras LaPresse+ sur le Ipad.
Je m'éloigne de mes émotions ce soir ça me fait pas mal, j'écoute le clavier de
l'ordi, je tape, je tape, je sais jamais comment exprimer mes sentiments mes
émotions, quand je suis seul chez moi j'interagis pas, personne pour me relancer
si j'ai raison ou tort. J'ai pas de lecteur privilégié, je reste tranquille quoi
que la peur soit toujours présente. Ces jours ci je suis moins angoissés, je
respire par le nez et j'essais de pas trop m'en faire... J'aime pas beaucoup les
recettes spirituelle miracle sur facebook. Y'en a tellement j'ai le temps de
mourrir avant de les avoir toute lues, c'est le genre de littérature que j'aime
pas ça me fait pensés à des têtes d'acid en rétablissement. Mes excuses pour
ceux qui y croient. Bon! Avant d'écrire trop de bêtise je vais m'arrêter, je
vais manger une menthe et me calmer. Donc, je cesse en vous remerciant d'avoir
lu jusque là!!! Au revoir!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
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