lundi 14 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vous vous en tirerez pas comme ça! Je rogne sur mon temps de sommeil, il est douze heure vingt deux et après l'excellent reportage de France2 sur la traversée, on apprécie d'être chez soi. Je suis con d'écrire de vous donner ça...Encore là je sais pas comment conjuguer le verbe. Dans le goulag occidental une voiture a ce qui ne s'appelle plus un silencieux c'est pétaradant. Je suis très heureux pour mon passeport, je l'ai reçu ça n'a pris que deux jours ouvrables merci aux bureau de Passeport Canada.Hier j'ai regardé une émission sur les malheureuses du monde, elles sont toutes ici au bord de la track dans le goulag occidental. Les migrants dans les Balkans ça me fait pensés à Woody Guthrie à tout ces gens d'amérique dans les années vingt qui sautaient le train pour trouver du travail. Pour ceux qui connaissent pas Guthrie c'est le plus grand chanteur folk que la crise ais produit. J'espère qu'un jour on va entendre la musique de ces migrants qu'on va lire leurs poèmes. L'exil c'est difficile et dur. J'ai de la difficultée a voir ces femmes enceintes qui marchent dans la foule. Je comprend pas on devrais leurs offrir le gîte et le couvert.Toujours la nuit, une nuit qui apparait stérile... "Worry blues for waiting"-Woody Guthrie. Je sais pas si dans les migrants y'a des leaders des organisateurs qui expliquent à la foule quoi faire, ou aller, la foule avance peut être comme un troupeau un suivant l'autre sans trop savoir ou il va. Certains vont peut être faire les vendanges en France, un premier boulot.Pas loin du goulag occidental ce sont les guétémaltèques qui vont cueuillir les pommes. L'automne je reviens toujours à ça, je suis même pas bon pour faire cette récolte là, je pense à cette entreprise de ménage au coût faramineux quarante six dollars de l'heure. Je vais essayer de me torcher seul. Tout ça c'est un peu la chronique, de chronos, le temps, le temps qui passe. C'est aussi laisser une trace numérique de mon parcours.En Europe ceux qu'on appelle les gens du voyage ne sont plus seul, ils sont des millions a chercher un endroit ou poser leurs baluchons Je sais pas si les autorités vont affrèter des navires pour traverser l'Atlantique et se faire accueillir comme des millions d'autre migrants de la "belle époque". La statue de la liberté, ce sont des choses prises pour acquises quand on a toujours été libre. Bon! Voilà une autre trace, vous avez pas besoin de mettre les pieds dedans. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 13 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je reviens sur le nom goulag occidental. J'ai vu un documentaire sur un retour au vrai goulag en Russie. Le goulag aux cellules de quatre vingt dix centimètre faites de briques pas isolées par des températures de moins trente ça n'existe plus. Les prisonniers du goulag construisaient les routes sous lesquelles on les enterrais parais que c'est pas vrai. Les russes ont toujours une histoire violente, l'endroit ou est situé le goulag est maintenant une mine d'or, une vrai, mais je peux pas croire qu'ils condamnaient certains tortionnaires pour rien, les russes veulent pas avoir le souvenir de ces épisodes tragiques. Moi je me sent un peu nono avec mon goulag occidental c'est pas le goulag russe et pas même la prison de Port-Cartier. C'étais ma soirée documentaire ai regardé un film intitulé la voix de Mette, un film sur une femme schizophrène paranoïde qui après bien des aventures réussis a se sevrer des médicaments et perdre du poids, maintenant ou plutôt en deux milles quatorze elle est devenue une très jolie femme. La question que je me pose est, si je me sevrais je perdrais ma bedaine? Je veux bien me sevrer mais je veux pas devenir psychotique c'est dur et ça fait mal, Je crois que ce serait un excellent moyen pour exacerbé mon délire et me ramasser dans la rue, une chose dont j'ai très peur. Pour revenir au goulag russe maintenant ça ressemble un peu aux Laurentides au nord de Montréal, les gens semblent y mener des vies décentes tant que la mémoire... La schizophrénie ça peut être ça aussi un déni de mémoire, de sévices qu'on a subis mais j'aime pas me voir comme une victime, disont qu'après ce que j'ai vécu il est normal que je sois fou et que je vive au goulag occidental. Je veux signaler à ma lectrice jeune retraitée de l'Outaouais que j'apprécis ses commentaires, que j'essais de "soigner" ça ces accords de verbes. Je reviens aux médicaments à la confiance qu'on leurs donne comment c'est plus facile de les prendre mais qu'il ne faut jamais oublié de travailler sur soi et tout de même de faire confiance à quelqu'un. Ce soir il pleut sur le goulag occidental, il mouille dans ma tête, les voitures passent sous ma fenêtres tout est tranquille, non! Non! Je ne m'exilerai pas l'exil est dans ma tête, je suis pas Alexis qui préfère le Colorado... Je suis incapable d'être un travailleur forestier c'est ce que mes aieux faisaient... Je vie de petit métier et de petite misère. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 12 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Un rhino dans le goulag occidental, ça se peux pas, les rhinos ont disparus et le goulag occidental une figure de style. Au Québec quand on écris on peux pas passés à côté du notable Docteur Ferron. Le dernier notable homme de lettres comme il l'écrivait lui même. On aimerais bien que la gauche fédérale nous rappelle le médecin communiste, ennemi de P.E.T., qui pratiquais pour le prolétaire. La commune au Québec s'étais transformé en commune ou on partageais tout, femmes bières et vin. Je sais pas trop ou je vais avec le docteur, la dernière lecture que j'ai fait c'est Le désarroi une correspondance avec le psy Bigras, ils étaient tout les deux dans de beaux draps. Je me souviens aussi des Roses Sauvages, un ouvrage à moins que je me trompe, sur les petites madames des quartiers populaires. J'ai souvenirs aussi de l'Amélanchier, Tinamer au cinéma une sorte de relecture d'Alice au pays des Merveilles. Les confitures de coings un roman militant si je me souviens bien. À part Victor Lévy Beaulieu on a plus d'homme de lettre qui fait de la politique. V.L.B. s'autoproclame le dernier patriote et pourquoi pas. Moi à l'époque du premier référendum après la défaite j'avais envie de prendre les armes mais pour le bien de mes concitoyens je suis devenus fou... Je pense au Jos du Race de Monde de V.L.B. j'étais fou comme Jos je me cherchais dans la nuit. Je sais pas ce que Gourd fait pendant cette élection, y'a personne qui mise sur l'absurde, ils vont me dire que c'est pour leurs enfants. J'écouterais bien la fanfare PourPour. Je cherche d'autre titre de Ferron y'a le Du fond de mon arrière cuisine présentement réédité qui nous en dis beaucoup sur les sentiments et le monde du doc qui étais pas fort sur les mondanités. Depuis le Bloc Québéquois c'est devenus sérieux l'indépendance et je pense au Bien être commun de madame David pas de place pour la niaiserie. Depuis le temps on nous en a promis des choses mais je suis pas devenus plus riches je m'entend pas mieux avec mes voisins qui eux j'en suis certains ne votent pas et savent pas le nom du prime minister. Bon on va demander le secours du Abel de V.L.B. l'héritage on y pense plus, le pays on l'a pas eu et y'a de bons bourgeois qui nous laissent entendre qu'on a besoin de ça. Couillard est à Roberval, Lebel à Dolbeau-Mistassini je crois des châteaux forts indépendantistes, qui sont maintenant on ne peux plus fédéralistes. Bon! Je vais porter ma croix avant de la faire sur mon bulletin y'a plus de curé au goulag occidental. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 11 septembre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ai beaucoup aimé les émissions sur le voyage à TV5 celle sur Marseille étais superbe.Ça nourris le désir de partir.Ce matin il est douze heure cinquante et une, la mer Méditerranée est magnifique. Plus près d'ici je pense à la plage du Gosier en Guadeloupe, là aussi la mer est délicieuse. Je commence déjà a chercher le soleil on est à la mi-septembre... Un lecteur m'a conseillé une petite ville du Mexique pourquoi pas?Une semaine ou dix jours ce serait bien.Je reviens au goulag occidental la musique joue fort dans les voitures qui passent  elles klaxonnent. Goulag c'est exagéré je suis dans un camp de non-travail, je dois réinventer la besogne à chaque vingt quatre heures, ce sont les questions tue monde. Dans le moment j'occupe la nuit pas besoin de barrage routier, je ne bois pas et je ne conduis pas toutes les chances sont pour moi. Je pense aux étalages de babioles et d'artisanat sur la plage de Sainte-Anne, le soleil toujours là et les nuages sur La Fondrière. Je réfléchis sur un prochain départ. Je sais pas si mon lecteur désigner retraité voulait me faire chier en me racontant être allé une dizaine de fois à Cuba... On se relanceras pas c'est 10-1 pour lui et encore j'étais dans les antilles Françaises. "La mer qu'on vois danser le long des golfes clairs"-Charles Trenet. L'été se termine le vingt et un septembre je crois on annonce encore du beau temps. La plage du parc Jean Drapeau étais fermé trop de bactéries. Je me demandais si y'avait pas danger de marcher sur des oursins sur les plages Guadeloupéenne. J'en parle encore de ce voyage j'ai tellement aimé ça, un petit bonjour à Ludmila au cas où elle me lirait. Dans le gîte ou j'habitais en  Guadeloupe y'avait pas de moustiques, c'étais bien. J'espère bientôt cesser de vous parler de voyage à partir de mon logis et effectivement partir pour d'autre cieux. On entend encore en pleine nuit un véhicule qui recule. Tiens d'autre souvenirs dans une boîte bondée, la musique à fond le rock et les gens qui envahissent votre espace vital sans moyen de communiquer la musique est trop forte, sourd et muet les mains qui te tatonnent reste qu'une chose à faire boire de la bière. Une de mes fiancées me racontais s'être fait des amis dans un monde pareil, foutaises! Le vendredi soir les gens sortent pour s'amuser mais d'une façon idiote selon moi.Hé oui! C'étais des vendredis soir idiot que je pratiquais religieusement. J'espérais toujours rencontré quelqu'un mais les femmes c'étais pour un soir comme moi. Cette nuit je suis seul ça m'a permis de vous écrire ceci. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris d'un matin dans le goulag occidental ou j'ai envie de tout abandonner. J'ai un creux dans l'estomac, un vide anxieux. Je sais que vous ne me lisez plus. Je cherche à me renouveler, j'ai que le désir de partir je ne sais où. Hier j'ai parlé à quelques un d'entre vous. Je me suis calmé en regardant le football américain sur NBC. Ça me fait travailler mon anglais. J'ai la tête vide, je peux pas vous pondre à toutes les fois un texte à  haute teneur en émotion. Ce matin c'est frais ça vous montre ma niaiserie. Y'a longtemps déjà que ma routine n'est plus celle du travailleur, c'est un peu toujours le même café, le même désoeuvrement, écrire malgré tout c'est pas un passe temps, ça demande trop pour n'être que ça.Vous me lisez encore? Ais je encore un lecteur rue Dorion? C'est un retour sur cette première personne du singulier beaucoup narcisse.Parfois c'est forcé mon écriture, on m'a dis que j'avais du talent. J'essais sans trop y croire. Le climatiseur viens de démarré ce que j'écris ça pourrais s'intituler "Chroniques d'un gars et de son climatiseur". Je ferai pas mon frais ici... Les médias parlent pas de moi et c'est tant mieux, la tête me pèterais, le liquide cervical étendu partout sur le plancher et les murs. Ce serait la vrai fin, le point final posé avec les humeurs. Mais avant de mourrir j'aimerais mettre les pieds dans ce pays communiste tout près, Cuba. Je crois que je vais attendre l'hiver, comme disait le bôf faut se flageller un peu, se geler les oreilles, les doigts, les orteilles pour partir vers le sud et se dire qu'on l'a bien mérité. Tant qu'a être dans le judéo-chrétien priez pour moi. J'ai de la misère a décollé a faire que mon écriture prenne de grande envolée, elle vole un peu et reviens vite au sol sans pour autant crasher. "Quand on passe sa journée en l'air, le soir y'a plus grand chose a faire"-Luc Plamondon. Si y'en a qui voient Ti-Mé Paré par hazard dites lui qu'on m'a volé mes vidanges ce matin, ici on a plus de sacs vert juste de gros bacs gris... J'arrive pas a faire des lignes le moindrement comique mais de ça je vous en ai déjà parlé, la dictature de l'humour C'est pas mon fort. Bon! Vous avez toffé jusqu'ici, bravo? Ça tire vers la fin pour aujourd'hui. Le goulag occidental est ensoleillé, je sais que par beau temps on s'assois pas devant son ordi pour lire les inepties de mon'onk. J'arrête donc au cas ou vous en auriez assez, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 9 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je digère les hot-dogs... Il est vingt trois heure vingt me prépare un café.Hier le praticien ressource à la retraite de l'hôpital Maisonneuve Rosemont est passé comme toujours ce fut un plaisir bien qu'on ais toujours l'air un peu idiot devant un homme qui connais tant de choses. Une anecdote attend pas l'autre. C'est la nuit dans le goulag occidental,le climatiseur est à pleine capacité.La Grèce semble une destination très prisée pour plusieur lecteurs, ça va remonter leurs économies. Je pense aux voyages que j'ai fait seul c'est un peu le bonjour chez vous de la fameuse série télévisée. Mon oreiller est toute trempée ai dormis quatre heure.C"est l'économie de la Grèce qui va remonter pas celle des voyageurs, je crois que vous aviez compris.J'aimerais beaucoup vous dire comment je me sent. J'espère un nouveau départ, aller me promener sur des terres étrangères. C'est étonnant comment j'arrive à noircir l'écran de propos lénifiant. J'ai besoin de quelques choses de solide comme de cogner sur les politiciens, de parler de la peur des migrants qu'on confond avec des terroristes quoi que l'état islamique a déclaré avoir fait entré quatre milles de leurs partisans.On vie dans une belle ère de terreur et de sang. Tout est bon pour faire peur. Je refuse, je refuse de vivre dans la terreur, j'ai assez de cette anxiété de cette peur maladive. J'entend pas rester confiner chez moi... Là je pense à la folie américaine des armes à feu, tout les jours y'a quelqu'un qui meurt par balles et ils font rien remettent jamais le bien fondé de la possession d'une arme. Sur un autre plan y'a Kobo, les libraires du vingt et unième siècle qui sont très agressif, les courriels attendent pas l'autre... Je voudrais bien m'indigner j'en ai pas la force ni la tribune, ce que je trouve difficile c'est cette américaine qui refuse les couples gai avec un discours sur la volonté de Dieu, une passionara de preacher, "God is with us!" c'est plus fou que moi. Je comprend pas pourquoi on laisse pas les gens vivre en paix chez eux sans bâdrer personne. Comme on dis dans les fraternités "Vivre et laissez vivre" il est toujours tôt la nuit, parfois j'ai peur que le Klu Klux Klan m'embarque et me brûle mais je crois qu'au goulag occidental on est plus tolérant. Bon! C'est comme je vous le disait au début, lénifiant, j'arrive pas a mettre du beurre sur le pain. Le nom de la série c'est Le Prisonnier. Je suis le numéro de ma carte débit on peux me tracer partout. Je ne peux m'enfuir. "Bonjour chez vous!" Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 8 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de la fin de soirée. J'ai dormis un peu, mon chorizo a de la misère a passé. Mes paiements ce sont effectués sans anicroches. J'entre là dans le sujet le plus tabou qui soit les finances personnelles. Vous pouvez avouer avoir tué votre mère ça va mais avoué votre revenus mensuel vous serez mis au ban. Le climatiseur fait toujours bien sa job.Je sais pas comment vous dire mon étât intérieur... Je me cherche un ou une partenaire pour partir en voyage.J'ai un déjà vu ça arrive rarement quand j'écris avec la machine "Aujourd'hui le temps m'épuise"-Claude Dubois. Je me souviens de ces vêtements huileux que je portais quand je travaillais à la shop, c'étais tellement désagréable, j'en pleurais caché dans un coin. Je ramassais les chips de métal, l'huile m'entrais dans la peau. J'étais tellement abrutis harcelé par le malheur, mon grand-père maternel a fait ce job là lui aussi ça a pas été long qu'il s'est trouvé une sacristie, bedeau c'étais plus sain, les saintes huiles le faisait aspirer à la rédemption après l'extrème onction.Je le répète le goulag occidental est encore très calme. J'ai hâte qu'on me livre mon passeport. J'ai remis la rédaction à cette nuit moins de stimuli mons de troubles cognitifs. Y'a des gens qui entrent dans mon ordinateur, j'ignore comment j'ai une suite de sécurité. J'écris beaucoup moins a partir de mon sentis parfois ça mène a rien, dehors j'entend l'hyper-basse dans une voiture c'est assez affolant. Il est vingt trois heure vingt huit j'ai mangé un yogourt ce qui me rappelle Luoar Yaugud y'étsis au boutte, tout est au boutte toute est dans toute. Cette époque là je trouve étrange que le show-bizz s'amalgamais tellement à nos vies. Des beaux discours des belles chansons à la mode mais pas de mode de vie."J'avais des fleurs dans les cheveux fallait tu être niaiseux"-Michel Rivard. Assis sur ma chaise ici j'ai l'impression de vous écrire dans votre prison, vous qui êtes incarcéré dans le quotidien. Il n'en tiens qu'à moi que cette écriture ne soit pas une mode, que le dire de l'écrire sois important. Je suis pas le nouveau "messie" j'ai pas d'apôtre et la bonne nouvelle est oublié avec tout ces migrants qui se cherchent un endroit pour faire leur prière tranquille. Je crois que je vais réussir a boucler la boucle avant minuit. Je suis toujours heureux de vous écrire ça me laisse sur un sentiment de satisfaction et bien soit!!! Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard