samedi 12 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Un rhino dans le goulag occidental, ça se peux pas, les rhinos ont disparus et le goulag occidental une figure de style. Au Québec quand on écris on peux pas passés à côté du notable Docteur Ferron. Le dernier notable homme de lettres comme il l'écrivait lui même. On aimerais bien que la gauche fédérale nous rappelle le médecin communiste, ennemi de P.E.T., qui pratiquais pour le prolétaire. La commune au Québec s'étais transformé en commune ou on partageais tout, femmes bières et vin. Je sais pas trop ou je vais avec le docteur, la dernière lecture que j'ai fait c'est Le désarroi une correspondance avec le psy Bigras, ils étaient tout les deux dans de beaux draps. Je me souviens aussi des Roses Sauvages, un ouvrage à moins que je me trompe, sur les petites madames des quartiers populaires. J'ai souvenirs aussi de l'Amélanchier, Tinamer au cinéma une sorte de relecture d'Alice au pays des Merveilles. Les confitures de coings un roman militant si je me souviens bien. À part Victor Lévy Beaulieu on a plus d'homme de lettre qui fait de la politique. V.L.B. s'autoproclame le dernier patriote et pourquoi pas. Moi à l'époque du premier référendum après la défaite j'avais envie de prendre les armes mais pour le bien de mes concitoyens je suis devenus fou... Je pense au Jos du Race de Monde de V.L.B. j'étais fou comme Jos je me cherchais dans la nuit. Je sais pas ce que Gourd fait pendant cette élection, y'a personne qui mise sur l'absurde, ils vont me dire que c'est pour leurs enfants. J'écouterais bien la fanfare PourPour. Je cherche d'autre titre de Ferron y'a le Du fond de mon arrière cuisine présentement réédité qui nous en dis beaucoup sur les sentiments et le monde du doc qui étais pas fort sur les mondanités. Depuis le Bloc Québéquois c'est devenus sérieux l'indépendance et je pense au Bien être commun de madame David pas de place pour la niaiserie. Depuis le temps on nous en a promis des choses mais je suis pas devenus plus riches je m'entend pas mieux avec mes voisins qui eux j'en suis certains ne votent pas et savent pas le nom du prime minister. Bon on va demander le secours du Abel de V.L.B. l'héritage on y pense plus, le pays on l'a pas eu et y'a de bons bourgeois qui nous laissent entendre qu'on a besoin de ça. Couillard est à Roberval, Lebel à Dolbeau-Mistassini je crois des châteaux forts indépendantistes, qui sont maintenant on ne peux plus fédéralistes. Bon! Je vais porter ma croix avant de la faire sur mon bulletin y'a plus de curé au goulag occidental. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 11 septembre 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ai beaucoup aimé les émissions sur le voyage à TV5 celle sur Marseille étais superbe.Ça nourris le désir de partir.Ce matin il est douze heure cinquante et une, la mer Méditerranée est magnifique. Plus près d'ici je pense à la plage du Gosier en Guadeloupe, là aussi la mer est délicieuse. Je commence déjà a chercher le soleil on est à la mi-septembre... Un lecteur m'a conseillé une petite ville du Mexique pourquoi pas?Une semaine ou dix jours ce serait bien.Je reviens au goulag occidental la musique joue fort dans les voitures qui passent  elles klaxonnent. Goulag c'est exagéré je suis dans un camp de non-travail, je dois réinventer la besogne à chaque vingt quatre heures, ce sont les questions tue monde. Dans le moment j'occupe la nuit pas besoin de barrage routier, je ne bois pas et je ne conduis pas toutes les chances sont pour moi. Je pense aux étalages de babioles et d'artisanat sur la plage de Sainte-Anne, le soleil toujours là et les nuages sur La Fondrière. Je réfléchis sur un prochain départ. Je sais pas si mon lecteur désigner retraité voulait me faire chier en me racontant être allé une dizaine de fois à Cuba... On se relanceras pas c'est 10-1 pour lui et encore j'étais dans les antilles Françaises. "La mer qu'on vois danser le long des golfes clairs"-Charles Trenet. L'été se termine le vingt et un septembre je crois on annonce encore du beau temps. La plage du parc Jean Drapeau étais fermé trop de bactéries. Je me demandais si y'avait pas danger de marcher sur des oursins sur les plages Guadeloupéenne. J'en parle encore de ce voyage j'ai tellement aimé ça, un petit bonjour à Ludmila au cas où elle me lirait. Dans le gîte ou j'habitais en  Guadeloupe y'avait pas de moustiques, c'étais bien. J'espère bientôt cesser de vous parler de voyage à partir de mon logis et effectivement partir pour d'autre cieux. On entend encore en pleine nuit un véhicule qui recule. Tiens d'autre souvenirs dans une boîte bondée, la musique à fond le rock et les gens qui envahissent votre espace vital sans moyen de communiquer la musique est trop forte, sourd et muet les mains qui te tatonnent reste qu'une chose à faire boire de la bière. Une de mes fiancées me racontais s'être fait des amis dans un monde pareil, foutaises! Le vendredi soir les gens sortent pour s'amuser mais d'une façon idiote selon moi.Hé oui! C'étais des vendredis soir idiot que je pratiquais religieusement. J'espérais toujours rencontré quelqu'un mais les femmes c'étais pour un soir comme moi. Cette nuit je suis seul ça m'a permis de vous écrire ceci. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris d'un matin dans le goulag occidental ou j'ai envie de tout abandonner. J'ai un creux dans l'estomac, un vide anxieux. Je sais que vous ne me lisez plus. Je cherche à me renouveler, j'ai que le désir de partir je ne sais où. Hier j'ai parlé à quelques un d'entre vous. Je me suis calmé en regardant le football américain sur NBC. Ça me fait travailler mon anglais. J'ai la tête vide, je peux pas vous pondre à toutes les fois un texte à  haute teneur en émotion. Ce matin c'est frais ça vous montre ma niaiserie. Y'a longtemps déjà que ma routine n'est plus celle du travailleur, c'est un peu toujours le même café, le même désoeuvrement, écrire malgré tout c'est pas un passe temps, ça demande trop pour n'être que ça.Vous me lisez encore? Ais je encore un lecteur rue Dorion? C'est un retour sur cette première personne du singulier beaucoup narcisse.Parfois c'est forcé mon écriture, on m'a dis que j'avais du talent. J'essais sans trop y croire. Le climatiseur viens de démarré ce que j'écris ça pourrais s'intituler "Chroniques d'un gars et de son climatiseur". Je ferai pas mon frais ici... Les médias parlent pas de moi et c'est tant mieux, la tête me pèterais, le liquide cervical étendu partout sur le plancher et les murs. Ce serait la vrai fin, le point final posé avec les humeurs. Mais avant de mourrir j'aimerais mettre les pieds dans ce pays communiste tout près, Cuba. Je crois que je vais attendre l'hiver, comme disait le bôf faut se flageller un peu, se geler les oreilles, les doigts, les orteilles pour partir vers le sud et se dire qu'on l'a bien mérité. Tant qu'a être dans le judéo-chrétien priez pour moi. J'ai de la misère a décollé a faire que mon écriture prenne de grande envolée, elle vole un peu et reviens vite au sol sans pour autant crasher. "Quand on passe sa journée en l'air, le soir y'a plus grand chose a faire"-Luc Plamondon. Si y'en a qui voient Ti-Mé Paré par hazard dites lui qu'on m'a volé mes vidanges ce matin, ici on a plus de sacs vert juste de gros bacs gris... J'arrive pas a faire des lignes le moindrement comique mais de ça je vous en ai déjà parlé, la dictature de l'humour C'est pas mon fort. Bon! Vous avez toffé jusqu'ici, bravo? Ça tire vers la fin pour aujourd'hui. Le goulag occidental est ensoleillé, je sais que par beau temps on s'assois pas devant son ordi pour lire les inepties de mon'onk. J'arrête donc au cas ou vous en auriez assez, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 9 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je digère les hot-dogs... Il est vingt trois heure vingt me prépare un café.Hier le praticien ressource à la retraite de l'hôpital Maisonneuve Rosemont est passé comme toujours ce fut un plaisir bien qu'on ais toujours l'air un peu idiot devant un homme qui connais tant de choses. Une anecdote attend pas l'autre. C'est la nuit dans le goulag occidental,le climatiseur est à pleine capacité.La Grèce semble une destination très prisée pour plusieur lecteurs, ça va remonter leurs économies. Je pense aux voyages que j'ai fait seul c'est un peu le bonjour chez vous de la fameuse série télévisée. Mon oreiller est toute trempée ai dormis quatre heure.C"est l'économie de la Grèce qui va remonter pas celle des voyageurs, je crois que vous aviez compris.J'aimerais beaucoup vous dire comment je me sent. J'espère un nouveau départ, aller me promener sur des terres étrangères. C'est étonnant comment j'arrive à noircir l'écran de propos lénifiant. J'ai besoin de quelques choses de solide comme de cogner sur les politiciens, de parler de la peur des migrants qu'on confond avec des terroristes quoi que l'état islamique a déclaré avoir fait entré quatre milles de leurs partisans.On vie dans une belle ère de terreur et de sang. Tout est bon pour faire peur. Je refuse, je refuse de vivre dans la terreur, j'ai assez de cette anxiété de cette peur maladive. J'entend pas rester confiner chez moi... Là je pense à la folie américaine des armes à feu, tout les jours y'a quelqu'un qui meurt par balles et ils font rien remettent jamais le bien fondé de la possession d'une arme. Sur un autre plan y'a Kobo, les libraires du vingt et unième siècle qui sont très agressif, les courriels attendent pas l'autre... Je voudrais bien m'indigner j'en ai pas la force ni la tribune, ce que je trouve difficile c'est cette américaine qui refuse les couples gai avec un discours sur la volonté de Dieu, une passionara de preacher, "God is with us!" c'est plus fou que moi. Je comprend pas pourquoi on laisse pas les gens vivre en paix chez eux sans bâdrer personne. Comme on dis dans les fraternités "Vivre et laissez vivre" il est toujours tôt la nuit, parfois j'ai peur que le Klu Klux Klan m'embarque et me brûle mais je crois qu'au goulag occidental on est plus tolérant. Bon! C'est comme je vous le disait au début, lénifiant, j'arrive pas a mettre du beurre sur le pain. Le nom de la série c'est Le Prisonnier. Je suis le numéro de ma carte débit on peux me tracer partout. Je ne peux m'enfuir. "Bonjour chez vous!" Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 8 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de la fin de soirée. J'ai dormis un peu, mon chorizo a de la misère a passé. Mes paiements ce sont effectués sans anicroches. J'entre là dans le sujet le plus tabou qui soit les finances personnelles. Vous pouvez avouer avoir tué votre mère ça va mais avoué votre revenus mensuel vous serez mis au ban. Le climatiseur fait toujours bien sa job.Je sais pas comment vous dire mon étât intérieur... Je me cherche un ou une partenaire pour partir en voyage.J'ai un déjà vu ça arrive rarement quand j'écris avec la machine "Aujourd'hui le temps m'épuise"-Claude Dubois. Je me souviens de ces vêtements huileux que je portais quand je travaillais à la shop, c'étais tellement désagréable, j'en pleurais caché dans un coin. Je ramassais les chips de métal, l'huile m'entrais dans la peau. J'étais tellement abrutis harcelé par le malheur, mon grand-père maternel a fait ce job là lui aussi ça a pas été long qu'il s'est trouvé une sacristie, bedeau c'étais plus sain, les saintes huiles le faisait aspirer à la rédemption après l'extrème onction.Je le répète le goulag occidental est encore très calme. J'ai hâte qu'on me livre mon passeport. J'ai remis la rédaction à cette nuit moins de stimuli mons de troubles cognitifs. Y'a des gens qui entrent dans mon ordinateur, j'ignore comment j'ai une suite de sécurité. J'écris beaucoup moins a partir de mon sentis parfois ça mène a rien, dehors j'entend l'hyper-basse dans une voiture c'est assez affolant. Il est vingt trois heure vingt huit j'ai mangé un yogourt ce qui me rappelle Luoar Yaugud y'étsis au boutte, tout est au boutte toute est dans toute. Cette époque là je trouve étrange que le show-bizz s'amalgamais tellement à nos vies. Des beaux discours des belles chansons à la mode mais pas de mode de vie."J'avais des fleurs dans les cheveux fallait tu être niaiseux"-Michel Rivard. Assis sur ma chaise ici j'ai l'impression de vous écrire dans votre prison, vous qui êtes incarcéré dans le quotidien. Il n'en tiens qu'à moi que cette écriture ne soit pas une mode, que le dire de l'écrire sois important. Je suis pas le nouveau "messie" j'ai pas d'apôtre et la bonne nouvelle est oublié avec tout ces migrants qui se cherchent un endroit pour faire leur prière tranquille. Je crois que je vais réussir a boucler la boucle avant minuit. Je suis toujours heureux de vous écrire ça me laisse sur un sentiment de satisfaction et bien soit!!! Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 7 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir du goulag occidental je pense aux enfants qui vont subir l'austérité à l'école. Ce que je trouve étrange c'est qu'on gueule à cause de la délinquance, de l'analphabétisme et du manque de formation des jeunes. Il faut les prendres en charge très tôt je crois. Je suis mal placé pour parler j'ai aucun diplôme pas même un secondaire terminé. J'ai un ami psychologue qui un jour m'a dis que l'école convenais pas à tout le monde mais quand je pense à ça je me dis qu'il y a pas beaucoup de médecin autodidacte quoi qu'il y a aussi de mauvais médecins. Mais oui! Offrons des classes convenables aux enfants, du support à ceux qui sont en difficultés. L'école secondaire c'est pas mal, ce printemps je suis allé parler dans une polyvalente, je me suis pas sentis mal à l'aise ça ressemblais beaucoup à ce que j'ai vécu avant de devenir drop-out. C'est loin mon histoire scolaire, j'ai essayé de raccrocher mais j'ai pas réussis. Le bonhomme que je suis devenus a pas tellement de regret. Je suis responsable de mes échecs. J'ai perdus l'autre sujet sur lequel je voulais vous écrire à mon age il est bien tard pour vouloir se recycler et voilà je l'ai, c'est la célébrité le fait d'être connus dans une chose, une pratique artistique que je fait plus ou moins bien, j'écoutais l'émission littéraire à Rédio-Kénada cet après-midi on s'y payait la gueule d'une romancière c'étais pas très jolie. Je sais bien y'a personne qui parle de moi, je suis un de ces millions d'anonymes qui pratiquent le blog.Parfois j'ai le désir d'abandonner de ne plus écrire que pour moi dans mes cahiers. Je suis un écrivain à la petite semaine comme on dis, un bâtard de la littérature et encore qui c'est qui a dis que c'est de la litérature. Les lettres c'est une chasse-gardée encore réservé aux professionnels, enseignants, médecins,avocats c'est réservé au gratin ou à  ceux qui font de la littérature comparée. J'ai pas le désir des salles d'université pas plus que celle du collège, je pense à ce véritable nazi qui fréquentais les mêmes cours que moi. J'en reviens pas. Dehors y'a un convois de voitures de polices heureusement c'est pas chez moi. Téléphone de la matriarche on est tranquille tout les deux, dans le goulag occidental y'a des orages qui s'annoncent. J'ai encore le souvenir des sacs d'écoles en cuir cartonné, l'odeur qu'ils avaient. C'est pas très fort ce que je vous écris depuis quelques semaines. Je laisse ça là avant de m'y perdre. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 6 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'écoute les actualités à répétition, toujours les Syriens qui se cherchent une terre d'accueuil. Pas grand chose a dire, je sais pas comment qualifier les êtres humains dans ces drames,ça me décourage je parlerais de bêtes humaines qui forcent les gens a fuir leur pays. L'exode des Syriens, l'allemagne c'est pas l'eldorado mais c'est toujours mieux qu'un pays criblés de bombes. J'ai entendu un haut-gradé occidental dire que pour la guerre sur le terrain fallait laisser ça aux syriens mais qu'ils avaient peur. Je sais pas si lui irait au front dans son complet trois pièces, personne ne veux mourrir à la guerre... C'est juste un commentaire comme ça, demain au goulag occidental c'est la fête du travail paradoxalement c'est congé.Ce soir c'est calme j'ai bien aimé le petit film de ma lectrice de Deux-Montagnes avec le lecteur qui s'amuse dans la piscine avec Théo. Ce soir bien que j'ais pas fait grand chose, je suis fatigué. Je vous écrirai pas trop sur la politique j'ai pas fait science-po et je me fie à ce que Thomas Mulcair me dis. À l'ouest du goulag occidental le ciel se teinte d'orange, le soleil se couche d'habitude c'est bon signe pour le lendemain. Pas de traffic ce soir dans le goulag, y'a des ponts et des routes qui sont fermées. Ça vous dis pas comment je me sent, un peu seul, aujourd'hui je suis resté dans le silence j'ai parlé à personne, c'est mieux comme ça je sent que j'aurais dis des bêtises... Depuis que je m'arrache plus le coeur à vous écrire c'est comme si j'avais rien a dire, une autre possibilité c'est que je me rétablis pourtant le temps passe trop vite et j'ai parfois des sursauts de folie. Je veux pas me plaindre mon exil est bien doux et je me souviens pas d'avoir eu une terre, un domicile qui m'appartiens. Je vie l'exil du locataire c'est mieux que l'exil sur les rues du goulag occidental. Ce soir y'a un parfum de sauce à spaghatt fait avec des tomates fraîches du potager, une bonne odeur d'épice sans parler des oignons qui reviennent dans le chaudron... Puisque les grandes choses sont pas pour moi je m'attache à des choses simples comme le parfum d'une cuisson, d'une sauce qui mijote et j'essais de taire mes habitudes de vieux garçons. Lentement comme toujours la vie passe et j'apprend a me connaitre. J'aurai bâtis qu'un moi qui cherche a faire mieux, c'est pas évident, j'ai parfois envie d'abandonner mais l'obscurité je la laisse au grand poète. Ce désir d'entrer dans la littérature est inutile on passerais mes livres au pilon ce serait pas très écologique... Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard